Chapitre 28 : Poena Taurus

La foule encore une fois était en délire, gesticulant dans tous les sens lui faisant penser à une pieuvre aux innombrables tentacules. Quant à leurs cris, elle supposa que tout cela ressemblait plus à un groupe de goélands face à des sardines. Les jeux venaient de toucher à sa fin, les gradins n'allaient pas tarder à ce vidé. Mais cela n'était pas de l'avis de Cassiopea, bien qu'elle ait frôlé deux fois la mort. Sa mémoire était intacte, et elle devait honorée sa promesse. D'un geste vif, vers la foule, tous se turent et se rassirent attendant que la fille de l'empereur prenne la parole.

— Qu'est-ce que ? Fit Galadios , surpris

Cassiopea se présenta fièrement devant la foule, qui n'attendait qu'elle puisse leur informer de la raison de son intervention.

— Chers invités, citoyens de Rome, amis et alliées ! A vos mines, et aux paris qui ne cessent d'affluer de tous les côtés, je vois que les festivités vous ravissent. Cependant, j'ai appris il y a peu qu'une traîtrise à eut lieu. Les lois de Rome s'appliquent à tout le monde, et je me dois en tant que fille de l'empereur romain de les faire respecter. Certains connaissent déjà le nom du châtiment que l'on inflige à celui ou celle qui commit tel traitrise. Un homme, non pire, des nobles maisons romaines nobles, ont enfreint la loi. Elles se sont opposés aux lois romaines, elles ont désobéit, défier l'empereur lui-même, et même menacer de crée un soulèvement, une rébellion. Rapporta Cassiopea, faussement scandalisée

— Mort à eux ! Qu'ils soient punis ! Hurla un noble

— Que la main de l'empereur s'abat sur eux ! Cria un autre

— Trahison, ils doivent payer ! Hurla une noble

L'empereur ne sut quoi dire, tout à coup, des gardes romains firent leur apparition et firent prosterner dans l'arène trois hommes, deux vieillards, et un jeune homme. Tous les citoyens romains se figèrent de surprise, et d'horreur, en s'apercevant de l'identité des trois condamnés. Le premier homme était le Sénateur Statius, puis le Général Hypérion et son fils Hypérius. Les gardes romains maintinrent les trois prisonniers.

— C'est un scandale ! Cria le général Hypérion en crashant par terre

— C'est un blasphème ! Comment osez-vous me traiter de la sorte ?! S'écria le sénateur Statius en colère

— Cassiopea qu'est-ce que cela signifie ?! Interrogea Galadios sérieux

— Père, ces deux vieux insectes que tu as devant toi, sont des traîtres, et des imbéciles ! Dans ton ombre, ils ont tenté de conclure les épousailles de Statia. Se révolta Galadius

— Comment ?! Personne ne peut célébrer un mariage sans mon accord ! Affirma Galadios, les poings serrés

— Le sénateur Statius à accepter dans l'ombre de tous, de mariée de force Statia à Hypérius, le fils du Général Hypérion. Raconta Galadius, les poings serrés

— Comment ?! Tu dois faire erreur ! Affirma l'empereur

— Non père, c'est vrai. J'ai fait moi-même vérifier. Ils comptaient célébrer cette union non voulut sans nous en informer. Voilà donc le crime qu'ils ont commis. Rapporta Cassius

L'empereur ne pouvait croire que ces deux vieux débris avaient osé lui faire tel affront. Comprenant la réticence de son père, d'un geste de la main Cassiopea fit signe à Dominius de sortir de l'ombre. Le garde romain sortit de l'ombre et vint vers sa maîtresse, il n'était pas seul.

— Qu'est-ce que cela signifie ? Questionna Octavia de Gaule, abasourdie

Kior était intact pas une seule blessure, toujours avec les mêmes vêtements. Heureusement, elle avait été clémente avec lui, et avait permis à celui-ci de seulement de désaltérer. Dominius fit agenouiller le prisonnier au pied de Cassiopea, qui ne darda sur celui-ci qu'un regard emplie de mépris. La morsure de la trahison persistait encore dans son cœur, et rancunière elle n'était pas prête de l'oublier.

— Père, voici Kior, c'est un témoin clé dans cette affaire. Il a des choses importantes à vous dire. Exposa Cassiopea, avec calme

— Bien qu'il parle alors. Accorda Galadios II

— Comment pouvez-vous vous fier à sa parole ?! Intervint le magistrat Iperius

Tout l'attention se porta sur l'homme qui venait d'intervenir, alors que Maximus levait les yeux au ciel . Devant eux, venait d'apparaître un vieil homme ,robuste, la chevelure grisonnante, abordant une toge masculine, avec un symbole bien distinct cousu au niveau du cœur. Ledit symbole représentait une balance, un haut symbole au sein de Rome. L'homme qui avait parler n'était nul autre que Iperius Sebastius JULIUS, noble citoyen de Rome, respecté et puissant. Il faisait partie de l'ordre des Magistrats, et des juristes de Rome. Iperius était l'un des plus puissants, et plus influent. Et aujourd'hui ne faisait pas exception à la règle. Il n'était pas seul à ces côtés se tenait Isaac Leonardus PYRIUS, un jeune juriste abordant la même habit que son précepteur . C'était un grand noble, respecté, et connu pour être malgré son jeune âge, juste, et droit. Il ne devait pas même avoir atteint la trentaine, et était le plus jeune de leur ordre. Enfin, leur troisième compagnon, était Batistus Deucalion KILIUS . Il était assez grand, et lui aussi était connu pour être sage, mais pragmatique. Il devait a peine passer la quarantaine.

— Vous ne pouvez-vous fier à lui grand empereur ! Ce n'est qu'un simple gladiateur ! Sa parole vaut-elle plus que celle d'un noble citoyen et respectable romain ? Affirma Isaac, avec sérieux

— C'est peut être un gladiateur, un ancien esclave mais il reste un de mes gens. Et je me dois d'écouter chacun de vous, quel que soit son statut. Rétorqua avec aplomb Galadios II, catégorique

Les juges se turent, ne sachant quoi ajouter de plus. Mais il semblait que Batistus n'était pas disposer à laisser les prisonniers être punit de la sorte.

— Vous ne pouvez les condamner de la sorte. Ils doivent tout d'eux plaider leurs causes, mais aussi si possible apporter tout les preuves qui pourraient les aider dans cette affaire. Affirma Iperius, d'un ton sans égal

— Je suis tout à fait d'accord avec lui ! Affirma Batistus, avec arrogance

— Vous voulez un procès , pour qu'ils vous payent suffisamment pour que vous les innocentiez n'est-ce pas ? Releva Cassius avec mépris

— Comment osez-vous ?! S'écria Isaac mécontent

Cassius se dressa de tout sa hauteur face au juriste, les deux hommes se toisèrent comme des chiens en faience. N'ayant qu'une seul et unique envie, se jetez sur l'autre, et régler tout cela à coup de poings.

— Cassius. S'il te plaît. Intervint Megara, en saisissant le bras du second fils de l'empereur tout en le tirant en arrière

Cependant, celui-ci ne semblait pas disposer à céder, ne quittant pas le jeune juriste des yeux. Octavia de Gaule se décida à intervenir craignant que cela ne puisse prendre plus de proportions.

— Cassius, seigneur Isaac. Je vous prierai de vous calmer immédiatement, si vous voulez vous battre alors rejoigne cet arène. Cependant, vous êtes des hommes respectables non ? Vous n'allez je le suppose pas vous abaissez à pareil besogne non ? Recommanda Octavia d'une voix impériale

Les deux hommes finirent par abandonner leurs échanges meurtriers, puis se retirait chacun de leurs côtés.

— Un procès ne peut leur être accorder. Rétorqua Cassiopea avec aplomb

— Et pourquoi dame Cassiopea ? Répliqua Iperius d'un ton ou trembler la rage

Le juge Iperius était certes, juste dans ces jugements dans la cour pénale et autre. Mais quand il s'agissait de l'égalité hommes femmes ce n'était pas le cas du tout. Ayant été élevé, et éduqué dans les mœurs anciennes, qui qualifiait tout personne du sexe opposé, comme n'étant venu sur terre, pour enfanter, s'occuper du logis, et satisfaire un homme. Alors quand une femme s'opposait à lui, c'était comme-ci la Grèce avait déclaré la guerre à l'empire Romain. Et aujourd'hui, ne faisait pas exception, ces poings serrés fermement sur sa toge masculine, et ces traits tirés par la rage, et la tension ne faisaient que le trahir.

— Dans la loi romaine imposée par l'empereur Cesar, un procès peut être évincé. Si l'une des parties apportent toutes les preuves accusant l'autre partie. Déclara Cassiopea avec conviction

Le juge dût donner raison à la fille de l'empereur, alors que Galadios II cachait l'ombre d'un sourire narquois sur ces lèvres.

— Si tel est le cas, alors nous vous laissons le loisir de nous démontrer tous les preuves que vous avez en votre possession à l'encontre des accusés. Accorda Iperius, avec diplomatie

— Avec plaisir. Affirma Cassiopea

Arminius vint à la rencontre de la fille de l'empereur et lui tendit une grande enveloppe en parchemin, cacheté du saut de la maison GLADIUS , soit le sceau de l'empereur Galadios II. Cassiopea brisa le sceau et ouvrit ladite enveloppe, vérifiant son contenu, elle le tendit au juge Ipérius. Celui-ci accepta sans attendre l'envelope et décida sans tarder d'en prendre connaissance.

— Voici des missives qui ont été interceptés entre le sénateur Statius et le général Hypérion . Comme vous le savez tous, Statia CAECINA est promise à mon frère Galadius GLADIUS . C'est une union qui a été béni, et accordé par l'empereur. Récapitula Cassiopea

— En effet. Accorda Iperius alors qu'il prenait connaissance d'une des missives, comme le faisait ces confrères

— Et tout mariage noble doit être approuvée. Hors, comme vous pouvez le constater, les accusés avaient pour projet de mariée de force leurs enfants, c'est-à-dire dame Statia et le seigneur Hypérius. Les sceaux ne peuvent pas nous tromper. Raconta

— Dites-moi, seigneur Batistus vous avez côtoyé bon nombres des maisons romaines. Vous reconnaîtrais certainement les sceaux de ces deux maisons. De ce fait, vous pourriez attester, affirmer s'ils sont faux, ou si ce sont bien les sceaux de ces deux maisons. Je vous en prie, faites. Intervint Galadios II, d'un ton conciliant

— Bien sûr, grand empereur. Le sceau de la maison CAECINO est un aigle, et celui de la Maison OCTAVIANIUS est un bélier. Avoua Batistus, avec un sourire faux

— Ce qui signifie donc, que cela est vrai. Comprit Galadios II, en serrant les poings

— En effet, mais vous ne pouvez condamnez un honnête citoyen, pour avoir fait preuve de désobéissance, et d'audace. Rétorqua prudemment Iperius

— Vous avez raison, noble homme. Mais je doute que mes enfants, souhaitent punir cet homme juste pour ce détail. Accorda Galadios II

— Je savais que vous répondrez cela, veuillez donc écouter ce que gladiateur souhaite avouer. Fit Cassiopea

Kior finit par se relevait, alors que d'un geste la fille de l'empereur lui intimait de parler.

— J'ai entendu le général Statius parlait avec d'autres nobles, que j'ai pas pu reconnaître. Ces hommes m'ont payés pour que je puisse m'assurer que dame Cassiopea ne s'aperçoit qu'ils allaient mariés leurs enfants de force dans l'ombre de l'empereur. Ils m'ont aussi payé pour que j'élimine Ares, ce nouveau gladiateur. J'ai donc payé un perse pour qu'il fasse le boulot à ma place. Et de ce fait que l'on accuse la Perse, et non pas Rome d'une tel traîtrise. Mais j'ai échouais, et j'ai été découvert par le prince Aris. Mais je sais aussi, que certains nobles veulent mettre en péril la vie de notre empereur. Certains nobles forment un complot contre vous, mon seigneur. Ils disent qu'il faut du sang neuf, et qu'aucun romain qui accepterait de conclure un accord avec la Perse, ne peut prétendre être un bon empereur et se souciait de son peuple. Rapporta Kior, avec sincérité

— Voici donc les preuves que nous avons récolté. Confia Cassiopea, alors qu'Aris lui tendit une enveloppe

Le père de Rome contractait si fort les mâchoires que personne n'osait intervenir. Il serra les poings, tous ces ingrats osaient lui faire tel affront ? Lui qui avait combattu, défendu contre bon nombres d'ennemis, Rome, tout cet empire ? C'était ainsi qu'ils lui témoignaient leurs reconnaissances et leurs loyautés ? Tous le payeraient de leurs vies, cela il se le jurait. Le trio des magistrats s'étaient figés d'incompréhension, de surprise et de gravités. L'empereur de Rome se détourna de ces enfants pour porter son regard sur la fille aînée du Sénateur Statius.

— Quel est votre verdict ? Demanda Galadios II, avec un calme olympien

— Les preuves sont formels votre grandeur, ce gladiateur à raison. Tout est vrai, et l'intervention du prince Aris dans tout cela, ne peut qu'assurer l'authenticité de tout cela. Accorda gravement Iperius,

L'empereur fit volte-face non ces deux-là allaient le regretter de leur vies. Pris d'une rage sans précédent, le père de Rome déroba le glaive d'un de ces gardes. Et sous la stupeur de tous, il allait dévaler les escaliers menant à l'arène. Sa seule et unique intention étant d'éliminer les deux vieilards de sa lame.

— Galadios non ! S'interposa Octavia de tout sa hauteur

— Pousses-toi Octavia ! Demanda Galadios

Mais la mère de Rome ne bougea pas d'un pouce, faisant barrage face à la colère monstre de son époux.

— Père ! Je vous en prie, ne vous donnez pas cet peine. Intervint Cassiopea, en se mettant dressant aux côtés de sa mère

— Que devrais-je faire alors ? Les laisser ainsi ? S'énerva Galadios, en désignant de sa lame les prisonniers qui tremblèrent de désespoir et de peur

Maximus intervint, et abaissa la lame de son oncle, soucieux que leur empereur ne finissent pas par les tués tous.

— Je comprends ta colère, mais je pense qu'il saurait mieux que tu laisses les enfants attribuer le châtiment qu'ils ont choisi. Défendit Octavia, avec fermeté

— Très bien. Quel châtiment avez-vous choisit pour ces traitres ? Demanda Galadios, en se détendant

— La « Poena Tauros » , soit le « châtiment du taureau ». Souffla Galadius, avec un sourire malsain aux lèvres

L'empereur finit par acquiesçer alors qu'Octavia de Gaule l'emmena un peu en retrait. Galadius allait ordonner de mettre à exécution sa sentence quand Cassiopea l'interrompit.

— Non, attend Galadius. Intervint Cassiopea, sous la surprise de tous

— Pourquoi ? Demanda Galadius

— Il me semble que Statia à son mot à dire sur cela. Il s'agit tout de même de son père. Exposa Cassiopea

Galadius dût donner raison à sa sœur, et se retourna vers sa fiancée, alors que tout Rome semblait retenir son souffle.

— Statia c'est à toi que revient le choix. Tu peux accorder la vie sauve à ton père, mais n'oublie pas que cela n'effacera en rien tous les horreurs, et les tortures qu'il a fait subir à toi et à ta sœur. Exposa Cassiopea

— Cassiopea. Tenta Maximus

— Oh, j'ai aussi une preuve formel qui pourrait t'intéressée. Ton père est bien l'auteur de la mort de ta pauvre mère. Il me semble que tu m'avais demandé de découvrir qui avait fait cela à ta mère comme faveur. J'ai remplis ma tâche, c'est à toi désormais que revient la responsabilité de prendre une décision le concernant. Trancha Cassiopea, sans une once de pitié

L'empereur et même le monarque des sables  furent effrayés par le manque d'humanité, et de clémence que démontrer la romano-gauloise. Aucun des deux n'osa protester ou interférer. Statia se mit à réfléchir, mais les coups, les disputes, les tortures que lui avaient fait subir son père à elle, et sa sœur lui revinrent en mémoire. En plus, ces intuitions avait été bonnes, son père était bien l'auteur présumée de la mort de leur regrettée mère. Non, elle ne pouvait pas le laisser partir de la sorte, elle ne pouvait laisser cela impunie. Son père devait payer, et même si cela revenait à le tuer.

— Je t'en prie ma fille pardonne moi ! Implora le sénateur Statius, en larmes

— Tais-toi misérable ! Intervint Galadios , furibond

Tout était si silencieux, que l'on vint à se demandait si la foule n'avait pas était en proie à un sortilège de silence.

— Le « Poena Taurus » est la meilleure sentence que l'ont peut abattre. Affirma Statia, sans une once de pitié

— Qu'il en soit ainsi. Accorda Galadius, en serrant la main de Statia dans la sienne

— Non ! Je vous prie ! Pardonnez mon audace ! S'il vous plaît, épargnez mon fils ! Demanda le Général Hypérion à genoux

Octavia de Gaule se mit à réfléchir, il fallait que cela soit une punition, et pas que cela face de ces victimes un martyre.

— Epargnez le fils du Général Hypérion. Recommanda Octavia de Gaule, avec diplomatie

— Mais mère, il est autant coupable que son père ! Répliqua Galadius

— Je te l'accorde, mais il faut qu'il soit une victime , par un martyre . Contre-attaqua Octavia, avec aplomb

— Mère à raison. Accorda Cassius

— Très bien, faites sortir Hypérius de l'arène. Mais ne lui enlevait pas les chaines. Annonça Cassiopea

Hypérius fut entraîné hors de l'arène, mais on le mena auprès de la suite royale de l'empereur. Il fit profil bas, et s'abstint de protester ne voulant en aucun cas s'attirer les foudres du père de Rome. Cassiopea ordonna aux gardes de relâcher les deux prisonniers, et les gardes furent congédiés. Les deux fauteurs de troubles se retrouvèrent dans l'arène, avec chacun des poignards dans le sable.

— Cela vous saura utile. Fit Cassiopea, avec mépris

— Peut-être serait-ce mieux de vous égorger avec ? Taquina Galadius, un sourire malsain aux lèvres

— Dame Cassiopea est Kior ? S'enquit Dominius, avec prudence

— Tu as fait ce que j'attendais de toi, je ne peux le négliger. Cependant ta traitrise ne peut être pardonnée. Tu subiras aussi la « Poena Taurus » si tu survis à ce taureau alors je t'accorderais clémence, à toi et ta future famille. Désormais, le sort ne repose que sur toi. Prévint Cassiopea intraitable

Kior rejoint à son tour l'arène, tandis qu'Hypérius assista impuissant au châtiment de son père qui avait montré trop d'audace. La foule redevint comme elle l'avait été par le passé, ivre de chair, de sang, de mort et de destruction. Le taureau chargea sans pitié ces pauvres victimes, sans se soucier du sang, ou de la mort qu'il pouvait infliger.

*Poena Taurus est plus communément appelé « Le châtiment du Taureau » c'est un châtiment infliger et donner, dans les affaires les plus extrêmes, dans les délits, crimes qui ne peuvent être punit que par une sentence de prison. Elle consiste donc à conduire, le ou les coupables dans l'arène, et leur donner un seul poignard. Si l'accusé ou les accusés réussissent à tuer le taureau, alors ils sont libérés de leurs péchés. Or si aucun n'y arrivent alors le ou les victimes périssent sous les sabots puissant du Taureau, ou finissent empaler sur l'une des cornes de la bête. Sachant qu'aucune personne n'a le droit d'intervenir, c'est un évènement ouvert au grand public. Cela afin de dissuader les plus téméraires, et donnez un exemple. *

ATTENTION : Je tiens à préciser que le « Poena Taurus » est de mon fait, c'est moi qui l'a inventé expressément pour mon histoire. MERCI.

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