Je suis encore grogui par le sommeil et sent ma conscience revenir gentiment a la surface,mes paupières gonflé d'avoir beaucoup pleurer dans les bras de dounia, j'étais chamboulée et j'ai eu un momentde faiblesse, trop fatigué avec tout se qui met tomber dessus et puis cette femme est douce,elle agit comme une mèreavec moi alors je me suis laisser aller . Je sais pas pourquoi j'ai l'impression que je suis pas seul dans cette chambre, qu'il est la quelques part dans la pièce avec moi et sa me pertube.

Mais bien évidemment c'est plus fort que moi,la peur s'efface au profit de la curiosité et me pousse à vouloir savoir où il ait alors j'ouvre très légèrement les yeux et voie une ombre assis dans un fauteuil tout prêt du lit qui me regarde en silence, les coudes sur l'accoudoir, les deux mains fermés en poings contre sa bouche.

- bonjour amalia dit-il d'une voix douce

J'ouvre complement les yeux cette fois et le regarde en face cette fois-ci et déglutit la gorge sèche, en me recroqueville encore plus contre la tête de lit, quand je le voie s'avancer un peu sur son fauteuil pour se rapproché de moi .

- je souhaite m'excuser du comportement que j'ai eu depuis que tu est là....je suis impardonnable et j'essaye de faire des efforts pour que n'ait plus peur de moi .

Je n'ai toujours pas confiance en lui,non il ma enlevé merde même si il semble sincère ,il croit quoi quand me disant sa je vais lui sauter dans les bras .je l'observe en silence et je voie qu'il prend énormément sur lui malgré tout,mais je ne change pas d'avis il faut que je me tire de la .

- je respecte ton silence et j'assume....as tu faim, regarde il y a un plateau sur le lit .

J'ai la gorge tellement sèche que je peu pas dire un mots alors J'acquiesce, attends de voir si au moment où je m'approche du plateau il va me faire du mal,j'ai tellement faim que mes yeux cette fois fixe le plateau avec envie et il le voie bien .alors avec un sourire forcé et emprunt de déception

- je vais te laisser maintenant mangé tranquillement et je reviens plus tard

J'acquiesce encore en ne le quittant pas des yeux et je voie sa mâchoire gonflé convusilvement la tête baisser puis se lever doucement et partir de la pièce sans un mot de plus. Dès que j'entend la porte claqué je saute comme une affamé sur le plateau, j'attrape la première chose qui me fait envie ,le jus d'orange.
A la première gorgé je suis au ange et la finit en quelques gorgé, pour sauter ensuite sur l'assiette de tajine au citron qui me fait de l'œil accompagné d'un thé a la menthe qui sent aussi bon que se tajine, qui ma l'air vraiment succulent. De tout façon quand on à faim tout est bon.

Au moment ou dounia apparaît, je repose ma fourchette, reppue et rassasié
Et  je voie au sourire que dounia me fait,qu'elle est heureuse.

- oh amalia rien ne me fait plus plaisir de voir que tu as mangé.

Je lui rend se sourire avec joie et lui dit malicieuse

- j'avais une faim de loup

- je voie sa dit-elle en emportant le plateau pour le poser sur un meuble prêt de la porte ,qu'une servante qui vient à peine de rentrer a sa suite ,le récupérer et partir .

- tu peu dire a ton cuisiniers que c'était succulent dis-je en passant ma langue sur ma lèvres supérieur.

- je lui dirais pouffe t-elle,  que veux tu faire aujourd'hui

Je m'avance a quatre pattes sur le lit et une fois au bord du matelas je m'assois, réfléchis deux petite seconde, pendant que dounia me rejoinds en s'essayant a les côtés attendant que je me décide.

- je sais mais d'abord avant de te dire,es ce qu'il y a une bibliothèque ici

- biensur

- alors je me lave et tu me montre...a moins que...

- que quoi insiste t-elle

- bah je sais pas si j'ai le droit, la porte est toujours fermé a clés alors je suppose  que non dis-je dépité en baissant la tête

Je sentit le bras de dounia me ramener vers elle et son doux rire moqueur remplir mes oreilles

- oh amalia ,le roi a décidé sur un coup de tête se matin après t'avoir vu , qu'il te laisserais un minimum de liberté dit-elle les yeux pétillant de malice

- c'est vrai dis-je heureuse dis-je en tapant des mains

Elle rit en me voyant faire

- oui mais a une seul condition, que tu ne sorte jamais d'ici...elle fit une pose, plisse des yeux en me devisageant et reprit,si non il te renfermera dans la chambre et crois il en ait capable ma toute belle finit elle avec sérieux.

J'acquiesce heureuse malgré tout, car même si mon champs de liberté est restreint, le palais est immense alors je n'insiste pas de peur de voir se privilège s'évaporer. Et apparemment dounia et du même avis que moi ,

- bon je vais me lavez dounia
Dis-je en me levant du lit tout guillerette

J'entends dounia rire encore et heureuse je me joint a se rire en même temps que je commence a me déshabillé , ne portant que le magnifique ensemble blanc ,qu'on m'avait mit dans la salle de bain quelques heure plus tôt,alors
Je n'ai aucune gêne devant elle, de tout manière elle ma déjà vu nue.  on commence à parlé de tout et de rien en riant tout les deux comme deux amis et sa me fait du bien,je me retrouve en sous vêtements a rire, au moment où la porte s'ouvre et qu'on entend une voix d'homme très reconnaissable <le roi>

- eh  bien eh bien  qu'es qui..

Surprise je pousse un crie affolé en attrapant le haut dans des gestes paniqué pour me cacher ,pendant que dounia se place devant moi pour protéger mon corps du regard du roi qui se tient devant nous ,figé ne sachant plus quoi faire de lui même .mais dounia le ramène a la réalité en essayant de le faire partir

- mon roi s'il vous plaît sans vous manquer de respect, revenez plus tard .

Caché derrière elle je penche légèrement la tête pour voir sa réaction et je le voie baissé les yeux par respect et finir par se retourner

- je suis désolé dounia mais j'ai eu le plaisir de vous entendrent rires ,alors j'ai voulue voir...je suis désolé je pensais pas arriver a se moment là...

Dounia me pousse vers la salle de bain en me disant

- amalia va dans la salle de bain, tu n'as rien a craindre

Gêner je n'ose regarder vers le roi et court vers la pièce d'eau en refermant rapidement la porte. Une fois fermé je me colle contre la porte soulagé et j'entends dounia et alkazard parlé

- ne soyez pas désolé mon roi ,vous pouviez pas savoir ,ne vous inquiétez pas

- merci mais maintenant je vais passé pour un pervers et sa,ça me chagrine beaucoup que va t'elle penser de moi maintenant

A l'entente de ses mots, je suis étonné de se revirement chez lui, mais je reste sur mes gardes. Je suis m'écarte de la porte et commença à me déshabillé quand dounia rentre dans la salle de bain le regard inquiet .

- dounia ne t'inquiète pas ,tu pourra lui dire que je lui en veux pas .

Soulagé dounia relâche l'air des poumons et acquiesce en me faisant un sourire radieux

- tu pourra lui dire de vive voix , car c'est lui qui va te montré où est la bibliothèque