Chapitre 65 : Rome & Grèce

Comme le voulait la coutume, les futures mariées drapée de leurs toges blanches et la tête ornait d'une couronne de fleurs orangers furent escortés à cheval par plusieurs gardes romains jusqu'aux marches du temple des dieux romains. A l'occasion, tout avait été joliment décorés, des rideaux de fleurs, des vases de fleurs plus étincelant les uns des autres, sous une pluie de pétales de roses blanches et rouges. A leurs suites plusieurs servantes et serviteurs apprêtaient de tuniques grisâtre les suivaient les bras chargés de cadeaux et d'offrandes. Au sommet des escaliers se tenaient les fiancés et leurs familles respectives, tandis que les mères des mariés attendaient au pied des marches pour escorter leurs filles jusqu' à leurs époux. Aux côtés de l'empereur se tenait ces fils et son neveu, resplendissant dans leurs tuniques de couleur nacre. Enfin, les futures mariées descendirent de leurs montures aidaient par leurs gardes personnels, tandis que les mères de famille s'empressèrent d'aller à leur rencontre.

— Oh ma chérie, murmura dame Melita en caressant la joue de sa fille Titia les larmes aux yeux.

La nièce de l'empereur sourit tristement en repensant au fait qu'elle aurait tant aimé que sa mère soit là, pour un jour si important. Toutefois, elle fut ravi de voir sa tante Octavia qui lui fit un sourire étincelant et l'étreignit avec force.

— Tes parents auraient été fier de toi et ils auraient été plus qu'honorés d'un tel évènement, assura Octavia les larmes aux yeux.

La nièce de l'empereur serra affectueusement sa tante contre elle laissant tomber le masque impassible et implacable qu'elle avait toujours arboré. Après plusieurs accolades aux deux fiancées, elles furent escortés par leurs mères jusqu'à leurs futures époux. Le cœur de la nièce de l'empereur se gonfle d'autant d'amour que de culpabilité à la vue de Daerios et toute sa famille. La délégation grecque était assez nombreuse mais comptait exclusivement les membres de la famille de Daerios, les parents de celui-ci, ces frères et sœurs et ces belles-sœurs et beaux-frères. Elle salua ceux-ci d'un petit sourire timide et d'un hochement de tête.

— Daerios mon frère, je comprends pourquoi tu n'as pas choisie nos consœurs grecques, les romaines sont bien plus belles, taquina Deimos, le frère de Daerios.

Les membres de la famille Nikos laissèrent échapper des rires alors qu'Isadora NIKOS s'empressa de leur intimer de se taire sous le regard amusé de la maison GLADIUS. La maison MAXIMUS échangèrent des regards complices alors que Titius MAXIMUS serra affectueusement la main de son épouse. Leur unique fille allait épouser l'homme qu'elle aimait, ce qui avait été plus qu'il n'aurait espérer. Bien qu'au départ sa fille avait fait tout un scandale pour ne pas faire partie de la famille de l'empereur. Les deux couples se firent face, se présentant l'un à l'autre.

— Ou est Cassiopea ? Demanda Galadius en cherchant du regard sa sœur cadette.

La romano-gauloise avait eu tout le loisir de se calmer et de remettre ces idées en place, l'organisation d'un tel évènement nécessitant beaucoup de personnel, responsabilités. Sa colère s'était atténuée, bien qu'elle reste très présente. Mais elle ne pouvait pas se permettre de faire un scandale, car si l'on venait à apprendre que l'une des fiancées n'était pas pure cela annulerait directement le mariage. Et malgré tout le mal que lui avait fait Maxima, elle n'avait pas envie que celle-ci soit abandonné devant l'autel.

— Maxima, interpella Cassiopea.

La nièce de l'empereur se détourna de son fiancé, et défaillit en croisant le regard de sa cousine. Toutefois, la romano-gauloise s'empressa de présenter à sa cousine un plateau contenant la bague de fiançailles. Soulagée, la blonde saisit ladite bague alors que ces épaules s'affaissèrent de soulagement, et elle planta ces iris dans celle de son futur époux qui avait fait de même.

— Ubi tu Gaïus, ibi ego Gaïa. Où tu seras Gaïa, je serais Gaius » récita Maximus en passant l'alliance au doigt de son épouse.

— Ubi tu Gaïus, ibi ego Gaïa. Où tu seras Gaius, je serai Gaïa » récita à son tour Titia en passant à son tour l'alliance au doigt de son époux, émue.

Le couple se sourit et serrèrent affectueusement les mains de l'un et de l'autre, sous le regard attendrie et leurs familles. Tandis que tous les regards se tournèrent vers le second couple.

— Ubi tu Gaïus, ibi ego Gaïa. Où tu seras Gaius, je serai Gaïa » récita Maxima, en passant l'alliance au doigt de Daerios.

— Où tu seras Héra, je serai Zeus. Puisse notre amour être comblé bénédictions et que nos liens ne se brisent jamais, récita Daerios en passant à son tour l'alliance au doigt de Maxima.

Sans attendre, les deux couples échangèrent leurs alliances et prononcèrent leurs vœux. Un tonnerre d'applaudissements et de cris se fient entendre lorsque le prêtre annonça solennellement que les unions étaient scellés. Ce fut une explosion de joie, les différentes familles se félicitèrent mutuellement alors que les mariés furent adulés, félicités et comblées de bénédictions.

— Toutes mes félicitations ! félicita Octavia de Gaule, en serrant affectueusement Maxima contre elle.

Maxima se laissa faire et étreignit à son tour sa tante. Ce fut là qu'elle se rendit compte de l'importance des liens familiaux, de tout ce qu'avaient fait son oncle et sa tante, ces cousins et même sa cousine. En y regardant de plus près, elle n'avait jamais manqué de rien, avait toujours eut un toit, de la nourriture sur la table, un lit douillé, une protection et un enseignement. Et cela elle le devait à sa tante, et son oncle, les derniers membres de sa famille. Son cœur se serra, alors que les larmes lui montèrent aux yeux, la blonde n'écoutait plus les bénédictions des autres. La romano-gauloise s'était retirée un moment, pour être loin de toute cette agitation. Tout se bousculait dans sa tête, les images d'Ares et Maxima en plein ébats, elle et Hypérion entrelaçaient, les mariages de son cousin et sa cousine. Elle jeta un œil aux deux plateaux de cadeaux qu'elle avait préparé exclusivement pour l'occasion, pour la célébration des mariages de Maximus et Maxima.

— Pff, laissa échapper Cassiopea en soupirant.

Avec nonchalance, la romano-gauloise s'empara du cadeau qu'elle avait confectionné pour son cousin et sa cousine. C'était une grande étoffe blanche nacré ou elle y avait brodé un magnifique paon argenté aux plumes d'émeraude pour Maximus. Elle sourit tristement, son cousin était son ainé de trois ans, bien qu'ils aient des hauts et des bas, des querelles incessantes et mêmes des coups, il restait son cousin. Et elle était fier de l'homme qu'il était devenu, et ne doutait pas de l'avenir de la maison de Claudius GLADIUS tout comme ces descendants. Et Maximus avait choisi une excellente épouse, Titia Caesa saurait briser la carapace qu'il portait, et le faire devenir meilleur. Ces iris s'attardèrent sur le présent qu'elle offrirait à Maximus, tandis que ces doigts effleurèrent le tissu. Trop préoccupée, elle ne sentit même pas une présence se glissait auprès d'elle.

— C'est un beau présent, fit remarquer Hypérion avec un petit sourire.

Sursautant, la romano-gauloise fit volteface et un sourire fleurit sur ces lèvres en reconnaissant celui qui l'avait interrompu. Il l'avait peut-être suivi ? Toutefois, en ce moment-même, elle préférait sa compagnie qu'à celle de tout autre. C'était assez contradictoire, d'habitude elle aimait les festivités et y participait activement. Mais ces temps-ci, ces festivités avaient été ponctuées de drames, d'obligations. La tragique perte d'Ilta était encore tout récente, elle n'avait pas donc pas le cœur à la fête mais s'efforcerait de faire bonne figure pour ne pas inquiéter ces pairs et ne pas gâcher l'enthousiasme des mariés.

— Qu'est-ce qui te tracasses tant ? interrogea Hypérion, en croissant les bras sur son torse. Je doute que ce soit à propos de ces présents. Continua-t-il d'un regard appuyé.

Le sourire de la romano-gauloise se fana, alors que ces traits se relâchèrent et que la pression sur ces épaules sembla lui faire davantage mal. Contre toute attente, sans réfléchir elle rejoint rapidement l'héritier déchu et étreignit celui-ci. Décontenancé, il entoura celle-ci de ces bras et l'étreignit à son tour. Doucement, comprenant qu'elle n'avait aucunement d'en parler, il la berça doucement et lui caressa les cheveux. Un instant, il se souvint de son enfance, lorsqu'après avoir été grondé par son père, il allait se réfugier dans les bras de sa mère, Dame Caïa. Il se souvenait qu'elle lui fredonnait des paroles rassurantes tout en lui caressant distraitement les cheveux. Leur étreinte lui fit le plus grand bien, elle savoura le savoir à ces côtés. Au moins avec lui, elle n'avait pas besoin de porter un masque ou encore de la jouer fier. Finalement après un moment, ils se séparèrent et Hypérion ne put s'empêcher d'ébouriffer la chevelure de la jeune femme alors qu'elle le repoussait gentiment en rigolant.

— J'ai entendue dire que personne ne pouvait égaler ton talent pour la broderie dans tout Rome, taquina Hypérion en jetant un regard vers le présent qu'avait préparé Cassiopea à l'attention de Maximus.

La romano-gauloise sourit puis ouvrit une grande boîte en écrin, qui laissa apparaître une grande parure d'argent sertie d'émeraudes en plus d'une paire de bracelets pour Titia Caesa, l'épouse de Maximus.

— Et Maxima ? s'enquit Hypérion.

La romano-gauloise se refrogna, leva les yeux au ciel puis présenta à son compagnon ce qu'elle avait choisi. C'était une grande toge nacre ou elle y avait brodé un paon aux yeux et aux plumes de rubis d'une grande beauté. Elle en ferait des jalouses c'étaient plus que certains. L'héritier déchu laissa échapper un petit glapissement d'émerveillement en découvrant le cadeau de la jeune femme ferait pour sa cousine.

— Et pour to cher beau-frère Daerios ? Demanda Hypérion en admirant le présent de la jeune femme.

La romano-gauloise révéla une boite d'écran noir et l'ouvrit laissant apparaître une dague d'or sertie de rubis, aux manches couvert d'arabesques. L'héritier déchu fut une voix de plus époustouflé par les différents présents, sa compagne faisait les choses en grand.

— Nous devrions rejoindre les autres avant que notre absence se fasse remarquer, intima Hypérion.

La romano-gauloise acquiesça et allait s'emparer des cadeaux, lorsqu'elle sentit la poigne de son compagnon s'enroulait autour de son poignet et qu'elle se sentit tirer en arrière. La seconde d'après alors qu'elle laissait échapper un petit rire, Hypérion le visage de la jeune femme en croupe et scella ces lèvres à celles de la jeune femme. Souriante contre ces lèvres, elle répondit au baiser de son amant alors qu'ils s'étreignirent mutuellement. Après un dernier baiser, ils se séparèrent et prirent la direction des festivités les bras chargés de cadeaux. Les festivités battaient de l'aile tandis que les rires et les danses étaient au rendez-vous. Les couples mariés siégeaient à une table d'honneur aux côtés de leurs parents respectifs alors que deux sièges vides avaient été laissés libre.

— Cassiopea, nous t'attendions ! Ou étais-tu donc passé ? S'écria l'empereur d'une voix forte.

Pour toute réponse la romano-gauloise présenta ces cadeaux à l'assemblée dont tout l'attention s'était porté sur elle. Un sourire plaquait sur les lèvres, les yeux brillant d'amour et d'euphorie, la fille de l'empereur alla à la rencontre de son cousin et de sa belle-sœur.

— Ma sœur, commença Maximus, surpris et gêné par l'attention de sa cousine.

Un instant, le cœur de la jeune femme sembla rater un battement, alors que la surprise se peint sur ces traits. Il était rare que son cousin l'appelle ainsi, l'a considère comme sa sœur. Cela lui fit chaud au cœur et l'émue, toutefois elle se ressaisie. Elle s'empara de l'étoffe qu'elle avait préparé et l'a déplia. Immédiatement, le brouhaha s'estompa pour laisser place à des exclamations de stupeur et d'admiration. Tous furent captivés et émerveillés par le présent de la fille de l'empereur.

— Puisse ta lumière brillait, ta maison, ton foyer resplendirent d'amour, de bonheur et d'abondance. Commença Cassiopea, d'une voix enrouée par l'émotion. Puisse les dieux bénirent votre union, vous apportez longue vie, prospérité et surtout de beaux enfants. Termina-t-elle en glissant sur les épaules de son cousin l'étoffe.

N'y tenant pas plus, le neveu de l'empereur attira sa cousine à lui et la serra fort contre lui en la remerciant. Ce spectacle fit chaud au cœur à l'empereur et à la mère de Rome qui se serrèrent affectueusement la main, alors que leurs iris brillaient d'amour et de bonheur. Le duo finit par se séparer, sous le regard attendri de leurs familles et les applaudissements des autres.

— Titia Caesa, ma chère. Voici le présent que j'ai choisis pour toi, je suis certaine que tu apprécieras et le choieras, affirma Cassiopea avec un petit rire en présentant à sa belle-sœur une grande boîte en écrin.

Titia Caesa émue ouvrit doucement la boîte et ces iris s'écarquillèrent de stupeur alors qu'elle lâcha un petit cri de surprise. Ces iris brillèrent d'émerveillement face à la parure d'argent et d'émeraudes qu'elle venait de recevoir.

— Oh mais Cassiopea, il ne fallait pas ! répliqua Titia, émue avec les lèvres légèrement tremblantes.

— Pas de ça, je t'en prie. C'est mon devoir de choyer mes belles-sœurs, je l'ai fait pour Megara tout comme pour Statia, je me devais de le faire pour toi aussi, plaida Cassiopea avec un petit rire.

Un tonnerre d'applaudissements se fit entendre alors qu'à nouveau la romano-gauloise échangea une longue étreinte avec sa nouvelle belle-sœur. Galadius ne put s'empêcher de faire remarque à sa sœur que si elle continuait d'offrir de tels présents à ces belles-sœurs, les autres romaines tueraient pour attirer ces faveurs afin d'obtenir un si précieux et somptueux présent de sa part. Le groupe partit dans de grands éclats de rires, des rires qui redoublèrent avec l'intervention de Megara qui assura que le futur époux de Cassiopea devrait être la perle rare, afin de combler leur belle-sœur bien aimée.

— Ainsi donc vous êtes le dernier représentant de la maison GAIUS, fit remarquer Maxencus Cornelius DOMITIUS, avec grand intérêt.

— En effet, c'est çà, acquiesça Hypérion en servant une coupe de vin à son voisin et ainé.

Un geste que le vieil homme apprécia grandement et gratifia le plus jeune d'un grand sourire, alors qu'il invita celui-ci à prendre place sur les fauteuils. Bien élevé, l'héritier déchu invita le vieil homme à s'asseoir en premier puis prit place en face du vieil homme. Maxencus Cornelius DOMITIUS était originaire de Capus, et avait fait le déplacement pour les noces du neveu et de la nièce de l'empereur comme bon nombre d'autres maisons. C'était un vieil homme à la chevelure grisonnante, qui n'avait pas perdu de sa superbe, physiquement il présentait encore les vestiges d'un corps d'athlète parfaitement entretenu, tandis que dans ces iris bleus ciel brillait une vitalité sans emprise malgré son âge avancée.

— J'ai connus ton père dans sa jeunesse, lorsque rien que son nom faisait plier plus d'un centurion, flatta Maxencus avec un petit rire. Toutefois, sa soif de pouvoir l'a consumée, je l'avais pourtant prévenu qu'il devait s'arrêter. Malheureusement, il a fallu que ce soit le courroux de l'empereur qui s'abbat sur lui, continua-t-il en secouant tristement la tête.

L'atmosphère entre les deux hommes se refroidit, alors que l'héritier déchu ne put s'empêcher de grimacer, toutefois il se garda bien d'ouvrir la bouche. Après tout que pouvait-il dire ? Le mal était fait, et ils ne pouvaient changer ce qui s'était passé malheureusement. Le regard noir abyssal du jeune homme se porta sur son vin, alors que son esprit se perdit dans la vague. Il fut tiré de ces pensées lorsqu'il reçut une puissante tape sur le dos de la part du vieil homme qui se tenait devant lui. Abasourdi, il ne sut comment réagir, ces traits surpris et ces iris écarquillés parlèrent pour lui. En voyant cela, le vieil homme éclata de rire de bon cœur et secoua sa chevelure grisonnante.

— Ne t'en fais pas mon fils, je ne te laisserais pas aller à ton triste sort ! Tu es comme mon propre fils, je me dois d'honorer l'amitié que je partageais avec ton père, plaida Maxencus en serrant l'épaule d'Hypérion avec un grand sourire. De ce fait, je vais t'aider à faire renaître de ces cendres ta noble maison, restauré la gloire de ta maison !

— On êtes-vous sur ? Vous savez tout comme moi que l'empereur n'est pas vraiment mon ami, ne put s'empêcher de rappeler Hypérion en secouant la tête.

Nullement atteint par les propos du jeunot, et encore moins par l'évocation de l'empereur, le vieil homme but cul sec sa coupe et bomba le torse. Un instant, l'héritier déchu crut que le vieil homme avait rajeuni. Il eut la nette impression que celui-ci n'avait plus les cheveux grisonnants, mais des boucles d'un rare éclat, une peau dépourvue de rides et le corps resplendissant, respirant d'une jeunesse des plus éclatantes.

— Fais-moi confiance, Serius et moi, et bien d'autres sommes prêt à t'aider. Tu as fait tes preuves, tu as montré ta valeur, ta bravoure, ton courage et bien d'autres qualités dont seuls les GAIUS ont le secret ! Tu verras fils, bientôt tu seras de nouveau maître d'un tout nouveau Palacio, d'une nouvelle Maison dont les autres t'envieront et te détesteront ! contesta Maxencus, avec verve en saisissant une bouteille de vin et en l'a portant directement à sa bouche.

L'héritier déchu ne put s'empêcher d'éclater de rire, alors qu'il trinqua avec le vieil homme, alors que son cœur se gonfla d'un espoir neuf, vif et plus beau qu'il ne l'avait été par le passé. Les discussions allèrent bon train, tandis qu'Hypérion apprit que la fortune du vieil homme était battit sur les chevaux, celui-ci avait élevé, choyé des étalons de tout race et en avait fait des prodiges de la course, d'excellents destriers et des compagnons de routes encore meilleure que l'homme pouvait l'être. Il fit la connaissance de son oncle Julius Solonius VALERIUS, un guérisseur et médecin qui œuvrait un peu partout dans tout l'Italie avec qui il s'entendit rapidement et proposa à celui-ci de devenir le fournisseur d'herbes et plantes médicinales de celui-ci de leur région. En effet, de sa défunte mère Caïa VALERIA VALERIUS n'était autre que la sœur du vieil homme. Il fait la connaissance de Craxus Valius FABRICIUS, un artisan travaillant le fer d'Aemilie et d'Hellius Tisius NUMERIUS, un fabriquant de bateau. Les liens se tissent, les rires et les coupes s'emmêlent tandis que les plats, les mets pleuvent. Le cœur est à la fête pour tous, l'ambiance est enivrante, les odeurs séduisent les papilles.


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