Chapitre 44

PDV Nagisa : 

Je me sens bien pour une fois. Rei m'a rassuré et calmé. Je crois bien qu'il pense qu'il n'en est pas vraiment capable mais il a bien réussi. Il agit aussi aussi un peu bizarrement avec moi. Je n'ai pas compris, mais bon. Bref, passons. Ca fait 2 jours que tout cela c'est passé. Je suis retourné en cours, l'ambiance y était tellement électrique que je crois bien que les autres allaient tous mourir sur place. Je me suis engueulé un nombre incalculable de fois avec Karma, en venant parfois aux mains. Combien de fois nous sommes nous fait séparé par Karasuma-sensei ou Mme Pouffe ? Je ne sais pas. Et ça ne fait que 2 jours que cela dure. Les professeurs en ont déjà marre, et les autres aussi je crois. Qu'ils aillent se plaindre auprès de Karma. Je n'en ai strictement rien à foutre de leur avis à la con. Ils ne savent rien, et pourtant ils parlent quand même et se permettent de critiquer. Ils sont pitoyables et pathétiques à faire ça. Ils me feraient presque pitié. Je soupire et sors de mes songes. Je finis de faire mes éternelles couettes et après avoir remis mes bandages correctement, je descends dans la cuisine. En arrivant je vois Rei, une tasse de chocolat chaud à la main. Je m'approche de lui, et une fois que je suis enfin assis sur la chaise, mon demi frère embrasse ma joue. Je lui rends son bonjour et commence lentement à rêvasser un peu. Je ne veux pas aller en cours aujourd'hui, ça va encore mal finir. Je n'ai rien dit à personne, même pas à Rei. Je n'ai pas très envie qu'il se mêle de ça. Ce n'est en aucun cas ses affaires. Pitié, fait qu'il sèche les cours aujourd'hui, ne serait-ce que le matin. Connaissant Marc et Haruka, cela m'étonnerait qu'il sèche avec lui alors qu'ils ont 2 contrôles ce matin. Connaissant aussi très bien mon demi frère, je ne pense pas qu'il voudra sécher seul, et donc il risque très fortement de me proposer de venir avec lui. Je l'observe finir sa tasse de chocolat chaud. Comment fait-il pour manger le matin ? Même en plein mois de janvier je n'y arrive pas. A la rigueur je peux ingurgiter du lait à la vanille ou la fraise, mais c'est tout. Je soupire lentement. Je m'exaspère tout seul. Je ne m'aime pas tout simplement alors c'est sur que je ne risque pas d'être fier de moi. Je ne fais que des conneries dans le fond. Incapable de m'occuper de moi seul. Pleurnichard sur les bord avec des tendances suicidaires. Je n'ai rien pour plaire alors pourquoi une personne comme Rei continue de s'accrocher comme ça à moi ? Il ferait mieux de me laisser dans ma folie et mes idées noires. Et ça y est, je recommence ! Me voilà une fois de plus à complètement dériver de sujet sans raisons. Je continue à broyer du noir dans ma petite tête jusqu'à ce que je sente une douce pression sur mon épaule. Je me retourne et vois la paire d'yeux vairon de mon demi frère. Je l'observe et attends qu'il parle. Plusieurs secondes passent sans que le silence ne soit brisé. Le châtain souffle doucement et relève quelques mèches de cheveux rebelles avant de prendre la parole.

 "- Rei : Ecoute Nagi... Je sais que tu vis une période assez difficile en ce moment, mais il faut te nourrir tu sais ? 

 - Nagisa : Je ne mange jamais le matin, je ne supporte pas ça. Ca me dégoûte trop.

 - Rei : Allez Nagi force toi un peu s'il te plait. Tu es déjà trop maigre pour un garçon de ton âge. Tu es un vrai squelette ambulant. Parfois quand je te prends dans mes bras, j'ai l'impression de faire un câlin à un sac d'os. Il faut te renforcer un peu.

 - Nagisa : J'ai pas envie. 

 - Rei : Allez fais un effort petit choux, ce n'est pas bon pour toi de rester ainsi. Tu veux être fort oui ou non ? 

 - Nagisa : Oui je veux être fort, mais je ne peux pas l'être. Je n'ai pas le mental qu'il faut pour cela. Je ne suis rien du tout alors pourquoi vouloir devenir quelqu'un ? Ca ne sert à rien !

 - Rei : Je t'interdis de dire ça Nagi, tu m'entends ?! Jamais je n'accepterai ces paroles venant de ta bouche ! Je veux que tu sois heureux alors laisse moi t'aider !

 - Nagisa : Je ne veux pas de ton aide ! Je ne veux pas être aider alors laisse moi sombrer et crever à petits feux, merde !

 - Rei : (prend Nagisa dans ses bras) Jamais je ne pourrais te laisser d'accord ? Tu es mon demi frère, tu comptes pour moi même si je ne dois pas te le montrer assez. Je ne veux pas que tu meurs moi. (se met à pleurer) Qui vais-je embêter si tu n'es plus là ? Qui va venir me parler quand ça ne va vraiment plus ? A qui vais-je soigner les blessures après ? Personne. 

 - Nagisa : Ne dis pas n'importe quoi. (chuchote) Tu as Marc et Harka pour ça. 

 - Rei : Ce n'est pas la même chose qu'avec toi. Je ne veux pas que tu partes. Essaies de te mettre un peu à ma place Nagi. Je ne le supporterai pas. Ton père et ma mère non plus."

Non je ne peux pas me mettre à leur place. Ils ne peuvent pas se mettre à la mienne non plus. Si ils vivaient tous ce que moi j'endure chaque jour, ils auraient succombé depuis bien plus longtemps que moi. Il pleure longuement. Pour une fois, ce n'est pas moi qui est à cette place de pleurnichard. Je voudrais bien le consoler, mais je n'ai rien à dire pour l'aider. Je resserre juste un peu plus notre étreinte, et le laisse déverser ce torrent de larmes dans le creux de mon cou. Il en avait surement besoin. Tout le monde a besoin d'éclater parfois. Je n'aime pas vraiment voir Rei comme ça. Il est comme un rayon de soleil, sauf qu'à cause de moi de gros nuages noires le cache. Une fois qu'il s'est calmé, je monte à l'étage, prends un peu d'agent, le livre que le châtain lit en ce moment, mon portable avec mes écouteurs, et je redescends au rez de chaussée. Sans un mot, nous nous habillons chaudement, puis sortons de la maison. Rei me demande du regard où nous allons et je lui fais signe de juste me suivre. Après quelques minutes de marche, nous arrivons devant un petit café. Nous rentrons, et un doux parfum de chocolat chaud et de café arrivent à mes narines. Il voulait que je mange, très bien. On va prendre un petit déjeuner ici et peut être se remettra-t-il à sourire ensuite. 

PDV Rei :

Je ne comprenais pas au début pourquoi Nagi nous avait emmené dans ce café, puis je me suis rendu copte que c'était pour le faire plaisir. Je me suis un peu détendu, puis nous avons commencé à parler un peu de tout et n'importe quoi, au chaud, autour de cette petite table collée à une fenêtre. L'ambiance du café est très agréable, et cette douce odeur de café et de pâtisseries, un vrai délice olfactif. Après 5 petites minutes d'attente une serveuse arrive avec notre commande. J'ai pris un beignet au sucre avec nappage caramel ainsi qu'un cappuccino, tandis que Nagi a commandé un chocolat chaud avec un muffin aux pépites de chocolat et un pain au chocolat. Ca fait un peu, beaucoup même, de chocolat, mais bon. Nous remercions la serveuse et reprenons tranquillement notre discussion là où nous l'avions laissé. A mon grand étonnement, le bleuté arrive à manger son muffin et boire son chocolat sans trop avoir de haut-le-cœur, mais malheureusement pour lui, il n'arrive pas à toucher un seul bout de son pain au chocolat. Estimant qu'il a déjà fat un gros effort, je prends la pâtisserie et la finis pour lui. Après avoir discuté encore quelques dizaines de minutes, Nagi paye, et nous sortons du petit café. Je me demande bien ce qu'il a encore prévu pour cette matinée.

PDV Nagisa :

Rei a l'air d'avoir apprécié ce petit déjeuner, et tant mieux. Même si je ne le fais pas comme cela d'habitude, c'est une façon de m'excuser sans le dire, un peu comme Karma en fait. Mais pourquoi je parle de cet abruti moi ?! Je le déteste alors stop ! Tu mens Nagisa. C'est mal le mensonge. Mais oui, c'est ça. Tu crois le détester tout naturellement. Mais tu es simplement très en colère contre lui parce qu'il ne te comprend plus aussi bien qu'avant. Je ne vois pas de quoi vous parlez. Allez-vous en maintenant ! Très bien. Si c'est ce que sa majesté veut. Mais tu peux nous croire. Tu le regretteras tôt ou tard. Mais fermez là et disparaissez ! Je me secoue légèrement la tête, espérant ainsi chasser ces foutues voix. C'est quoi mon putain de problème à la fin ?! Je suis dépressif et suicidaire, ce n'est pas déjà assez suffisant comme ça ? Il faut aussi me rajouter la folie en supplément ? Mais qu'est-ce que j'ai bien pu faire pour mériter une vie comme ça ? Bon, allez Nagisa, tu dois te reprendre et passer une matinée sympa et sans prise de tête. Rappelles toi que tu es avec Rei et qu'il est là pour te soutenir avant de reprendre une après midi de cours bien nulle. Je soupire un peu, et j'arrive avec mon demi frère dans le parc de mon enfance. Rei semble surpris, mais ne dit rien. Malgré le froid qui nous mord le visage, nous avançons à travers le parc, avant q'aller s'installer sur un des jeux présent. Je sors le livre du châtain que j'avais pris, et je lui passe, sans un mot. Ce dernier le prend et commence à reprendre sa lecture, tandis que moi, je sors mes écouteurs et mon portable. Je lance une playlist au hasard, et écoute la musique qui se lance. Rei se cale entre mes jambes et contre mon torse et se plonge totalement dans sa lecture. Avec les températures qu'il fait et l'heure qu'il est, aucune chance de croiser des enfants dans l'aire de jeux. Je ferme les yeux et me laisse porter par la musique. Après un certain laps de temps, je sens qu'on me secoue. Je soulève mes paupières et croise les yeux vairons de Rei. Il s'est relevé et veux me parler. 

 "- Nagisa : Qu'est-ce qu'l y a ?

 - Rei : Merci pour cette matinée, c'était sympa Nagi. 

 - Nagisa : De rien, c'est normal. Tu ne voulais pas que me parler de ça je suppose ?

 - Rei : En effet oui. Il est déjà 11h 35, et il est temps de rentrer. Tu as peut être réussi à sécher les cours du matin, mais pas ceux de cette après midi.

 - Nagisa : Ho non, j'ai pas envie d'aller en cours.

 - Rei : C'est à cause de Karma ? Vous vous engueulez encore ? 

 - Nagisa : En quelques sortes oui...

 - Rei : La vérité Nagi.

 - Nagisa : Oui on s'engueule, mais si ce n'était que ça... A chaque fois ça finit en baston. 

 - Rei : Mon dieu, que vous êtes con ! 

 - Nagisa : C'est même pas vrai d'abord !

 - Rei : Ho que si. Bon ne discute pas, on rentre et tu iras en cours. 

 - Nagisa : Pff, bon d'accord. 

 - Rei : Si tu es sage, je t'accompagnerai alors ne fait pas cette tête."

PDV Rei : 

Nagisa continue un peu de pester, les joues un peu gonflés, et tirant une tête à croquer. Il est marrant à bouder comme un enfant. Nous arrivons enfin à la maison après plusieurs minutes de marche, et après nous être déchaussé, nous nous dirigeons vers la cuisine pour aller manger. Durant le repas, nous continuons à discuter de choses et d'autres. Ca fait du bien de souffler un peu et de passer du temps avec Nagi. Malheureusement, le temps de repartir pour son collège est bien vite arrivé. L'androgyne monte à l'étage pour prendre son sac, puis nous nous chaussons avant de partir pour le métro. Le trajet passe assez rapidement, et là vient l'horrible montagne à gravir. Une véritable horreur. Je suis fort dans les combats de rue et dans la plupart des sports, mais l'athlétisme et l'endurance c'est à revoir. Nagi a été obligé de me prendre la main pour me tirer jusqu'en haut tellement je suis lent. Une fois en haut je reprends mon souffle tranquillement. . Après ce petit temps de répit, Nagi me tire pour continuer encore le petit bout de trajet que nous avons à faire. Le chemin pour aller jusque dans sa classe, c'est le parcours du combattant. Sérieusement, comment fait il pour parvenir à réussir cet exploit 5 jours sur 7 ? Moi en tout cas, j'en serais incapable. Bref, assez parlé de moi. Hallelujah ! Nous sommes enfin arrivés à son fichu bâtiment. Je n'ai jamais été aussi heureux de voir une salle de classe de ma vie qu'en ce jour. Au dehors, nous pouvons voir quelque uns des élèves discuter par petits groupes, tandis que d'autres sont à l'intérieur de la bâtisse en bois. Il y a trop de monde que je ne connais pas pour moi. Tout ça me met un peu mal à l'aise. C'est peut être parce que maintenant les paroles du bosse et de Nagi me reviennent en tête. Ils sont tous des apprentis assassins, et leur prof est un putain de poulpe jaune. Mon demi frère voit bien que je ne suis pas vraiment très à l'aise, alors il resserre un peu sa main dans la mienne. Je tourne la tête vers lui et il sourit. Nous discutons un peu, mon bras finissant instinctivement par s'enrouler atour de sa hanche. Ca ne semble pas vraiment déranger l'androgyne alors je ne le bouge pas. Et nous parlons encore et encore, sans trop nous soucier des regards que certains camarades à Nagi nous lancent. Puis, je commence à me rendre compte que tout le monde nous regarde. C'est vraiment gênant. Mais attendez, si tout le monde nous observe, cela veut dire que Karma aussi je suppose. Je tiens là une excellente vengeance. Vous me demanderez une vengeance à propos de quel sujet je suppose ? Hé bien, la réponse est simple. Une vengeance pour avoir fait du mal à mon petit protégé. Oui, le bleuté est mon protégé, rien que de l'avoir vu se battre si violemment avec Karma m'avait retourné le cerveau, alors une seconde je n'imagine même pas. Même avec quelqu'un d'autre, je ne le supporterai pas et que Nagi sache se débrouiller ou non, je casserai surement la gueule à son adversaire. Bref, donc comme je le disais, je vais me venger. Une fois que je le repère enfin dans cette foule, je rapproche un peu plus Nagi de moi, et j'embrasse simplement sa joue. Vous trouvez ça nul ? Attendez de voir la réaction du bosse. Vous m'en direz des nouvelles. J'ai raison, il s'approche de nous assez rapidement. Je sens comme une aura meurtrière se dégager de lui et ses yeux me lancent des éclairs. Si son regard pouvait tuer, je serais déjà mort une bonne dizaine de fois. Je baisse mon regard sur mon demi frère qui semble un peu perdu. Pauvre petit choux, il ne va rien comprendre à ce qui va suivre. Ils sont sensés se faire la gueule, mais Karma est incapable de résister à son jalousie maladive. Ca va être marrant. Les gens commencent à se rassembler près de nous, tous attendant qu'il parle.

PDV Karma :

Je suis super en colère pour ne pas dire que je suis fou de rage. Comment ose –t-il se montrer avec Rei comme ça ? Et en plus ce connard à son putain de bras autour de sa hanche ! C'est MON Na-chan, pas le sien bordel ! Je sens que je vais commettre dans les secondes qui suivent. Nagisa appartient à moi et à personne d'autre !

 "- Karma : Je peux savoir ce que tu fais ici... Rei ? "

Un énorme sourire narquois apparaît sur son visage. Il est en train de se foutre de ma gueule, et je déteste ça. J'avais raison... Je vais tuer ce crétin. En plus de ça, Na-chan ne réagit pas et ne semble pas comprendre ce qu'il se passe. Dois je lui rappeler qu'il est à moi, peut importe que nous soyons en froid ou pas. C'est décidé, je vais lui montrer moi qui c'est le plus fort entre ce petit con et moi. Non, je ne suis pas jaloux, c'est juste que je n'aime pas qu'on joue avec ce qui m'appartient.

 "- Rei : Hé bien, j'accompagne mon charmant demi frère à son école. Mais pourquoi cette question ? Monsieur serait-il jaloux que je sois plus proche de lui que toi actuellement ?

 - Karma : Ne parles pas de chose dont tu ne sais rien Rei.

 - Rei : Tu as fait du mal à mon demi frère qui est venu en catastrophe chez moi et qui a cherché des putains de lames dans ma salle de bain pour aller mieux ! Tu es le connard de l'histoire, donc je te conseille fortement de ne rien me dire.

 - Karma : Na-chan est à moi, je fais ce que je veux lorsqu'il s'agit de lui !

 - Rei : Ca, je ne crois pas. Tu sais, je t'aime bien Karma, mais je ne te permets pas de faire du mal à Nagi. Ta jalousie maladive me dégoûte. Tu ne sais pas prendre soin de lui.

 - Nagisa : Ne dis pas ça Rei...

 - Karma : Ha oui ? Je ne sais pas prendre soin de lui ? Pourtant je m'en suis très bien sorti ces derniers mois, seul.

 - Rei : Quel beau menteur je vois là.

 - Karma : Je ne suis pas un menteur, ne me pousse pas à bout Rei.

 - Nagisa : Les garçons ça suffit. Calme toi Rei.

 - Rei : Ha oui ? Vu l'état de son corps on ne dirait pas. Le nombre de marques récentes qu'ils portent me dit le contraire.

 - Karma : Tu crois que c'est facile de tout le temps le surveiller ? J'aimerai bien t'y voir à ma place.

 - Rei : Ho, mais j'y ai été durant ces derniers jours. Il ne s'est pas fait de mal durant son séjour chez moi. Moi au moins, je sais le surveiller correctement.

 - Nagisa : Rei arrête ça maintenant.

 - Karma : Mais oui c'est ça, je vais te croire. Je sais ce qui est bien pour lui alors que toi non.

- Nagisa : Calmez vous les garçons. S'il vous plait.

 - Rei : C'est que tu sais ce qui est bien pour lui. C'est peut être pour ça que ce jour là on l'a retrouvé entre la vie et la mort dans la salle de bain, les veines tailladées.

 - Karma : J'étais parti chercher à manger donc ne me blâme pas !

 - Nagisa : FERMEZ LA TOUS LES 2 !" 

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Hey les gens. Oui pour une fois je ne poste pas à 2h à matin, c'est un exploit. Je suis toujours en retard, comme d'habitude, mais ça, pas besoin de le rappeler. Le chapitre fait 3 125 mots, et il me satisfait pour une fois. J'aimerai faire passer un message à tous ceux qui lise ce nda. Je ne permets à personne de reprendre les bases de mon histoire, les gags etc sans mon accord ou sans me créditer. Je dis ça parce que l'autre jour je suis tombée sur l'histoire d'une de mes abonnées qui lit cette ff et qui avait repris un scénario de mes premiers chapitres ainsi qu'une vanne d'un autre un peu plus récent en changement seulement quelques mots. Sachez que JE NE TOLÈRE CELA EN AUCUN CAS. Si elle ne me crédite pas ou qu'elle ne retire pas ce chapitre, peu importe le nombre de vus de son histoire, je ferai en sorte que son histoire soit complètement retiré de wattpad. J'ai passé des heures entières sur tous mes chapitres, alors je ne vois pas pourquoi on devrait me "voler" mon travail parce qu'on ne trouve pas d'idées pour sois. Certes, il y a quand même eu du temps d'écriture par derrière, mais cela ne change en rien que cette personne a pris mon contenu sans ma permission. Ceci est la version raccourci du message que j'ai écrit sur mon recueil d'os. Bref, je vous souhaite un Happy Halloween pour ceux qui le fêteront le 31. Sur ceux,

Kiss les gens <3              

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