Chapitre 15
Pdv de Ulron
-l'as-tu remis le dossier Brunel ? je questionne Brunel dès son entrée, je crois que les souvenirs me font littéralement perdre la raison moi qui croyait l'avoir oublier je me suis lourdement trompé, pourquoi elle enveloppe mon présent ?
Pourquoi est-elle dans mon esprit ?
Je veux évoluer mais je n'y arrive pas, elle a vraiment tout détruit en moi que je me méfie de toutes les femmes alors qu'elles ne m'ont rien fait.
Je sers le poing lorsqu'il avance vers mon canapé pour s'asseoir comme si je ne l'ai posé une question, m'a-t-il répondu ?
Je ne l'ai pas entendu. Il m'énerve cet homme j'espère qu'il n'oublis pas qui est le patron même si on a quasiment le même poids.
-N'Est-ce pas à toi que je parle là ? tu ajoute ma colère à 100% je te rappelle
-Et moi j'en ai plus assez de ta colère inexplicable
Alors comme ça il ose me défier c'est ça? Il va voir ce dont je suis capable de faire.
Je me dirige à pas rapide à mon dernier étagère et en sort une arme tellement la rage me surpasse j'en ai plus assez qu'il me manque de respect et ce depuis que cette femme est dans mon quotidien.
Alors que j'y pense dois-je trouver un motif pour la renvoyer peut importe les conséquences afin de retrouver mon ami?
-Que fais-tu Ulron tu dois vraiment te calmer et poser cette arme tu sembles oublier qui je suis pour toi ?
-Je m'en moque tu m'énerve et la seule solution est que je te descendre tout de suite pour calmer mes veines
Je fulmine encore plus lorsqu'il se met à rire comme un glauque mais voyant mon regard assassin il redevient sérieux et lève ses bras comme un délinquant pris en flagrant délit.
Je relâche mon arme de sa tempe je vais la remettre en sécurité pour ne pas commettre un meurtre car ce n'est pas mon métier, je ne suis pas un tueur en série.
-Calme toi mon frère je peux comprendre ce que tu ressens mais calme ta colère elle n'est pas Anastasia, elles sont différentes
-As-tu rapporté le dossier du campement à Paris ?
Je détourne le sujet même si je sais qu'il ne sera d'accord, je l'ai deviné puisque là il se remet en place dans le canapé en me m'itraillant de son regard.
-Ulron arrête tu dois avancer arrête ça tu te fais du mal mon frère
-Tu ne comprends pas tout Brunel c'est impossible pour moi d'être en paix après ce qu'elle m'a fait
-Je sais mais tu dois tourner impérativement la page je t'assure que ta secrétaire n'est pas Anastasia elles sont différentes
-Pourquoi tu la défend ainsi est-ce que tu serais le remplaçant en tombant amoureux de ta secrétaire dit moi grondais-je tout à coup
Il ne sait pas ce que je ressens après ce tragique passé ce que je ressens en voyant une nouvelle secrétaire près de mon bureau, même si on ne peut se voir ça reste difficile pour moi mais j'espère qu'il ne commettra pas la même erreur que moi il y a quatre ans.
-Je te rappelle que j'ai déjà une famille bien plus heureuse ne te fais pas de scénario sur moi même si je dois avouer qu'elle est à couper le souffle, j'aime trop mon épouse pour tenter quoi que soit avec qui que soit.
-Bien dit. Sorti-je en l'écoutant éterniser ses dires faut croire que c'est un bon poète et beau parleur non je rigole c'est vrai qu'il à une heureuse famille le contraire pour moi qui vit au hasard.
Je ne sais même plus comment définir ma tellement elle est en désordre jusqu'ici.
-J'essaie juste de t'aider tu es plus qu'un ami pour moi je suis si fatiguée et impuissant de te voir dans cet état
-Je le sais mais c'est plus fort que moi Brunel répondais-je mains dans les poches, je suis proche de mes démons en fait si proche que je ne peux me séparer d'eux.
Des démons plantés à l'aide de mon lourd passé.
Je sens Brunel se rapprocher de moi et poser son bras sur mon épaule, une sorte de réconfort qui me plaît toujours de sa part.
Le savoir fatigué et impuissant me fend le cœur car c'est tout à fait normal.
Épuisé par ma vie et mon passé qu'est-ce qu'il pourrait bien changer de pourrie en moi car oui je le suis et ne reste que pour mon travail et ma famille.
-Je suis sûr qu'un jour tout changera Ulron
-J'espere que oui frérot,
Je suis sûr le point de détourner mon visage de la vitre mais une silhouette assez remarquable de loin me fait braquer les yeux sur elle. Marie se rapproche du parking, je jette un oeil à mon montre il est 6 heures du soir, elle était sensée finir tôt que faisait elle depuis tout ce temps ?
-Je vous que tu l'as reconnu
-Comment ne pourrais-je? Elle ressemble à son frère.
Elle est enfin proche de sa voiture et s'y engouffré immédiatement.
-Tu n'as pas tort dit-il d'un brin taquin aux lèvres
-Approchons de mon bureau pour parler affaires maintenant,
Je me déplace rapidement alors que je le vois en retrait qu'est-ce qu'il doit à me regarder comme une meuf en proie, sincèrement il a un sacré problème de nerfs tendus aujourd'hui et cela me met encolère...
-Je suis au courant Ulron et j'attendais que tu me le dise pour confirmer
-Alors là je ne te suis plus de quoi es-tu réellement au courant ?
-Elle attend ton descendant
-Ah je vous que les nouvelles vont vites approche t'asseoir fait moi sortir ce document mon ami
-Ulron n'es-tu pas heureux de la nouvelle ?
Je savais que cette question allait mettre posé par mon entourage à part mon épouse je l'ai dis que j'étais heureux d'avoir mon propre sang plutôt et c'est le cas et se serait le fruit de notre union et de notre excitation mais pas d'un amour pur ce qui a d'ailleurs le don de m'énerver, moi qui m'était promis tant de choses dans le passé me voilà quasiment démoché dans l'incertain que me réserve autre la vie, quel autre fléau arrive afin que je me prépare en conséquence ?
-Je le suis plus que tout Brunel il sera ou elle sera mon propre sang, par union on l'obtiendra et non par amour mon frère
-C'est bien triste pour toi car elle si, elle t'aime pour de vrai je l'ai vue dans ses yeux
-Tu n'as pas tout fini continue il manque une clarification dans tes dires mon cher ami pour alléger mon cœur
-Je sais que tu veux l'entendre pour te faire à l'idée que la femme c'est le chaos dans ta vie mais pour tout te dire oui pour celle-là tu as raison j'ai bien lu autre chose dans son regard
-Dois-je te demander de préciser la dite chose le questionnai-je anxieux oui je veux nourrir mon cœur je l'affirme et seulement par des pensées amères qui elles me détruisent chaque jour en perdant espoir au vrai amour.
-Elle est louche Brunel c'est cette chose qui me permet de me méfier
-Et voilà assez parler tu me passes le document où pas Brunel ?
-Le voilà Boss.
Il me tend le document alors je l'analyse entièrement pendant de longues minutes et je vous assure que ce qu'il y possède n'est pas du tout rassurant malheureusement il faut continuer d'agir et je préfère qu'ils reviennent tous, on agira depuis le pays mais cette fois-ci auprès de Lucia car j'ai bien compris que la source du problème n'est pas sa famille mais rien qu'elle même.
Je vais devoir doubler ma vigilance et pour cela j'ai besoin de tous mes hommes ici.
-Appelle les, qu'ils rejoignent le continent et leurs familles respectives on se voit au Nord dans la Villa dans précisément une semaine
-Si vite ?
-Oui se sera mieux de se centrer sur Lucia que sur sa famille, il n'y a bien rien de bon de leur côté la vraie source est sous nos yeux alors ne la perdant pas de vue
-Oui tu as raison je vais les avertir.
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