[La conscience se dilue, devient flot flou, pétillements et briques. Parfois, elle perce la surface et un café est préparé, puis bu, un plat tout prêt réchauffé et avalé. Le ciel glisse en stop motion saccadée. Une grimace face au vibreur dans l'angle mort qui fissure le mur élastique. Les doigts craquent et les poignets grincent. Le soir est marqué par la lampe, continuité de l'astre. Si la nuit est disparition de la conscience, le jour porte en lui sa fragmentation, son égrainement poussiéreux : un souffle et tout est emporté.]
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