Pdv de Ulron

C'est la première fois que mère me parle ainsi et surtout devant la famille, que faire malgré que mon sang boue dans mes veines je ne peux lui en vouloir c'est mon sang elle est tout pour moi et je sens que je ne vais pas aimé la suite heureusement qu'elle est ma mère et de ma famille sinon je sens que je vais commettre un meurtre ;

-Réancia tu dois te calmer je vois qu'il n'a pas l'air de comprendre ta réaction explique lui tout d'abord

-Je suis si fatiguée de le faire Fabioza il ne sait pas qu'il fondera une famille très bientôt et qu'il doit laisser ce sombre passé de côté

Alors comme ça c'est là son problème mais je ne suis pas un gamin pour oublier que j'ai enceinté une femme bon sang!

-Mère dis-je en me levant brutalement

-Hier elle est venu te voir je comprends bien que ton bureau n'autorise pas une gente féminine et je suis sûr que tu l'as aperçue même de l'intérieur et tu n'as même pu la rattraper attend afin de savoir pourquoi elle te cherchait.
Elle à pleurer toutes larmes de son corps et s'est endormie à mes côtés tu es sensé avoir de ses nouvelles peut importe où tu te trouves mais toi depuis ce matin tu viens penser à elle à minuit ? Et tu penses que je dois t'applaudir ?

je vois mieux alors comme ça c'est le réel problème ?
Néanmoins je ne peux me reprocher de quoi que soit j'étais bien clair avec elle je n'ai pas de sentiments amoureux et ne l'aurais pas mais bon je ferais un effort pour notre enfant.

-Tu ne sais plus quoi répondre n'est-ce pas ? Me questionne-t-elle en se rapprochant de moi tristement, sa colère est donc loin bon je la préférais furieuse et non triste.

Je vois Daniella derrière sa mère et Lucia à côté de la mienne, je ne sais même pas quoi répondre de peur de la donner de faux espoirs seulement je ne peux mentir mon cœur n'est plus prêt à aimer et aussi à voir une femme le plus souvent à mes côtés.

-Mère navrée pour tout ce que j'ai causé je ferais tout le nécessaire à présent calme toi s'il te plaît ta santé m'est précieuse

-Tant mieux mon fils c'est ton devoir...

Après cette épisode j'ai regagné mon bureau et m'y suis enfermé pendant trois heures, j'ai aussi décidé de faire un mois à la maison je suis le patron et j'espère que tout se passera bien dans mon dos.
Brunel va géré et moi de loin je serais toujours là en plus Marco, Elvis, Pierre et Christ seront de retour ils pourront me remplacer pour des conférences un peu partout dans ces entreprises.

Brunel est devant l'entrée du bureau et je l'autorise par un canal de le laisser entrer.

-Enfin je te retrouve Ulron je me suis fais de soucis en t'ayant au portable et je t'avoue que si j'étais une femme j'aurais eu peur de cette voix purement de caverne

-Je t'assure que je te tue si tu prononces un autre mot sans mon accord.

Voilà ce que je fais depuis ce matin repousser et faire peur tout le monde mais je sais qu'avec lui c'est pas gagné.
Tout à l'heure Daniella a voulu me voir avec sa mère mais je l'ai plutôt proposé de repasser ce soir car mes nerfs ne sont pas du tout calmer et même présentement ce n'est pas le cas et Brunel le comprend bien alors qu'il prend place sur ma chaise.

-Bon je t'écoute qu'as-tu à me dire qu'il t'a fallu quitter l'entreprise à pareille heure ?

-Meuro a envoyé un deuxième dossier très tôt je ne sais pas encore de quoi il s'agit je ne l'ai pas encore ouvert

-Ok on va le faire justement ouvre le et lit le à voix audible pour en avoir une idée nette.

Vingt minutes plutard après cette lecture nous sommes plus que silencieux ne sachant Quoi répondre.

-Ulron ça devient plus sérieux qu'autre chose il faut employer la manière forte tu ne penses pas ?  Cet homme nous montre à plein visage qu'il complote quelque chose

-Justement c'est pourquoi nous devons agir dans le calme qu'on est-il de ma surveillance ?

- Lucia ne s'est plus rendue dans cet immeuble il y a plus de deux semaines alors tout est calme

-D'accord emmène ce dossier chez ma secrétaire elle doit l'analyser dès demain et m'envoyer son travail.

Brunel est parti cela fait bien des heures et je peux voir à travers la vitre que le ciel à changer de couleur, le soir est vite arrivé et cela m'apaise plus que tout.
En fait j'ai bien promis à mère de faire un effort seulement depuis que j'ai quitté le salon ce matin je ne suis plus redescendu voir Lucia et interdit qui que se soit de m'approcher de toutes les façons je la verrais dans nos quartiers très bientôt.

Je me suis installé dans mon troisième bureau où j'ai pris un bon bain à ma piscine.

Et ainsi assis dans ce bureau j'attends ma sœur qui veut me voir et la voilà arrivée suivie de sa mère et la mienne maid un détail bien troublant s'ajoute en voyant Marco faire apparition oui j'ai eu bon vent de leur retour à tous et leur ai convié auprès de leur famille avant de venir à moi alors que fait-il devant moi à pareille heure ?

-Prenez place dis-je en le fixant

Ils sont tous silencieux et yeux baissés sauf Marco mon ami, lui il me regarde plutôt sans gêne mais quelque chose dans son regard m'intrigue, j'espère que tout se passe bien sinon je sens que je vais le tenir pour responsable.

-Je vous écoute à présent et surtout toi Marco qu'est-ce qu'il se passe ?

-Tout d'abord tu dois te calmer et ne pas t'emporter rapidement

-Je ferais de mon mieux mère alors qui doit parler ?
Je regarde toujours Marco je ne sais pas ce qu'il vont m'avoué mais j'ai l'impression que Marco a bien quelque chose à y voir.

-Je suis fiancée à Marco et je sais que tu ne vas pas bien le prendre Ulron seulement je ne savais pas comment te dire que notre idylle à commencer il y a deux ans de cela je suis si désolée mais je...

-Quoi ? criai-je si fort que tous m'imitent en se levant brusquement.
Qu'est-ce qu'elle vient de lâcher là ?

Je ne comprends pas ce qu'il arrive à cette fille est-elle tombée folle ?

-Ulron mon ami je sais que je suis en tort j'aurais aimé te le dire plutôt mais je n'ai pas pu j'aime plus que tout ta sœur mais...

Il ne peut finir sa phrase que je porte mains à son col chemisier, comment a-t-il pu me cacher une telle connerie bon sang !

Suis-je comme pion de manipulation ou quoi ?

Pourquoi tout mon entourage s'évertue à me mentir à longueur de temps, la colère ayant eu raison de moi je le donne un coup au visage sans qu'il ne puisse renchérir et le deuxième coup à sa mâchoire le faut reculer de moi.
À genoux devant mes pieds il se relève immédiatement alors que je m'approche de lui j'entends derrière moi une voix sangloter qui me déchire le cœur et c'est Daniella que je retrouve à terre en pleurant à chaude larme alors je m'accroupis à sa hauteur car malgré ma colère je n'aime pas voir mon entourage si triste.

Je la relève et l'a fait asseoir sur le sofa.

-Calme toi ma tendre sœur s'il te plaît c'est bon

-Non je ne peux me calmer lorsque tu ne l'es et tabassé ainsi mon amoureux pourquoi Ulron ? Je regrette de t'avoir tout cacher mais ton humeur retissant à tout sentiment amoureux me faisait peur alors comment pouvais-je te faire part de ma vie privée ? Comoreni moi s'il te plaît.

Et oui elle a raison seulement pourquoi donc Marco ne m'a jamais parlé de ça ? Il est mon ami pourtant.

Je vous de loin Brunel relevé Marco qui s'essuie immédiatement le visage.

-Et toi Marco pourquoi ne m'avoir rien dit ? Le questionnai-je en regagnant mon calme faut croire qu'il me fallait le tabasser pour le récupérer.

Je dois avouer que je me suis bien défoulé sur lui.

-C'est comme elle vient de le dire je m'inquiétais tant pour toi que je n'ai pu te lancer au visage que je suis amoureux de ta sœur Ulron, je crois que tu m'aurais tué à l'instant prononcé.

Sa réplique est d'un timbre taquin que me plaît d'ailleurs ce qui a le don d'apaiser mon cœur c'est vrai que je suis frustré d'avoir été duper mais reconnais au-moins la bonté diabolique de mon ami.

Avec un passé tragique après la mort de ses deux parents et à vivre sans domicile à New-York sans pilier l'a fait bien grandir, il a tant cherché l'amour aujourd'hui qu'il a enfin obtenu et même s'il s'agit de ma sœur je ne peux le lui en priver j'espère sincèrement qu'il l'a rendra heureuse et elle tout de même de toutes les façons il était le seul célibataire sans notre bande amicale.

-Je comprends tout à fait Marco et désolé pour la bagarre.

Bon même si j'étais seul à me bagarrer.