Dans le placard

Nous venons de sortir de la salle de réunion. Le petit cirque que nous a fait le Marimo juste avent m'as bien fais rire !  J'ai été obligé de dire à Law que j'accompagnais Zoro aux toilettes pour qu'il se calme un peu, mais en réalité j'ai une toute autre idée en tête.. je ne l'emmène pas aux toilettes. Mais dans mon bureau. Vue son sens de l'orientation il ne va pas remarquer où nous nous dirigeons avent d'être arriver, et ça m'arrange.  Au moins comme ça il ne cherche pas à fuir..

-Dit donc Cook, c'était quoi ce que tu m'as fait toute à l'heure ?

Dit il sans même me regarder dans les yeux.

-Je te l'ai dit Marimo, je tâtais la marchandise.

-De quoi tu.. mais enfin on fait pas ça ! Surtout que y'avais tout le monde a coter ils auraient pu nous voir !

-Si c'est la foule qui te dérange, j'ai de quoi remédier à ça..

Dis-je en ouvrant doucement la porte du bureau. Le vert entra sans faire attention et réagi seulement une fois que j'ai fermer la porte à clef. Il eu un léger sursaut et resta de dos à moi.

-C'est pas les toilettes ici..

-Sans deconner Marimo ?

Je m'approche de lui à pas de loup, passant mes mains sur ses large hanches et soufflant légèrement de l'air chaud sur sa nuque qui frémit de frissons. Il laissa échapper un léger gémissement presque inaudible, il est très sensible à se que je vois.. je rapproche mon visage de son oreille et lui susurre avec une voix que je veux suave et sensuelle :

-Tu aimes quand c'est doux..

Avent de raffermir ma prise sur ses hanches et de le faire se courber sauvagement sur mon bureau, position levrette.

-.. Ou quand c'est sauvage..?

Je le sens grogner sous moi, il est tellement sexy comme ça .. il ne me répond toujours pas, alors je décide de continuer en pimentant un peu les choses. Je frotte lentement mes hanches sur son dernière bien ferme et rebondit, donnant de temps en temps quelques petits coups de bassin. Je suis étonné qu'il n'essaye pas de se débattre, il semble même apprécier. Je vois qu'il commence à haleter.. quel stagiaire pervers, mais j'adore ça. Je sens l'excitation monter en moi comme une bouffée de chaleur insupportable. Je défais alors légèrement ma cravate et ouvre deux boutons de ma chemise, ça craint son corps m'attire trop. Je sens qu'il accentue mes mouvements en bougeant lui aussi son postérieur, je commence sérieusement à bander c'est mauvais. Si ça continue je vais le prendre, là maintenant sur mon bureau. Je l'attrape par les épaules avent de le retourner face à moi, son visage est rougie par l'excitation, son souffle est saccadé, ses lèvres ne demandent qu'à être embrassées. Je passe ses jambes autour de ma taille, et me rapproche de lui. Je le regard intensément, je sens vraiment que je vais faire une connerie, se mec est un appel à la luxure obnubilant. Si je l'embrasse maintenant, je ne ferais plus machine arrière. J'hésitais clairement, quand il murmura mon nom dans un soupire érotique avent de mouvoir maladroitement ses hanches sur mon entre jambe.

-Tu me cherche ..

Le vert se mit à sourire légèrement, conscient de l'effet qu'il me fait.

-Peu être..

Je m'apprêtais à m'emparer de ses lèvres quand on frappa à la porte.

- Sanji , Zoro , vous êtes là ?

C'est Nami ! Elle a aussi les clefs de la salle, elle va sûrement rentrer faut qu'on se cache ! Je place ma mains sur la bouche de zoro qui commençait à paniquer avent de l'emmener avec moi dans le placard. J'ai pas trouvé mieux.. J'entend le bruit des clefs ouvrirent la porte.

-Les gars ?

Je sers toujours ma mains sur la bouche du stagiaire pour ne pas qu'il ne sorte de son. En y pensant c'est plutôt excitant comme situation.. la peur d'être découvert, dans un endroit restreint, sans possibilité de fuir.. Tandis que la jolie rousse entre dans le bureau, je laisse glisser ma mains libre vers le pantalon de Zoro avent d'appliquer une légère pression sur une bosse bien apparente.. le pauvre laisse étouffer un gémissement dans ma mains, il ne peu rien faire d'autre que de subir en silence.

-Chuute.. tu fais trop de bruit ..Zoro..

Il frisonne sous mes mots, en particulier à l'entente de son prénom . La bosse que je palpe depuis quelque instant devient de plus en plus dur, la rousse ne semble toujours pas être partie mais je m'en voudrais de faire patienter mon client.. je laisse alors passer ma mains sous son pantalon et empoigne fermement son entre jambe qui palpite de plaisir. Il soupire un long gémissement moins discret que les autres avent de se recoller plus à moi, appuyant sur mon sexe en érection se qui a pour effet d'augmenter encore plus la température de mon corps. La jeune fille semble avoir entendu le gémissement du vert et se dirige vers nous.

-C'est vous les gars..?

Dit elle en s'approchant dangereusement de l'armoire. Plus elle s'approche, plus j'accélère les va et viens sur le membre dur et chaud du Marimo qui semble être au bout de sa vie. Il respire tellement vite et fort, je sens que ses jambes tremblent et ses mains s'accrochent fermement à ma chemise du mieux qu'elles le peuvent. Nami était à deux doigts d'ouvrir le placard quand une voix féminine fit son apparition dans le couloir. Tiens, un liquide  chaud..

-Nami , vient voir deux minutes je pense qu'ils sont aller par là bas.

La rouquine se retourne pour apercevoir Robin lui sourire.

-Oh c'est vrai !? J'arrive ! Qu'elle conne qu'est-ce qu'ils fouteraient dans un placard ...

Elle tourna les talons et couru vers la sortie en claquant la porte. Je soupire de soulagement, c'était moins une. Le pauvre Zoro lui, a jouit au moment où Nami aller ouvrir la porte. Je suis plus qu'heureux d'avoir réussis cette exploit, je lui fait vraiment beaucoup d'effet pour qu'il arrive à jouir dans une situation pareil. Il est à bout de souffle et tient à peine debout, j'adore le voir comme ça.

-Bah alors Zoro, le danger t'excite..?

-L..La ferme ! Laisse moi sortir de là !

J'ouvris doucement la porte du meuble, décidément il est bien moins respectueux d'un coup.. j'attrape un mouchoir qui traînait pour m'essuyer la mains. Puis, à la vue de son magnifique petit cul qui passait juste sous mon nez, je décide de déposer une délicate fessée sur se dernier.
Le vert sursaute en poussant un petit crie pas du tout viril avent de devenir rouge écarlate en me fusillant du regard. Tellement sexy.

-Q-q..Qu'est-ce que tu fou !

-Je tâte la marchandise.. pour la prochaine fois.

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