Ses coups de feu n'était pas anodin, il ce passait quelque chose derrière cette porte, il faut allez voir

La troupe cours vers la porte, l'enfonce et vois Étan, deux mitrailleuses sur chaque bras, en train de s'éclater sur les robot de défense

(Étan) " à salut, vous êtes venus me chercher, merci" dit il avec un sourire sadique, mais comme a son habitude

Une fois les robot détruit, la salle fut troué de partout, les étalages qui contenait les automates était percé de par en par, les tas de ferrailles gisait par terre, un râle lent s'échapper de certain en train de s'éteindre

Pendant que aries, récupéré des morceaux, s'amoncellent sur son dos, les trois autre expliqué a Étan leur périple, les pouvoir, et plein d'autre chose inutile a l'histoire (sérieusement les penser perverse de jeff n'intéresse personne)

La troupe se dirige vers la sortie, quand d'un coup, cinq militaires, armé jusqu'au dent, défonce les fenêtres, et encercle la troupe, qui ne pus riposté, ils leurs administrent un tranquillisant qui les endormi progressivement

(Jeff) "putain, je vous tuerait tous......"

(Aries) "je suis pas venu pour souffrir ok........"

(Étan) "bordel encore, j'en ais marre......"

Les derniers mots sont souvent les moins réfléchis

Une fois réveillé la troupe se trouvait dans une cellule, avec des colliers bloquant leurs pouvoirs, les genres de collier que peut de personnes utilise sur des humain (ou machine) mais reste à savoir qu'es qu'il foutais là

La cellule étais grande, assez propre, mais la couleur grise, omniprésente dans leurs espaces n'était pas au charme de tous le monde, de personne en vrai, les barreaux étais froid, et impossible à couper au lazer

(???) "Tiens ma troupe préférée est réveillé, je vais vous laisser le temps de réfléchir à votre raison d'être enfermée"

Une grande femme, au teint bronzé, de grand cheveux argenté tombait jusqu'à ses mains le long de son corps, elle est grande, son visage est celui d'un véritable sadique, un regard a vous transpercé l'âme, un sourire froid et sans émotion à par la joie de nous avoir enfermés, ses habits était noire, combinaison moulante qui laissé deviné les formes généreuses de sa poitrine

Les soldats sont limites apeuré lors de la présence de cette femme

(Étan) "qui vous êtes, et que nous voulez vous"

(???) "Rien, absolument rien, mais j'ai besoin de vous tous pour accomplir une "mission" de la plus haute importance"

Elle matérialise un carnet dans sa main, puis le donne a Étan

(???) "Il existe dans le monde, différentes personne aux pouvoir unique, mais seul dix ont des pouvoir que personne possède, on les appelles les "10 assassins suprêmes", vôtre troupe possède les quatre premiers pouvoir unique

-la résurrection

-la violence tranchante

-le rembobineur de temps

Et le super ordinateur, vous êtes en possession de pouvoir qui sont pratiquement impossible a avoir a l'issue de l'expérience, mais vous êtes les quatre premiers assassins suprêmes"

(Jeff) "je m'en fous de ça, je veux sortir" coupa jeff

(???) "Tu vas sortir laisse moi finir, bon, j'ai besoin que vous alliez trouver les cinq autre assassins suprêmes, j'ai finis"

(Veïla) "donc vous êtes aussi un des assassins suprêmes, l'imagination je suppose"

(???) "Et tu suppose juste, j'ai le pouvoir dénommé, le vol de l'esprit, qui me permet de crée, stocké, modifier n'importe quoi autour de moi, en utilisant mon imagination"

(Astragot) "donc ont dois vous aidés à faire le sale boulot à votre place, ont est vos esclaves"

(???) "J'aurais bien voulu mais vous êtes mes second si je puis me permettre, vous avez un garde limite égal au mien, donc vous êtes des personnes importantes, sinon je me prénomme elisa"

Pendant que les soldats enlève les colliers de nos héros, elisa part de la salle, mais nous a laissé sont carnet, je l'ouvre et tombe sur les noms des autres pouvoirs, ainsi que le plan du bâtiment ou ont se trouve, il doit faire plusieurs kilomètres pour que le plan se compose de plusieurs feuille, ont a aussi le nom de certain pouvoir commun, ainsi que quelques dessin et gribouillages dans les coins des feuilles, perdu entre les lignes

Je remarque aussi un mots sur le coin d'une feuille vierge, a moitié effacé "à remettre au docteur ****** **** ** **ppel à la société"

Donc maintenant nous voilà dans une histoire que j'aimais je n'aurais vécu, cloîtré sur mon canapé, mais en y repensant, tous les événements sont monté dans un unique but, mais je suis pas encore sur de moi pour affirmer mon hypothèse

Je sors de la salle puis fais un rapide hologramme en 3d du plan du bâtiment, avec notre localisation

L'heure passe aussi vite que la traversée des nombreux couloir du bâtiment, aussi varié soit il, donc chaque recoins recèle de mystères, dont un qui laisse perplexe Étan, pourquoi lui et pas un autre, en y repensant ça lui fend l'esprit, il y avait des milliards de possibilités, alors pourquoi lui.

Une fois arrivé dans une salle vide et noir, un écran géant descend lentement du plafond, pour venir s'arrêté a quelques centimètres du sol, il s'allume avec un flash d'une telle intensité que tous le monde fut ébloui

(Elisa) "bon je vais devoir vous faire passé un test, comment dire mortel, vous devez juste sortir, pas difficile, mais vous avez trois minutes, sinon un déclencheur vas faire exploser les bombes et vous tués tous, il sont conçus de sorte à ce qu'on ne puisse les désamorcer ni les piraté, bonne chance"

L'écran s'éteint et monte dans le plafond, des bruit de rouage et mécanisme sont entendus, puis plus rien

(Étan) "ça sent pas bon, il faut sortir"

La salle s'allume et en même temps un compte a rebours est lancé

-3 minute avant explosion-

La salle grise était vide, des cadres en bois sur les murs, dont des couteaux planté dedans, un levier sur un côté de la pièce, et un coffre dans une boite en verre, entouré de laser de sécurité, la porte étais en hauteur, je pouvais y accéder, ainsi que aries, mais les autres non, je dois vite réfléchir

Je tire le levier, les laser se sont arrêtés, et la cloche de verre se lève, Astragot prend le coffre mais active un fusil qui lui explose la tête, puis se relève, tandis que Étan et jeff, se tordait de douleur, le coffret ouvert, contenait un pistolet type 44. Magnum, et une balle, avec un mots

-pour en finir de la vie, une assurance suicide-

Il y avais ce trou dans le mur, intrigué je met mon oeil et vois une cible a l'autre bout, et une caméra, je prends le pistolet et me dématérialise pour me rematérialisé de l'autre côté, puis tire sur la cible et revient

Une trappe ses ouverte et laisse apercevoir un chiffre "5"

-2 minute avant explosion-

(Étan) "merde, je sors je le bute à cette salope"

Étan fais sortir un lance missile de derrière son dos, et vient se posé sur son épaule, un verre rouge sur son oeil, vise et tire sur la porte, elle explose et tombe par terre, les morceaux a terre sert à aries, qui met les planche en échelle, puis tire des clous sur les planche

Ont arrive devant une porte, grande, en vieux bois, dorures et les poignées argenté contraste bien avec le marron de la porte

J'ouvre, et trouve assis sur son bureau, elisa, un couteau a la main, puis d'un sourire, porte son couteau entre ses dents, son regard nous pétrifie, alors elisa prend la parole

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Mon petit mot du end, j'ai glisse des références du net, seul un voyageur expérimentés (ou pas) peut les trouver

J'ai aussi fais une dedi, mais seul la personne concernée peut la voir 😉

A plus (dans le bus)