La confrontation
- MOI!
NON JE NE POUVAIS PAS ÊTRE ÇA. toute ma vie j'avais rêver de s'avoir qui était mes parents biologiques et comme résultat c'était des monstres. Que je détestais et contre lesquel je luttais pour sauver le monde.
JE NE POUVAIS PAS ÊTRE LA FILLE DE GALADRIEL. SI ELLE ÉTAIT AFFREUSE, JE L'ÉTAIS. SON SANG COULAIT DANS MES VEINES. ELLE ÉTAIT PIRE QUE JE N'AURAI JAMAIS PENSER.
- oui toi trésor! Viens de mon côté et nous vaincrons le monde ensemble.
- NON mais vous rêver ou quoi. Mon seul but c'est de vous détruire. Même étant ma créatrice vous n'êtes pas ma mère.
En étais je aussi sûr ?
Mais même sans pouvoir parler ma famille me regardait avec amour.
- BRAVO KIAVA ! cria Cythiel
Puis elle fut mis en muet comme tout le reste du groupe sauf encore Merillona.
- Tu m'appartiens ! S'exclama Galadriel.
- Elle n'appartient à personne. Et encore moins à vous. Vous n'êtes pas ça mère et vous ne la serez jamais. Une mère se n'est pas donner vie c'est s'occuper et chérir ceux qu'on aime et vous ne l'avez jamais fait. Cria Merillona.
A se moment là elle se dit qu'elle avait de la chance avec ça mère Eowin.
- T'es toi fille d'Eowin et Faramir. Tu ne sais pas de quoi tu parles. Tu crois que je voulais l'abandonner. Je l'ai fait pour la protéger.
Puis elle claqua des doigts et fit aussi taire mon amie.
- Même si vous vouliez me protéger vous pouviez venir me voir. Et si vous m'aimiez comme une mère aime sa fille vous ne detruiriez pas le monde où je vie.
- TU NE COMPREND RIEN. JE DOIS LEUR FAIRE PAYER.
- Mon père est Gandalf et je n'ai pas de mère. Je n'en ai pas besoin. Alors faites souffrir le monde mais ne me mettez jamais dans le même bateau que vous. Je ne suis en rien semblable à vous.
Je ne sais pas d'où me venait de courage mais j'étais fière d'être la fille de Gandalf.
- SE VIEUX, LA FAIT VAR IL M'ETAIT REDEVABLE. TU ME DOIS ALLEGEANCE. TU ME DOIS LA VIE. SI TU VIENS JE TE RENDRAI PUISSANTE. TU SERA MON ARME.
Tout en disant ça elle grandissait de plus en plus et ses traits de deformerent un peu.
Arme ? Se n'était pas la première fois qu'elle le disait. Mais en quoi étais je une arme. J'étais juste une adolescente avec de minable pouvoir.
- Vous vous trompez peut être que je suis votre fille mais je ne suis ni une arme ni votre esclave. Alors laissez tomber cette guerre. Elle n'a aucun sens et vous ne la gagnerez pas.
- Jeune empotée. Tu crois que la fille de Galadriel ne serai pas puissante. Quel n'aurait pas ça force ? JE régnerai sur la terre même si je dois te tuer.
Ramenez tout le monde dans la prison excepté elle et le vieux.
Les autres furent emmenée au loin.
- S'il te plaît Galadriel ne fait pas ça, dit Gandalf étrangement calme et compatissant.
- Alors ne te met pas au travers de mon chemin. Je ne veux pas plus que toi te tuer mais si il le faut je le ferai.
- Mais pourquoi. En se moment nous pourrions tous aider le monde. Tuer des orks mais toi tu les rends plus nombreux. Pourquoi ?
- Je l'ai déjà dis. Le monde m'a fait mal. Je lui rend la pareil.
- Les orks aussi ton fait mal. Pourquoi t'allier avec eux.
- Car ils sont bêtes et veulent la guerre.
- A l'époque tu nous aidait.
- Gandalf je te serai infiniment reconnaissant d'avoir protégé ma fille mais maintenant pousse toi de mon chemin.
- Jamais. C'est ma fille.
- Ne joue pas à sa avec moi. C'est la mienne.
- C'est moi qui l'ai vue faire ces premiers pas, moi qui lui ai appris à lire, a tiré à l'arc, a utilisé la magie.
- Merci mais j...
- ... STOP. Papa recule. Et vous je vous l'ai déjà dit vous ne serez jamais ma mère. Certe vous aviez peut être de bonne intention à la base mais se n'est pas se qu'on pense qui montre qu'il l'on ai mais se que l'on fait. Et la vous détruisez le monde. Vous détruisez tous ce qui est bon sur cette terre que tant aime et vive. Je ne vous laisserai jamais prendre se monde.
- Bon si tu t'obstines je te propose un combat. Pour voir qui est la plus forte.
- Et que gagnerai je en échange?
- je ne tuerai pas ton père.
- vous ne le tueriez pas de toutes manières.
- tu crois ça ?
Elle le fit tomber sur le sol en un regard.
- marché conclu.
J'avais très peur. Mais en réalité je ne réalisai pas tout se qui se passait. Ma mère, l'arme, le combat.
Toute les deux nous reculèrent. Le problème est que je n'avais jamais utilisé les pouvoir pour blesser des gens.
Mais dans le fond j'avais un mince espoir qu'elle même ne me tu pas.
Et sans me prévenir elle me lança une boule de feu. Je ne savais pas quoi faire. J'essayais de puisez dans ma magie. Mais rien . Au moment où la boule de feu allai me foncer droit dessus elle s'arrêta.
- Alors c'est ça la plus grande magicienne de tout les temps ? Une fillette qui ne sais même pas se faire un bouclier.
Je sentais le sang monter en moi. J'en avais marre qu'on veuille toujours me protéger, j'étais grande, je savais me débrouiller. Et cette inconnu me disais quoi faire? Et puis quoi encore. J'étais une elfe. Une elfe magicienne en plus. Alors personnes n'avais de raison de me parler comme ça.
- Tu sens le sang monter en toi? C'est bien. Laisse la rage te consummer. Laisse là te brûler. Laisse la s'échapper, voler libre comme un oiseau.
Même en essayant je n'y arrivais pas. Ça ne servait à rien.
- Tu ne sera jamais bonne à rien. Tu m'entends ? Tu es une bâtarde.
Comment osait elle?
- Personne ne veut de toi. Et tu sera sûrement la pire magicienne que le monde est connu.
Elle n'avait pas le droit!
- Ton père était un vaurin. Toi tu lui ressemble mais en plus tu as ma haine qui coule dans ton sang. Tu m'entends ? Tu es une idiote et...
- ... ARRÊTEZ.
Et je ne sais comment à se moment un bouclier blanc passa autour de moi. Puis il s'élargit jusqu'à détruire la boule de feu.
Mais à se moment là Gandalf arriva et fit face. Je le regarda. Avec amour et haine à la fois. J'étais énervé. Je ne savais pas pourquoi mais je n'arrivais pas à arrêter mes sentiments. Je paniquai. J'avais peur. Peur d'avoir blesser quelqu'un. Très peur. Mes genoux se deroberent sous moi et la bulle blanche disparu.
Galadriel ou devrais je dire mère s'avança vers moi et me regarda de haut. Elle me toisa puis détourna le regard et une chose des plus inattendus se passa:
- Partez! Je ne veux pas vous tuer. Partez avant que je change d'avis.
Partir? Elle? C'était insensé.
- Aller dépêchez vous! Je ne me contrôle pas. VITE!
je couru, et parti vite vers les cachots.
Gandalf lui mis plus de temps. Il s'approcha de Galadriel, posa une main sur sa joue puis se détourna tout en disant :
- Je t'aiderai. Je ne te laisserai pas tomber.
Puis il reparti le coeur lourd.
Lui seul savait.
Du côté de l'ACLM ils avaient tous été trainer jusqu'au cachots après encore beaucoup de coup de pieds et de morsures.
- LEGOLAS! comment te sens tu ? Attend ne bouge pas, tout vas bien. Je suis là. Vite ! Aragorn tu sais comment le soigner?
Cythiel était dans tous ces états même si elle aussi était blesser elle ne semblait absolument pas sans préoccupé. Elle était assise et la tête de Legolas étaient posé sur ses genoux.
Legolas avait mal ça se voyait mais malgré tout il souriait. Il était torse nue avec des plaies à vif.
Aragorn essaya de les éponger mais avec le peu de matériel qu'ils avaient dans la prison cela semblait compliqué.
Gimli demanda:
- Et là les gardes aux oreilles pointues donner nous de l'eau!
- et pourquoi donc. Tu as tellement bu nain, que tu as la gorge seiche.
- Non c'est pour Legolas, prince des elfes. Si vous méprisé les nains ces votre choix mais ne rejette pas un de votre espèce.
Il regarda l'autre garde puis rigola:
- Si un elfe veux des soins il faudrait déjà qu'ils soit du bon côté. Que se soit un elfe ou homme c'est avant un traitre alors maintenant le nain tu ferme ta petite bouche.
- Imbéciles ( en langue nain)
- Laisse tomber mon ami. Dit Legolas faiblement.
- Mais Legolas...
- Ne t'en fais pas je suis entre de bonnes main. Entouré de mes amis. Tout ira bien je le sais.
- Et Kiava.... Dit Merillona au bout d'un moment. Vous le saviez tous qui était ses parents. Pourquoi ne pas lui avoir dit?
- On ne connaissais pas l'histoire en entier. Et on ne pensait pas que Galadriel reviendrai.
On entendit des pas de course, des frappes puis plus rien.
- Aller venez on sort! Dit Kiava essoufflé mais les clés en main!
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