Chapitre 5: bon choix mauvais choix

Quand Gabriel fut entré sa mère était dans la cuisine. Quand elle l'entendit rentrer, elle lâcha sont couteau et se dirigea rapidement vers son fils. Quand elle vit la jambe de ce dernier elle se figea instantanément.

- Mon dieu seigneur qu'est-il arrivé à ta jambe Gabriel!, s'exclama la mère

- Je...je suis tombé au travail... Samuel avait échapper un vers et moi voulant ramasser les bout de verre au sol j'ai glisser sur l'eau et tomber sur les morceaux de verre...

- Et personne n'a fait attention au fait que tu sois gravement blessé? Interrogea la mère en guidant son fils à la cuisine

- Non j'ai cacher ma blessure... de toute façon ça fait pas si mal que ça-

Sa mère lui coupa la parole quand elle mis l'acool qui sert de désinfectant sur la plaie encore fraîche. Gabriel étouffa un petit cris. Ça chauffait énormément. Il serra les poings pour essayer de pas réagir plus.

- Tu ne t'es pas manqué! Dit la mère en allant chercher des bandages.

Gabriel lui répondit d'un signe de tête. Il était soulagé que sa mère n'y voyait que du feu dans son histoire de verre briser.

- Vas te laver et tu me donnera ton pantalon pour que je le répare, on vas souper après.

- D'accord. Lui répondit Gabriel en se levant

***

Après avoir prit sa douche et avoir donné son pantalon à sa mère. Cette dernière lui plaça un bandage sur sa blessure et il soupèrent ensemble. Étrangement, la mère de Gabriel était un vrai moulin à parole ce soir. Toujours entrain de parler et la conversation allait à sens unique, cet à dire, elle parle mais n'a jamais de réponse. En se moment Gabriel était un véritable mur. Quand on dit que l'on parle à un mur quand personne nous écoutes et bien là les murs aurait été plus bavard que Gabriel. La conversation de sa mère était louche. Souvent quand quelqu'un n'arrête pas de parler, alors qu'en temps normal il n'aurait pas autant bavardé, cela veut dire que quelque chose le stress ou que quelque chose ce trafic. Alors pour faire redecendre la pression, il cherche à éviter la conversation ou un moyen de ne pas inciter une personneà poser une question. Et dans le cas de la mère cela avait plus l'air d'être la chose à ce reprocher.

- Tu parles beaucoup ce soir...

- Tu trouve?

- Ouais habituellement quand je parle pas tu parle pas, lui répondit Gabriel

- Désolé si je suis une pipelette aujourd'hui, dit amèrement la mère, je te rappelle que je suis chez moi et je vais parler autant que je le voudrais!

Gabriel regarda sa mère surpris. Maintenant il n'y avait aucun doute. Il y avait vraiment quelques chose de pas normal dans le comportement de sa mère. Elle était sur les nerfs et il ne savait pas pourquoi. Gabriel fourra dans sa bouche la dernière bouché de spaghetti et se leva pour aller mettre son assiette dans le lavabo. Sa mère le regardait perdut.

- Qu'es ce que tu fais? Demanda-t-elle

- Je..je... vais continuer de réviser..., dit Gabriel

- Ah... d'accord alors...

Gabriel lui répondis d'un bref regard avant de monter les escaliers. Arrivé dans sa chambre, il prit son téléphone et envoya un message à sa sœur.

Gabriel se mordit les lèvres et retenait pour pas faire couler les larmes qui était sur le point de sortir. Il s'en voulait énormément d'avoir cédé et d'avoir traîner son meilleur ami dans tout ça. À cause de ça il doit lui mentir pour pas le voir retomber dans le traumatisme qu'il avait vécu. Il ne supporterait pas de revoir son ami pleurer et surtout pars sa faute... C'était ça le vrai problème pour lui.

Gabriel regarda les messages de sa sœur et essuya les larmes qui avait commencé à couler. Marguerite avait raison. Elle lui avait fait ouvrir les yeux. C'était parce qu'il s'inquiète pour son ami qu'il a décidé de lui mentir.


Un rendez-vous? Pourquoi? Qu'est-ce qu'il y avait de si spécial ce rendez-vous. Gabriel était intrigué pars ce fameux rendez-vous. Sa sœur avait réussi à faire dévier les pensées de Gabriel vers un autre sujet bien moin sombre que l'autre. Il posa son téléphone sur sa table de chevet et se glissa sous ses couvertures. Maintenant bien au chaud sous sa douillette, il fixa le plafond et il eu une pensée pour la fille. Depuis quand elle est prise là? Pourquoi elle est la seule survivante? Est-ce que les deux personnes la battait ou c'est elle qui ce faisait toute ses blessures sur ses bras? Incapable de dormir avec toute les questions qui ce battait dans sa tête. Gabriel décida d'analyser la photo qu'il avait prit.

Gabriel se redressa sur son lit et alluma la lampe sur sa table et prit son téléphone. Maintenant que sa tête et ses émotions étaient plus calme. Il pouvait regarder la photo sans penser à Samuel. Gabriel regarda la photo attentivement. Elle était légèrement brouiller mais ça passait largement. Il regarda tout de la photo. Tout les petits détails qui était susceptible d'être importants. Il remarqua un couteau de cuisine dans le coin de la pièce. Sauf que celui ci n'était pas ensanglanté. Ce qui lui assurait que ce n'était pas elle qui avait fait les marques sur ses bras. Car elle aurait utilisé ce couteau et vue que ses blessures semblait fraîche le couteau serait encore dégoulinant de sang frais. Gabriel s'attarda sur la fille. Elle semblait jolie malgré son visage voilée pars ses cheveux qui concurrençait la princesse Raiponce en terme de longueur. Le corps de la jeune femme était habillé de seulement une robe, qui aurait put clairement être associée à un chandail long tellement elle était courte. Cette robe était blanche, pas un blanc immaculé. Non loin de là, c’était un blanc jaunis pars le temps et la saleté de la pièce. De plus, Gabriel pouvait discerner des trous à certains endroits du vêtement. Surtout sur les côtes de la jeune femme. Maintenant que la fille fut examiné au peigne fin, Gabriel s’attarda sur l’éclairage de la pièce. Il semblait y avoir une fenêtre. Car il y avait un tas de neige derrière la femme et que la luminosité était présente, relativement faible mais présente. Alors on peut voir la fille de dehors. Reste juste à trouver quel fenêtre du sous-sol correspond à la pièce. Il serait facile de savoir car avec la luminosité montrer sur la photo la fenêtre devrait être déneigé.

Soudainement, Gabriel sentit en lui le besoin de retourner au pensionnat. Il devait en savoir davantage sur cette fille. Cette fois il y ira seul. Pas question de ramener Samuel là bas. Surtout que ce qui alimentait son désir de retourner dans cet endroit était ce qu’il cachait à son ami. C’était décidé, il allait y retourner dès que sa jambe serait guéri ou plutôt en meilleur état. Maintenant que le feu de la curiosité était rallumé dans la tête du jeune homme, Gabriel ferma son téléphone et sa lampe et mis sa tête sur son oreiller. Il était déterminer à en savoir plus sur cette fille. Il était hors de question de la laisser tomber surtout qu’il savait que deux personnes faisaient des choses malsaine avec cette jeune femme qui ne méritait sûrement pas ce sors.

La tête maintenant pleine de détermination, Gabriel sombra dans un sommeil profond se faisant mille et un plan pour retourner là bas.

À suivre...

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