PDV de Sabai.

Je suis fasse à plusieurs héros armés juste d'un sabre et n'ayant plus mon alter. On dirait que les carottes sont cuites pour moi. Enfin c'est ce qu'ils doivent être en train de penser.

Un groupe de gens lourdement armée apparait et commence à me tirer en rafales sur moi.

J'évite leurs tirs et je me réfugie derrière un muret. Je leur lance un regard grâce à un rétroviseur qui ne trainait pas loin de moi. Certainement cassé lors de mon combat les héros.

Je reconnais le visage d'un homme qui se tient derrière les tireurs. C'est Raspoutine, un homme d'état qui nous a fait vivre un enfer à nous autres personnes possédant un alter. Je suis pourtant sûr qu'il est censé être mort lors de la révolte. Même s'il avait survécu comment peut-il être encore en vie ? De l'eau a passé sous les ponts. Il devrait être mort de vieillesse. Ou alors c'est un mort-vivant, physiquement il n'a pas changé mais il a toujours eu une apparence de morts vivants. Ou d'un prof qui n'a pas encore eu sa dose de café le matin.

-Sabai : Alors Raspoutine toujours vivant sale merde. Qu'est-ce qu'un responsable du plan d'extermination des anormaux fait ici ? Je croyais que tu haïssais les gens avec des alter. Que l'on devait tous mourir ? De plus je me doute que tu as dû bénéficier de l'aide d'un alter pour vivre aussi longtemps.

-Raspoutine : Je suis juste venue voir ta fin douloureuse Sabai. Tu n'as jamais servi à rien, j'ai adoré de voir quand ta mère est morte. Je me rappelle tes larmes quand je t'ai annoncé ce que j'avais fait de son cadavre. Ton désespoir était délicieux, sérieusement il fondait sur la langue, un vrai régal.

Je lance un regard à Endeavor qui semble dégouter de ce qu'il entend de la bouche d'un membre de son gouvernement.

-Sabai : Alors c'est ce genre de personne que vous protégez à la place des gens dans le besoin. Eh bah quels drôles de héros vous faites.

Je sens qu'Endeavor ne sait plus quoi faire, de même que Shoto.

Je vais pouvoir passer à l'action.