Chapitre 50 : Maximus Gladius - Part II
Titia courrait à perdre haleine sans prendre la peine de regarder ou elle allait, ces yeux brouillés de larmes. Enfin après que ces jambes ne puissent plus tenir, elle s'écroula sur le sable. Elle lâcha un cri de pure douleur, éclatant en sanglots, libérant nombre des larmes qu'elle avait trop gardé pour elle. Elle pleura de tout son soûl, alors que ces épaules étaient secouées par des spasmes et des tremblements. Elle évacua sa frustration, son chagrin, sa rage tout ce qu'elle avait sur le cœur et sur les épaules. La seule témoin de sa libération fut la lune qui l'éclaira. Ces larmes finirent par se tarirent, ces tremblements s'évaporaient et son cœur devint plus léger. Son souffle devint plus serein, plus léger alors qu'elle essuya de revers les dernières larmes sur ces joues. Elle jeta un coup d'œil à sa toge qui était mêlés de sable et ou venait danser des rayons de la lune. Elle releva le regard portant son attention sur la mer méditerranée qui s'offrait à elle. Celle-ci était calme, les vagues venaient chatouiller les rochers tandis que la brise venait effleurer son visage. Doucement, elle se releva, épousseta sa toge, il était temps pour elle de rentrée. Soudainement, une silhouette bien distincte se dessina sur le bord de la plage, la jeune femme fronça les sourcils. Qui était-ce ? Maximus ? Elle en doutait, vue la silhouette, l'homme qui s'approchait était plus portant et plus massif. Elle fronça les sourcils alors qu'elle se rappela qu'il était tard et qu'elle était seule. Elle déglutit, qu'est-ce qui lui avait pris de s'enfuir de la sorte ? Reprenant ces esprits, elle pria les dieux pour qu'ils lui accordent protection.
— Tiens, tu es perdue ? lança l'homme.
Le cœur de la jeune femme manqua un battement, ces yeux s'écarquillèrent d'horreur alors qu'elle se figea sur place. Elle reconnaitrait cette voix entre mille, alors que son sang se glaça dans tout son corps. Pourquoi fallait-il qu'elle tombe sur lui ? Pourquoi fallait-il que son chemin croise encore celui de cet homme ? Tétanisée, Titia ne bougea pas alors que la peur la clouer sur place. Un rayon de la lune vint complètement exposer les traits du nouveau venu qui s'arrêta à quelques pas d'elle. Une peur sans nom s'empara d'elle, alors que les larmes lui montèrent de nouveau aux yeux. Qui était-ce ? Ce n'était nul autre que Marius Vinictus MARTIUS, un constructeur de navires connu pour son savoir-faire mais aussi pour son penchant pervers et son manque cruel de manières. Mais il n'était pas que cela, c'était un homme abominable et qu'elle aurait aimé, noyer voir mort.
— Tu tombes bien Titia, tu commençais à me manquer. Murmura Marius, avec un petit sourire malsain sur les lèvres.
C'était un jeune homme d'une trentaine d'années, aux yeux vert et à la chevelure courte rousse, musclé, les épaules carrés qui ferait peur à n'importe qui. C'était la lueur qui illuminait ces iris qui effrayait le plus la gente féminine, quand il s'agissait d'une femme, de sexe il était insatiable et cela ce deviner à ces regards insistants et ces gestes déplacés. Titia déglutit alors que ces larmes s'accumulèrent dans ces iris sans qu'elle ne daigne à maculer ces joues. Son cœur battait à cents à l'heure alors qu'elle tentait de ne pas s'évanouir. Des flash de leur dernière entrevue lui revinrent, elle se mit à trembler comme une feuille, ces mains devinrent moites. Non elle ne voulait pas que cela se répète, que cela recommence, qu'il pose de nouveau ces mains sur elle. Sans crier gare, elle rassembla le plus de courage qu'elle avait en sa possession, puis elle tourna les talons et déguerpit. Le marin jura dans sa barbe et la poursuivit sur la plage sans attendre. Malheureusement, Titia fut vite rattraper et sans qu'elle puisse faire quelque chose elle fut projeter dans le sable. Elle lâcha un cri de pure frayeur qui raisonna sur la plage mais qu'aucun ne sembla entendre.
— Tu peux crier autant que tu veux sale chienne, personne ne viendra. Crasha Marius, alors qu'une sourire carnassier orna ces lèvres.
Titia se débattit violemment, griffant, shootant son agresseur, crashant mais rien n'y fait. Marius sembla s'en amuser et maintint fermement la jeune femme contre le sable, alors qu'il avait emprisonné d'une poigne les poignets de celle-ci.
— Lache-moi ! pria Titia, en larmes.
— Débats-toi autant que tu veux, je vais me faire un plaisir de te baiser ! Tu m'excites encore plus ! nargua Marius, en laissant échapper un rire maléfique.
Les lèvres de Titia tremblèrent alors que se débattit de plus belle, non elle ne pouvait pas revivre une deuxième fois ça ! Non, elle préférait cette fois-ci mourir que subir les caresses, les baisers de ce porc sur elle. D'un geste sec, Marius déchira la toge de la jeune femme alors qu'elle lâchait un cri. Son désespoir devint une rage incontrôlable qui s'empara de chacun de ces membres et fit bouillir son sang. Muer par un effort surhumain, elle se libéra d'une part de son bourreau qui fut surpris. Profitant de cela, elle aspergea son agresseur de sable en plein visage. Marius lâcha un cri de douleur lorsqu'une poigné de sable lui obstrua la vue. Profitant de cela, Titia se releva à la hâte repoussa son ennemi et déguerpit de nouveau. Mais comme si le destin s'acharnait contre elle, une fois de plus elle fut de nouveau plaquer sur la sable, mais face contre terre.
— Sale garce ! pesta Marius, enragé.
D'un geste sec, Marius tira sur la chevelure de la jeune femme alors que Titia hurla comme jamais elle ne l'avait fait, elle se débattit alors que les larmes vinrent brouiller sa vue. Elle assena un énième coup de pied, qui envoya valser son agresseur sur le côté. Elle tenta de rampe avec la force du désespoir mais une fois de plus, elle fut violement tirer en arrière alors qu'elle lâchait un énième cri. Soudainement, une ombre jaillit de nulle part et Marius fut violemment projeter en arrière en lâchant un cri de douleur. Titia ne se préoccupa pas plus et s'éloigna rapidement de son bourreau. Dans un soupçon de curiosité, elle se retourna et jeta un coup d'œil à ce qui avait bien put se jeter sur Marius, et c'est là qu'elle le vit. Elle se figea de surprise.
— Petit fils de pute, jura Maximus en relevant violemment un Marius sonné.
Rouge de rage, Maximus ne se contrôla guère, ces poings s'abattirent avec violence sur sa victime. Ces poings épousèrent le visage du Marius sans interruption, emporté par sa colère et ce qu'il avait vu. Le neveu de l'empereur roua de coups Marius qui hurlait de douleur en vain. Marius s'écroula sur le sol presque sans vie, le visage mauve, tuméfié, les mâchoires en sang, le visage gonflé méconnaissable quasiment défiguré.
— Maximus, souffla Titia les yeux écarquillés les mains devant la bouche.
Finalement, après un moment alors que Marius parut mort Maximus le délivra de son emprise et recula, alors que ces poings étaient perlaient de sang. Ces traits étaient durcis par la colère et ces iris brillaient d'une lueur meurtrière.
— Touche-là encore une fois et je te jure que je te tues, sale vermine. Pesta Maximus, d'un ton glacial.
Marius ne répondit pas, à vrai dire vue l'état dans lequel il était il ressemblait davantage à un cadavre qu'autre chose. Seul sa respiration lente et douloureuse témoignait qu'il vivait encore. Le neveu de l'empereur se releva et ne put s'empêcher de crasher par terre aux pieds de sa victime. Alors qu'il tourna le dos à celui-ci et s'apprêtait à rejoindre Titia, Marius choisit d'intervenir malgré le tournis qu'il avait.
— Ça a été un plaisir de passer...avant...toi, réussit à articuler Marius en se relevant sur les coudes avec un sourire goguenard aux lèvres.
Titia se figea sur place de nouveau, alors que son sang se glaça de nouveau dans son être. Non ! Maximus ne devait pas l'écouter, il ne devait pas le savoir ! Sinon, jamais leur mariage ne serait célébré, elle serait châtié, répudié, dépossédé de tout, et surtout tout le monde apprendrait son terrible secret.
— Qu'est-ce que tu racontes vermine ? Crasha Maximus, alors que ces sourcils s'étaient froncés.
Marius laissa échapper un ricanement qui prit vite fin à cause d'une quinte de toux qui lui fit crasher beaucoup de sang. Il se redressa un peu avec le peu de force qu'il avait réussi à amasser en lui. Ces iris brillèrent de malice, il jeta un regard malsain à Titia puis reporta son attention sur le neveu de l'empereur.
— J'ai savourais sa peau, ces pleures, ces cris et surtout me recueillir dans ces magnifiques cuisses, commença Marius en léchant le sang sur ces lèvres d'une manière malsaine. J'ai particulièrement aimé, lécher ces larmes et sucer ces seins, tout comme sa peau alors qu'elle se débattait sous moi. Ma queue en redemandait encore et encore, continua-t-il avec un petit rire.
Titia sentit un vent glacé l'envahir, par instinct, elle recula et se recroquevilla sur elle-même. Elle secoua la tête tentant de chasser ce cauchemar, sous le regard incrédule de Maximus. Le neveu de l'empereur qui s'était figé, entendit de nouveau les propos de la jeune femme raisonnaient dans à ces oreilles, les paroles qu'elle lui avait dites Titia à leur dernière altercation. Celle-ci lui avait révéler que ce n'était pas le premier à lui tenter de lui faire du mal, de la frapper et il avait senti une peur sans nom émanait d'elle. Une même peur qu'il apercevait en ce moment-même, les mots de Marius s'insinuèrent en lui comme du poison. Jusqu'à qu'il comprenne que non seulement Titia n'était pas pure mais surtout qu'elle avait été violée. Il y en avait aucun doute et que ce Marius ont été l'auteur de cet odieux acte. Ne se contrôlant plus et devenu incontrôlable, Maximus brisa de nouveau la distance entre lui et Marius, le frappa une énième fois puis il plaça ces mains autour du cou de Marius et commença à l'étrangler.
— Argh, gémit Marius alors que son souffle commençait à s'éteindre.
— Meurt vermine ! salopard ! fils de pute ! vociféra Maximus de plus belle alors que la pression de sa poigne sur sa victime était de plus en plus forte.
Marius se débattit mais ce fut vain, son souffle devint de plus en plus erratique alors que sa vue se brouilla, il suffoqua. Ce fut le son de son souffle qui vint sortir la jeune femme de sa torpeur. Titia releva doucement le regard et lâcha un cri en voyant Maximus étranglait Marius. Ne réfléchissant pas plus, elle bondit sur ces jambes et accourut jusqu'au duo. Alors que le souffle de Marius commença à s'éteindre, elle se jeta sur Maximus et tenta de séparer les deux hommes.
— Maximus ! Tenta Titia en tirant Maximus vers elle.
Mais la jeune femme n'était pas assez forte, réfléchissant rapidement, elle tira violemment sur la chevelure de Maximus qui lâcha un cri et bascula en arrière avec elle. De ce fait, il relâcha sa victime qui s'écroula sur le sol inconscient.
Réalisant ce qu'elle avait fait, Titia recula à la hâte de peur de subir le courroux du brun. Mais d'un geste sec, Maximus qui avait repris le dessus sur ces émotions l'arrêta en l'interceptant par le poignet.
— Maximus, je...C'était le seule moyen que j'ai trouvais pour t'arrêter...défendit Titia, fébrile. Tu allais le tuer, je ne pouvais pas te laisser faire...continua-t-elle alors qu'elle déglutit.
Le neveu de l'empereur toisa avec colère la jeune femme accentuant une pression sur le poignet de celle-ci sans lui faire mal non plus. Sa respiration finit par se calmer et ralentir progressivement. Il l'interrogea du regard, il y perçut un grand soulagement et une certaine frayeur à son égard. Finalement, il fit attention aux paroles de celle-ci, elle n'avait pas tort si elle n'était pas intervenu elle il aurait tué Marius. Ce vil chien lui avait fait du mal aucun homme digne de ce nom n'aurait pu laisser cela être impuni et surtout pas lui. Il avait beau être un connard, une ordure parfois, mais jamais il n'avait essayé de violer une femme, de forcer une femme à quoi que ce soit de charnel sans qu'elle ne le veuille. Doucement, il la relâcha sans qu'il ne s'éloigne d'elle.
Titia remercia silencieusement Maximus alors qu'il l'avait relâché et qu'elle reprit une respiration normale. Elle clos un instant ces paupières, alors que tout le stress, la frayeur qu'elle avait ressenti s'évapora. La main sur le cœur, elle prit de grandes inspirations et ces muscles se détendirent. Elle finit par ré ouvrir ces paupières puis se releva doucement avec précaution.
Maximus se releva et jeta à peine un regard à son ennemi qui gisait sur le sable à moitié mort, il ne prit pas la peine de vérifier s'il respirait encore. Il épousseta sa tunique alors que tout la tension, sa colère, sa haine s'évanouit. Il reporta son attention sur la jeune femme qui l'accompagnait. Ces yeux étaient bouffis et gonflés à cause des larmes, ces traits étaient secoués et elle tremblait légèrement.
— Titia, appela Maximus.
La jeune femme reporta son attention sur le jeune homme, elle fit un pas dans sa direction mais chancela. Manquant de force, elle ne tenta même pas de se rattraper mais ce fut Maximus qui le fit. Une seconde plus tard, elle était accrochée au cou de Maximus, son corps presser contre celui ferme du neveu de l'empereur. D'un geste de la main, Maximus arrangea suffisamment la toge de la jeune femme bien qu'elle soit déchiré pour ne pas incommoder davantage la jeune femme.
— Maximus,je...Commença Titia en abaissant le regard.
D'un geste, le neveu de l'empereur posa un doigt sur les lèvres de la jeune femme alors qu'intérieurement il remercia les cieux d'être intervenus à temps pour la sauver des griffes de ce fou furieux. Tout à l'heure quand il avait entendu le cri déchirant de celle-ci, son cœur s'était arrêter de battre et son sang s'était glacé dans tout son être.
— Mais, fit Titia abasourdie.
Le neveu de l'empereur secoua négativement la tête intimant à la jeune femme de se taire, il n'avait aucune envie de parler. Car il savait que si elle abordait le fait qu'elle n'était plus pure l'énerverait, ce n'était pas sa faute à elle, c'était la manière dont elle avait perdu sa pureté qui l'enrageait et le rendrait furieux. Et s'il le faisait, il pouvait l'effrayer ce qu'il ne voulait pas.
Comprenant Maximus, Titia calla correctement contre le creux du bras du neveu de l'empereur au niveau du cœur de celui-ci puis s'endormit. Sans un regard en arrière, il quitta les lieux emportant et serrant fort sa dulcinée contre lui. Il fut accueilli par une multitude de gardes romains qui l'escortèrent jusqu'à la demeure MAXIMUS ou attendait tout le monde. À sa vue, Dame Melita s'empressa de le conduire jusqu'à la chambre de celle-ci, accompagné par le reste de la famille. D'un geste sec, le sénateur Titius traîna Maximus hors de la chambre de sa fille bien-aimé, Maximus n'opposa aucune résistance.
— Est-ce de ton fait ? Demanda Titius, d'un ton agressif.
— Non, répondit Maximus nullement préoccupé par le fait que son futur beau-père lui parle.
— Ne me ment pas ! hurla Titius, hors de lui.
Le neveu de l'empereur porta son attention sur le père de Titia avec une violente envie de le gifler mais il s'abstint. Il n'avait aucune envie de se mettre à dos le vieil homme, il n'y avait que l'état de Titia qui comptait pour lui dès à présent. Il n'eut guère le temps de faire quelque chose quand Lucius le frère ainé de Titia le saisit violemment par le col de sa tunique.
— Qu'est-ce que tu as fait à ma sœur ? Gronda Lucius, hors de lui.
Mais rien n'y fait, Maximus toisa avec froideur le frère de Titia nullement impressionner que ce soit par la carrure ou la colère de Lucius. Ces iris quant à elle, brillèrent d'irritation alors que son sang commença à bouillonner en lui.
— Lucius, enlève tout de suite tes mains de mon frère, intima d'un ton sec Galadius.
Lucius tressaillit malgré sa colère à l'entente de la voix de Galadius qui venait d'intervenir alors que l'atmosphère était tendu et électrique. Malgré lui, il relâcha avec désinvolture le neveu de l'empereur qui ne cilla même pas. Maximus se retint à grande peine de ne pas lâcher un pure soupir d'exaspération face à ceux qui l'attaquer. Cassius choisit d'intervenir et emmener un peu à l'écart Maximus qui se laissèrent faire.
— Raconte-moi ce qu'il s'est passé, pria Cassius avec sérieux.
Pour une fois, Maximus n'essaya même pas de lutter contre le courant comme il avait l'habitude de le faire. Il acquiesça puis raconta en détail sa soirée avec la jeune femme sans omettre aucun détails, alors que Galadius les rejoints à son tour.
L'empereur sut que pour une fois son neveu n'avait rien commit car d'habitude quand il faisait quelque chose de mal, Maximus se montrait effronté et admettait franchement ce qu'il avait fait quitte à prendre des coups. Mais là c'était différent, le père de Rome n'eut pas le temps d'accorder plus de son temps à ceux-ci quand il fut interrompu par l'un de ces gardes.
— Il dit vrai, inutile de chercher à l'accuser de quelque chose qu'il n'a pas commis, trancha l'empereur.
Avant que les hommes de la maison MAXIMUS puisse faire quelque chose ou protester dame Melita les interrompit.
— Maximus ? Appela la maîtresse de maison.
— Oui dame Melita ? répondit Maximus en portant son attention sur la dame.
Avant que le neveu de l'empereur puisse faire quelque chose, la maîtresse de maison fondit sur celui-ci avec rapidité. Il crut un instant qu'elle allait sortir de sous sa toge un poignard et poignarder en plein cœur mais ce fut tout autre. Elle l'étreignit avec force puis elle saisit la tête de celui-ci entre ces mains et déposa un chaste baiser sur le front de celui-ci. Interdit, il n'osa ni la repousser ni faire quoi que ce soit sous le regard abasourdi et l'air choqué de ces pairs.
— Je remercie les dieux de t'avoir mis sur le chemin de ma fille, cher fils. Grâce à toi, elle est saine et sauve. Jamais je ne te remercierais assez pour cela, soutint dame Melita en pleurs.
Maximus ne répondit rien puis fut surpris que la maîtresse de maison l'invite à rejoindre sa fille alors qu'elle s'occupa de ces pairs. Le jeune brun fronça les sourcils puis finit par prendre la direction des appartements de la jeune femme sous l'accord des hommes de sa maison. Il emprunta un long corridor, tourna à gauche, droite puis finit par débouler dans une grande pièce. À sa vue, les servantes disparurent en un rien de temps alors que Titia semblait être endormit. Avec précaution, il s'approcha de la couche de celle-ci, elle ne portait plus cette toge déchirée et il espéra qu'elle avait été brûler. Elle portait une toge couleur écorce tandis que tous ces bijoux avaient été enlevés, enfin à l'exception de ces bracelets de fiançailles qui n'avaient pas quitté ces poignets. Son visage était dénué de maquillage, ces larmes avaient disparu. Sa chevelure était éparpillée un peu partout, chacune de ces boucles traçaient son propre chemin. Un instant en observant celle-ci de plus près, il fut surpris de constater à quel point ils étaient long et si soyeux au toucher. A quel point elle semblait belle et sereine, et si paisible malgré les évènements qui s'étaient déroulés.
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