Chapitre 19 : Désir
NOTE IMPORTANTE !
Est ce que vous souhaitez avoir un point de vue de Scorpius ou Albus ?
Merci de me répondre et bonne lecture :)
H E R M I O N E
Je descends au salon pour essayer de me plonger dans un livre, mais lorsque j'arrive, je découvre Albus, Scorpius et Hugo assis sur les canapés. Bien évidemment, Albus baisse la tête tandis que Scorpius me dévisage.
— Bonjour les garçons ! Lancé-Je gaiement.
Ils me répondent en choeur de manière assez bizarre et je m'assieds.
— Vous voulez de la citronnade ? Je peux en faire.
— Oh oui ! S'exclame Hugo en premier.
Les deux plus grands ne disent rien et sourient à Hugo. Je me lève pour aller en direction de la cuisine. Lorsque je commence à préparer les ingrédients, je sens une présence derrière moi et à en juger de l'odeur qu'il émane, c'est Scorpius.
Je le sais parce que ça sent la menthe chez les Malefoy, donc à chaque fois qu'ils passent devant vous, vous reniflez de la menthe.
— Comment tu vas Scorpius ?
Il ne me répond pas, mais je l'entends soupirer.
— Est-ce que vous comptez lui dire ?
— Non.
Un silence se fait et je me retourne.
— Ni à lui, ni à Harry. Ce n'est pas à moi de le faire. C'est ce que je voulais te dire la dernière fois. Écoute, tu sais, tu es un garçon intelligent et dont le père est très fier, peu importe que tu aimes quelqu'un du même sexe, tu restes toi. Dis-je en encadrant sa tête de mes mains.
Je souris pleinement en le regardant, réellement, le fils de Malefoy est vraiment beau. Il ne faut pas nier qu'il le soit tout autant que son père.
— Tu seras toujours la bienvenue chez moi en cas de problème. Je suis contente si tu as trouvé en Albus un être fiable et sincère. Je sais que vous n'êtes pas à l'aise à Poudlard, et pourtant vous vous êtes toujours entraidé.
Sans que je ne m'y attende, il me prend dans ses bras désespérément. Je referme mes bras sur lui pour lui donner l'affection que je peux. Je pense que depuis la mort de sa mère, il s'est légèrement renfermé sur lui-même, malgré tout l'amour qu'il a pour son père et lui de même, il a besoin de cette chaleur maternelle que j'essaye de lui donner en ce moment.
— Merci. Je... si je le dis à mon père et que ça se passe mal, je peux venir ici donc ?
— Bien sûr, je t'accueillerai volontiers !
— Et quand est-ce que... vous allez vous mettre avec mon père ?
Je me recule deux secondes pour le scruter. Son visage est sérieux, signe que j'ai bien entendu. Je fronce les sourcils en mettant mes mains sur les hanches.
— Je suis marié à Ron voyons, qu'est-ce que tu racontes.
— Je ne suis pas aveugle, je sais qu'il vous plaît et que vous lui plaisez. Et puis, j'ai peut-être quinze ans mais la tension sexuelle qu'il y a entre vous est juste énorme.
Oh my shit
Je deviens rouge tomate instantanément, ne m'attendant pas du tout à avoir une révélation de ce genre. Les enfants savent tout, du moins, ils finissent par le découvrir.
— Peut-être, mais j'aime mon mari et je suis marié à lui.
Il pouffe légèrement.
— Ça ne sert à rien de se voiler la face, un jour ou l'autre ça finira par ressortir pleinement.
Son air timide et à la fois provocateur me rend sceptique, voyant deux facettes de ce petit. Mais il repart en direction du salon et j'amène les citronnades fraîches. À vrai dire, je sens mon estomac nouer et la raison est : Drago.
En y pensant, Drago est un prénom si... sensuel. J'imagine son prénom dit de cette façon avant de secouer la tête et de faire la même chose avec Ron mais : il n'y a pas d'attraction. Plus j'y pense, et moins je constate que j'ai encore de l'attirance physique envers mon mari.
Mais je ne bousillerais pas mon couple uniquement pour ce cher Malefoy. Que croyait-il ? Que j'allais céder et finir au plus bas pour ses beaux yeux gris acier ? Non. Les femmes de pouvoir tel que moi, ont justement tout sous contrôle et elle ne se font pas avoir.
**
C'est seulement à partir de la fin du dîner que je repense au rendez-vous qui m'attend. Honnêtement, je sais que je vais payer cher mais je ne sais pas comment, j'ai beau chercher, je ne vois pas. Même sa menace de « viol » ne m'a pas fait peur parce que je sais qu'elle n'est pas réelle. Je soupire, je vais y aller en avance, plus vite cela sera fait, moins j'éveillerais les soupçons de Ron.
Je me regarde une dernière fois dans le miroir. À vrai dire, j'hésite à changer de tenue, simplement parce que je suis dans ma combinaison blanche avec un décolleté en V, et que mon rouge à lèvres matte met en valeurs mes belles lèvres. Après quelques hésitations, je me dis que je n'en ai rien à faire. Je descends pour chercher Ron, je le trouve dans le salon avec les enfants, il raconte les contes de Beedle le Barde, le livre que m'avait légué Albus Dumbledore.
Mon sac en main, remplit de quelque dossier, je le scrute.
— J'ai encore une urgence... je fais au plus vite.
— Très bien.
Son ton froid m'indique qu'il est toujours en colère.
— Viens deux minutes dehors Ron, il faut que l'on parle.
— Cela attendra demain.
— Ronald Bilius Weasley ! Hurlé-Je
Je l'entends soupirer et il finit par sortir avec moi, la mine énerver.
— Qu'est-ce qu'il y a encore ?
— Tu peux arrêter de faire l'enfant !
Je l'entends ricaner dans l'ombre. La nuit est tombé, seule la petite lampe sur la porte nous éclaire.
— Oui je ne suis qu'un enfant après tout, immature, toujours dans l'ombre de la grande Hermione Granger et du grand Harry Potter ! Je ne suis rien contrairement à vous, appart le gigolo de service !
Je secoue violemment la tête,
— Arrête de croire à toutes ses sottises, tu sais parfaitement qu'elles sont fausses ! Tu as faits tes preuves auprès du ministère en tant qu'Auror, et tu exécutes parfaitement bien ton travail Ron ! Comme à peu près tout le monde !
Il grogne violemment à son tour et faits de grands gestes avec ses mains pâles.
— Tu ne comprends rien ! Malefoy méritait que quelqu'un le remette à sa place, il me toise depuis notre première année à Poudlard, ce n'est qu'un... quant à vous avec Harry, arrête de mentir ! Vous deux étiez sur la première page, je n'étais qu'en arrière-plan ! Et tu sais pourquoi? Parce que bien évidemment, tu étais la fille très intelligente susceptible d'être la petite amie du héros ! Et d'ailleurs qui me dit que tu n'as pas coucher avec lui !
Complètement furieux, le ton a largement augmenté dans les dernières minutes. Je fronce les sourcils complètement décontenancer.
— Tu insinues que je serais sorti avec Harry, que j'aurais couché avec lui sans t'en parler ? Tu me prends pour qui !
— Justement je ne sais pas ! Si ça se trouve tu as coucher avec une dizaine de mec, ce sont toujours les plus saintes nitouche qui au final mentent sur ça !
Prenant les choses au premier degré, j'entends clairement de sa bouche que je ne suis qu'une fille à homme, qui couche avec. Une putain ?
— Pardon ? Hurlé-je furax
Quelques mots me reviennent vivement en tête.
— Tu veux qu'on parle de toi Ron ? Contrairement à moi, tu m'as complètement menti !
Le dit à un mouvement de recul avant de reprendre un air furieux.
— De quoi tu me parles !
— Je te parle de Lavandes Brown et Penny Wooper ! Eh oui, je sais que tu as coucher avec elles avant moi, et c'est bien pour ça que je dis que tu m'as menti ! Hurlé-Je en étant à bout. Maintenant, je m'en vais, j'en ai assez entendu.
Complètement tendu et énervé, j'arrive chez le blond tout de même légèrement en avance. Par ailleurs, je l'aperçois devant sa résidence avec un autre homme, les deux ont l'air de parler sérieusement et ne m'ont pas vue. J'entendre doucement, les deux étant sur le côté, ils ne m'ont toujours pas vue.
— Je te préviens, nous n'avons plus beaucoup de temps, magnes-toi le cul pour avoir cette Hermione dans la poche.
— Pas de-
Je me racle la gorge, les deux hommes se tournent vers moi.
— Hermione ? Tu devais venir vers vingt deux heures ! S'exclame le blond énervé.
— J'ai pris de l'avance, je viens tout juste d'arriver. Bonjour, vous êtes ? Dis-je à l'attention de l'autre homme.
— Je ne suis personne. Déclare-t-il d'un ton sec.
Il repart rapidement en un « pop » sonore. Malefoy quant à lui, me fait entrer dans sa demeure.
— Tu n'étais pas censé le voir.
— Ce n'est pas grave, je n'ai presque pas vu son visage avec la nuit. Vous parliez de chose sérieuse ?
Bloquant instantanément mon esprit, j'essaye de ne pas prendre les mauvais mots, parce que j'ai en effet entendu la dernière phrase et ça ne me réjouis guère.
— Rien qui ne te concerne.
Je faillis répliquer avec violence, mais je me retiens vite. Ses yeux me regardent sans aucune pudeur, allant de mon visage jusqu'à mes pieds, et son sourire en coin me prouve que Scorpius avait raison : je lui plais.
Je soupire pour attirer son attention,
— Si tu m'as amené ici, c'est pour quoi ?
— Te faire payer. Tu vas me nommer sous ministre de la magie.
Je faillis m'étouffer avec ma propre salive.
— Hors de question, je ne ferais jamais ça.
— Oh mais si voyons, docile que tu es, sans oublier que demain tu pourrais être célibataire et renier par tes enfants.
Les poings serrés, je lui lance un regard noir. Mes bonnes résolutions de femme de pouvoir viennent de tomber à l'eau. Déjà furax par Ron, je redouble de tension.
Non, je ne vais pas me laisser faire.
— Bien alors je révélerais que tu fais affaire avec Galieno Petro, je suis persuadé que le ministère adorera entendre cela, et vous finirez tous deux à Azkaban pour de bon. Sans oublier qu'apparemment je joue un rôle important dans ta mission, tu dois m'avoir dans ta poche ? Que te veux-t-il ce type ? C'est à cause de lui que tu as sombré dans la criminalité pas vrai ? Ce n'est pas étonnant quand on sait tout ce qu'il a fait, il pourrait être Voldemort presque. Mais bon, apparemment tu n'es pas le seul à pouvoir faire du chantage, pas vrai ? Regarde ça, je connais l'homme à qui tu parlais, ce qu'il a fait et surtout je comprends ta soudaine approche de moi, ta façon de me séduire... de m'exciter comme une lionne. Oups oui, je t'ai omis de dire que j'avais entendu la fin et surtout je t'ai menti. Tu veux me faire payer pour ton entreprise ? Vas-y, mais pense aux répercussions.
Son expression habituellement si impassible change du tout au tout. Sa colère est noire à en croire ses yeux gris devenus très foncés en un instant tout cela par ma faute.
— Tout ça, tous ces rapprochements n'étaient qu'obligatoire ! Ils étaient par intérêt espèce de...
Je commence à crier de nouveau mais pas sur la même personne. En effet, je suis blessé d'avoir été utilisé de la sorte, mais j'essaye de me reprendre et surtout de reprendre le pouvoir.
— Va te faire foutre abruti ! À me sermonner pour toutes mes conneries, sache que tu n'es pas mieux ! D'ailleurs où est ton fils ? Il faudrait qu'il sache comment tu es réellement !
Furax à son tour, il s'approche de moi à grands pas et me projette sur le mur violemment, le coup que je reçois dans le dos me fait cambrer de douleur, mais je ne perds pas la face pour autant. Ses deux mains se posent de part et autres de ma tête.
— Il est chez Albus.
Sa respiration est saccadée et je sais qu'il fait tout pour se contrôler mais je le sens flancher. Je me tends de nouveau, à bout de devoir faire face à deux confrontations.
— Je déteste perdre pied. Avoue-t-il du bout des lèvres
— Comme moi.
Au lieu de me faire mal, je le vois baisser ses barrières.
— Je n'ai jamais voulu faire mal à qui que ce soit, je n'étais pas comme ça avant. Mais... tout a changé... depuis... ça. Je sais que les gens pensent que je suis superficiel, et je fais tout pour, c'est ma protection. Je ne peux rien dire ou sinon je me fais buter dans les prochains jours compris ?
Il se retourne pour passer sa main dans les cheveux. Il sert deux verres de whisky et m'en passe un avant de boire d'un coup sec le sien. Je fais de même avant de reposer le mien, trop chambouler par tant de révélation de la part du blond. Cependant, il se tourne vers moi. Les sourcils toujours froncés, je ne sais pas quoi dire mais je suis toujours autant énervé.
— Je suis peut-être censé t'avoir dans la poche pour x raisons, ça ne change rien au fait de la tension qu'il y a entre nous, de ce désir et de cette attraction que tu détestes tant parce que tu as... Weasm- Ron.
La bouche demi-ouverte, je plante mes yeux dans les siens, qui eux, dérivent vers le bas pour revenir vers mes yeux. Je peux sentir d'ici l'odeur de son haleine, un mélange entre le whisky et la menthe. Ses barrières sont baisser et les miennes l'ont toujours été.
— Drago... tu penses vraiment ce que tu es en train de dire ? Parce que je n'y crois pas.
— Tu crois que j'aurais osé baissé ma protection, mettre ma fierté de côté, juste pour mentir pour ta petite gueule dorée ! S'énerve-t-il
Ses yeux changent une nouvelle fois du tout au tout et sur le coup de l'envie, du désir, je m'en fiche de savoir si ce n'est qu'un coup d'un soir, s'il m'utilise. Mes lèvres se posent brutalement sur les siennes pour être au final doux, nos lèvres bougent ensemble, se frôlent, se touchent. Ses mains se posent directement sur mon fessier tandis que les miennes vont dans sa chevelure. Sa langue s'immisce doucement pour venir caresser la mienne et nos salives finissent par se toucher, se mélanger. Nos souffles s'entrechoquent au fur et à mesure que nous bougeons nos lèvres, que nous prenons notre respiration. Sa bouche descend sur ma mâchoire doucement pour atterrir sur mon cou me faisant basculer la tête vers l'arrière.
— Tu es tendue. Chuchote-t-il alors qu'il mordille le lobe de mon oreille.
— Confrontation avec Ron et toi, dis-je en quatrième vitesse en lâchant un soupire d'aise sans le contrôler.
Je le sens suçoter ma peau me faisant lâcher un gémissement léger. Ses mains touchent mon corps à travers le bout de tissu qui m'habille, passant par mes seins jusqu'à mes fesses et pour finir mes cuisses. Nos lèvres finissent par se retrouver, souhaitant se toucher encore, sa langue divague avec la mienne tandis que je touche ses cheveux mainte et mainte fois.
— Ce n'est qu'un con, laisse-le. Murmure-t-il.
Je n'ai pas le temps de répondre qu'il s'accapare de nouveau de ma bouche. Je me sens porter légèrement, m'incitant à enrouler mes jambes autour de son corps muscler. Mes lèvres restent là, à toucher les siennes, et puis sous l'envie, ma main passe sur son corps, touchant ses abdos et ses pectoraux formés. Elles finissent par passer en dessous et le contact avec sa peau pâle me fait frissonner instantanément. Sentant à son tour ses mains toucher mon dos nu, je lâche un gémissement léger alors qu'un nouveau frisson me prends.
Je sens que nous bougeons et c'est ainsi que nous nous retrouvons à l'étage, dans sa chambre, contre un mur de nouveau.
Sa langue cherche de nouveau la mienne tandis que mes mains commencent à toucher son pantalon, osant même toucher son entrejambe ce qui le fait réagir par un gémissement. Ses lèvres trouvent mon cou pour à nouveau le suçoter et ses mains se mettent à toucher ma poitrine me faisant soupirer d'aise. Ne tenant plus, voulant toucher sa peau avec la mienne, j'enlève son t-shirt et continue de l'embrasser en le touchant doucement. Je sens ses larges mains froides descendre ma fermeture éclair lentement en sentant au passage ses mains toucher mon dos. Ma combinaison finit par terre, me laissant en sous-vêtement. Il me retient de ses deux mains pendant que je descends son pantalon.
Il me jette sur le lit et vient tel un prédateur trouvant sa proie. Sa peau pâle touche enfin la mienne me créant un frisson dans tout le corps. Sa bouche continue son parcours en léchant légèrement mon cou, puis il descend en passant ses mains doucement partout.
— Est-ce que tu aimes mon toucher ? Me chuchote-t-il
— Oui, dis-je dans un souffle.
Ses larges mains dégrafent mon soutien-gorge en dentelle noire sexy, j'aperçois son sourire en coin et ses yeux dilatés. Il descend doucement en caressant mes cuisses mon tanga, me faisant gigoter un peu. Mise à nu devant lui, je n'ai même pas peur de ce qu'il peut penser de mon corps. Ses lèvres reviennent à la charge, trouvée mes lèvres, mes tétons maintenant durent, touchent sa peau froide me donnant la chair de poule. Sa langue parcourt mon corps en titillant d'avantages mes tétons me faisant cambrer de désir, ses yeux gris foncé me regardent avec excitation et surtout avec désir. Je me mord la lèvre en voyant autant de beauté devant mes yeux. Ses mains passent et repassent sur mes zones érogènes, sa langue touche mes cuisses me faisant cambrer de plaisir. Je sens ses mains passer sous moi pour me retourner avant qu'il ne vienne sur moi, m'embrassant le dos, passant le bout de ses doigts sur ma peau, empoignant mes fesses brutalement.
Il me retourne de nouveau pour venir m'embrasser un peu plus sauvagement m'embrasant totalement, sa langue trouvant toujours la mienne.
Les bouts de ses fins doigts parcours à nouveau mon corps pour finir près de mon intimité. Mon corps est déjà totalement embrasé, et je ne doute même pas que mon intimité soit littéralement trempée avec une torture pareille. Il caresse de haut en bas doucement me faisant de nouveau gigoter, mon corps est en pleine extase à son toucher.
— Est-ce qu'il te faisait ça ? Dit-il doucement.
— Non, dis-je une nouvelle fois dans un soupire d'aise.
Je sens son doigt entrer en moi, divaguer dans mon intimité doucement, me faisant totalement disjoncter. Je faillis sursauter lorsque je sens sa langue se poser sur mon intimité, accompagnant son doigt doucement, comme j'aime à vrai dire. J'attrape soudainement ses cheveux lorsque je sens mon corps se contracter et mes gémissements s'intensifier. Sa bouche revient m'embrasser tandis qu'un deuxième doigt s'immisce, titillant tous les deux mon fameux poing G.
— N'ait pas l'orgasme maintenant bébé.
Mon corps réagit à sa voix grave, à mon surnom. Ses mains empoignent mes seins, quant aux miennes, elles décident à le toucher, divaguant de ses pectoraux jusqu'à son entrejambe doucement. Je descends son boxer d'une main, empoignant son membre imposant dans l'autre. Le blond se laissa faire tout en m'embrassant, ses mains agrippant mes fesses à nouveau. Ma main fait des allers-retours sur son membre le faisant lâcher des gémissements tout en m'embrassant. Mon autre main caresse son torse et ses abdos en même temps, et nos bouches se rejoignent de nouveau, ma main passant dans ses cheveux, il se positionne sur moi. Ma peau touchant la sienne, me provoquant un immense désir, nos yeux qui se fixent mutuellement, nos pupilles dilatées par le désir, il finit par entrer en moi.
Mon corps réagit instantanément à cette entré en se cambrant, violemment ma main s'agrippe à son dos et sans le vouloir, le griffe un peu. Je lâche un profond gémissement de plaisir lorsque son membre est entièrement en moi.
— Du calme tigresse, ça serait con de m'abîmer.
Sa remarque me fait rire, mais le rire laisse place aux gémissements réguliers dus aux coups de reins fréquents. Tout prend une allure plus vive, plus sauvage, mon corps et le sien ne sont plus qu'un, nos peaux qui se touchent, nos lèvres qui bougent ensemble, nos salives qui se mélangent, nos souffles qui s'entrechoquent et son membre qui me crée le plaisir inouï. Sa bouche vient suçoter mon cou me baisant basculer la tête et ainsi, plus cambrer. Ses coups de reins puissants me décuplent le plaisir et ses larges mains empoignent mes seins brutalement me faisant grogner de plaisir. Mes mains griffonnent son dos avant de revenir à ses cheveux.
Sauvage, et j'aime ça.
Il me retourne d'une main doucement avant d'entrer de nouveau en moi, grognant en même temps que moi. Cambrer et gigotant sous le plaisir, je ne me contrôle plus. Ses mains touchent et retouchent mes fesses alors que ses coups de reins deviennent de plus en plus puissants. Je sens deux ses doigts toucher mon dos avant de passer en dessous et de trouver mon intimité et de la caresser de haut en bas accélérant mon désir. Il s'enlève et me relève sur les genoux pour m'embraser le cou tout en continuant de caresser mon clitoris mouiller. Sa bouche réussit à embrasser la mienne avant qu'il ne me remettre dans la position d'avant et de s'ancrer de nouveau en moi. Accélérant la cadence, je sens mon corps s'extasier sous ses doigts et sous son membre. Mes gémissements s'intensifient jusqu'à ce que mon corps tremble de plaisir, de désir... je ne contrôle plus mes gestes, ma main agrippe le drap, le blond intensifie son action et j'explose complètement en même temps que lui.
— Oh mon Dieu, lâché-je sans m'en rendre compte
Après quelques mouvements, le blond se retire avant de me retourner pour m'embrasser. Nos respirations saccadées s'entrechoquent, nos cœurs battent à tout rompre ensemble, nos peaux se touchent alors que nos poils sont encore hérissés. Sa langue lèche mon cou légèrement avant de m'embrasser pleine bouche sauvagement.
Faute de respiration, il pose son front sur le mien tout en posant sa main sur mon sein.
— Bordel,
— De plaisir, dis-je
Il m'embrasse nouveau,
— Je savais que tu avais besoin d'une main experte, je sais parfaitement comment remédier à tes besoins bébé.
— Je ne savais même pas que je pouvais prendre autant de plaisir...
Il se met sur le côté et me prends dans ses bras avant de me regarder dans les yeux.
— L'important c'est que je t'ai fait découvrir le sexe. Tu es... tellement... sexy comme femme que n'importe quel homme serait fou de te résister.
Je lâche un petit rire avant de le regarder sérieusement.
— Je peux rester dormir ici cette nuit ?
Son sourire en coin s'agrandit.
— Bien sûr.
——————
Hey mes poules ! Un grand pas auquel certains crieront oui enfin et d'autre nonnn. M'enfin, pour ceux qui demande, oui ils se sont protéger.
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