Chapitre 46

Pdv de Marie ARDIE

-Ne reste pas à l'entrée fils vient donc par là lâche père tout en l'accueillant à bras ouverts ;

Ce qui me fait un pincement au cœur, Jade aimerait voir cette scène par ses yeux malheureusement elle n'y est pas, une part de moi est heureuse de savoir que j'ai un grand frère et une autre malheureuse de savoir qu'il est, abasourdie toujours sur mon siège alors que mes deux géniteurs se sont élancés à accueillir mon frère;

-Assoit toi fils,voici ta petite sœur Marie ARDIE je sais que tu l'as connais déjà néanmoins les présentations ont valent la peine annonce père calmement.

Je ne peux relever mon visage alors j'émets un sourire tendre faisant comprendre à mes parents que rien est mal et que rien ne me dérange qu'il prenne place à mes côtés.

-Mes enfants commence mère doucement ne voulant point me brusquée sûrement dis-je au tréfond de mon cœur

-Mère nous t'écoutons dis-je finalement agacée de tourner autour du pot

Assise sur le même fauteuil que mon frère mes parents prennent place en face de nous, nous les reluquons  à tour de rôle

-Il y a  bien longtemps, j'avais dix nuit ans d'âge et enceinte de deux enfants on étaient vraiment très jeunes mais on a pas pu ôter la vie à ces deux êtres innocents qui pourtant suscitaient bien la colère de quelques membres familiales, neuf mois c'étaient écoulés peu à peu et je donnais naissance à deux beaux enfants différents de sexe mais l'un fut atteint d'une bronchite innée, on avait dû le placé sous une couveuse médicale alors que les jours passaient rien ne s'améliorait, peu à peu on nous avait apprit que le bébé avait disparu de sa couveuse les docteurs avaient eu de graves problèmes et de remord juridiques néanmoins un jour ont nous a informé que ce n'était pas le premier cas dans cet hôpital, on avaient réquisitionnés ces mauvaises personnes celles qui voulaient du mal à des petits enfants et avions apprit dix ans après qu'ils vendaient ces enfants à une société réputée de la ville, société qui comporte plusieurs orphelinats dans le pays : la société ANDURSON de ce nom, tout les enfants volés précisément les garçons étaient logés...
Ta sœur avait apprise cette nouvelle un jour par coïncidence de la même manière que c'est arrivé avec toi aujourd'hui, détrompe toi avant sa mort elle avait pu le le rencontrer, si tu peux te rappeler du jour où son fiancé était mort se serait mieux, finit-elle par dire échappant un flot de larmes gardées depuis le long de son récit ;

Je comprends mieux maintenant, je me rappelle bien de son visage c'est donc lui qui consolait Jade lorsque j'étais rentrée dans sa chambre il y a de cela sept ans, moi qui pensait que c'était un de ses collègues je m'étais encore trompée, je n'étais pas au courant Jade me l'a caché aussi que l'on avait un frère en qui on pouvaient compter, je présume que je suis toujours la seule à ne rien connaître dans ce genre de situation.

-Marie ma fille, je suis vraiment désolée on aurait dû te le dire aussi pardonne nous rétorque mère yeux larmoyants

-Marie ma fille on te présente nos sincères excuses, pardonne nous renchérit père tristement

-J'aimerais bien oui mais là je me rends compte que personne ne m'aime, ne vous inquiéter Marie a toujours pardonné tout le monde alors c'est normal que le refasse lâchai-je offensée par toutes ces révélations.
Déjà que cette nouvelle me brise le cœur ensuite j'apprends que je suis la seule à en être insouciante je me sens encore plus mal ;

-Comment aviez-vous pu me cacher cela comment et pourquoi père dis-je en me levant je ne peux pas y croire rajoutai-je avec  hargne

-Ma fille on aurait dû te le dire aussi on se souciaient de comment tu prendrai la nouvelle, je t'assure qu'il n'y a que ça

-Mère vous vous rendez compte de ce que vous me dîtes là, cela fait environ huit ans que Jade n'est plus de ce monde alors pourquoi avoir attendu toutes ces années pour m'en parler ? Renchéri-je larmes aux yeux

-Marie calme toi, ce n'est rien de tout ça on ne voulait pas te vexé rien que ça, on t'aime tellement avec tous ces récents événements et après la mort de ta sœur je n'ai plus eu ce courage je t'assure pardonne nous s'il te plait argue-t-elle joignant ses mains et s'effondrant sur le carrelage

-Mère ne pleure pas dis-je m'agenouillant à sa hauteur je comprends tout à fait la seule chose que je vous reproche c'est de me l'avoir cacher mais je préfère ne plus en déblatérer le mieux est que je le sais maintenant et j'en suis heureuse, j'ai un grand frère dis-je dans mon cœur éjectant ma paire d'œil en sa direction.

Celui-ci se lève et vient droit vers nous

-Marie ma sœur sache que je suis tout à fait heureuse de l'apprendre, je n'ai pas passé une facile jeunesse dans cette fratrie je suis heureux de vous avoir retrouvez ma vraie famille et aussi pardonne moi je suis inclus car je te l'ai caché moi aussi pendant un assez long moment.

-Ne t'en fait pas grand frère oublions le passé je veux que l'on oublie le passé et que l'on recommence tout à zéro clamai-je feignant un sourire sincère les regardant à tour de rôle ainsi mère me prend dans ses bras tous nous faisons une étreinte durant des secondes.

Je suis heureuse en ce moment, c'est la phrase idéale qui explique mon état.

Je vous aime ma famille.

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