Analyse n•34

COUCOUU LES GENSSS !!!

Il est actuellement 00:49 à l'heure ou je vous écris ce.... ba cette analyse.

Je tiens tout d'abord à préciser que tout cela n'est que MON avis.

Bref, essayez de deviner ce que je vais analyser SANS tricher.

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J'AI DIT SANS TRICHER

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Bon, même si je sais que personne n'a joué le jeu, voilà le sujet de mon analyse d'aujourd'hui :

Molière.

Le seul et l'unique.

Pour commencer, voici sa petite biographie Wikipédia :

Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière, est un comédien et dramaturge français, baptisé le 15 janvier 1622 à Paris, où il est mort le 17 février 1673.

Première question que je me pose en voyant ça :

D'OÙ LE PRÉNOM « JEAN BAPTISTE » EST DEVENU « MOLIÈRE » ???

Nan mais à un moment on se pose VRAIMENT la question.

Bref, voici ses œuvres les plus connus :

-Le médecin volant

-L'amour médecin

-Les fourberies de Scapin

-Le malade imaginaire

-L'avare

Ensuite, je pense que je vais directement donner mon avis avant de commencer l'analyse :

POUR MOI C'EST LA PIRE TORTURE DU MONDE QUI EXISTE D'ÊTRE OBLIGÉE DE LIRE ÇA.

Voilà c'était flash débat.

Alors, pour commencer, le tout premier livre de Molière que j'ai lu est le médecin volant, je n'ai absolument RIEN compris à l'histoire jusqu'à ce que je regarde la pièce de théâtre.

Je pense que je vais prendre quelques extraits du livre pour l'analyser.

Les raisons pour lesquels je n'ai pas apprécié ( à part le fait qu'au début je n'avais pas compris l'histoire ) :

-L'histoire est fade, il n'y a aucun sentiment.

-Ses mots sont BEAUCOUP trop soutenus, il n'y a pas eu de réécriture avec des mots plus modernes.

-Le sujet qu'il aborde est vraiment inintéressant.

Et j'en passe.

So, on va commencer par analyser les noms des personnages :

-Valère : Tu peux facilement le confondre avec « valet » ce qui changera tout le sens du livre.

-Sabine : On dira le prénom d'une sorcière en mode « Sabrina, apprenti sorcière ».

-Sganarelle : On dirait un mot allemand qui signifie escargot.

-Gorgibus : Je pense que je ne vais rien dire...

-Gros René : Alors-... Je pense que ses parents ont utilisé le correcteur automatique parce que y'a que lui qui peut proposer un prénom pareil.

-Lucile : Ça c'est mignon.

Now, on va analyser la scène I de l'acte I du Médecin Volant pour que vous puissiez mieux comprendre la raison pour laquelle je n'ai pas apprécié.

( Le texte sera en gras et mes commentaires en normales ( ou normaux ? ) )

VALÈRE : Hé bien ! Sabine, quel conseil me donneras-tu ? De- hein ? Frère, quel conseil ?

SABINE : Vraiment, il y a bien des nouvelles. Mon oncle veut résolument que ma cousine épouse Villebrequin, Ça commence bien... et les affaires sont tellement avancées que je crois qu'ils eussent été mariés dès aujourd'hui, si vous n'étiez aimé Hein ? Le rapport ? ; mais comme ma cousine m'a confié le secret de l'amour qu'elle vous porte, et que nous nous sommes vues à l'extrémité par l'avarice Ça veut dire quoi ? de mon vilain oncle, nous nous sommes avisées d'une bonne invention pour différer le mariage. C'est que ma cousine, dès l'heure que je vous parle, contrefait J'ai pensé à « contre façon » la malade ; et le bon vieillard, qui est assez crédule, m'envoie quérir Quérir ? un médecin. Si vous en pouviez envoyer quelqu'un qui fût de vos bons amis, et qui fût de notre intelligence, il conseillerait à la malade de prendre l'air à la campagne. Le bonhomme ne manquera pas de faire loger ma cousine à ce pavillon qui est au bout de notre jardin, et par ce moyen vous pourriez l'entretenir à l'insu de notre vieillard, l'épouser, et le laisser pester tout son soûl avec Villebrequin.

On en est à la deuxième réplique et y'a déjà au moins cinq mots dont je ne connais pas le sens, et je sais pas si vous vous en rendez compte, mais faut une concentration de malade pour comprendre sans devoir relire le texte 7 fois.

VALÈRE : Mais le moyen de trouver sitôt un médecin à ma poste Attends, en mode ils vont t'envoyer le médecin par La Poste ? , et qui voulût tant hasarder pour mon service ? Je te le dis franchement, je n'en connais pas un.

SABINE : Je songe une chose : si vous faisiez habiller votre valet en médecin ? Il n'y a rien de si facile à duper que le bonhomme.

VALÈRE : C'est un lourdaud qui gâtera tout ; mais il faut s'en servir faute d'autre. Expression derrière fois utiliser avant la naissance de Molière. Adieu, je le vais chercher. Où diable trouver ce maroufle J'allais lire pantoufle à présent ? Mais le voici tout à propos. Hein ?

Y'a rien qui va, déjà, qui s'appelle « Villebrequin » ? C'est son prénom ou son nom de famille ?

Ensuite, il y a tellement de mots que je suis capable de confondre avec un autre.

Exemple : Au lieu de lire « maroufle », j'allais lire « pantoufle ».

Ensuite, ça va BEAUCOUP trop vite, à peine tu comprends le pavé qu'il y en a un autre qui suit.

Bref, en conclusion, il n'y a rien qui me plait.

Juste par plaisir, je vais aussi analyser la scène II.

SABINE : Ah ! Mon pauvre Sganarelle, que j'ai de joie de te voir ! J'ai besoin de toi dans une affaire de conséquence ; mais, comme que je ne sais pas ce que tu sais faire... Désolée mais elle a l'air tellement hypocrite.

SGANARELLE : Ce que je sais faire, Monsieur ? Employez-moi seulement en vos affaires de conséquence, en quelque chose d'importance : par exemple, envoyez-moi voir quelle heure il est à une horloge, voir combien le beurre vaut au marché, abreuver un cheval ; c'est alors que vous connaîtrez ce que je sais faire. Sans ma prof de français, j'aurais jamais rien compris à cette réplique.

Pour ceux qui sont perdus, elle demande à Sganarelle ce qu'il sait faire, il lui il lui répond qu'il fait des choses importantes, comme aller voir l'heure sur une horloge ou combien coûte le beurre au marché.

VALÈRE : Ce n'est pas cela : c'est qu'il faut que tu contrefasses le médecin. Je sens Sganarelle il va faire un faux médecin en carton.

SGANARELLE : Moi, médecin, Monsieur ! Je suis prêt à faire tout ce qu'il vous plaira ; mais pour faire le médecin, je suis assez votre serviteur pour n'en rien faire du tout ; et par quel bout m'y prendre, bon Dieu ? Ma foi ! Monsieur, vous vous moquez de moi.

VALÈRE : Si tu veux entreprendre cela, va, je te donnerai dix pistoles. Avant que ma prof m'explique, je croyais que pistoles = pistolets.

SGANARELLE : Ah ! Pour dix pistoles, je ne dis pas que je ne sois médecin ; car, voyez-vous bien, Monsieur ? Je n'ai pas l'esprit tant, tant subtil, pour vous dire la vérité ; mais, quand je serai médecin, où irai-je ? Au payx des merveilles.

VALÈRE : Chez le bonhomme de neige Gorgibus, voir sa fille, qui est malade ; mais tu es un lourdaud qui, au lieu de bien faire, pourrais bien... aller chez le voisin pour lui demander si il aime manger du sable.

SGANARELLE : Hé ! Mon Dieu, Monsieur, ne soyez point en peine ; je vous réponds que je ferai aussi bien mourir une personne qu'aucun médecin qui soit dans la ville. On dit un proverbe, d'ordinaire : Après la mort le médecin ; mais vous verrez que, si je m'en mêle, on dira : Après le médecin, gare la mort ! Mais néanmoins, quand je songe, cela est bien difficile de faire le médecin ; et si je ne fais rien qui vaille... ?

VALÈRE : Il n'y a rien de si facile en cette rencontre : Gorgibus est un homme simple, grossier, qui se laissera étourdir de ton discours, pourvu que tu parles d'Hippocrate et de Galien, et que tu sois un peu effronté.

SGANARELLE : C'est-à-dire qu'il lui faudra parler philosophie, mathématique. Laissez-moi faire ; s'il est un homme facile, comme vous le dites, je vous réponds de tout ; venez seulement me faire avoir un habit de médecin, et m'instruire de ce qu'il faut faire, et me donner mes licences, qui sont les dix pistoles promises.

Les personnages ils n'ont AUCUNE émotion ça me soule.

Quand on écrit un livre, on doit y mettre TOUTE son âme.

Même dans mes rêves il y a plus d'émotions.

Brefff.

Je me suis aussi rappelé qu'en français, on travaille sur les fourberies de Scapin, je ne vais pas analyser le texte car j'ai la flemme de devoir déchiffrer tous ces mots ( même les hiéroglyphes sont plus simples à lire à ce niveau là ), mais on va uniquement analyser le nom des personnages.

-Argante : En soit, ça pourrait faire stylax, mais... au XIIème siècle.

-Géronte : ...Ça me fait penser à « gérondif », vous voyez l'un des temps de conjugaison ?

-Octave : Ouais, bof.

-Léandre : Ça peut passer.

-Hyacinte : Non. Je refuse, tu penses direct à eux quand tu lis ce prénom :

-Scapin : « Escarpins »

-Silvestre : Non. Ce prénom je ne peux pas, PERSONNE ne va se dire « oui alors je vais appeler mon enfant Silvestre ».

-Nérine : En soit, c'est pas moche, mais c'est pas beau, c'est un entre deux.

-Carle : Euh...oui, enfin, ça passe.

Et, bien évidemment, j'ai gardé le meilleur pour la fin :

ZERBINETTE

La prochaine fois que vous vous plaindrez de votre prénom, pensez à la pauvre personne qui a du s'appeler comme ça.

Bref, c'est la fin de ce chapitre, je me suis VRAIMENT bien amusée, le prochain chapitre est censé être plutôt bien vu que ça va concerner les vacances.

J'espère que ça vous a plu <3

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