Chapitre 33

Pdv de Ulron

-Je comprends cela maman et je t'en remercie mais pour ce qui est de l'amour ça c'est justement mon plus lourd fardeau je ne peux plus et ne veux plus aimer

-D'accord mon fils mais je t'en prie fais toujours un grand effort, je sais que ce n'est pas facile pour toi et que ça te prendra sûrement beaucoup de temps pour t'adapter de nouveau avec une femme mais fait le s'il te plait, essaie

-Pour ça je te le promets mère que je ferais un effort. Dis-je tout simplement je ne veux pas trop l'attrister, je suis confus vraiment confus et je vais mal car tout ce qu'on me dit en ce net moment me met juste en colère oui je le suis aussi contre ma mère de m'avoir fait épouser cette femme et de me quitter très bientôt, elle me laissera dans un monde pitoyable que nocturne, un monde où toutes choses sont fausses, un monde basculé et renversé, un monde accroché à l'argent, un monde cruel...

Mas malgré cet accord que j'accepte avec ma mère je suis tétanisé les larmes ne s'arrêtent guère de couler sur mon visage et aussitôt ma mère me prend dans ses bras et je me blotti à elle comme un bébé, j'ai atrocement mal et ne sais plus quoi dire ni quoi faire, je sanglote et ma tête posée au le creux de son cou me donne une sensation de réconfort alors que ma mère ne cesse de me consoler me répétant...

-Calme toi Ulron je suis là, calme toi mon fils

-Maman j'ai mal, mon cœur brûle de peine et de colère...

-Je te comprends parfaitement  ça ira je te l'assure d'accord ?

Je me contente de répondre en dodelinant ma tête sans échapper un son de ma bouche car en moi je sais que ce n'est pas possible d'aller mieux...

Une fois calmé je regarde ma mère droit dans les yeux je vois une douleur atroce qui transperce ses yeux  elle se sent mal et moi je ne voit que ma propre douleur suis-je si égoïste que ça ?

-Ne t'inquiète pas maman je ferais en sorte de toujours te faire sourire à partir de ce jour, je ferais en sorte de réaliser ton dernier souhait je te le promets. Dis-je sincèrement en essuyant le reste de mes larmes du revers de ma main droite.

-Merci mon fils rien que cet effort que tu fais, rien que pour cet effort me comblerait de joie car je vois bien que tu souffres et ce depuis ton mariage si tu promets de faire un effort pour moi alors j'en serais juste heureuse rien de plus à demander

-Merci pour ta compréhension maman

-De rien mon fils maintenant tu dois retourner dans ta chambre, va rejoint la s'il te plait dit-elle en forçant un sourire aux lèvres

-D'accord maman j'y vais alors de peur de te rendre triste toi et ta belle-fille dis-je en faignant une grimace avec mes mains ce qui la fait rire sans s'en rendre compte

-J'aime te voir comme ça mère cela me rend aussi heureux rajoutai-je

-Merci mon fils c'est grâce à toi

-Si tu le dis maman  bon j'y vais toi aussi va te coucher on se voit demain je te souhaite une bonne nuit.

-Pareillement à toi fiston à demain, elle me prend de nouveau dans ses bras et je sors précipitamment de sa chambre en évitant de verser encore des larmes en sa présence.

Une fois dans mon bureau personnel se trouvant dans mes quartiers, je me dirige à l'arrière de la terrasse, terrasse cachée par la baie vitrée où j'ai droit à une vue spectaculaire de la Ville de New-York c'est juste magnifique à regarder ce qui m'apaise un tout petit peu.

Toujours debout à visualiser la ville de New-York en partie éclairée je comprends enfin que le monde ne peut tenir avec une si faible lumière et que la lumière du jour dépasse toute autre lumière;

 Mais je dois avouer que même la vie de l'Homme  n'est pas un jour éclairé car il y'a toujours pleins de mystères cachés à découvrir, à comprendre et à  parcourir ce qui fait que nos vies ressemblent plus à la pénombre alors pour l'éclairer il nous faut quelques peu d'étincelles véridiques...

La philosophie m'a donné une personnalité plus hagarde qui me propulse dans un univers incertain à ressortir depuis cet accident qui a tout chamboulé en moi j'apprécie maintenant cette nouvelle facette qui s'est ajoutée à ma personnalité c'est tout ce qui me permet d'être moi-même sans intervention d'une quelconque pensée parallèle à la mienne.

En réalité je n'ai jamais aimé écrire ce que je ressens, j'aime observer, rien qu'observer parce que pour moi écrire est une perte de temps, ma philosophie à moi est inscrit dans mon quotidien, dans ce que je fais et dit ce qui je m'empêche d écrire.

 Mon entourage a le droit de comprendre mes ressentis en effet ce que font les écrivains est purement intellectuel et fait parti du monde intelligible que me comparer à eux est une insulte, dois-je réellement raconté ma vie à tous ces gens anonymes ? 

Dois-je réellement écrire tout ce que je ressens en papier manuscrits pour enfin les faire comprendre que mon cœur saigne ?

Non évidemment que non mais que dois-je faire si tout mon être est affaibli ?

 Mon entourage pense sûrement que je suis mentalement fort mais il se trompe je ne le suis pas, je suis plus faible que ce mot n'en suffirait à ma description... 

Il me fallait cette carapace pour forger mon esprit et mon état d'âme rien de plus.

Toutes les choses matérielles ne veulent rien dire pour moi car s'il faut que l'on me demande des milliards je le donnerais sans être menacé puisque j'en ai pleins à ne plus pouvoir le gérer.

 Anastasia n'avait pas demandé elle a tué juste pour des simples millions alors qu'elle pouvait m'en demander plus que ça pourquoi n'avait-elle pas juste demander je l'aurais offerte tout ce qu'elle voudrait.
Qu'Est-ce  qu'une femme peut bien vouloir demander Est-ce de l'argent, des villas, des vêtements quoi alors ? 

Rien que ça je pouvais les lui offrir en milliards pourquoi n'avait-elle tout simplement pas demander ?

Ah je vais finir par croire qu'il y'a autre chose qui se cache dans cette longue histoire... Simplement parce qu'il y'a bien quelque chose de louche. 

Cette femme je l'offrait pleins de choses dépassant l'entendement qu'Est-ce qu'il l'a poussé à faire tout ça ? 

Je ne comprends pas en réalité je n'ai jamais compris car son interrogatoire n'avait rien fait sortir de concret  à vrai dire je penses qu'il y'a bien quelque chose qui se trame derrière tout ça mais puisque j'y penses maintenant je vais le rechercher car pour moi la mort de mon père n'est pas une histoire que je peux facilement terrer de toutes les façons jamais je ne pourrait le terré.

Mon téléphone émet une vibration et je le fais sortir de ma poche c'est facile car je l'avais placé à l'arrière de mon Jean noir que j'aime tant d'ailleurs car ce fut un cadeau de mon père.

Je jette tout de suite un œillade à ce portable et c'est un appel de Brunelle et là je souri il n'y a que cet homme que je considère tant qui m'a toujours compris et aidé n'oubliant point ces autres qui font partis de mes Hommes.

-Oui je t'écoute Brunelle dis-je en décrochant furtivement

-Ulron il y'a des nouvelles que tu dois impérativement connaître en ce qui concerne ton épouse dit-il sérieusement;

-D'accord on change de lieu demain on se voit toi et moi au Nord pas ici...

-D'accord à demain alors. Dit-il avant de raccrocher.

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