Chapitre 1...
Cela fait trois minutes que je suis là, sous l'orage, pourtant tu sais que j'ai toujours détesté ça, être mouillée, Loïk. À chaque fois tu me prenais dans tes bras et tu courais pour nous mettre à l'abris, je riais, et toi tu me souriais. Ensuite tu te moquais de mes cheveux qui me collait à la peau comme à chaque fois, je te frappais gentiment la plupart du temps et tu commençais à me chatouiller pour me faire rire ce qui marchait.
Je me suis jamais imaginé sans toi, tu étais comme mon grand frère. Depuis le plus loin que je me souvienne tu as toujours été là pour moi et moi de même. Nous habitions à côté, la plupart du temps je « fuguais » chez toi et bien sûr tes parents m'accueillaient comme si j'étais leur fille. Je me rappelle aussi de ton chien, Zéro qui me sautait dessus quand il me voyait et toi derrière qui souriait.
Ton sourire c'était ce que j'aimais le plus chez toi. Il était comme une baume sur mon cœur blessé. Je ne te voyait jamais sans celui-ci encré sur ton visage, il me rappellerait plein de souvenir, plein de bon moment. Tu n'étais jamais fâché, jamais triste, jamais ennuyer ou sinon tu le cachais bien, en fait tu le cachais bien. Je m'en rappelle, cela fera 2 ans dans 20 minutes, on s'était chicané à cause d'une fille, oui d'une fille.
À oui aussi je suis lesbienne et il y a une seule personne qui le sais et cette personne a disparu, ou devrais-je dire qu'elle est parti. Donc on s'était chicaner à propos d'une fille, mon amie, sa blonde. Il sortait avec elle, mais ne l'aimait pas vraiment. C'était ça son seul défaut, il sortait avec des filles par pitié. C'est sûr beau comme il était des filles il en avait plein au pieds, mais je savais pas pourquoi il ne les aimait pas, maintenant je le sais. Vous vous demandez sûrement pourquoi il a sortie avec mon amie tandis qu'il ne l'aimait pas.
Je lui avais demandé, elle l'aimait et je n'en pouvais plus de la voir se mutiler déjà alors je l'ai supplier. Il a capitulé, mais pas sans me regarder avec des yeux noirs. Donc il a sortit avec ma mon amie, mais à un moment il n'en pouvait plus et c'est la que cette putain de chicane a commencé.
Il l'aimait pas et donc il l'avait quitté. J'étais entré dans une rage car il n'avais pas tenu sa promesse. Maudite promesse! Donc nous nous étions engueuler et ça avais finit car il était partit. J'avais été encore plus énervé et j'étais même aller le voir chez lui.
Chez lui nous nous étions aussi engueuler à en plus finir. Je me rappelle encore de ses dernières paroles et je m'en rappellerai toujours:
- Pourquoi tu sors pas avec elle, elle a tout pour plaire, vous allez super bien ensemble! Avais-je crié.
- Car je ne l'aime pas! M'avait-il répondu sur le même ton.
- Mais tu n'aime personne! Merde! Avais-je crier encore plus fâché.
- Oui j'aime quelqu'un! Cria-t'il toujours fâcher mais aussi un peu triste.
J'aurais du m'arrête là, les rares fois où il était triste il avait de bonne raison de l'être. Malheureusement ma colère était trop forte.
- Mais pourquoi tu me l'a pas dit! Avais-je crié blesser car nous nous cachions rien.
- Parce que tu n'aurais pas voulue le savoir! Avait-il crié.
J'aurais du comprendre, j'aurais dû, mais je ne l'ai pas compris. Il est donc partit en laissant seule à l'entrée. Je suis moi aussi rentrer chez moi, toujours aussi fâcher.
Le lendemain nous nous évitions. L'après lendemain aussi. Nous nous évitions tout le temps, moi trop fâcher, lui... sûrement trop triste et fâcher.
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