Aiangāru
La fille de fer :
/!\ ATTENTION cette légende urbaine n'existe pas... Elle a été inventée par... MOI ! Elle est interdite aux âmes sensible et aux enfants qui n'ont pas plus de 12 ans ! Je vous conseille de ne pas lire cette histoire la nuit seule dans votre chambre... Sinon elle viendra sûrement... Faites attention /!\ sur ce... Bonne lecture !😈
Je vais vous raconter la terrible histoire de Aiangāru ou la fille de fer...
C'était le 26 mars 1974, 23 h 34 dans la préfecture de Toyama au Japon. Une jeune fille nommée Aïko se promenais dans les couloirs de sa nouvelle maison pour la dixième fois pour être sûr qu'elle n'est rien oublier de ranger. Le bois craquait sous ses pieds, les portes grinçait et le froid glacial gelait ses mains. Elle n'aimait pas cette maison bien qu'elle appartenait à son arrière-grand-père... Elle hésitait à déménager dans un immeuble moins isolé, mais si elle faisait ça ses parents ainsi que ses grands-parents la tuerais. Elle décida de se mettre dans son lit pour se reposer de son déménagement difficile. En se couchant elle regarda ses mains et vis une petite coupure. La fille pensa que c'était à cause de la table en verre qu'elle avait déplacer. Elle ferma ses yeux... Mais avant de s'endormir, elle entendit un bruit suspect. De quelqu'un ou quelque chose se déplaçant à quatre pattes puis grattant à sa porte.
«呪われた猫! 私は彼のために眠れません!»
« Maudis chat! Il ne va jamais me laisser dormir ! »
Aïko se dirigea vert sa porte, mais à ce moment un miaulement retentis derrière elle. Son chat était assis sur une petite chaise ronronnant. Le cœur de la fille manqua un battement et le bruit de la "chose" se déplaçant à quatre pattes devint plus fort ! On aurait dit qu'une personne courait... Puis le bruit d'une barre de fer traînant par terre s'approcha d'elle et s'arrêta devant sa chambre... La fille apeurée sorti rapidement des clés de sa poche et s'enferma dans sa chambre. Elle attendit 5 minutes dans le noir quand soudain la "chose" donna un coup fort sur la porte ce qui fit tomber des petits morceaux de bois. Puis une énorme lame en fer traversa la porte et fit tomber la serrure. La fille paniqué se pencha sur le rebord de la fenêtre elle se tourna et vis sa porte s'ouvrir lentement et elle vis une fille aux cheveux noirs sans yeux mesurant à peut près 2,5 mètres et avait à la place des mains, des énorme lames de 1 mètre. Elle sauta par sa fenêtre et s'écroula par terre. Elle ignora la douleur et courut vers sa voiture et réussi à partir saine et sauve. En roulant vers la ville, quelque chose la dérangeait... Comme si elle avait oublié de prendre un objet important... Quand soudain, quelque chose tomba sur son pare-brise. La jeune fille freina d'un seul coup et regarda la scène terrifiée. Son chat était atterri sur sa voiture... Il n'avait plus d'oreilles ni de yeux et était égorgé. Aïko vomit et pleura de toutes ses forces. Quand elle entendit de nouveau ces bruits bizarres. Elle ne voulait plus fuir. La fille sortie de la voiture énervée et revis la même fille. Elle continua à pleurer.
«汚いモンスターを一人にして!»
« Laisse moi tranquille, sale monstre !»
La fille fit traîner ses lames sur le sol jusqu'à arriver devant Aïko.
«わたし わ... わたし わ こわくない!»
« Je... Je n'ai pas peur ! »
Elle sourit puis d'un coup sec trancha la tête de la jeune fille.
26 mars 1994 cimetières d'Istuk 15 h 16
La mère de la jeune Aïko posa une fleur sur la tombe de sa fille. Ses larmes lui brûlaient les yeux. Elle les essuya et puis...
«痛いです! なに? えっ? カット?!»
« Aïe ! Qu'est-ce que c'est ? Quoi ? Une coupure ?»
...
«あなた...です... 次»
«
Tu... Est... La... PROCHAINE »
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