L'inquiétude, habitante éternelle du cœur humain. Marie Lefranc
Bon, bon, bon je préviens c'est un tout petit chapitre. Mais ! car oui il y a un mais, il faut ABSOLUMENT que vous alliez voir l'histoire d' Alphambre elle se nomme Surdouée, honnêtement j'en suis folle de chez folle et comme celle Yuukinokoe je trouve dommage de ne pas les faire partager, alors allez voir ^^
" Le nouveau chef a une tête de con"
- Hé ! Nous on a pas le droit d'utiliser nos portables alors pourquoi toi tu peux ? Me beugle le gosse avec la tronche de balai à chiotte.
- Par-ce que moi j'ai le pouvoir de te faire cracher tes poumons en te faisant cavaler comme un con toute la sainte journée. Je lui répond en soufflant. Aut' chose ? Je lui demande en haussant un sourcil un poil moqueur, tout en commençant a répondre a Louis.
- Non, non c'est bon.
Je ne me gène pas pour me marrer quand Joshua fait demie-tour la queue entre les jambes, j'ai beau faire j'y arrive pas avec ce gosse. Un peu en retrait il y a Anthony, il tire un peu la tronche pourtant ce matin il avait l'air d'aller. Je verrais ça ce soir.
" Si c'est que la tête ça va"
- Bon allé ! Par-ce que je suis le plus sympa pour finir vous avez le choix entre ranger votre bordel où ranger votre bordel.
Certains gosses se marrent pendant que d'autre râlent, moi j'en profite pour verrouiller mon portable et descendre de mon perchoir que j'ai réchauffé au moins trois heures.
J'crois que j'ai eu la flemme de tout ce matin. Enfin aujourd'hui et j'ai la vague impression que ça va durer.
- Tu as vus le nouveau directeur? Bonjour les gosses !
- Non, et toi ? Je demande a mon meilleur ami qui vient de faire une entrée qui vient de faire une entrée a sa hauteur, en gros tout le onde le regarde et lui, il se pavane.
Il me fait un signe négatif et se pose a côté de moi, bon finalement je ne vais me mettre sur pied tout de suite.
- Je t'attendais. Il hausse les épaules. Samedi tu vas voir ton fils jouer ?
- Ouais, sa sœur et Louis aussi, j'imagine que le tien se ramène aussi ?
- Ouais, C'est flippant de voir à quel point ils nous ressemblent. On opine du chef en même temps, 'faut se l'avouer ce sont deux bons branleurs, grande gueule et collectionneur de nanas.
- Flippant. Je répète doucement. Bon on va voir quand ce fameux manitou ? Je lui demande en me frottant les mains sur mon jean.
- Ce soir, y fait un pot d'arrivé.
- C'est pas quand on se casse normalement qu'on fait un pot ? Je lui demande ne me tournant vers lui.
- Si ça me concerne ni a l'arrivé, ni au départ.
Comme deux branleurs on se marre.
- Anthony! Je beugle dans le gymnase, bien sur tout les gamins se tournent vers moi, le rouquin viens vers nous en traînant les pieds.
- Au fait avec lui ? Me demande Bryan en le montrant du menton.
- Il tourne autour de ma fille ce con. Je grogne, le blond me jette un regard en coin et se met a pouffer comme un con.
- Oui? La voix du gamin m'arrête en plein grognement pendant que mon voisin a de plus en plus de mal a se retenir.
- T'inquiète pas il souffre de débilité nerveuse. Je dis en montrant le blond du pouce, le rouquin le regarde avec un air à la fois ahuri et septique. Perso, je le trouve encore gentil, je l'aurais regardé comme un débile profond. Bon, ce soir je vais avoir un peu de retard, alors attends les grands devant, tu pars avec eux et Louis.
- Pas de problème. Gromèlle l'ado en passant sa main sur sa nuque.
- Un problème ? Je lui demande en le fixant. Ses yeux bleu sont fuyant, quand enfin il les fixe sur les miens il souffle.
- Non.
- Tu essayais de convaincre qui la ? Demande le coach en le fixant a son tour.
Le pauvre gosse baisse le nez plus mal à l'aise que jamais, il enfonce ses mains dans ses poches et regarde partout sauf vers nous. Bryan et moi nous regardons vite fait, il sait que le gosse ne parlera pas devant lui, enfin s'il se livre bien sur. J'reviens. Il me dit en se remettant sur ses jambes, au passage il me met sers mon épaule, histoire de me faire comprendre qu'il est la au besoin.
A deux, toujours à deux.
- Tu veux en parler ? Je demande a ce pauvre ado complètement paumé.
- Non, ça va... Merci. Il a hésité avant de me répondre, je fais mine de rien mais je n'ai rien loupé, seulement ce n'est ni le lieu ni le moment, alors je reporte ça.
- A ce soir. Je me contente de lui répondre. Il me tourne le dos et va en direction de la double porte sans se soucier des autres qui l'appellent pour ranger.
*******************
C'est donc a deux, qu'on passe le pas de la porte du bureau du nouveau directeur. Cette bonne vieille pièce n'a pas changée du tout.
- Tout le monde est déjà venue faire les lèches culs.
- Quel belle bande de moutons. Je lui répond sans me préoccuper de l'homme d'une bonne quarantaine d'années qui nous regarder en se demandant surement si on est sérieux. En tout cas moi je ne me sens pas plus gêné que ça.
- Bonjour. Le doyen a une voix forte qui ne dénote pas avec son apparence glacial.
Pour ne pas changer, c'est Bryan qui fait un pas vers lui en lui tendant une main. Le blond a toujours été plus sociable que moi et les années n'ont rien changées.
- Je suis Bryan le coach et le papa de Damien.
- Enchanté. Lui répond simplement le propriétaire de ce lieu de torture, quand il se tourne vers moi, mon meilleur ami se décale et je ne cache pas le fait que je souffle, ouais, toute cette merde me prend la tête. Je pourrais être chez moi a me boire une bière tout en préparant un jus de chaussette pour mon mari et l'attendre avec nos mômes mais non je suis la, planté droit comme un con dans mon froc.
Heureusement que je ne dois pas faire de rond de jambes.
- Je suis Adam, éducateur et le père de Léonie et Baptiste. Je ne me fais pas chié à lui tendre une main, je trouve qu'elle sont bien dans mes poches.
Ouais bien au chaud.
- Ho, les jumeaux Laurence. Lache ce vieux con. Par pur reflexe je me rédis.
- Je dois prendre comment le fait que vous les appeliez comme ça ? Je lui demande en me tenant plus droit que besoin.
Il se met a souffler un rire en secouant sa tête de gauche à droite.
- Ne le prenez pas mal, j'ai entendu parler d'eux car votre fils et un autre de l'équipe de basket se sont ... légèrement accrochés et sa sœur leurs a balancé une carafe pleine d'eau.
Je reste scotché une bonne seconde avant de retrouver l'usage de la parole.
- T'étais au courent ? Je demande au blond, qui a toute les peines du monde a se retenir de se marrer.
- Même pas ! Dam ne devait pas être avec eux a ce moment.
- Cela c'est passé lors de l'entrainement ce cet après midi. Intervient le directeur.
- J'imagine qu'ils vont être collé.
Moi fatigué de toute ces connerie ? Non a peine ...
- Disons, que personnes n'a vraiment vu le scène et je ne tiens pas vraiment a ce que ma première action dans ce lycée soit de mettre une retenue ou d'infliger une mise à pied.
- J'imagine que je dois vous remercier.
Pour toute réponse il se met à rire a prenant place sur son fauteuil.
- Je suis Monsieur Dough, et ma prédécesseur ne m'a que très peu parlé de vous. Tout ce que je sais de vous c'est qu'a votre adolescence vous et votre ami avez...
- Nous, nous somme affiché et maintenant nous sommes marié et nous avons adoptés nos enfants. Je le coupe, je n'ai pas envie d'en entendre plus , en fait je veux rentrer chez moi donc j'abrège la chose.
- Ce fut un plaisir Monsieur. Coupe a son tour Le blond, surement de peur que les choses montent en puissance.
- Adam. Mon prénom retenti dans cette petite pièce, je le regarde de nouveau et attend la suite. Que les choses soient claire, votre orientation sexuel ne me regarde aucunement, tout ce qu'il m'intéresse c'est votre travail. Je reste une nouvelle fois comme deux ronds de flan. J'imagine que je vais vous souhaiter une bonne soirée? Il ne pose sa question que pour la forme, il se lève, fait le tour de son bureau et nous sers la main.
Je lui rends sa poignée de main et sors sans rien ajouter.
Pas mal soulagé, je dois bien l'avouer.
********************
A la maison, trois personnes sur quatre bûchent sur un DM de math et le dernier me tend une bière après m'avoir embrassé. Il sent le café et un petit truc rien qu'a lui.
- Ca été ta journée ? Je lui demande . Alors ton chef?
Son sourire ce renverse avant qu'il ne réponde.
- C'est un con, je ne l'aime pas.
J'allais lui en demander plus mais ma fille débarque dans la cuisine totalement désespérée.
- 'Pa, aide nous. D'une main elle tient son cahier de l'autre un crayon de papier, ses épaules sont baissées, elle est décoiffée en bref les maths l'on tués. Dans l'embrasure de la porte son frère la suit. Ses yeux gris, comme ceux de sa sœur, sont vide de tout courage.
Maths 1/ jumeaux 0
- En fait pour moi aussi. Souffle le dernier venue, le rouquin a un crayon derrière l'oreille, un dans une main et son livre dans l'autre.
- Bon je vous laisse moi j'ai une sainte horreur de cette matière de barbare. Dit Louis en partant vers le garage. Je sais qu'il attendait une échappatoire, il n'a pas envie de parler.
- Ramenez vous. je n'ai pas finis ma phrase qu'un concert de chaise retenti dans la cuisine. Bon, vous bloquez ou ?
- La ! Ma fille jette son bouquin au milieu de la table et colle son doigt sur le chapitre " Loi des probabilités"
Je me marre et mon rire redouble face aux trois bouilles totalement flippé.
Ouais, j'adore les maths.
- Au fait, rien a me dire a propos d'une douche ? Je leur demande mine de rien.
- S'il te plait papa, une merde après l'autre. Plaide mon fils.
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