|CHAPITRE 17| Les gros grimoires le rendaient apathiques

Sorbet citron ! 

Hello ! Vous allez bien ? Si vous voulez savoir comment moi je vais (bien que ça ne soit pas très intéressant), lisez le titre du chapitre. Voilà. Je croule sous les révisions parce que j'ai eu des facilités toute ma scolarité et que je ne sais pas travailler. Yes. 

Sachez que je prépare ce chapitre jeudi 30 parce que j'ai un weekend chargé et programme donc la publication du chapitre. En fait, samedi matin j'ai mon cours de piano (comme d'hab), samedi aprèm je vais emballer des cadeaux à Cultura (pour une association dont on fait partie qui s'occupe de soigner et trouver des familles aux chats et chatons de la rue) et dimanche je serai au salon du livre jeunesse à Montreuil (j'ai quatre heures de train en tout, je fais l'aller-retour). 

Bref, je vais être occupée (oubliez pas : j'ai aussi une pile énormes de révisions). MAIS j'ai une bonne nouvelle pour vous. A l'heure où je vous écris, je suis en train d'écrire l'épilogue de LVT. Dites-moi ce que vous en pensez mais par conséquent, je pense passer à un chapitre par semaine (en comptant l'épilogue, ça veut dire qu'il vous reste cinq chapitres après celui-là et j'ai encore au moins trois bonus de prêts (voir 4)). 

Donc j'ai hâte. Dites-moi si vous préférez un chapitre par semaine ou comme ça l'est déjà, autrement dit un toutes les deux semaines (mais en étant régulière puisque j'ai fini d'écrire ou presque).

A la prochaine et bonne lecture ^^

P.S. Vous avez des calendriers de l'avent ? Ils sont bien ? 

***


|CHAPITRE 17| Les gros grimoires le rendaient apathiques


Comme tous ses camarades et professeurs tendaient à le souligner, c'était la dernière fois qu'il rentrait à Poudlard. A l'inverse de ce qu'il observait dans sa promotion, Erwin n'en était pas ému. Seule peut-être la purée des elfes de la cuisine aller lui manquer. Et le fait de ne plus pouvoir être aux côtés de Zephyr, le protéger, le surveiller, l'aider, l'accompagner. Mais il essayait de ne pas penser à cette pointe dans le coeur pour se dire que cela lui permettrait de peut-être découvrir une nouvelle face de son petit frère, qu'il s'émanciperait un peu plus aux côtés d'Hélios.

Mais même cette nostalgie lui paraissait minime. Lors de son rendez-vous révisions avec Elijah, il n'avait pas repéré la présence d'Orkan. Pas le moindre manteau noir suspect, pas de voix étrange, pas de lettre anxiogène, pas de brume effrayante. Rien.

Et Erwin se détestait pour ça mais il n'était même pas soulagé de savoir que cela voulait dire que ses lettres n'avaient pas été interceptées. Il était même déçu. Car ça confirmait qu'Albus n'avait pas répondu. Sans raisons.

Dans le train, Erwin avait cherché à retrouver le Gryffondor mais il avait beau avoir regardé à travers chaque compartiment, il ne l'avait pas trouvé. Même Elphias Doge lui avait dit ne pas l'avoir vu.

Il avait pourtant été présent au banquet de rentrée. Il avait levé les yeux au ciel en entendant le discours barbant du directeur Black. Erwin avait cherché son regard sans le trouver. Une pierre lourde était tombée dans sa poitrine.

Depuis trois jours, Erwin le voyait bien : Albus était moins souvent disponible. Ils se voyaient à la bibliothèque mais il écrivait. Tout le temps.

Une lettre, une deuxième, une troisième.

Il ne révisait même pas. Juste, il écrivait des lettres. Plein de lettres. Il arborait un air aussi satisfait que concentré qu'Erwin ne lui avait jamais vu, même lorsqu'ils cherchaient ensemble les propriétés du sang de dragon. Si écrire des lettres lui plaisait autant et était aussi important, pourquoi ne lui avait-il pas répondu ?

Pour ne pas y penser trop et mettre ce temps ensemble à profit, Erwin se plongeait dans les gros grimoires de la bibliothèque. Il n'avait jamais révisé aussi intensément. Même Julia lui avait fait la remarque qu'il allait se surmener à force de forcer son cerveau à autant faire quelque chose qu'il n'avait pas l'habitude de faire. Erwin la savait sarcastique mais il avait quand même relevé : si Julia commençait à se moquer d'un nouveau point positif chez lui, c'était qu'elle s'en inquiétait un peu.

- Tu as reçu des réponses pour ton orientation ? s'enquit un soir Albus.

- Pas encore mais ça ne devrait plus tarder. J'ai mis toutes les chances de mon côté et ait contacté des observatoires et centres de recherche un peu partout dans le monde, côté moldu comme sorcier.

- Tu ne devrais pas mettre ta science au profit des moldus. Tu devrais utiliser tes ressources pour faire évoluer l'astronomie sorcière.

- Cela ne ferait qu'essayer de rattraper les moldus. Ils sont bien plus évolués que nous sur ce niveau-là. Si un des trois seuls centres mixtes me répondait, je serais ravi. Là-bas, ils adaptent la technologie moldue aux méthodes sorcières et font évoluer la recherche en se basant sur leurs travaux. Et ensuite, ils partagent les nouvelles connaissances. C'est la meilleure méthode, je trouve.

- S'approprier leurs idées, pourquoi pas, rétorqua Albus, l'air peu convaincu. Mais je ne comprends pas pourquoi on devrait leur partager nos découvertes. La magie nous rend indubitablement supérieur à eux, nous ne leur devons rien.

- Enfin, tout de même, si on leur prend leurs bases, le minimum c'est de leur rendre la pareille et-

Albus le fit taire en attrapant ses hanches. Les grandes mains longilignes du Gryffondor lui faisait toujours autant d'effet.

En posant sa main sur le torse d'Albus pour l'embrasser, Erwin rencontra un objet métallique froid. En reculant son visage, il vit qu'il s'agissait en réalité d'un nouveau collier avec pour pendentif une étrange fiole. Mais Dumbledore le mit sous sa robe trop rapidement pour qu'Erwin puisse comprendre de quoi il s'agissait.

Un peu refroidi dans son élan, Erwin se laissa embrasser, appréciant quand même la sensation des lèvres sucrées d'Albus sur les siennes et de leurs mains entrelacées.

***

Les gros grimoires le rendaient apathiques.

C'était la conclusion très sérieuse d'une étude moins sérieuse et suspecte menée par Eli' et Julia sur le comportement d'Erwin. Du moins, de ce qu'il comprenait à leur charabia sans queue ni tête. Preuve de leur inquiétude à son égard, il ne pouvait pourtant rien leur dire.

Comment leur expliquer que les livres et les révisions n'étaient qu'une espèce de distraction pour oublier ? Comment leur expliquer qu'il sentait Albus lui échapper ? Comment leur expliquer qu'il ne comprenait pas ? Comment leur expliquer cette sensation de trahison alors même qu'ils se voyaient presque chaque soir ? Comment leur expliquer que leur relation avait un goût différent ? Comment leur expliquer que plus le temps passait, plus il avait l'impression qu'Albus était lassé ?

Comment leur expliquer qu'il l'aimait ?

La notion d'anormalité dans sa relation avec Albus rendait tout compliqué. Eli' et Julia étaient loin d'imaginer à quoi ressemblaient leurs soirées dans la tour d'astronomie. Erwin espérait même qu'ils n'en sachent jamais rien. Qu'ils lui tournent le dos serait la goutte d'eau qui ferait déborder le vase.

Alors il se plongeait dans les grimoires longs à mourir et compliqués au possible. Au moins devait-il s'investir un peu dans la tâche.

Mais le soir venu, lorsque chacun se relâchait et qu'Erwin devait laisser ses livres à la bibliothécaire, le vide l'envahissait de nouveau et il n'arrivait plus à arrêter de se demander ce qui n'était pas allé.

Avait-il trop forcé en envoyant une seconde lettre ? Avait-il exagéré en l'invitant à le rejoindre à Londres ? Lui en voulait-il pour vouloir joindre les moldus dans la recherche ? Lui en voulait-il toujours pour ce qu'il lui avait dit le soir de la disparition de Zephyr ?

Erwin ne voyait pas autre chose. Certes, il ne s'était toujours pas excusé pour cela. Mais il pensait que cela devait d'abord venir d'Albus. Il avait été méchant envers Zephyr. Et s'il ne reconnaissait pas cela, Erwin n'était pas prêt de reconnaître qu'il avait été injuste envers Albus lui-même.

Il était de mauvaise foi, il le savait bien. Mais, recroquevillé sur le canapé, refusant chaque partie d'échecs qu'Elijah lui proposait, il ne pouvait s'empêcher de lui en vouloir. C'était bien à cause d'Albus s'il était dans cet état. C'était lui qui l'avait abordé en premier. Lui qui l'avait embrassé en premier. 

Lui qui se lassait en premier.

- Wini', par Merlin, arrête de gratter ce coude !

- Pardon.

Elijah le regardait, l'air pas convaincu pour un sou, prêt à lui taper sur les doigts s'il le reprenait à se gratter.

Ils étaient seuls dans la Salle Commune. Julia lisait, Elijah jouait avec sa saleté de chat. Le silence était apaisant. Erwin aurait rêvé que sa tête puisse se taire de la même manière.

- Erwin, faut qu'on parle, tu sais.

Il regarda Julia. Elle n'avait pas quitté des yeux son bouquin, comme si elle venait de dire les mots les plus sensés du monde.

- On voit bien que tu n'es pas parti rejoindre Dumbledore. Et ça fait trois soirs de suite, continua-t-elle.

- En plus, tu refuses de jouer contre moi et tu te mets en boule dans ton coin sans parler pendant des heures, ajouta Elijah. Certes, tu n'es pas le plus grand bavard que je connaisse mais par contre, je ne t'ai jamais vu refusé de jouer aux échecs contre moi. Surtout que tu sais très bien que je perds toujours contre toi.

- Donc, on se demandait s'il s'était passé quelque chose. Tu t'es encore disputé avec Dumbledore ?

Erwin les observa tour à tour. Il n'en revenait pas qu'ils parlaient ensemble de lui et son comportement.

- Non, grogna-t-il sobrement.

- On est très avancé, ricana Julia.

- Albus est très occupé, et moi aussi. Je révise et lui aussi. C'est tout.

- C'est ça, et mon grand-père c'est Merlin tant que tu y es ! se moqua Elijah. Toi ? Réviser ? A moins que tu ne sois tombé malade ou que tu sois forcé, je n'y crois pas. Alors, raconte ? T'as choppé quoi ? La lecturite aiguë ?

Erwin souffla, énervé. Il ne leur en voulait même pas personnellement. Il s'en voulait de ne pas pouvoir leur dire simplement ce qui n'allait pas. Par Merlin, pourquoi Albus n'était-il pas une fille ?

- Très drôle, Eli'. Je vais bien. Juste, Albus est occupé. Donc je m'occupe en révisant.

- Donc c'est bien ce que je disais, tu y es forcé, rit Elijah. Mais d'ailleurs, dans ce cas, qu'est-ce que vous faites tous les soirs si vous ne travaillez pas ? Vous vous racontez des potins et commérez sur les profs ?

- Parfois, éluda Erwin en essayant de garder un visage impassible. On discute avenir, on... on regarde les étoiles, on...

Sentant le rouge lui monter au visage, il se tut. Par chance, Elijah était parfois un peu trop absent pour remarquer cette interruption brutale.

- Fut un temps, on aurait fait ça ensemble en jouant de la musique.

- C'est vrai, fit Erwin, soulagé que le sujet change. Dès que mon violon est réparé, on se fait ça si tu veux. Une nuit seuls, avec ton piano et mon violon et on joue pour le ciel et les constellations.

Enjoué, Elijah lui sauta dans les bras pour le remercier. Surpris, Erwin accusa difficilement le coup puis se mit à rire avec son meilleur ami. Eli' avait raison. Rien de tel que la nostalgie pour se ravigoter.

Mais Julia ne l'avait pas entendu de cette oreille. Quand Elijah fut parti se doucher et se coucher, elle vint s'asseoir à côté d'Erwin, s'approcha de son visage et le fixa dans le blanc des yeux.

- Euh... Ca va ?

- C'est à toi qu'il revient de répondre à cette question. Comment ça « Albus est occupé » ? Tu ne me feras pas avaler qu'il travaille pour ses ASPICs, il est de la même graine que toi. Et pourquoi ça a l'air de t'affecter autant ? Ca te force à travailler, comme l'a si bien fait remarqué Croupton. C'est qu'il doit y avoir un problème.

Erwin sentit son coeur tomber au creux de son ventre. Il aurait dû se douter que Julia allait voir la supercherie.

- Il écrit des lettres, en grande partie. A qui, j'en sais rien. Et fait des plans sur je-ne-sais-quoi. Réjouis-toi, pour une fois ça m'a permis de me rappeler qu'il faut que je travaille. Et évidemment que ça m'embête, on a passé presque toutes nos soirées ensembles depuis plusieurs mois. Quand ça s'arrête brutalement, ça te manque. C'est normal, je te dis.

- T'es sceptique.

- C'est juste que...

Avec horreur, Erwin sentit sa gorge se serrer. Il se mordit la lèvre et prit une grande inspiration avant de reprendre. S'il se mettait à pleurer, Julia comprendrait.

- C'est juste que... avec lui, c'est différent. Et j'adore quand on passe du temps ensemble. Avec vous aussi, hein. Et d'ailleurs, c'est pareil : si ça venait à s'arrêter, ça m'affecterait. Tu comprends ? C'est juste un peu brutal. Mais c'est rien, promis.

Julia lui lança une œillade peu convaincue mais n'insista pas.

***

- Il y a un truc qui ne va pas.

- Comment ça ?

Hélios était lancé à plein régime dans une réflexion qui perturbait Erwin.

- Je ne sais pas. Zephyr, il va bien. Il est normal. Il a des jours où il est en super forme et des jours où il ne sort pas de son lit. Comme d'habitude, tu me diras. Mais je ne sais pas, je sens qu'il y a un truc qui change. C'est dans son attitude générale. Je ne dirais pas qu'il est plus stressé, je ne crois pas que ce soit ça mais-

- Par Merlin, viens-en au fait, soupira Erwin.

- Je crois qu'il est comme aux aguets. Comme s'il était plus attentif à certaines choses. Mais comme je te dis, ce n'est qui sentiment, rien ne me le confirme.

Une moue pensive se dessinait sur les lèvres fines d'Erwin. Si Hélios lui en parlait, c'est que ça lui semblait important. Et ce qui l'embêtait le plus était bien que lui aussi avait eu ce pressentiment étrange en observant Zephyr.

- Ecoute, Fawley, je ne sais pas. Je le trouve bizarre aussi par moments mais moi non plus, je n'ai rien de concret. Faut en discuter avec Robbins, voir ce qu'il en pense. Et après, tous les trois, on gardera un œil sur Zeph', sans être trop invasif évidemment. Je ne garantis pas de pouvoir m'investir des masses avec les examens qui viennent et il en sera de même pour Robbins, je pense. Ca ne te semble pas trop pour toi si tu dois faire plus attention ? Sinon on se débrouillera autrement.

- Non, ça me va, le rassura Hélios avec un sourire. Je suis tout le temps avec lui de toute façon.

- Sauf quand il disparaît pendant deux jours, taquina Erwin.

Hélios parut surpris de son ton blagueur avant de s'autoriser à pouffer. Il n'était pas habituel qu'Erwin rigole de ce qui l'avait stressé. Mais il savait qu'il devait souffler un peu et il reconnaissait s'être angoissé pour rien lors de la disparition de Zephyr.

Son regard se tourna vers son petit frère, plongé dans un herbier assez ancien. En effet, d'un point de vue extérieur, il lui paraissait normal. Ses boucles blondes étaient légèrement décoiffées, sa respiration était calme, il semblait inébranlable. Mais il y avait bien quelques petits éléments qui troublaient Erwin.

Un petit soubresaut régulier de sa joue droit. Ses doigts qui tapaient un rythme régulier. Des mouvements du cou saccadés. Il semblait même se forcer à cligner des yeux.

Le parc était ensoleillé, rempli d'élèves insouciants. Cela pouvait n'être rien mais Erwin se sentait rassuré de savoir qu'Hélios allait surveiller ce comportement étrange.

***

- J'ai du sang sur les mains.

- Pardon ?

Elijah le regardait, l'air inquiet. Soudain, Erwin perçut qu'il avait mal compris.

- Non mais littéralement ! Je n'ai tué personne, Eli' ! Regarde ! Y a du sang sur mes mains.

- Mmh. Arrête de te gratter aussi. Tu verras, tu n'auras plus de sang sur les mains, bizarrement.

Erwin leva les yeux au ciel, de mauvaise foi. Il n'avait pas envie de lui donner raison.

- Vous avez remarqué que les journaux parlent de moins en moins d'Orkan ? souleva Julia en leur passant le quotidien qu'elle venait de terminer. Vous pensez que ça veut dire qu'elle abandonne ?

- Non, nuança Elijah. Par contre, ça veut dire qu'elle se fait plus petite. Pourquoi ? Bonne question. Surtout que ce qu'elle a dit à Wini' à Londres ne paraissait pas plus pacifique que ça.

- Certes mais les faits sont là, souligna Erwin en parcourant le journal vite fait. J'ai remarqué aussi qu'ils en parlaient moins. Et quand ils en parlent, c'est moins mystérieux. Pas comme si elle n'existait pas mais plus comme si le vent de révolte qu'elle faisait souffler venait s'essouffler.

- Le chocolat est très bon, Wini'. Merci !

- Tu passes du pitiponk à l'hippogriffe, Eli'.

- Certes mais Croupton a raison pour une fois, il est très bon, argua Julia. Pourquoi débattre de la presse qu'on fait à Orkan alors qu'on savoure le bon chocolat de Dublin ?

C'était qu'ils devenaient bon pour l'amadouer, s'affola un peu Erwin.

Mais il devait admettre : le chocolat était vraiment délicieux.

***

Monsieur E. O'Sullivan,

Nous avons le plaisir de vous annoncer que votre candidature au concours et à l'entretien d'entrée du Centre de Recherche en Astronomie Magico-Moldu (CRAMM) de Canberra a été retenue.

Le concours peut se passer à distance. Il se tiendra dans votre cas à Londres, le huit juillet. Si vous souhaitez le passer depuis le CRAMM lui-même, ce sera le douze juillet. Plus d'informations concernant le lieu et l'heure vous seront communiquées dans les semaines à venir.

Que vous réussissiez le concours ou non, vous êtes convoqués pour un entretien le seize juillet à 14h30. Ce sera dans l'aile sorcière, bâtiment C, étage quatre, salle Alphonse Neptuna. Vous pouvez être accompagné par un adulte, même si vous êtes majeur. Celui-ci n'aura cependant pas l'autorisation de rentrer avec vous lors de l'entretien.

La réussite au concours et à l'entretien sont indépendants. L'un ne détermine pas l'autre, votre score à l'examen sera calculé par rapport à votre dossier et vos points forts lors du concours et de l'entretien. Vous serez admis si vous obtenez un score supérieur à 450 sur 600.

Pour confirmer votre présence à l'entretien et le lieu choisi pour le concours, veuillez envoyer un hibou au bureau anglais du CRAMM au plus vite.

Nous vous prions d'agréer nos salutations les plus distinguées,

Roxane Galilée,Directrice du bureau international du CRAMM de Canberra.

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