Le mot de la fin

Déjà, j'ai bourré ce texte de citations, alors je ne vous en ferai pas avaler encore une (sauf si j'en trouve une qui va bien...).

Mais !

Outre les citations, il y a plein, plein, plein de références :

- les titres des chapitres sont tirés des paroles de la chanson Cendrillon de Téléphone. (Au départ ç'aurait dû être des jeux de mots comme Crime du Chat-Qui-Ment (pour Crimes et châtiments) ou Minuit : l'Heure des Rimes (au lieu du crime), mais le dernier aurait été tiré de l'expression "les pieds devant" et difficile d'en faire quelque chose de bien...)

- vous avez peut-être remarqué que tous mes personnages ont une "lettre" de l'alphabet, de A à J : Alice, Bertrand, Catherine, Diogène, Eurydice, Fanfan, Gorgonzola, Hippolyte, Inaya, Jeanne.

- la tante Jeanne vient d'Arles, elle est donc doublement arlésienne : une arlésienne est un personnage dont on parle mais qui n'apparaît pas dans l'histoire en elle-même, plus on en parle, mieux c'est (ainsi, Godot, dans la mirifique pièce En attendant Godot d'Alfred Jary, est une arlésienne) (arlésienne est toujours au féminin, même pour un personnage masculin).

- et Jehanne d'Arc / Jeanne d'Arles...

- Fanfan ressemble à Panpan, le lapin dans Bambi.

- les trois poisons que j'ai cités sont des plantes véritablement toxiques. N'y touchez pas, s'il vous plaît, je ne veux pas avoir votre mort sur la conscience. C'est la cause de mon avertissement sur la possible redirection de cette nouvelle dans la catégorie "mature".

- étymologiquement, Inaya veut dire "sollicitude, bienveillance". C'est venu après coup, mais un personnage aussi détestable (ou pas, après tout, on peut très bien la comprendre) porte un nom aussi... charmant.

- d'ailleurs, Inaya ressemble à Isaya, qui est la mère d'Ellana dans le livre du même nom de Pierre Bottero (à jamais dans nos cœurs, snif).

- Diogène est un philosophe grec. Pour penser, il faut dormir, donc je lui ai fait adopter mes propres principes. (J'ai beaucoup hésité avec Diomède, mais c'est un héros de la guerre de Troie, et un vieux chien ne correspond pas vraiment à ça...)

- pour moi, Alice est toujours l'enfant à protéger (Alicia dans U4 de Florence Hinckel, Vinvent Villeminot, Yves Grevet et Carole Trébor,  Alice au pays des merveilles de Lewis Carroll, Petite Alice Shopra et Grande Alice Ulapala dans Endgame de James Frey, Alice dans Le cœur des louves de Stéphane Servant, Alice dans La guerre de Catherine (Catherine c'était pas fait exprès !), Alys dans La Cité Corrompue (The Crooked Kingdom, le deuxième tome de Six of Crows) de Leigh Bardugo, etc) (mais pas Alice dans La Belle Sauvage de Philip Pullman, ni Alis dans Un Palais d'Épines et de Roses (A Court of Thorns and Roses, ACOTAR pour les intimes) de Sarah J Maas, ni Alicia Spinnet dans Harry Potter de J K Rowling). (oui je suis partie pour lister TOUS les personnages qui s'appellent Alice et dérivés dans TOUS les livres que j'ai lus, et alors ?)

Vous en trouverez certainement plein d'autres qui viendront bien sûr alimenter beaucoup de théories du complot à mon égard, je vous fais confiance là-dessus. Merci d'avoir lu cette nouvelle, allez lire les autres !

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