Tour de garde

Il se faisait tard et nos héros étaient fatigués. Bien sûr ils continuèrent tous de parler et de rigoler mais Kiava revint avec son père au près du camps. A se moment tout le monde se tu. Puis d'une même voix Kiava et Merillona dirent:

<< pardon.

puis toujours en synchronisation

- non c'est moi je suis désolée.

- j'ai été trop bête. Bien sûr que tu as raison d'être en colère et je te soutiens à cent pour cent. Continua Merillona.

- C'est moi j'ai été vraiment trop stupide, je n'aurai pas dû te crier dessus, je n'avais pas le droit et aucune raison.

- Bien sûr que tu si tu as raison. Tu m'as ouvert les yeux. Mais bien sûr que je ne vois pas ses elfes comme des gentil. Enfin pas toi n'y Legolas mais les autres je ne suis pas de leur côté.

- Je le sais bien et je te demande pardon. Je n'aurai pas dû dire ça. J'ai été bête.

- Non c'est moi qui était bête. Je ne pensais pas se que je dit.

- Moi non plus, aucun. A aucun d'entre vous. Je vous aimes et je mourai pour vous. C'est juste que je ne sais pas... J'étais énervé.

- C'est normal après tout se que on a enduré. S'il te plaît ne t'en veux pas, nous sommes tous à cran.

Puis les deux s'étreinnirent. Kiava fit des excuses aux autres membres de l'ACLM puis il repartir vers leur camp. Merillona avoua son homosexualité à Kiava qui le pris très bien puis ils parlairent alliance et méchant. Mais ne trouvais pas de manière de vaincre le mal , plusieurs idée vinrent comme celle de chercher le Gondor, le Rohan les peuples elfes et nains et de conquerirent le territoire de Galadriel. Ou aussi d'y retourner en mode furtif et de tuer Galadriel.

Mais toutes ses solutions ne pouvais pas fonctionner.

Premièrement Gimli avait entendu à un moment que Galadriel préparai quelques choses de plus gros, donc il fallait savoir quoi.
Deuxièmement ils savaient que plusieurs armée d'orks était allier à Galadriel.
Troisièmement certains peuples ne pourrai ou ne voudrais pas se battre car trop faible ou alors en ancienne bonne entente avec Galadriel.
Et quatriement on voyait que les grands ne voulais pas tuer Galadriel. Il ne voulait pas tuer une alliée passé ni pour certains une amis et d'autres une déesse.

<< Vous nous cacher encore des choses ?! Dit Cythiel en voyant le manque de motivation des garçons.

- Non pas du tout pourquoi ? Répondit Gandalf avec vitesse.

- Parceque on dirai que vous ne voulez pas arrêté cette guerre. Lança Merillona.

- Si bien sûr que l'on veut l'arrêté c'est juste que dans le passé nous étions amis. C'est dur. Murmura Legolas le regard perdu.

- Mais ... Vous devez vous y attendre depuis longtemps vue que vous étiez au courant pour moi. S'exclama Kiava.

- Pas exactement. On savait que Galadriel était revenu et se cachait mais on ne pensait pas qu'elle nous attaquerait. Dit Aragorn.

- Mais quand à la fête vous avez entendu parler de bataille vous vous doutez que c'était elle?! Questionna Cythiel.

- Oui et non. On avait des doutes. On ne voulais pas y croire. S'attrista Gimli.

- on comprend que c'est dur mais vous devez vous en remettre. Dites vous que se n'est pas Galadriel mais une toutes autres personnes. Lui répondis Merillona.

- Ça se trouve c'est le cas. C'est peut être son sosie ? Dit Kiava.

- oui peut être !? S'enjoua Cythiel.

- c'est impossible. Répondit tristement Aragorn.

- Mais

- Non pas de " mais" les filles. C'est Galadriel un point c'est tout. S'énerva Gandalf.

-...

- désolée nous sommes tous à cran. Je propose que nous dormions et que quelqu'un fasse la garde. Aucun partant je suppose ? Continua t'il .

- Moi je veux bien. Dit Legolas.

- Tu ne peux pas, tu es le plus blesser. Repondis Aragorn.

- Pourquoi pas le dire en français !? S'amusa Merillona nerveusement car habituellement quand Aragorn parlait en elfique c'était soie par amour soie par inquiétude.

- Tu es blesser Legolas. Il te faut du someil. Dit Cythiel elle aussi en elfique se qui surpris tout le monde.

- Je pense qu'il en est capable. S'exprima Kiava toujours en elfique.

Cythiel lui envoya un regard étonné et Legolas lui un regard reconnaissant.

- Bon si un jour vous aviez l'amabilité de parler en langue commune. Les langues et moi ne sommes pas amis. Dit à son tour Merillona dans un mauvais elfique.

- Et tu t'y mes aussi! Arrêtez ses balivernes est parlé comme tout le monde. Je sais pas se que vous dites mais je défends Legolas! Grogna Gimli

- Tu viens de donner ton accord pour qu'il fasse le premier tour de garde. Répondit avec sourire Gandalf.

Avec un rire commun tous continuèrent à discuter puis bientôt allèrent se coucher excepté Cythiel qui resta quelques instants main dans la main avec Legolas.

Ils étaient un peu à l'écart du camps et discutait en chuchotant:

- Je t'aime Cythiel.

- Je t'aime aussi.

- J'ai eu tellement peur de te perdre. Lui dit il en la serrant dans ses bras blesser.

- Et moi donc ! Si j'avais su... Je m'en veux tellement. Répondit elle lui caressant le visage.

- Tu ne dois pas tant vouloir. Tout vas bien. Nous sommes réunis et pour toujours.

- Tu oublis que je suis mortel et toi un elfe.

- Je mourai pour toi.

- Mais je ne veux pas que tu meures.

- Cela est mon choix. Je préfère vivre cents ans à tes côtés que l'éternité sans toi. Murmura t'il en levant le visage de Cythiel.

- Mais ...

- Ne t'inquiètes pas. J'ai déjà vécu longtemps et voir mourrir ou partir mes amis les un après les autres n'est pas mieux que moi même disparaitre. J'attendais l'amour et je l'ai trouvé, je ne le perdrai pas.

- Aaaaaaaaa

- Cythiel ?! Cythiel ?!

Il l'a pris dans ses bras et la porta jusqu'à un lit de feuilles. Il l'a posa et la regarda inquièt.

- Rien, se n'est rien. Dit elle.

- Bien sûr que si. Qu'as tu?

- C'est la blessure que tu m'as soigné à la fête. Ça n'a pas guerri. Aaaaaaa.

- Ne bouge pas je vais te chercher des herbes.

Il partie et Kiava arriva. Elle n'avait pas réussi à trouver le sommeil mais trop de questions tournait. Alors malgré elle avait écouté la discussion des amoureux. Pourtant elle avait essayé de dormir. Mais rien. Elle avait trop peur, trop mal, sa mère était puissante. Mais pourtant elle ne l'avait pas tuer? Était elle forcer? Peut être qu'elle n'était pas méchantes. Peut être que Kiava avait plus de magie qu'elle n'y pensais. Pourtant elle se sentait nul, elle se sentait énervé et fatiguée. Elle ne se dirigeait plus. Alors elle alla voir Cythiel.

- Cythiel ? Ça va? Lui demanda t'elle.

- Oui ne t'inquiètes pas. Va te reposer.

- Pourtant je t'ai entendu crier.

- Au se n'était rien. Juste une aaaaa araignée.

- je ne crois pas. Laisse moi voir.

Elle ouvrit vite la robe de Cythiel et vis la plaie. Ça avait l'air plus que grave. Elle était rouge et ensanglanté.

Mais cela ne pouvais être possible ? Elle avait été cicatrisé ?

Alors Legolas reviens. Cythiel était gêné que Legolas la vit avec si peu s'habit mais lui ne semblait préoccupé que par la blessure. Il vit avec horreur qu'elle ne ressemblait en rien à celle qu'il avait pensé.

La plaie était plus grosse et semblait récentes, le sang était frai et toutes autour une tâche rouge s'étendait sur son dos.

- Ce n'est pas possible... Murmura t-il

- C'est peut être un coup des elfes. Ils m'ont soigné là-bas, ils ont peut être ré ouvert ma blessure.

- mais ça n'a pas de sens. Ils ne t'aurais pas soigner si ils voulaient te tuer.

Legolas poussa un juron puis dit:

- c'est un coup de Ravena. Cette elfe à des pouvoirs au dessus de la moyenne. Je suppose qu'elle ne t'apressi guère et qu'elle a voulu te blesser sans l'accord de Galadriel qui elle voulait te soigner.

- Et que peut elle faire?

- Elle a un certain lien avec les serpents... Sa pourrait être une forme de venin... Je suis tellement désolée. Tout ça est de ma faute.

Cythiel pris la main et dit à Legolas:

- rien de tout ça est de ta fautes. Se n'est pas toi qui m'a empoisonné.

- on ne peut pas rester là. Il faut que l'on aille chercher des soins. Il faut que l'on parte dans mon royaume. Nous pourrons te soigner.

- Non il faut continuer la quête. On ne peut pas laisser Galadriel prendre le pouvoir.

- Et toi on ne peux pas te laisser mourir.

Un silence d'abati puis ils continuèrent à débattre pendant que les autres dormaient. Ils décidèrent d'attendre pendant la nuit et de voir si Cythiel n'allaient pas mieux avec quelques plantes que Legolas avait trouver. Kiava retourna se coucher;  bientôt tous dormaient excepté Légolas.

Il continuai sa ronde inquiet à l'idée que Cythiel était malade, il avait peur pour elle. Il ne voulait pas la perdre. Il marchait tranquillement sur les branches fines et il s'amusait à aller au plus loin et haut plus haut toujours en gardant ses deux magnifiques yeux sur le camps puis il passa pres des poneys voir si tous allait bien. Ensuite il continua sa ronde et alla réveiller Gimli qui devait prendre son tour de garde. Il avait en réalité hâte de le réveiller pour pouvoir discuter avec son meilleur ami. Il le réveilla avec un immense sourire que le nain n'aprecia guère puis il se leva en marmonant dans sa barbe rousse. Les deux continuèrent à marché tout en discutant de Cythiel, de Galadriel, de blague, de blessure. En fait de tout.

Puis ils passèrent sur le côté nord des arbres. Il n'y avait pas grand chose excepté un lac sombre. Ils le passèrent sans sans soucier mais pourtant quelques chose d'obsure bougea à la surface. Legolas entendu se bruit et regarda le lac, rien. Il continua sans parler de ses doutes à son ami pensant que la fatigue et la douleur était la cause de son stress .

Ils retournairent vers le centre de l'arbre mais juste derrière eux une chose s'avança. Legolas fut sûr du bruit juste derrière lui alors il tourna tout en brandissant son arc et fit fasse à un être effrayant, il était trempé, grand, visqueux, bleu clair pour être exact bleu mer. Et semblait plus poisson qu'homme.

Legolas et Gimli attendaient une attaque de leurs asssayant mais rien. Il les regardaient sans bouger. Alors il siffla. Et là d'autres hommes et femmes sortirent de l'eau. Le chef fit sortir un jet d'eau de sa main et l'etendit sur la branche ou était Legolas et Gimli. Ils glissèrent de la branche mais réussir à se rattraper avec une main sauf que l'eau coulait toujours plus. Ils glissèrent et tombèrent assommé. Les hommes poisson prirent les autres membres de l'ACLM et les chevaux. Puis le chef dit d'une voix étonnement aigu ( mais jamais nous ne nous serions moqué par peur ):

- Il feront l'affaire. La reine en aimera au moins un.

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