La rivière

Le soleil venait de se lever quand les trois jeunes filles sortir de leur tente les yeux une fois encore rouges et bouffies. A en croire leur tête elles avaient toutes les trois passer une nuit agitée, pleine de cauchemars.

Ce qu'elles ne savaient pas c'était que pendant la nuit les veilleurs n'avaient pas perdus leur temps. Cette nuit là différents bruits avait été entendu.

Au tour de Gandalf un ork avait regardé au loin le camp de l'ACLM avec un grand intérêt. Heureusement Gandalf l'avait remarqué puis avait essayé de le capturer.

Mais se monstre ne voulait pas parler, il préféra se tuer. Sans que Gandalf est pue apprendre la moindre chose son prisonniers était mort.

Étant sûrement un éclaireur, chaque adulte était resté éveillé toute la nuit vérifiant que d'autres orks n'étaient pas dans les parages.

Tous avaient décidé de ne rien dire aux filles et en furent encore plus convaincue quand ils virent leurs états. Elles aussi n'aillant que peut dormi .

Une fois le petit déjeuner pris ils commencèrent à partir .

La route était longue est silencieuse, personne ne parlait. Les arbres eux étaient noirs, le soleil cacher par d'épais nuages. Pas un oiseau ne chantait et pas un lapin ne courrai.

Les chevaux paraissaient agités, tendue et ne voulais pas avancer sur la route pourtant simple et dévasté.

Tout ça ne présentait rien de bon.

Ils firent une altes et laissèrent leurs chevaux boire pendant qu'eux vérifiaient les alentours.

Gimli vit sur un arbre un signe étrange. Il y avait un trait droit surligné d'un autre trait qui ondulait. Par dessus ces deux dessins superposés un rond les entourait.

Légolas un peu plus loin vit un autre arbre avec le signe .

Pareil pour Aragorn ainsi que Gandalf.

Kiava elle remarqua une gourde, elle la ramena à Gandalf qui inspecta le contenu. Il restait quelques gouttes d'une texture poisseuse et marron.

Pour l'instant il ne savait pas se que ça pouvait être. Gandalf en avait une idée mais ne préférait pas en parler en compagnie des mineurs.

Ils continuèrent à marcher jusqu'à être arrêté par une cascade.

Cette cascade était d'un bleu limpide pourtant elle n'avait rien de rassurant. Elle était puissante et l'eau avait l'air épaisse .

Dans la chute de la cascade il devait bien y avoir une quinzaine de mètres qui la séparait du sol.

Mais après inspection de Gandalf l'eau n'avait pas l'air enchantée.

Ils décidèrent donc de passer, de faire d'abord passer Gandalf suivie de tout les chevaux pour ensuite enchaîner de rocher en rocher avec les autres.

Dans un silence tendue Gandalf passa.

Il ne se passa rien. L'eau était normal.

Il était arrivé de l'autre côté de la rivière. A se moment un vent puissant arriva, dans son souffle, on aurait dit qu'il parlait pourtant c'était impossible .

Une fois le souffle passer Gimli sauta sur un rocher d'un air assurer, il n'y avait plus rien à craindre, Gandalf était passé sans problème.

Sauf bien sûr l'énorme vague qui s'abattit sur lui une fois le second rocher passer ...

Gimli tomba à la renverse, il ne se tenait plus qu'à ses mains, le courant commençait à l'emporter.

Une autre vague s'abattit pile sur lui. Le fruit du destin ?

En tout les cas il n'allait plus tenir longtemps.

Légolas escalada un rocher puis monta sur le deuxième, il se pencha le plus possible essayant d'attraper Gimli quand une nouvelle vague s'abattit sur Légolas et Gimli.

Légolas était assez bien accroché au rocher, mais Gimli lui fut emporter par la vague.

L'elfe dans un grand geste arriva à attraper la cheville du nain mais lui même n'était plus aussi solidement accroché au rocher.

Comme si la situation n'était pas assez compliqué une nouvelle vague se déchaîna sur le beau blond alors tout deux tombèrent à l'eau.

Il leur restait environ dix mètres avant que le taurent les emmène au loin.

Merillona la plus au bord se pencha et essaya d'attraper un bout de Gimli ou de Légolas. Elle réussit à attraper un bras, celui de l'elfe.

Alors elle essaya de le retenir du mieux qu'elle pu. Aragon arriva et l'aida aussi à le tirer de l'eau.

Gimli lui avait réussi à s'accrocher sur une pierre mais pas pour très longtemps. Cythiel lui envoya une corde qu'il ne réussit pas à rattraper, sa ne fonctionnait pas. La corde n'était pas lancer assez loin et quand Gimli essayait de la prendre il perdait l'équilibre et se retrouvait de nouveau à l'eau s'approchant à chaque fois plus de la chute, de la mort.

Si une nouvelle vague s'abattait sur le nain il ne pourrait plus rien faire.

Gandalf quand à lui essayait différentes sources de magie essayant d'empêcher les vagues grâce à des inquentations comme :

<< Rivem Portem not livimarem, abraralim sibaline vaguikim noitot vogiiim, noitot vogim, arratimiiis.>>

A se moment Kiava passa sur les pierres

<< Ne fait pas ça Kiava ! Les vagues te prendraient ! Cria un Gandalf affolé. >>

Dans son angoisse il  n'utilisait plus la magie, par conséquent une nouvelle vague allait d'abattre sur son unique enfants.

Mais au dernier moment alors que Kiava se préparait à avoir de l'eau plein les poumons rien ne se passa.

L'eau c'était arrêtée, une vague en face d'elle ne bougeait plus, attendait.

Elle en profita pour aider Gimli à se relever et à répartir sur la terre ferme.

Une fois arrivé la vague céda et s'écoula dans la rivière.

Personne ne comprenais se qu'il se passait. Ils étaient tous trempés et apeurés de passer dans cette rivière.

Aragorn accrocha tout le monde avec sa corde est commença à avancer sur les rochers.

De nouvelles vagues arrivèrent, mais étant bien attaché personne ne tomba, une fois Kiava au millieu de l'eau les vagues s'arrêtèrent pour reprendre quand elle fut passé.

Tous trempés et sûrement enrhumés ils s'accordèrent une courte pause.

Point de vue Aragorn

Déjà l'ork se matin puis les signes sur les troncs pour finir par cette étrange rivière. Tout cela ne pouvait pas être dû qu'au hasard.

Nous l'avions échappé de peu, la prochaine attaque serait mortel. Je me montrai d'un air assurer pourtant je n'avais en moi plus que l'espoir, toutes mes forces m'avaient quittées.

La nuit tomba très vite, trop vite. Nous étions toujours mouillé quand Gandalf décida de mettre le camp.

Tous fracturés et enrhumés nous avions choisi de prendre un bain bien chaud, Légolas et Cythiel allèrent chercher l'eau.

J'étais vraiment heureux pour eux, ils étaient tellement mignons. Et leur amour me faisait moins penser au mien. Chaque pas m'éloignais d'elle. Dans le passé j'avais tout fait pour être avec Arwen pour l'éternité mais maintenant j'étais de nouveau loin d'elle. Elle me manquaient, mon fils aussi me manquait. Plus vite nous aurions détruit le mal plus vite je les reverrais.

Une fois revenu avec l'eau nous la mirent sur le feux pour la faire chauffer. Une fois chaude Gandalf changea la forme de deux rocher pour qu'ils fassent une baignoire.

Chacun notre tour nous y allions. Que c'était bon d'être dans de l'eau propre et chaude.

Quand tout le monde fut propre nous commençâmes à manger jusqu'au moment où Kiava demanda :

<<  On peut aussi faire des tours de garde !? S'il vous plaît !

- Vous n'êtes pas fatiguées ? Questionna Gandalf.

- Si comme tout le monde mais on veut aussi vous aider . On vous a déjà causé tellement d'ennuis... Répondit Cythiel.

- Et puis vous aussi vous devez être fatigués ! Sans oublié que nous n'arriverons pas à dormir dans tout les cas. Ajouta Merillona.

En soie elle n'avait pas tord nous n'avions que peu dormi et la journée avait été rude, surtout pour Gimli.

- Avoir quelques heures de plus ne nous ferait pas de mal . Suggérais je.

- Mais si elles leur arrivaient quelques choses comme cette nuit ? Objecta Gimli.

- Qu'es qu'il s'est passé cette nuit ! Dirent elles à l'unisson.

- Bravo Gimli. Lançais d'un ton morne.

- C'était involontaire, de toute façon j'avais dit qu'on devait leur dire.

- Oui mais elle était déjà assez inquiète comme ça. Assura Légolas en regardant la jeune naine.

- On peut savoir !? S'il vous plaît ! Continuèrent elle.

- Bon calmez vous tous. Cette nuit un ork à guetté notre campement. Une fois capturé il a préféré se suicider que de parler. Durant le reste de la nuit nous avons veillé voir si d'autres n'était pas dans les parages. Nous pensons que c'est un éclaireur. Dit Gandalf.

- O ... Et bien raison de plus pour avoir un tour de garde, vous devez vraiment être épuisés. Tenta Merillona.

- Elle n'a pas tort.

- Oui mais si d'autres venait.

- Gimli tu es le plus fatigué d'entre nous quelques heures de plus te ferais du bien. Lui répondis je.

- Mais pourquoi ne pas nous l'avoir dit ? Questionna Cythiel.

- On ne voulait pas vous inquiéter d'avantage. Raconta Légolas honteux.

- Mes amis, elles sont grandes et tout autant dans l'aventure que nous. Je pense qu'elles devraient avoir un tour de garde. Nous ne dormirons que sur une oreille et elles nous réveilleront en cas de problème. Proposais je en les regardant tour à tour.

- Je suis pour. Dit Gandalf puis tout les autres d'un ton confiant. >>

Nous leur faisions confiance mais préférions qu'elles passent en premier.

Gandalf leur avait expliqué les différentes façons de rester éveillé .

Après une avoir fumé une pipe dans le ciel sans étoiles nous partîmes nous coucher. Laissant une jeune Kiava seule dans la nuit.

Je leur faisait entière confiance mais je n'aurai voulu en aucun cas qu'il leur quelques choses.

Je m'endormis très vite, ces derniers jours avaient été tellement éprouvant qu'une fois ma tête posée sur ma celle je m'endormis .

Cette nuit là mon rêve était étrange, je voyais Arwen . Elle était belle avec ses grandes boucles brunes et sa belle peau porcelaine. Elle commença à me parler en elfique.

Je comprenais se qu'elle me disait mais les paroles n'allaient pas jusqu'à mon cerveau. Elle parlait de la forêt, de mes nièces, de la rivière, des orks et du campement.

Je dormais depuis longtemps, beaucoup trop longtemps,mon tour de garde devrait être passé.

Mais je préférais rêver d'Arwen que de me lever. Peut être que j'hallucinais. Peut être que je ne dormais depuis une demi heure à peine.

Mais plus je dormais plus les mots d'Arwen devinrent clair.

Cythiel
Ork
Attaque
Danger
Camp

A se moment je remis tout en place. Cythiel était en danger car les orks attaquaient le camp !!!

Je me leva, empoigna mon épée et couru en toute hâte. Je cherchais Cythiel. Elle aurait dû se tenir la au bord du camp. Je ne la trouvais pas.

Je continuais de chercher jusqu'à trouver une personne à terre respirant difficilement, je m'agenouilla pour la voir.

C'était Cythiel.

Mais à se moment un métal froid et tranchant était posé sur ma nuque.

nous n'étions plus seul dans les bois.

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