Chapitre 8
USA
Pdv de Lucia CARDO
Deux semaines aujourd'hui que je n'ai pas revue mon époux faut dire que son travail figure plus important qu'autre chose néanmoins depuis son absence j'enchaine lecture après lecture car même si je n'ai pu décodé l'accès à son bureau confidentiel j'ai au-moins eu accès à fouiner correctement dans le second bureau qui d'ailleurs est moins fréquenté par ses gardes en effet Ulron ne s'y rend souvent pas alors j'ai conclu avant même d'y pénétrer qu'il n'y avait surement rien d'important à obtenir.
Je me suis enfin énormément trompée car en dépit de tout ce que j'ai pu songé j'ai au moins pu trouver quelque chose d'important afin de continuer la procédure de notre contrat, c'est alors plus facile que ce que je croyais à présent je suis calme car il ne reste que deux choses à faire avant que sa moitié de bien m'appartienne.
La vie ne m'a pas laissé d'autres chances à part celle ci pour avoir accès au prestige alors je ne baisserai point les bras ayant atteint mes objectifs à cause d'un sentiment étranger.
Depuis ce jour où Meuro m'avait raccrocher au nez je ne l'ai plus recontacter même si je dois le faire compte tenu de toutes ces nouvelles stratégies, je me méfie de cet homme à vrai dire il est dangereux.
Enfin dans la chambre mon regard dans le miroir où j'admire ma beauté, je sens une nausée montée en moi ainsi je prends fuite dans la salle de bain je dois avouer avoir de forte nausées depuis une semaine, une forte fatigue qui me laisse des cernes malgré mon maquillage.
Une fois de retour dans la chambre je prends avec moi mon sac à main et mon portable afin de m'en aller car c'est enfin mon jour de rendez-vous avec ce Meuro et je crois que je passerai un sale quart d'heure quant tenue de ma promesse il y a deux mois d'être enceinte de mon époux avant le cinquième mois.
Aujourd'hui nous en sommes au quatrième mois de l'année et tout devient confus pour moi mais un espoir nait en moi, en détenant le signe d'un avenir glorieux en fortune dans ce sac et ma seule prière est que Meuro le valide afin de commencer la procédure auprès de son avocat.
Errant les routes de New-York avant de me stationner devant l'immense immeuble je crois être suivie et jete ma tête en arrière mais m'étonne en ne voyant aucune voiture prêt de la mienne, aisni sortie de ma voiture je monte dans la suite sans prêter attention au regard insistant des hommes ainsi des femmes de l'intérieur.
Suivant ma trajectoire j'heurte un passant en croyant que ça peut passer sans relever le visage néanmoins je suis soumit à relever la tête et laisser mon regard sur la ligne de papiers renversés sans même en prêter attention.
En relevant ma tête je crois m'en tordre le cou car je découvre une carrure familière et reconnais Marco un des hommes de main de mon époux, ce dernier me regarda perdu et dit :
-Oh bien le bonjour madame RIMORTHON comment allez-vous ? Demande-t-il enthousiaste ce qui me fait écarquiller les yeux en balbutiant
-Oh non...non...je m'excuse pour l'inattention, je suis venue voir une amie proche, disant que je la patiente rétorquai-je ne sachant quoi inventer d'autre, ce qui d'ailleurs ne semble le troubler.
Étonnant, je m'inquiète sont-ils au courant de ce que je viens chercher ici où ils sont dans l'inconscient ?
-D'accord alors je vous laisse dit-il en récupérant ses dossiers pour s'en aller ayant fait attention à ce que je ne prête point attention à ce qui y était inscrit.
En hardie je toque à la porte toujours aussi perturbée par ma rencontre brusque avec Marco.
-Tache à te rappeler de l'heure précise lorsque tu te rends ici je t'ai attendue et ça fait trente minutes dit-il ne me laissant aucune parole
-Est-ce comme cela que tu veux que l'on collabore Meuro ? Avec autant de fermeté? Répondis-je
-Depuis qu'on collabores-tu avec moi ? Toi tu es mon employé et non mon collaborateur est-ce clair ? Réplique-t-il durement me transperçant d'un regard transcendant
-C'est d'accord j'ai compris pas besoin d'hausser le ton dis-je un peu sévère
-Néanmoins je t'invite à t'asseoir et à me raconter ce qu'il se passe nettement Lucia, je ne te comprends plus qu'est-ce qu'il se passe, quoi tu ne veux plus continuer ?
Si c'est le cas dit le moi et n'ai pas peur Lucia dit moi franchement
-Pourquoi dis-tu cela ? Dis-je un peu perdu en m'assayant sur le canapé en face de lui
-Parce qu'on s'était convenu que tu tombes enceinte avant le cinquième mois mais nous sommes en début du quatrième mois et rien ne s'affiche en plus de cela tu ne m'informes en rien de ce que tu découvres Lucia. Gronde-t-il sans me regarder dans les yeux.
-Sache que j'ai voulu te donner des nouvelles mais tu ne m'as pas laissée en placer une que tu m'as rapidement raccroché au nez.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top