mode évasion

Il est 21heure

Une fois laver et séché dounia me traîne vers la coiffeuse et prend plaisir à me coiffé avec douceur et se moment hors du temps me détend beaucoup avec tout se que j'ai subit jusqu'à présent.

- amalia c'est un vrai bonheur de te coiffé tes cheveux son magnifique et tellement longs me dit-elle avec une tendresse évidente

- merci mais sa me gêne, je n'ait l'habitude de tout sa lui dis-je
En lui montrant la chambre et elle entrain de me coiffé

Dounia pouffe de rire et acquiesce en ne me quittant pas des yeux.
C'est vraiment une belle femme au goût simple et discrète sans dú à ses origines ou sa religion. Je sais que chez eux une femme qui se dévoile trop est de mauvaise pour pas dire < une pute >.
Elle à des cheveux noué en une tresse large au nuance caramel, de haute paumette saillante et des joues légèrement creuser et bien dessiner. Son visage est bien proportionné au reste de son corps. Elle à un petit nez comme celui d'un bébé mais légèrement plus fin et une belle bouche pulpeuses et bien dessiner et de petite oreilles tout mignonne ou pends de belle boucle d'oreille tout simple . Dounia doit avoir la quarantaine mais cela reste quand une femme sublime et jeune elle a dû en faire tourner des têtes chez les hommes.
Je rit a cette idée et Dounia me regarde intrigué de mon soudain petit rire alors que j'étais resté silencieuse jusqu'à présent. Je la voie haussé un sourcils interrogateur à travers la glace et moi gêner de mon introspection sur elle, je hausse mes épaules en baissant les yeux pour couper court a se qui pourrait etre un moment déstabilisant pour moi et elle n'insiste pas ,se qui me soulage beaucoup.

Je porte une belle nuisette blanche en coton opaques à bretelle large que dounia ma apporté pendant que finissait de me rincé. A travers le miroir je vit le roi alkazard rentré une fois que dounia et moi l'avons autorisé à rentré se qui me surprend car nous sommesdans son palais et que techniquement il la kidnapper .cette fois il vérifie que je suis bien visible à ses yeux et s'approche de nous les yeux braqué sur les miens à travers le miroir avec les mains derrière le dos.

- amilia vous été ravissante dans cette nuisette me complimente t-il

Rougissant sous son compliments,je le remercie sincèrement malgré mon appréhension.

- dounia ma dit que vous vouliez voir la bibliothèque

Timidement j'ésquisse un sourire et acquiesce en le quittant pas des yeux , je sent néanmoins mes joues chauffé totalement intimidé par cette homme que je considèreencore comme mon kindnappeur . je lis dans son regard qui est impassible,une lueur que j'arrive pas à déterminer ,mais l'oublie bien vite et dévi mon regard du sien affolé,quand je voie dounia posé la brosse et nous salué avant de quitté la chambre, pour me laisser seul avec le roi,

《 misère 》

- venez avec moi, vous verrez elle est immense.

- je n'en doute pas dis-je timidement

Il tend sa grande main vers moi, attendant que je me lève du fauteuil pour le rejoindre, ce que je fais au bout de 5 secondes d'hésitation aprèsl'avoir observer, fébrile je refuse sa main et passes à côté de lui pour rejoindre la porte ,Alkazard me suivant du regard reste figé quelques minutes, avant de me rejoindre avec un air mécontent mais ne dit rien et encaisse. Il arrive à côté de moi en portant sa mains sur la poignée de la porte pour l'ouvrir et s'engage déjà dans un longs couloir sans un mot, ni un regard pour moi.

Je sais qu'il est furieux après moi, parce que j'ai refusé sa main alors je marche loin derrière lui en gardant une bonne distance les mains devant moi , et c'est comme ça que nous longeons un grand couloir magnifique et sompteux, tout respire le luxe dans se couloir sans est déconcertant. Passant devant une baie vitrée d'où je m'arrête fasciné parce que je vois à travers la vitre épaisse. Un magnifique jardin se profile devant moi, rempli de fleurs tropicale en tout en tout genre, de Dattier, de figuier,des petits ruisseaux traverse tous le jardin. Je suis tellement subjugué par cette vues paradisiaque, que je ne ressens pas sa présence derrière moi qui se rapproche. je mens rend compte que quand il me souffle à l'oreille,

- si tout se passe bien entre nous ,alors je vous emmènerai visiter mon jardin en attendant vous êtes confiner ici dit-il nonchalant

Outrée je me retourne vivement et le fusil du regard en levant bien le menton, ma peur ayant momentanément disparu

- c'est tout se passe bien entre nous. non mais vous plaisantez j'espère, vous m'avez kidnapper alors comment voulez-vous que ça se passe bien entre nous dis-je sur les nerfs

Sur le coup de la surprise, son regard change et devient sombre a la limite orageux . Et pour me pour me montrer sa supériorité se redresse, se colle à moi un peu plus et je me retrouve collée à la vitre prit en sandwich.

Sa respiration se dure et saccadée qui fait gonfler son thorax déjà bien imposant et dis calmement,

- n'oubliez pas à qui vous parlez amalia, je suis le roi ici et vous été chez moi dit-il sur un ton mordant.

Je sais qu'il fait un effort surhumain pour rester calme,et je vois dans ses yeux qu'il en est tout autre. mais
Comme je me suis promis de ne plus jamais me laisser écrasé par un homme je relève le menton plus déterminerque jamais, et le toise du regard en essayant de resté fière .

- je m'en contre fous que vous soyez un roi, moi se que je voie c'est que vous m'avez enlevé,sa s'arrête là dis-je sur un ton qui se veux résolu .

Je le vois serré des poings très très fort contre ses hanches, alors qu'il est toujours collé à moi. au point de faire blanchir ses phalanges , sa mâchoire bouge convulsivement sans doute énervé parce que j'ai dit.
Me sentant prise au piège j'essaie de le repousser mais je n'y arrive pas,car tout son corps est fait de muscles et il en impose,il est plus fort que moi. Et  Malgré toutes mes tentatives il bouge pas d'un poile.

- laissez-moi tranquille criai-je en en gigotant dans tous les sens.

- êtes-vous sûr de toujours vouloir voir la bibliothèque lance t-il comme une menace en froncant des sourcils.

- oui je le veux, soudainement inquiète
Et a cette instant sa doit se mire sur mon visage.

À c'est mots il plonge son regarde dans le mien et me dit

- alors calmez-vous maintenant dit elkazard sur un ton acerbe

Son regard sûr moi est teinté de mystère, malgré le ton qu'il à utilisé pour s'adresser à moi.il ne fit aucune tentative d'intimidation physique envers moi au contraire. j'en avais marre de le voir coller à moi,j'étouffe et me sent mal à l'aise  dans cette position,alors je creuse mon estomac pour lui faire comprendre qu'il m'empêche de respirer et tourne la tête sur le côté pour fuir se regard plein de reproche. Au bout de 5 minutes il s'écarta enfin de moi et me montra le chemin la bibliothèque du plat de la main et attend que je me décide à bouger .évaluant la situation qui se présente à moi comme sans risque je me décolle de la fenêtre pour le suivre bien gentiment mais à une distance de sécurité jusqu'à la bibliothèque.

Je suis dans mes pensées repensant à se qu'il vient de se passé, complètement chamboulé et soudain je rencontre un mûr de bosse, euh non de muscles quand je relève la tête vers son dos imposant. Je me frotte mon nez douloureux .il n'a pas bougé et je l'entend même rire à mes dépends.
Rouge de honte je grogne de mécontentement de mettre fait mal et lui rit de plus belle.

Je n'y comprends plus rien, de ce qu'il se passe entre nous , Ca va du chaud au froids. Mais mon cerveau me tanne de ne pas oublier se qu'il a fait, mon coeur lui à tellement peur ,qu'il est figé dans la glace,enfin ici avec cette chaleur sous le sable du désert. Mais une chose et sur je doit me tirer d'ici et si j'ai bien compris demain soir ,il y a une grande réception pour réunir des fonds de solidarité pour les enfants et seul parent qui reste ou les orphelins qui ont perdus leur ou l'un dès
Parents pendant une guerre fratricide entre deux clans, revenant a moi je papillonne des yeux en m'apercevant enfin qu'il ma laissez seul au milieu du couloir,les grandes portes de la bibliothèque grande ouvert, elle son magnifique d'ailleurs et j'ai hâte de voir ce qu'il y a dans cette pièce .alors j'avance timidement jusqu'à l'entré et me fige devant tant de splendeur la bouche grand ouverte et les yeux éxsorbité tellement je sais plus où les poser < le rêve >.

- alors je vous est pas mentis mh

Je souffle pour reprendre mes esprits

- non

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