Chapitre 70 🌊

«Aidena ou Aidana »

🌊 Iliana 🌊

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Attention, ce chapitre contient des scènes au contenu mature. Même si les choses sont dites de manière explicite, je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez ! (⚠️)
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 Quelques minutes plus tôt...

Je tape furtivement sur le volant de ma voiture, avant de m'étirer la nuque d'un petit mouvement souple. Qu'est-ce que je fiche ici bon sang ? 

Je jette un rapide coup d'œil à mon téléphone, et me décide enfin à sortir. Je ramène la capuche de mon sweat sur mon front, me donnant des airs de petite voleuse. Je me fais comme un petit film dans ma tête, rejouant l'une des scènes où Tris de Divergente tente de s'échapper. 

Enfin, un peu de concentration.

Je grippe jusqu'à la fenêtre d'Aiden, mon sac à dos fermement attaché à moi. Lorsque je m'apprête à toquer au carreau, mon téléphone se met à hurler une musique de Coldplay, signe que quelqu'un m'appel en ce moment même. Plus discret comme voleuse, tu meurs.

Une main verrouillée sur le rebord de la fenêtre, l'autre cherchant à tâtons mon mobile, et une jambe levée sur une pile de tuiles bancales. Je ne suis pas encore arrivée, je touche sa fenêtre du bout des doigts depuis ma position. Comment je vais monter d'ailleurs...

Je coupe la musique. Je n'ai jamais autant détesté Chris Martin qu'à cet instant, ça je vous le dis. Je fronce les sourcils, le regard penché sur l'écran en découvrant l'auteur de l'appel.

— Ça va, je ne te dérange pas trop ?

Je sursaute comme jamais, faisant basculer les tuiles que je rattrape à toute vitesse du bout du pied.

— MAIS T'ES COMPLETEMENT MALADE, hurlé-je en chuchotant.

— Et vous ? Que faites-vous ici petit amie de ma noble personne ?

— Pff. Attrape ça au lieu de dire des conneries... fais gaffe c'est fragile.

Je lui tends mon sac à dos, parfaitement droit, qu'il pose dans sa chambre. J'envoie ensuite mon téléphone en visant du mieux possible l'intérieur de la pièce, et commence à défaire mes lacets.

— Mais qu'est-ce que tu fiches Iliana Midden ?

— Risquer ma vie pour te voir, c'est une chose. Mais mes Converse Twenty One Pilots édition limitée et dédicacées, c'est mort.

Je les envoie l'une après l'autre, pour les mettre en lieu sûr. Je grippe en m'aidant de ses mains qui me tirent vers le haut d'une facilité incroyable.

— Je suis la pire petite amie qui n'ait jamais existé, et je m'en excuse, commencé-je rapidement.

— Attends, pas du tout, je...

J'avance mon visage jusqu'au sien, et dépose mes lèvres sur les siennes.

— Joyeux anniversaire mon petit canard, ajouté-je avec le sourire.

— Merci mon ange.

— J'ai amené trois milliard de trucs pour me faire pardonner.

J'ouvre mon sac et sors le sac Starbucks que je dépose sur ses genoux.

— Y'a des cookies, des donuts, du cheese cake, des jus d'orange pressé et des chocolats viennois. Je ne savais pas quoi choisir.

— Ça a dû te couter une blinde surtout, soupire-t-il.

Je l'arrête immédiatement.

— Tu sais autant que moi que ce n'est pas important du tout ce que tu viens de dire. Vrai ou pas ?

— Vrai.

— Je préfère ça. Après, j'ai ton cadeau.

Je sors mes petits paquets, et les dépose tous devant lui.

— Vas-y, choisis celui que tu veux ouvrir, m'impatienté-je comme si je recevais moi-même des cadeaux.

— Le plus petit ?

Je confirme d'un signe de tête et lui offre un sourire radieux lorsqu'il découvre les places de la NBA que je lui ai offertes.

— Oh putain... Tu n'aurais pas dû bordel, c'est en tribune surclassée en plus ! Et ce match, c'est un des plus importants de la saison ! s'écrie-t-il.

Je hausse les épaules, d'un air enjoué. Je n'y connais rien, mais vu comme ça lui fait plaisir, j'ai dû taper là où il faut.

— Le deuxième est... un peu plus personnel.

Il fronce les sourcils en déchirant le papier cadeau pour découvrir une étrange boîte carrée. Dedans, un authentique polaroïd. Son visage s'illumine encore plus, lorsqu'il le sort de son étui pour l'admirer. Il l'observe sous tous les angles, avant de découvrir les photos de nous deux que j'ai développées sous le même format, soigneusement glissées à l'intérieur.

— Iliana, il... il est vraiment magnifique.

Il le range délicatement avant de me serre franchement dans ses bras.

— Je suis pardonnée ?

— Tu l'es bien plus, tu es la meilleure petite amie qu'on pourrait avoir.

Mes lèvres esquissent un sourire. Je suis ravie que tout ça lui plaise.

— Quels sont tes projets pour ce soir ?

J'ouvre la commande Starbucks, et entame un chocolat chaud. Je croque un bout dans un donut au chocolat avant de lui tendre. Il sait parfaitement qu'une bouchée c'est déjà trop pour moi, alors il le termine à ma place. Une fois mon morceau avalé, j'entreprends de répondre à sa question :

— Si tu veux bien de moi, ici, dans ton lit... inachevé-je.

— Volontiers, tu es la bienvenue mon cœur. Je ne peux rêver mieux comme cadeau.

— Et moi donc, ris-je.

— Je serai le premier, à minuit tapante, à te révéler combien je t'aime.

Je suis tellement sous le charme, que j'en perds mes mots.

— Ou alors tu pourrais prendre de l'avance, et me le dire tout de suite ?

Il hoche la tête, et approche ses lèvres de mon oreille. Tel un petit secret que deux enfants se transmettent, il me murmure :

— Patience petit oiseau. Minuit approche.

Avec un petit soupir de déception, qui ne veut en réalité rien dire du tout, je le repousse doucement. Il rit face à mon visage, qui je l'imagine illustre parfaitement mes pensées.

— J'attendrai alors.

On se regarde un moment, avant de recevoir une notification. Je souffle en constatant qu'il garde son téléphone à proximité et avec le son en plus.

N'ai-je pas le droit à toute son attention quand même ?

— C'est le compte du lycée, réplique-t-il d'une petite voix. Nouvelle publication.

— Ne me dis pas que c'est un article.

— Ok, dans ce cas ne lis pas.

Je le regarde en fronçant les sourcils. Notre stupide rédactrice ne doit normalement rédiger qu'un article tous les mois. Etrangement les ragots lui montaient rapidement à la tête ces derniers temps...

— C'est sur nous, c'est ça ?

— On est nommé.

— Beaucoup ?

Il hausse les épaules, et tourne l'écran. Je bois une gorgée de chocolat, histoire de me donner la force nécessaire pour surmonter toutes les conneries à venir.

— Déjà, on a une photo de nous. Ce n'est jamais bon signe, souffle Aiden.

Je n'avais pas lu le numéro où elle a décrit ma rupture « tragique » avec Evan. Cette fille raconte plus de bêtises que toutes les rumeurs du lycée réunies.

— Y'a Austin et Mahé aussi. Ils sont décrits comme le « couple le plus prometteur ».

— Ah ? Et qu'est-ce que ça veut dire au juste, répliqué-je en piquant un fard.

— Calme-toi, glousse-t-il.

Je hausse les sourcils. Je ne ris pas du tout moi.

— Et nous alors ? Qu'est-ce qu'elle raconte sur nous ?

— « Couple prévisible vu les goûts de notre effrayée des vagues favorite. Comment résister aux charmes d'un garçon qui parle la langue de l'amour en plus de celle de son pays ? Une relation intéressante tout comme explosive, comme ont pu le prouver les réactions offertes par Iliana lors de son retour en cours, en début de semaine. La question que tout le monde se pose est bien évidemment, quand a démarré cette relation ? Le couple s'est-il formé pendant les vacances de Noël, ou bien avant cela ? En effet la jeune orpheline a su s'entourer de présence masculine bien remarquée dans notre lycée. Evan Brown et Aiden Miller, tous les deux capitaines de l'équipe de basket. A croire que c'est un critère de sélection. Des bruits de couloirs diraient même que la relation Iliana/Evan ne serait même pas encore totalement achevée. Le couple actuel Aidena se contentera-t-il de ça, ou fera-t-il une place à notre chère Evan ? Une évolution à surveiller, croyez-moi. Ces trois-là nous réservent bien des surprises. » lit-il à voix haute.

Ma bouche s'ouvre, sous le coup de toutes ces absurdités. Aiden se racle la gorge, avant d'ajouter en jetant rageusement son téléphone sur le lit :

— Un plan à trois avec Evan ?! Mais plutôt crever que d'imaginer une chose pareille !

Je penche la tête sur le côté, en me mordant la lèvre.

— Quoi ?! s'exclame-t-il. Tu n'es pas d'accord ?!

« Effrayée des vagues » ? Moi je suis une effrayée des vagues ?! Non mais elle a craqué elle ?!

— C'était un peu vrai, au début, nuance tout de suite mon copain.

Je le fusille du regard une fois de plus.

— Pas du tout. J'avais simplement besoin d'un temps d'adaptation. Et puis, avec ce qu'il s'est passé avec ma mère, c'est bien normal que je reste un peu sur le sable avant de regagner la mer, non ? Et puis de toute manière je fais ce que je veux ! J'avais simplement besoin d'un déclic pour me rappeler ce qu'on ressentait lorsqu'on faisait du surf en Californie.

Il hoche la tête, en déposant sa main sur mon genou.

— Et ce déclic ? Tu l'as eu ?

— Oui, évidemment. A la compétition de surf le jour de Thanksgiving (Chapitre 36). Je ne m'étais jamais sentie aussi bien.

— Tu me laisseras te regarder un jour ?

— Faire du surf ?

— Oui.

Je hausse les épaules, hésitante.

— Si tu veux, à condition que tu ne sois pas juste au bord de l'eau. Je penserai qu'à toi qui me regarde, et c'est vraiment super perturbant comme situation.

— Je comprends. Mais moi, je t'ai laissé partager ma passion, sourit-il avec malice.

Je tourne le visage vers lui, répondant à son sourire.

— C'est vrai. Mais tu ne vas pas me dire que tu vas te mettre au surf quand même.

— Alors là, ça ne risque pas. L'eau et moi ça fait dix.

— C'est bien ce qu'il me semblait, ajouté-je en riant.

Il replace d'un petit geste délicat ma mèche, avant de la caler derrière mon oreille.

— Il y a quand même du bon dans cet article.

— Ah oui, m'étonné-je. Et quoi donc ?

— Elle a dit que j'étais irrésistiblement beau. Un vrai dieu.

— Pas exactement, le coupé-je. Elle a simplement dit que tu parlais français.

— En associant ma langue favorite à l'amour. Ça c'est la classe.

— Pas du tout.

Il me tape les doigts avec ses mains.

— Jamais tu n'arrêtes d'être jalouse ?

— Moi ? Jalouse ?! Mais de quoi ? Du français ?

— Exactement !

— Tu dis absolument n'importe quoi Aiden.

Il éclate de rire, sans vraiment que je comprenne pourquoi. Mais le pire, c'est que je me mets à rire également. Un fou rire qui démare pour une raison inconnue, mais qui dure bien cinq bonnes minutes !

— Aller, arrête de rire comme une folle, m'arrête-t-il.

Il est sérieux ?

— Sinon, plus sérieusement. J'aime bien Aidena.

— Quoi, Aidena ? Qu'est-ce que tu veux dire ? demandé-je sans tout saisir.

— Elle nous a appelés Aidena. Je trouve ça super comme nom de couple.

— Pas moi, répliqué-je en croisant les bras sur ma poitrine.

— Ah bon ?

— Où est l'équité là-dedans ? Aidana est beaucoup mieux !

— Aidena ou Aidana ? J'arrive pas à dire ce qui sonne le mieux.

— Aidana ! C'est évident enfin !

— Non, je ne suis pas d'accord avec toi. Je préfère la première version.

Je roule des yeux, avant d'ajouter d'une voix ironique :

— Ah bah oui, bien sûr. Et moi, je peux avoir des lettres dans notre surnom ? Il suffit simplement de rajouter un A à ton prénom et hop le tour est joué ? Certainement pas ! Avec Aidana on a trois lettres chacun, c'est beaucoup plus équitable !

Il réfléchit à son tour.

— Bon, si tu veux. Après tout, Aidana ce n'est pas si mal. Ça me plaît aussi. Et puis si ma petite boudeuse professionnelle préfère ça aussi...

— Je ne vais pas te cacher que je préférais petite surfeuse. C'était plus mignon.

Il embrasse le bout de mon nez, certainement pour me prouver que ça aussi, c'est mignon. Je ne saurais dire quel genre de blocage il a à toujours vouloir embrasser mon nez, mais c'est incroyablement étrange. Chou, aussi.

Il écarte son bras pour que je vienne me coller tout contre lui. Notre câlin ne dure pas très longtemps, mais c'est tellement agréable. Il caresse ma cuisse du bout des doigts, me procurant des frissons divins, parcourant ma colonne toute entière par la suite.

J'enroule mes bras autour de son torse et embrasse sa joue. Il glisse le sien autour de ma taille, avant de m'attirer davantage contre lui. Mes lèvres tracent leur route jusqu'à leurs semblables, et les savourent silencieusement.

Une petite flamme s'allume juste sous mon nombril, lorsqu'il me bouscule pour me positionner à califourchon sur lui.

(Dynasty, Miia)

(⚠️) Je ne ressens pas même une pointe de peur, qui aurait pu se cacher dans un coin de mon cœur. Pas même un souvenir désagréable qui aurait pu surgir de nul par pour m'empêcher de continuer. Rien. Juste cette chaleur brûlante de désirs.

Mes mains se séparent de sa nuque et se faufilent jusque sous son tee-shirt, où elles rencontrent une chaleur incroyable. Celle-ci se diffuse dans chacun de mes doigts, gagnant ma peau, jusqu'à rejoindre le foyer de mon envie.

La douceur est infinie, cette chaleur irrésistible.

En un mouvement, je deviens confiante. Ce petit geste sec qu'il avance vers moi, signe évident de toute la fougue qu'il contient en lui.

Mon souffle s'éteint, alors que le brassier qui m'anime devient incontrôlable. Il gagne mon ventre, et bien davantage. Sa paume bloque doucement ma nuque, pendant que ses lèvres me dévorent de baisers passionnés.

Malgré la rapidité de nos actes, tout se réalise dans une délicatesse infinie. Il fait attention à ses mouvements à mon égard. Il me ménage comme une petite chose fragile et sans défense. Les apparences le trompent une fois de plus on dirait...

Je ne songe plus à sourire, ni à respirer. J'en oublie l'essentiel et me concentrer uniquement sur mes gestes. Je ne réfléchis plus, me laissant aller à lui.

— Est-ce que c'est un autre cadeau que tu me fais ? souffle-t-il entre deux baisers.

— C'est un cadeau que je veux nous faire, nuancé-je avec sérieux.

Je crois que je n'oublierai jamais le sourire qu'ont formé ses lèvres. Ni la manière dont il m'a attrapée et repoussée contre les draps. Toujours sur le dos, je tends mes deux mains pour accueillir son visage et bloquer ses joues contre moi.

Ses lèvres s'attaquent à présent à mes paumes, mes poignets, jusqu'à remonter le long mes membres qui n'attendent que lui. En un regard complice, il a retiré mon haut pour embrasser davantage ma peau. Lorsque ses lèvres me frôlent, l'incendie se propage dans tout mon corps, faisant rougir mes joues et étouffant tout l'oxygène que j'avais soigneusement bloqué dans mes poumons. J'en gémis d'impatience.

Je me relève soudainement, et m'attaque à ses propres vêtements. D'une main experte, je le déshabille. Il en fait de même de son côté que voulez-vous, nous sommes doués.

Mon corps ne semble plus avoir de secrets pour lui, et je suis obligée de le séparer de mes seins pour lui tendre le petit paquet argenté, si important pour lui comme pour moi.

Bien plus qu'une simple première fois pour nous deux, c'est une véritable renaissance pour moi.

Je profite de ce court instant pour jouer moi aussi avec ses réactions et envies, m'occuper de lui comme il a si bien su le faire avec moi. Sa nuque se révulse sous mes caresses ardentes, me faisant sourire de bonheur.

Mon envie atteint son paroxysme, tout comme chacun des sentiments que j'éprouve à son égard. Mon sang bat dans mes tempes, et une fine pellicule de sueur semble me recouvrir.

Mais bordel, ce sourire ne le quitte plus.

Il m'embrasse plus fougueusement, un rappel à l'ordre qu'il m'envoie. Je verrouille mes mains autour de lui, le laissant faire. Ses lèvres glissent contre mon cou, l'embrassant sous tous les angles avant de capter mon attention à un tout autre endroit. Me coupant définitivement le souffle, si ce n'est même, arrêter les battements de mon cœur.

Nos corps se rencontrent, non sans douleur, mais largement compensée par toute l'adrénaline qui compose mes veines. Telle une drogue vitale, elle me donne des ailes. Même plaquée contre le matelas, mes poignets prisonniers de ses mains et mes lèvres lui appartenant, je ne peux que le supplier de continuer.

Son sourire s'imprime sur mes lèvres. Une joie qu'on partage, tous les deux enfermés dans notre petite bulle d'intimité.

Ma tête tourne et mes esprits se perdent quelques parts, probablement à cause du manque d'air qui me pénalise. Pourtant c'est tellement agréable que j'en demande plus, je l'accompagne jusqu'au bout.

Mes sens atteignent une précision dont j'ignorais l'existence même. Je me laisse aller à lui, mon envie à son apogée. Je serre les lèvres pour retenir toutes sortes de bruits, qui trahiraient mon extase actuelle.

Je m'abandonne à son corps, m'agrippant et griffant presque sa peau, à lui. La douceur de ses lèvres me paraît minime, comparé à tout ce qu'il m'offre et à tout ce que je ressens.

La brutalité de nos envies précipitées me cloue sur place. L'orgasme n'est qu'un euphémisme de toutes les émotions qui m'attaquent et qui tentent de me contrôler. Le feu s'est transformé en une explosion de saveurs nouvelles, qui m'emportent bien plus loin que je ne l'ai jamais été auparavant.

Et lorsque minuit proclame mes 18 ans, je suis la plus heureuse du monde. Prisonnière de nos désirs, dépendante de nos baisers, et follement amoureuse de toi, Aiden Miller.

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Hey !

Voici le nouveau chapitre, vous n'imaginez pas à quel point j'avais hâte de vous le partager !

Qu'en avez-vous pensé ?

On retrouve notre petit couple fovori réuni, merci Iliana de t'être souvenue quel jour on était !

Selon vous, est-elle pardonnée d'avoir oublié l'anniversaire de son chéri ?

Ensuite, l'ambiance devient rapidement un peu plus caliente...

Les mots et caresses se transforment en véritables actes, et voilà qu'ils ont enfin sauté le pas !

Comment avez-vous trouvé ce moment ? La manière dont c'était écrit ? Trop de rapidité selon vous ?

Je n'aime pas spécialement décrire ce genre de scène, car ça va à l'encontre de l'ambiance de mon roman et du caractère d'iliana de faire quelque chose de "cru"...

Avoir dit les choses de manière "implicite" vous a-t-il semblait être une bonne chose ?

Et la musique ? Vous a-t-elle plu ?

Merci en passant à ma coupine Manon, sans toi, on serait sans musique !

Cette scène est symbolique, à la fois pour Aidana mais surtout pour ma petite surfeuse, qui renaît en quelque sorte.

Quelque chose à ajouter ?

Voilà j'espère que tout ça vous a plu, vu le temps passé à rédiger cette petit scène 😂 et que la suite vous conviendra également !

Bonne journée à tous, de gros bisous, Lina 😘



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