Chapitre 7 : Nouvelle alliée
Samuel éclata en sanglots et directement ses deux amis le prirent dans leurs bras.
- Mon... Mon... père à eu un accident et il est à l'hôpital.... Et il es maintenant... entre la vie et la mort...
Samuel pleura de plus belle. Louise et Gabriel ne savait pas quoi faire. Les deux n'était pas les meilleurs pour consoler et rassuré. Surtout que Samuel était un peu anxieux, avec lui les situations minuscules devenait souvent excessivement dramatique.
- Sam respire ok, on vas t'accompagner jusqu'à l'hôpital et on vas voir si ton père est vraiment entrain de mourir. Dit Gabriel tentant d'être rassurant.
- Ouais tu connais ta mère elle aussi est anxieuse peut être que vous vous en faite beaucoup pour peux ok alors respire sa vas bien aller, dit Louise en passant sa main dans la queue de cheval de Samuel.
Samuel calma un peu, après les paroles de ses amis et arrêta de pleurer. Il essuya les larmes sur ses joues et relèva la tête. Gabriel et Louise lui sourièrent. Leurs sourires avaient l'aire coincé mais cela suffit à fait rire Samuel. Aussitôt les deux amis se regardèrent surpris.
- Vos sourire on l'aire tellement forcer pouah ah ah ah, pouffa Samuel
- Tant que ça désolé, dit Gabriel en se grattant la nuque,
- Ouais... On est pas les champion de la compassion..., S'excusa Louise
- C'est pas grave je sais que vous êtes comme ça et pour moi c'est de vrai sourire, dit Samuel en les regardant
- Bon on t'accompagne à l'hôpital, dit Gabriel en tournant les talons
Quand Louise et Gabriel tournèrent les talons pour commençer à se diriger vers la sortie du bois. Les mains de Samuel les arrêtèrent. Les deux se retournèrent vers Samuel surpris.
- Je vais y aller seul..., Dit Samuel en les dépassant
- Mais Sam-, commença Gabriel
- Non j'y vais seul... Je ne veux pas vous traîné là bas... C'est mon père...
- Envoie moi au moin un message pour savoir comment il va d'accord, dit Gabriel
- Bien sûr bref... À demain en cour, dit Samuel en commençant à se diriger vers la route.
Ses deux amis lui envoya la main. Quand il fut beaucoup plus loin un silence tomba entre Gabriel et Louise.
- Bon dit moi qu'est-ce qu'il ne sais pas, dit Louise sans regarder Gabriel
Sur les paroles de son amie Gabriel se figea. Elle n'était pas dupe elle savait très bien qu'il ne disais pas tout. Quand le jeune homme leva le regard vers son amie, il tomba sur un regard très insistant de la part de cette dernière. Il respira un bon coup et se lança.
- Non je ne lui ai pas tout dit..., Lâcha Gabriel
- Je peux en savoir plus?
- Oui à une seule condition...
- Laquelle?
- Tu ne le diras à personne et encore moins à Sam, Imposa Gabriel
- Alors c'est vraiment important, dit Louise en croisant les bras, d'accord j'accepte maintenant montre moi ta trouvaille.
Gabriel prit son téléphone et sorti la photo de la fille et tourna l'écran vers son amie. Le visage de Louise montra la surprise.
- Et elle est en vie la pauvre chouette? Demanda-t-elle
Gabriel lui répondis en hochant la tête. Louise regarda a nouveau la photo.
- Elle à notre âge à peu près, lui dit-il
- Ouais t'a raison et à voir la longueur de ses cheveux sa fait beaucoup de temps qu'elle est prise là... Reste à voir comment elle à survécu, pensa tout haut Louise
- C'est ça que j'essaie de savoir ma première suspicion est les deux personnes qui nous ont pourchassés Sam et moi.
- Ouais pareil c'est le meilleur indice... Mais pourquoi?
- Je vais essayer d'en savoir plus en faisant des recherches, lui dit Gabriel
- Je vais t'aider mon milieu c'est les truc sombre et les choses à analyser. Je vais essayer de chercher ce soir. Es-ce que tu à trouver le nom sur une pancarte ou un panneau au pensionnat?
- Oui Sainte-Marie Lajoie,
- Ok alors on vas commencer pars savoir à quoi consistait le pensionnat car il l'aurait pas construit pour rien.
- Oui c'est vrai hier j'avais pas trop la tête à ça et je n'y avais pas pensé, Affirma Gabriel
- On vas faire nos recherches et on se texte à soir? Demanda Louise
- Oui! On vas faire ça,
- Good alors à se soir pour la mini réunion partenaire, dit Louise en tendant la main à Gabriel
- Ouais, lui répondit Gabriel en lui serrant la main.
Ils étaient maintenant deux sur l'affaire. Deux enquêteurs sur une affaire qu'il n'avait pas lieux d'être. Ce pensionnat était beaucoup trop mystérieux pour être juste un simple pensionnat. Il renfermait entre ses murs quelques chose, une histoire certainement terrible. Les deux jeunes était déterminer à en savoir plus et à potentiellement sauvé cette jeune femme. Gabriel était plus que jamais déterminé et il avait hâte que sa jambe aille mieux pour retourner au pensionnat.
Gabriel marcha sur le chemin de sa maison quand soudain la sonnerie de son téléphone sonna. Il le prit et vit un message de Samuel.
Gabriel ferma son téléphone. Cet échange avait été brève, trop brève... Samuel et lui pouvait trouver un sujet de conversation avec rien et se parler des heures. Mais là... Il avait l'impression qu'ils ne savaient pas quoi ce dire. Sa faisait bizarre pour Gabriel. Il avait quelque chose de pas droit. Peut-être que Samuel savait qu'il lui disait pas tout. À cette pensée le coeur de Gabriel se serra, tout son être espéraient que se ne sois pas le cas. Perdu dans ses penser noir il arriva chez lui sans s'en rendre compte. La voiture de sa mère et de son père était pas là. Pourtant son père devrait être là? Sa mère travaillait mais pas son père. Des questions commençèrent à germé dans la tête de Gabriel chassant en même temps les idées sombres. Quand Gabriel rentra il vit un message sur la table à côté de la garde-robe.
"Salut mon grand, je suis parti faire quelque course pour ta mère je vais être de retour en même temps qu'elle vers 15h30 À ce soir
Papa"
- Pourquoi avait -il insisté sur le fait qu'il sois de retour à la même heure que ma mère? Se dit Gabriel, c'est louche de plus en plus.
De retour dans sa tête Gabriel alla dans la cuisine et prit un pot de compotes au pomme que sa mère prépare à l'automne et qu'elle fait congeler pour pouvoir les manger l'hiver. Après s'être servit Gabriel monta dans sa chambre Lilou sur les talons.
- Bon maintenant place à la recherche. Dit le jeune chercheur devant son ordinateur.
À suivre....
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