les portes de l'avenir sont ouvertes à ceux qui savent les pousser.
De : Coluche.
Alphambre pas de violence !!!!!!!
Le prochain chapitre est l'épilogue du point de vue de Louis, le seule et l'unique ! A la base je devais faire un extra Lemon mais je vais le reporter. Pas besoin de venir m'en parler six mois, c'est comme ça.
En attendant voilà ! La fin !!! On ne râle pas j'avais prévenus hein ;). Bref je vous ferais un spitch dans le prochain chapitre mais vous pouvez m'en faire un ^^
Voila Voila !!
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Avant que le match ne commence je me retrouve dans le bureau du directeur. Vive le retour en arrière....
Garry, parce qu'il s'appel Garry, je n'ai pas besoin de faire sans blanc de m'en rappeler c'est écrit sur la porte de son bureau. Pratique avouons-le.
- Vous m'avez demandé ? Je lui dis en me posant, je n'attends pas qu'il me le dise j'ai déjà toqué à sa porte faut pas trop m'en demander. En ce moment mon fils fait son échauffement avec son coach, il parait qu'il a un prénom, il parait ... Je devrais être avec lui ou pas loin, mais non je suis dans un bureau que je connais depuis bien longtemps et sa fenêtre donne sur le gymnase ... ' Faut que je souffle un coup. Si je m'en tiens aux bruits que j'entends ils courent autour du terrain.
- Je voulais juste vous parler de votre petit protégé. Il commence en bougeant ses jambes dans tout les sens. Il n'y a rien de mauvais dans son ton, un peu de curiosité et de professionnalisme je dirais, ouais un truc dans l'genre.
- Il n'y a pas grand chose à dire. Je commence en calant mes mains sous mes cuisses. Anthony a eu des soucies et j'ai essayé de l'aider. Je résume très brièvement.
- Pas grand chose à dire peut être, mais la police et j'en passe sont quand même venu ici, m'interroger sur vos capacités, votre place dans cet établissement et sur ce jeune homme aussi. Il me dit en haussant un sourcil, j'ai l'impression de retourner à l'état de gamin et de me faire réduire en bouillis pas un adulte.
Je ne sais pas quoi répondre alors je souffle toute ce que je peux, je sors mes mes mains et me frotte le visage avec. J'ai encore des traces de ce qu'il s'est passé et quelques douleurs aussi mais rien de bien méchant.
- Adam. Commence Garry sans cesser de bouger les jambes, par contre il se rapproche de son bureau d'une telle façon que j'ai l'impression qu'il va me révéler un lourd secret. Un truc que je ne vais pas forcément aimer. Si j'aurais pu j'aurais fais la même chose, ce que vous avez fais je suis, aux yeux du règlement, obligé de vous dire que ce n'est pas bien qu'il y a des règles et une justice .... Mais non, définitivement non, je ne peux pas vous dire ça. Par contre je veux savoir si d'autres enfants ont ce genre de soucis ? Il me demande en se redressant de toute sa hauteur.
Je reste une longue seconde complètement scotché par ce que je viens d'entendre, puis mon sourire de bon branleur de base étire mes traits.
Chasser le naturel ...
- Pas à ma connaissance. Je lui répond honnêtement, mes mains migrent de sous mes cuisses a dessus.
Il opine du chef l'air ailleurs avant de reprendre.
- Jurez moi que si ce genre de chose se reproduit vous viendrez me le dire avant toutes choses et je vous jure en retour que je ne ferais rien allant contre vous ou l'enfant en cause. Je fronce les sourcils et le regarde de côté. Monsieur Laurence je suis le directeur de cet établissement, je suis là pour eux pas pour les autres. Il pointe un groupe d'ado qui passe sous sa fenêtre. Et je suis aussi un parent. Il insiste en posant sa main sur son bureau.
- Je le ferais. Je lui répond sans cacher mon sourire, au fond lui et moi non veut la même chose.
- J'ai fais de la boxe, vous savez ? Il me dit avec un air malicieux, j'hausse les sourcils et me mords l'intérieur de la joue pour ne pas me foutre de lui ouvertement.
- Vous êtes le bien venus lors d'un de mes cours alors. Je lui dis avec mon air de bon branleur, je le provoque gentiment. Je ne suis que moi après tout.
Pour toute réponse il se met à se marrer en posant une main sur son ventre au bout de quelques secondes il recule son siège et fou je ne sais quoi, tout ce que je vois c'est un gars en costard qui regarde sous son bureau en riant, faut pas chercher. J'ai presque envie de faire le tour et de regarder ce qui l'amuse autant mais j'ai peu de ce que je pourrais voir alors je ne bouge pas d'un iota.
On ne sait jamais et je tiens au peu d'innocence qu'il me reste . De que je me fou la ??
- Votre fils joue il me semble ? Il me demande et grogne un " putain de chaussures" au passage. Mes idées bizarres fondent comme neige au soleil. Accessoirement le gars me parle depuis tout à l'heure en chaussettes.
- Ouais, il y a aussi les recruteurs aujourd'hui. Je lui dis avec un sourire de pur fierté.
- Je vais vous laisser y aller, tenez. Il me tends un papier plié en quatre quand je me lève pour aller voir mon fils. Je le prends et le remercie rapidement avant de me faire la malle.
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Double de l'attestation sur l'honneur pour le juge.
Moi, Monsieur Doubt, directeur du lycée EST jure sur l'honneur que Monsieur Laurence Adam travail dans mon établissement en tant qu éducateur de jeunes enfants.
Je n'ai rien à reprocher à mon employé. Je n'étayerais pas vos vagues élucubrations concernant cette personne. Sa façon de faire les choses à été approuvé il y a bien longtemps et aussi controversé soit elle, elle fonctionne. Le résultat est sans appel, les jeunes à "problèmes" vont mieux et ils évoluent dans le bon sens. Ceci est la seule chose qui m'intéresse et qui compte.
De ce fait, si mon employé rencontre un problème j'agirais en connaissance de cause.
Monsieur Anthony Marc est un jeune homme pris en étaux par de trop nombreux problèmes. Si on doit lui donner un tord, puisque je dois lui en donner un ce l'on votre justice, je dirais juste qu'il n'est pas né dans la bonne famille. Si encore ceci est réellement de sa faute?
Monsieur le juge, je me porte garant de Mon employé Adam Laurence ainsi que du jeune homme Anthony Marc. Je me permets aussi de vous demander ce que vous, vous auriez fait si vous auriez chaussé les chaussures de Monsieur Laurence ?
Recevez mes sincères salutations.
Monsieur Doubt Garry directeur du lycée EST.
Je replis cette note, la fourre dans ma poche et cavale vers le gymnase avec un sourire, a m'en éclater les zygomatiques, accroché sur le visage.
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Le match commence dans un peu plus de quinze minutes, Louis ne va pas tarder. Il passait en ville pour aller chercher les gosses, le rouquin avait un rendez-vous chez le psy et là où est le rouquin ma fille est.
Passons.
Je suis debout au milieu des gradins, un peu plus bas je vois Damien et Nora parler avec Babou. Je souris comme un con car il y a des années de ça. le gosse qui jouait un match c'était Bryan et les deux autres à le regarder et à l'encourager c'était Jess et moi.
Le temps passe.
Je crois manquer d'air quand une grosse paluche s'écrase sur mon dos. Idriss, qui se fou de moi pendant que je cherche à retenir mes poumons, et Jess qui lève les yeux au ciel.
- Vous êtes venus. Je souffle comme je peux.
- Attends ! Tu as osé croire qu'on ne viendrait pas voir le neveu ?? S'excite le sportif en me regardant comme-ci j'étais un dégénéré. sa femme en rajoute en se foutant ouvert ans de moi.
Un trés élégant " salope" à du m'échapper. Idriss se met à siffler et ce son résonne dans toute la salle, nos trois enfants, pas plus étonnés que ça, le regarde.
- Démonte tout ! Articule le géant avec un sourire de conquérant sur les lèvres, il ne joue peut être plus mais son esprit de compétition est toujours là. Je vois mon fils lui répondre en lui faisant un clin d'œil.
Plus le temps avance plus je vois son comportement changé. Il se renferme, se concentre, quand je croise son regard je peux dire que la douceur des ses iris grises on disparut pour laisser place à deux orbes noirs.
- Il rentre en mode tueur. dit le plus naturellement du monde La petite soeur que je n'aurais jamais.
Je reconnaîtrais entre milles la main qui me touche le dos, mon mari est arrivé. Il m'embrasse dans le cou et pars saluer son meilleur ami. Une autre grande paluche m'écrase l'épaule au passage. Ce coup-ci c'est le blond.
- Ca va vieux ?
- Toujours. Je lui réponds avant de lui retourner la question avec un coup de menton.
- Ca à fonctionné. Il me dit tout bas, comme un gamin qui avoue son plus gros secret. Je me tourne vers lui et murmure un " vrai". Pour toute réponse il sourit et regarde droit devant lui.
- Mais tu vas me laisser passer oui ??! la douce et délicate voix d'Estelle se fait entendre, en même temps je dirais bien qu'avec sa grande gueule on n'entend qu'elle mais j'ai peur des représailles. Elle passe en bousculant et écrasant un certain nombres de pieds.
Elle qui se dit diplomate ...
- T'aurais pu m'attendre ! Elle reproche à son mari avant de me prendre dans les bras. Tu es une vraie tête de con ! Elle me dit en me regardant. Au fait ! j'ai envie de faire des extensions rose ou bleu ?
Je lâche son visage du regard et pose mes yeux sur son ventre encore plat.
- Rose. Je lui réponds en même temps que mon meilleur ami, on se marre sans vraiment se regarder. On en a plus besoin on sait.
- Va pour rose ! Elle s'exclame en touchant rapidement son ventre. Jess je t'ai pas dis !!! Elle commence avant de nous laisser en plan comme deux cons.
- Une Gonzesse alors ? Je lui demande en regardant le terrain devant moi.
- C'est trop tôt mais ouais, une gonzesse.
- Pauvre vieux ! Je lui tape dans le dos en le lui disant, bien sûr on se marre comme toujours.
- Tiens ta langue t'es le seul à le savoir pour le moment.
- J'ai un pas VIP!
- Question con!
- Réponse con! Je lui réponds en voyant mon Homme de Vitruve venir vers nous, au passage il pousse un gars en l'envoie bouler.
Et on ose dire que je ne suis pas un fin diplomate !
Un premier coup de sifflet se fait entendre quand je capture la main de Louis, en bas je vois nos enfants échanger un regard profond. Ce sont des jumeaux, ils ont un miens qu'on ne peut pas comprendre et surtout ce sont des compétiteurs nées.
Léonie est tout devant le terrain, elle pose ses mains sur la rambarde et regarde son frère, Anthony tourne le tête et nous cherche du regard. Bryan lève la main pour qu'il nous repère, quand c'est fait il me regarde, sourit et se retourne. Il se place derière ma fille et encadre chacune de ses mains par les siennes.
Un geste purement humain pour un môme sans repère de ce genre.
- T'as gagné un fils. Me dit Bryan en se penchant vers moi.
- Un fils qui se tape ma fille. Je grogne en retour, pour toute réponse il se fou de moi en m'éclatant l'épaule au passage.
Connard .....
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Il y a neufs recruteurs de neufs endroits différents. Forcement ...
Quand le coup de sifflet retentit, ce gars sortent un carnet et regagnent le match sans respirer. Baptiste fait de bonnes passés, il marque aussi huit fois, il joue bien avec les autres. Pour le moment out va bien. à chaque action Louis me serre un peu plus fort les doigts.
Je crois que je vais avoir quelques fractures en plus ...
A la mi-temps je vois le sportif enjambé les gens devant lui pour aller voir les joueurs, il est suivit de prêts par Bryan. Je me fais violence, je crève d'envie d'y aller mais non, non... Non... Putain 'faut que la reprise sonne vite sinon j'y vais. Louis souffle et trépigne, il n'est pas mieux.
- T'en connais certains ? Il me demande en regardant les neufs.
- Pas un seul . Je souffle en lui répondant, lui aussi souffle et sers les dents.
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J'ai crus que j'allais faire un arrêt cardiaque ! Tout au long du match je crois que j'étais en apnée, a un moment mon fils a embrassé le sol j'ai eu envie de descendre mais il s'est relevé tout de suite. Sa soeur lui hurlait je ne sait quoi, sans parler de Damien qui beuglait sur le gars qui la percuté.
Quand le coup de sifflet final à été donné j'ai regardé le tableau des scores. 54 à 23 pour nous.
Si on me le demande oui, on peut mourir de fierté.
On doit attendre un peu avant de pouvoir les félicité, l'équipe parle avec les neufs dans les vestiaires, autour de moi ça hurle de bonheur ou de frustration, ça pleure d envoie et ça saute partout mais je n'entends rien. Je suis foclisé sur la sortie.
Au bout, de ce qu'il me semble une vie, ils sortent enfin et je vois mon fils avec un sourire qui lui mange tout le visage. je ne sais plus comment les choses se passent ensuite, sur qu'il saute en premier ou sur qui il saute en premier tout ce que je sais c'est que quand je l'ai eu dans mes bras j'ai lâché une ou deux larmes.
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Comme toujours on se retrouve chez mes parents pour fêter sa. J'imagine que je suis pas obligé de préciser qu'elle a passé sa journée derière les fourneaux ? En tout cas je me remplis le bide.
Mon père ne cesse de lui poser des questions, sans parler de mon beaux pères, ouais les grands pères sont à fond. J'suis obligé de sourire en les regardant. Je me retrouve contre un mus avec un bière dans les mains à regarder mon petit monde évoluer dans la plus grande joie.
L'année prochaine mon fils pars pour l'université de la ville voisine pour continuer son sport, il a eu une bourse, des sponsors et tout un tas de choses. Ouais mon fils claque tout. Il reviendra tous les week-end, il fait son fière en disant que s'il y a des fêtes ou quoi il restera là-bas mais on le connaît tous. Sa vie, ses amis, sa famille est ici.
Ma fille continue ses études pour bosser dans la vente de produit de luxe. Elle et ses pompes ....
- On a passé une sacrée année hein ? Me dit mon mari en buvant son café, je ne l'ai pas entendu venir.
- C'est le moins qu'on puisse dire. Il pose sa tasse de café sur le rebord de la fenêtre et se mets face à moi. Il me prend ma canette et la pose aussi, ses mains passent sous mon haut et le contact de sa peau me fait toujours autant frissonner. Ses deux yeux noir m'envoient dans notre dimension en un clignement de cil. Mes mains échouent dans ses poches arrières et je le rapproche contre moi.
Putain de Dieu, je dois faire un effort de fou pour ne pas le violer dans là jardin de mes parents devant tout le monde.
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- Tu y crois toi ? Me demande le petit chimpanzé brun en me rejoignant dans le salon. On est toujours chez mes parents, Bryan a eu une envie de barbecue, du coup ses parents sont venus et bientôt ceux de sa femme vont nous rejoindre avec beaucoup, mais vraiment beaucoup de viande. Ma mère et je ne sais plus qui sont partit faire deux trois courses.
Mon père râle, mais faut pas croire il adore voir son espace vital se faire envahir.
- Je dois crois en quoi ? Je lui demande en fouillant dans les placards pour trouver des assiettes en plastique.
- Ton fils et ma fille. Souffle la belle brune en montrant la fenêtre du menton, quand je regarder à mon tour je vois ces deux ados s'embrasser et se faire un câlin? Personnes ne sifflent ou quoi autour d'eux c'est donc nous les derniers au courant.
- Si je m'attendais à ça . Je souffle en laissant choir mes bras et en haussant un sourcil. Ouais, je n'ai rien vu venir pour le coup.
- Tu te rends compte que ça aurais pu être nous ? Elle me dit en souriant comme une folle.
- T'es con! Je lui réponds en riant puis je reprends mes recherche.
Au fond elle a raison, mais je suis heureux de ma vie actuelle et pour rien au monde j'en changerais.
- Tu savais que Damien est avec Aurore ? M'informe Jess en soufflant tout ce qu'elle peut.
- Lonie le sait ? Je lui demande aussi sec.
Aurore, l'ennemie juré de ma fille, la môme qu'elle a repeint en bleu en maternelle et ce n'était que le début... Ho putain de merde, ouais putain de merde au bas mot.
- Vu le regard qu'elle lui lance je pense que oui. Grimace Jess en me prenant les couvers que je lui donnais.
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Il n'y a pas eu de meurtres de soir et heureusement que la fin de l'année approche car ma fille et l'autre gosse obligée de se supporter ... Au bout d'un moment il y aurais un accident du genre bombe chimique, un truc bien deguelasse avec des tas de dommages collatéraux.
Ouais, vivement juillet. Pour notre survis à tous.
Les mômes sont partit fêter tout sa en ville, ils dormiront chez Jess et Idriss. Ils se sont proposé tant pis pour eux.
Avant de rentrer chez moi, je passe par mon ancienne chambre. Elle n'a pas vraiment changé, c'est toujours une chambre d'adopter puisque elle est souvent devenu e point de chute d'un de nos enfants. Du coup mes parents n'ont rien voulu changer car, je cite " on ne sait jamais".
- Nostalgique ? Se fou de moi le grand chauve, il se tient dans l'encadrement de la porte son genoux opéré légèrement replié.
Je ne lui réponds pas franchement je me contente de rire en levant les yeux au ciel.
- T'es enfants vont dans le bon sens. Il me dit sur le ton de la confiance.
- C'est que j'ai eu un bon modèle. je lui répond en haussant les épaule, il commence à sourire. Je parlais de maman. Je rajoute avec un sourire purement provocateur.
- Espèce de pet......
- 'Mannnnnnnnnnnnn !!!! Je beugle bien fort pour que vraiment tout le monde m'entende au passage je le coupe dans son grognement.
- Laurent laisse mon fils Tranquille!! Intervient ma mère en déclenchant l'hilarité général.
Mon pauvre père fait une tronche de cent mètre de long, il boude et râle comme un putois mais quand je passe devant lui il me prend dans ses bras, c'est notre façon à nous de se dire qu'on s'aime.
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Dans la voiture, pendant que Louis conduit, je pose ma main sur sa nuque et y laisse courir mes doigts. L'année qu'on vient de passé à été assez chargé quand même. Beaucoup de choses se sont passés, entre les mômes, leurs disputes, nos boulots et toutes les merdes que ça a apporté on en a vu de belles.
Mais on est toujours là.
Mon mari me regarde du coin de l'œil et me sort son vieux sourire, je le lui rends avant de l'embrasser.
C'est un peu comme si je disais : viens le monde, viens j'en fou j'ai pas peur de toi.
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Porter les chausses de quelqu'un veut dire se mettre à la place de ...
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