Chapitre20: Le cri du silence
J'ai arrêté de crié enfin plutôt je ne peux plus crié, je n'ai plus de voix. Je reste là assise en tailleur fixant quelque chose d'invisible. Dans la pièce règne un silence, rien, aucun bruits, même les éventuelles mouches qui y auraient n'osent pas volées. Quand d'un coup la porte s'ouvre, laissant apparaître une faible lumière à moitié cacher par la siloutte d'une personne que je croyais connaître.
-Bonjour Pauline, Dit Mat
Je ne lui répond pas, je ne le regard pas, toujours les yeux rivés sur le même point inexistant de la pièce. Le garçon va chercher la chaise qu'il avait balançait plus tôt durant son excès de colère, pour la replacé à la droite du lit, puis soupire
- Pauline, dit-il en cherchant le contacte avec sa main
Mon visage est fermé comme si il y avait un masque dessus, dans mon regard on peut lire le désespoir, la tristesse ainsi que la peur. Mes iris sont remplit de larmes qui menacent de tombées à tous moments.
-Pauline, soupira t-il, répond moi s'il te plait.
J'ai envie de pleuré, comment peut-il me laissais toute seule alors qu'il sait que j'en peur ! Et oui voilà je l'avoue j'ai peur de resté seul! Cette phobie est débile j'en suis consciente, mai j'y peux rien. J'ai peur que quand je suis toute seule les fantômes de mon passé viennent me rechercher.
Mat est assit sur cette vieille chaise en bois cherchant désespérément le moindre contacte avec moi.
-Pauline s'il te plait dit moi au moins comment tu vas !
- Et tu sûres de vouloir savoir comment je vais Félix !? Dis-je faiblement et sèchement, d'une voix roque et rouillé.
Le silence reprend sa place dans la pièce durant un cour instant.
-Non pas toi s'il te plait, ne m'appelle pas ainsi. Dit Mat en baissant les yeux
Sa main vient se posé sur la mienne, je frisonne au contacte celle-ci elle était chaud tendit que mon corp lui est gelé.
Toute la journée il reste là, planté sur sa chaise en me regardant me posant des questions qui resterons sans réponses. Moi fixant toujours mon point invisible. Puis exaspéré par mon silence il finira par me laissait seul.
À peine la porte refermé, j'éclate en sanglot. Toute la nuit mes pleures résonnent dans la petite chambre troublant le silence des lieux.
Il doit être mi-nuit quand un crie vient déchiré le bruit régulier de mes sanglots. Ce n'ai pas moi qui vient d'hurlé car le crie de douleur doit certainement venir d'un garçon. Je retire mes mains de mon visage, laissant apparaître mes yeux bouffis. Puis je me lève doucement du lit faisant grince au fur et à mesure les ressort de celui-ci. Un bruit de fouet et autre cri ce fait entendre. Je reste immobile, qu'es qui peut bien se passé dans la pièce à côté ? Je fini par me reprendre en main, et me rend telle un chat vers la vitre teinte qui occupé presque tous le mur de droite. Pour la première fois que je suis là, la lumière de la chambre d'à côté et allumé, me laissant une vue panoramique de l'horreur qui se déroule derrière l'épaisse vitre.
Un garçon aux cheveux blonds, aux iris bleus d'une puretés incroyables, au lèvres fines et roses pâles, il est assez musclé, et il doit être 1 voire 2 ans plus âgé que moi. Le garçon est attaché sur un chaise tourné vers moi. Un autre cri de douleur vient déchiré le silence du lieu. Félix oui car pour moi ce n'ai pas Mat qui se trouve de l'autre côté de la vitre. Donc je disais Félix venait de refrappé avec son fouet le garçon qui lâcha un nouveau cri. Puis Félix dit en regardant les autres garçons de son clan:
-Voilà se qui arrive quand on veut se faire passé pour un des nôtres !
Puis y redonne un coup. La peau du garçon est zébré dû aux plaies infligées par Félix. Les "soldats" de Mat eux regardaient la scène avec tous un sourire sadique sur leurs lèvres. Mais ils sont complètements cons !! Me hurle ma conscience et pour une fois je suis d'accord avec elle. Le garçon aux yeux bleus lève la tête et les plongent dans les miens. Il m'a vu ! Un sourire angélique mais fatigué ce dessine sur son visage.
-Pourquoi tu souris toi !? S'écrit Félix
-Je ne sais pas. Répondit le garçon amusé
-À tu veux joué.. Tomas mon poignard !
Tomas exécute les ordres de Félix. Celui-ci enfonce son couteau dans la cuisse du blondinet qui se mit à hurlé de douleur. Mat se mit à rigolé et s'apprête à renouvelé l'opération, mais sans est trop pour moi !
-Arrête !!!!! Hurlais-je tellement fort que je suis sûr que toute l'île m'a entendu.
Félix se figea sur place, le garçon attaché se mit à rire puis dit amusé:
-Voilà pourquoi j'ai souris, la belle brunette ne te fera plus jamais confiance !
À suivre...
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Bonjour toi !😘
Alors comment trouvez-vous ce chapitre 20, qui je vous l'accorde à mit un peu de temps avant de venir ?😊💞💓
Je vous remercie, vous êtes de plus en plus nombreux nombreuses à lire mon histoire et sa vous pouvez pas savoir à quelle point sa me fait sourire, alors merci merci merci !!😘😍😙💖
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