Chapitre 5 : Plan sombre
///ATTENTION SCÈNE QUI NE CONVIENT PAS A TOUS LES LECTEURS (Scène de sexe explicite et propos pouvant choqués /// SI CELA NE VOUS CONVIENT PAS, VOUS POUVEZ PASSER AU CHAPITRE SUIVANT merci ..
- Ce nouveau prisonnier m'intéresse beaucoup. Commenta Galadios II tandis que les servantes le déshabillaient.
- J'en ai entendu parler. Il me semble que c'est lui qui à tuer l'Egyptien, Lenos et son abruti d'acolyte. Commenta Octavia en se lavant dans un grand bassin d'eau dont la surface était remplie de pétales de roses rouges.
L'Empereur de Rome, une fois nu comme le premier jour de sa naissance, entra dans le bassin rejoignant de ce fait son épouse.
D'un geste de la main, l'épouse de l'Empereur congédia toutes les servantes et fit fermer leurs appartements. Ainsi personne ne dérangerait le couple le plus puissant de Rome qui prenait un bain ensemble.
Octavia de Gaulles sourit à son mari qui était à présent assis en face d'elle. Elle percevait le corps saillant et musclé.
- Un nouveau gladiateur. Déclara Octavia.
- Il tombe à pic, le Tournoi des Gladiateurs se tiendra dans deux semaines et j'ai hâte de le voir combattre. Il a du potentiel et je veux qu'il devienne aussi meilleur que Hellions. Affirma Galadios II.
Octavia sourit et ne fit rien quand son époux l'attira à elle, la seconde suivante, elle laissa échapper un soupir d'aise, en sentant les lèvres de celui-ci contre sa peau nue.
- Tu es vraiment divine ma chérie. Affirma Galadios tout en dévorant le cou de sa femme.
- Tu ne cesses de me le dire. Affirma Octavia les yeux clos.
Avant que la noble Française puisse faire quelque chose, l'Empereur était ancrée profondément au plus profond de son être. Surprise, elle relâcha cependant un cri de pure extase, tandis qu'elle se cambrait, la tête penchée en arrière. L'Empereur sourit et commença ses vas et viens, possédant son épouse sans attendre et tout en continuant de câliner sa poitrine.
- Ah ! Gémit Octavia.
L'Empereur fit courir ces mains dans de douces et langoureuses caresses sur tout le corps de sa femme, appréciant la sentir si proche d'elle. Alors que la noble Française s'accrochait à lui, tout en passant ses doigts dans les cheveux de son époux, gémissant de plaisir.
- Galadios ! Gémit Octavia transportée par le plaisir.
- Oui ? Déclara Galadios en donnant un puissant coup de rein à sa femme.
- Ah ! Lâcha Octavia.
L'Empereur finit par sceller amoureusement ses lèvres à celle de son épouse et accéléra la cadence. Tout devint que gémissements et cris ponctués du glapissement de l'eau contre le bassin mais aussi le bruit caractéristique de peau qui s'entrechoquait dans des étreintes passionnées et charnelles.
La noble Française chercha plus de contact, ouvrant davantage ses cuisses et serrant davantage son époux contre elle qui apprécia l'initiative en la pénétrant plus intensément et plus profondément.
Dans un dernier puissant coup de rein, le couple atteignit l'apogée de leur plaisir charnel. Ils échangèrent un sourire, front contre front amusés.
- Bon, il faut que je termine de me savonner. Affirma Octavia avec un petit sourire sans qu'elle ne quitte les genoux de son époux.
- Hm, laisse-moi faire. Déclara Galadios II en saisissant une savonnette sur le rebord du bassin.
Le couple se sourit et prit le temps de passer du temps ensemble ce qui était bien rare en vue de leurs fonctions et la position actuelle de Rome.
Galadius sourit en trouvant son cousin Maximus qui était en pleine besogne. Maximus après la cuisante et déplaisante humiliation qu'il avait subi était revenu dans ces appartements, tel un fauve enragé.
Et le seul moyen qu'il avait trouvé pour calmer sa profonde rage et colère, était le sexe.
C'est pourquoi, en ce moment même, il était en train de posséder sauvagement une noble contre un mur de ces appartements, une noble dont Galadius ne connaissait plus le nom.
Maximus n'arrêta pas pour autant sa besogne, possédant sans pitié la noble qui prenait tout autant de plaisir, gémissant à gorge déployée et en demandant toujours plus.
Galadius prit place sur un riche fauteuil et dégusta avec nonchalance une coupe de vin et une grappe de raisins qu'une servante venait de lui apporter. Galadius arrêta la jeune servante au moment où elle allait s'en aller. Comprenant la demande du noble, la servante s'agenouilla au pied du fils aîné de l'Empereur et commença à défaire l'attache du pantalon de celui-ci.
La servante se mit à pomper d'une main experte le membre du fils aîné de l'Empereur qui resserra son emprise sur les accoudoirs du fauteuil. Il finit par saisir la tête de la servante par les cheveux et la guida au mieux dans sa besogne.
Un quart d'heure plus tard, la noble et la servante furent renvoyées par les deux princes romains.
- Alors qu'as-tu à me proposer ? Demanda Maximus en ajustant ces vêtements correctement.
- Hm, le tournoi des Gladiateurs se tient dans deux semaines et ce serait l'occasion parfaite de mettre mon plan à exécution. Affirma Galadius, avec une lueur sombre dans les yeux.
- Est-ce que dans tes plans tu prévois de faire regretter à ta sœur son insolence et son arrogance ? fit remarquer Maximus avec mépris.
- Qu'as-tu fait encore ? Demanda Galadius amusé.
Galadius savait que son cousin se disputait souvent avec sa sœur, tout comme lui, mais il semblait qu'elle l'avait vraiment énervé et poussé à bout.
- Elle est l'auteure de cette marque. Déclara Maximus en montrant sa joie rouge.
- Je suppose que tu as dû toucher à ce qui lui appartient, tu n'apprends pas ce que je te dis ou quoi ? Ne touche pas aux gladiateurs, sinon elle ne t'épargnera pas. Affirma Galadius avec une pointe d'amusement.
- Ça ne répond pas à ma question ! Déclara Maximus.
- Elle fait partie des plans en effet. Et tu pourras faire d'elle ce que tu veux si tu y tiens tant, mais pas tant que je n'aurais pas eu ce que je veux. Prévint Galadius.
La mise en garde du fils aîné de l'Empereur n'était pas à ignorer, Maximus le savait pertinemment. Il devait prendre son mal en patience.
- Très bien cher cousin. J'attendrai. Affirma Maximus en tendant à son cousin une coupe de vin.
- Tu as pu avoir ce que je t'ai demandé ? fit remarquer Galadius en acceptant la coupe de vin.
- Hm, bien sûr. Tu me prends pour qui ? J'ai l'homme qu'il nous faut. Il ne rate jamais sa cible et je l'ai payé grassement. Il fera le travail. Affirma Maximus.
- Très bien, nous n'avons plus qu'à attendre. Bientôt, Rome sera à moi. Affirma Galadius en levant sa coupe vers le ciel.
- Que les dieux nous soient favorables. Affirma Maximus en portant un toast, un sourire carnassier sur les lèvres.
Les deux nobles trinquaient un sourire aux lèvres, une lueur mauvaise et sombre dans les yeux.
Après s'être enquis de l'état de santé de Théodoros, la fille de l'Empereur romain était revenue au palais impérial pour s'occuper de divers devoirs. La propreté, la cuisine, la paperasse liée aux gladiateurs. Puis finalement, elle s'était accordée une pause, dans un cadre calme et magnifique, retiré du reste, au cœur du Palais Impériale romain.
Au bord d'une belle fontaine, sur une divan d'une grande richesse, Cassiopea était en train de tisser une belle rose rouge sur un grande écharpe de lin blanc maculé. C'était un cadeau pour sa mère, qui fêtera bientôt son anniversaire.
- C'est magnifique, c'est pour l'offrir ? déclara une voix féminine.
La Romaine brune détourna son attention de sa besogne pour la portée sur une grande brune aux yeux verdoyants qui venait d'apparaître portant une riche toge et de beaux bijoux.
- Cette écharpe sera le cadeau d'anniversaire de maman. Commenta Cassiopea avec un grand sourire.
Les deux jeunes femmes brunes échangèrent une longue et chaleureuse étreinte. La nouvelle venue, n'était autre que Megara Caliona BRUTUS, fille du Sénateur Calion BRUTUS. Mais aussi la tendre amie d'enfance de Cassiopea, dont celle-ci ne se séparait jamais.
- Regarde la mienne. Déclara Megara avec enthousiasme en présentant une belle étoffe blanche ou y était brodée un lion argenté.
Un symbole que le fille de l'Empereur reconnut immédiatement.
- C'est donc un présent pour moi ? fit remarquer innocemment Cassiopea en désignant l'étoffe.
- Bien sûr ! Pour qui je pourrais l'avoir confectionné, dis-moi ? Fit remarquer faussement scandalisée Megara.
- Hm, je ne sais pas... Pour mon frère Cassius non ? fit remarquer amusée Cassiopea.
Cela faisait des années que son amie Megara n'avait d'yeux que pour le frère aîné de son amie, Cassius qui ne soupçonnait rien du tout, ou tout du moins feignait-il ne rien savoir.
- Cassiopea enfin, cesse de dire des sottises ! Affirma Megara fidèle à elle-même c'est-à-dire fière et bornée.
- En effet, je dis des sottises. C'est pourquoi, tu cherches à dissimuler les rougeurs sur tes joues. Taquina Cassiopea.
- Je crois que le soleil a été trop fort pour toi aujourd'hui chère sœur. Affirma Megara.
Cassiopea finit par partir dans un grand éclat de rire.
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