Merci beaucoup pour les 5 commentaires sa me fait plaisir!!!!!! J'espère que cette suite sera à la hauteur de vos espérances!

La directrice entra, l'air grave et me dit:

- Lilas est-ce-que sa va?

- Oui pourquoi sa n'irait pas?

- Je t'expliquerai en route. Habille-toi.

Elle l'avait dit sur un ton tellement autoritaire que je n'ausai pas riposter... Mais je suis quand meme pas son chien! Une fois que j'eu fini, elle me fit sortir de l'infirmerie. J'eu à peine le temps de dire au revoir à Julie. Sur le chemin vers heu... je sais pas ou, je lui demandais;

- Alors, que se passe-t-il?

- Julie t'as parlé du "clan" qui veux tes pouvoirs?

- Oui.

- Très bien. Et bien nous avons découvert que un de nos professeurs fait partie de ce "clan". Nous devons t'emmener dans un lieu sur.

- C'est à dire?

- Dans une autre école...

Elle me mena au parking de l'école et me fit monter dans sa belle Audi noir. Quand elle démarra, un silence s'installa. Comme celui-ci commençait à devenir pesant, je dis:

- Ou m'emmené vous?

- Dans une autre école.

- Vous me l'avez déjà dit ça. Dans quelle école?

- Dans une école normale.

- Oh non je vous en prie tout mais pas ça, soufflai-je.

- Et pourquoi?

- Je ne maitrise pas mes colères, je pourrais les blesser!

- Ne t'inquiète pas pour ça, le directeur est au courant.

- Comment pouvez lui faire confiance? Peut-etre fait-il aussi partie du "clan".

- C'est mon grand frère.

- Oh. Tout s'éclaire!

Et là, nous fummes prise d'un fou rire incontrolable. Le reste du trajet se passa bien, nous avions mis la musique à fond et on chantait à nous casser la voix. Jamais je n'aurai pensé avoir une telle relation avec ma principale. Au bout d'à peu près trois heures de route à chanter comme des malades mentals sorties tout droit d'un hopital psychatrique, nous arrivions. Elle se gara, puis nous sortimes de la voiture, acceuilli par ( je crois ) son frère puisqu'elle le prit dans ses bras. Il n'était pas très séduisant: cheveux couleur poivre et sel, yeux gris mais surtout il était très très maigre à en faire peur, ou faire retourner un monstre dans sa tombe, ce que vous voulez. Elle dessera son étreinte et lui dit:

- Je te présente Lilas Herwich. Fais très attention à ce que personne ne l'énerve car cela pourrait faire des dégats.

Quand il lui répondit, je découvrit une voix de squelette qui allait parfaitement avec son physique:

- Ne t'inquiète pas soeurette, je ferais attention à cette jeune fille.

Je devais faire une drole de tete, car elle ( j'ai oublié de vous dire, pendant le trajet j'ai appris qu'elle s'appelait Corine ) me chuchota à l'oreille:

- A première vu, il a l'air froid et mal intentionné mais ne t'en fais pas, en réalité, c'est un vrai nounours.

Peu convaincu mais un peu rassuré je lui répondi:

- Si vous le dites.

- Au fait, je m'appelle Florian, tu peux m'appeller par mon prénom si tu le souhaite, mais pas devant les autres élèves.

Et sur ces mots, il rentra dans l'école. Avant de le suivre, je dis au revoir à Corine et lui demandai si ma mère était au courant de tout ça. Ma mère... je n'ai pas pensé à elle depuis que je suis arrivée et aussitot, je me sentis coupable de cela. Bref, Corine me répondit que non, elle n'était pas au courant car elle aurait surement trop paniqué. Sur ce, je lui dis de nouveau au revoir et elle me fit un calin. Je ne m'y attendais pas, mais cette étreinte m'apaisa. Elle me lacha, et me fit un bref sourire que je lui rendis. J'entrai alors dans l'école, l'estomac et la gorge noué.

Au fait, je vous ai mis Corine en multimédia.