Chapitre 33
Pdv de Ulron
Ma vie est un cauchemar et j'aimerais ne plus le faire un jour c'est ce que je pensais mais après que le soleil s'est levé ce matin, mon épouse à mes côtés j'ai fini vite par comprendre que ce n'était que la réalité...
La réalité est telle que je suis marié à une femme en qui je n'espère aucune confiance malgré qu'elle me prouve ses sentiments à longueur de temps, la réalité est que mon passé s'est bien produit et à su briser mon cœur en mille morceaux, la réalité est que je serais parent dans six mois seulement et la dernière réalité est que tous ses rêves que je fais sur cette Marie n'est pas au hasard puisque même assis sur ce fauteuil depuis une minute me fait réaliser que je suis stupide, oui stupide parce qu'elle ne me laisse indifférent avec ce petit truc mystérieux dans son regard innocent qui m'incite à mieux la connaître ceci dit c'est mon corps qui parle puisque mon cœur et ma raison ont été castré depuis quatre ans.
Comment vous expliquer l'effet qu'elle fait subir à mon corps alors que ce sourire innocent sur son visage mérite le plus coûteux des trophées de la planète entière, je n'ai jamais vue un si beau sourire si simple et modeste de toute ma vie, c'est ce qui fait craquer mon corps face à cette dulcinée seulement je ne peux l'exprimer qu'en dardant mon regard sur l'étendu de son corps ce qui lui vaut un rougissement de gènes.
Elle ouvre aussitôt sa bouche
-Est-ce que tout va bien que voulez-vous boire?
À l'entente de sa phrase, je sens ma colère revenir, comment ne peut-elle pas comprendre une bonne fois pour toute se me tutoyer ;
-Alors comme ça le vouvoiement revient ? La questionnai-je durement
-Je veux dire est-ce que tu veux boire quelque chose ?
-Non répondais-je catégorique, je veux simplement discuter rajoutai-je en plongeant mon regard dans ses yeux, néanmoins la peur qui se lit dans son regard me fait crisper les dents, non je ne voudrais qu'elle ait peur de moi, je ne veux et ne vais lui faire du mal, j'ai passé toute la nuit dans la pénombre réfutant son image alors qu'elle hante mes nuits depuis la veille du mariage c'est peut-être depuis ce jour que ce truc qui m'attire vers elle s'est manifesté car elle a réussi à attirer mon attention par ses agissements craintifs et c'est pour la première fois qu'une femme ait réellement peur en ma présence comme si elle refoulait ses sentiments pour ne rien montrer alors que toutes les femmes que j'ai rencontré ne le faisaient guère ;
Elles me faisaient plutôt comprendre tout à travers leurs regards aguicheur mais ce n'est pas son cas alors oui je la trouve différente oui vraiment différente d'elles.
Elle se rapproche fébrilement d moi alors qu'un tonnerre retenti soudainement à l'extérieur.
Je n'ai pas fait attention à la météo et j'espère quelle ne le fera pas un mauvais tout cette fois-ci.
Car la dernière fois elle m'a fait craquer au bureau pour rentrer un lendemain très tôt à cause de la crise d'humeur de Lucia puisque j'avais promis être à ses côtés tout le long de la grossesse.
Je ne vous raconte même pas comment je me suis mis encolère dommage que je ne pouvais m'énerver devant elle à cause de son état donc là, j'espère que je rentrerai saint et sauf ;
En sortant de mes songes je la vois assise sur le fauteuil que moi mais deux mètres nous sépare alors je relève son visage qui s'est baissé instantanément...
-Ne baisse pas ton visage devant moi je ne te ferais aucun mal
-Ce n'est pas ce que ton regard me prouve honnêtement
-Je ne suis pas si dangereux que tu le penses
-Ah bon et qu'est-ce qu'il te le fait dire ?
Je la regarde une minute sans rien dire, honnêtement, elle a raison qu'est-ce qu'il me fait dire le contraire de ma personnalité alors que je sais qu'elle a raison, je suis dangereux.
-Rien tu as raison je ne suis pas un homme bien surtout pour toi Marie
Son teint devient à l'instant pâle que ma phrase est sortie comme si, elle allait faire une syncope et j'espère bien que se ne sera le cas sinon ma parole Georges va me buter.
-Je suis désolée pour l'autre fois j'étais impolie envers toi. Je ne savais pas comment me comporter et surtout comment réagir après ta question, je... bredouille-t-elle sans souffle alors qu'elle baisse son visage en parlant à voix basse tel un murmure je ne peux le saisir.
-Calme toi, calme toi ce n'est rien. J'ai tout compris figure toi, ton frère m'a tout raconté
-Je suis désolée renchérit-elle toujours sans émotion
-De quoi es-tu désolée Marie ? La questionnai-je sans émotion
-Je ne sais pourquoi, tout ça...je...
Elle n'arrive même pas à finir sa phrase.
De quoi puis-je la reproché ?
Seulement en relevant son visage ce que je vois ne me laisse pas incrédule.
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