Chapitre 67 🃏
« J'avais choisi les deux filles les plus insupportables de la planète. L'une comme sœur, et l'autre comme petite amie. »
🃏 Austin 🃏
- Qu'est-ce que vous attendez pour vous y mettre vraiment ? Vous avez un match vendredi prochain je vous rappelle ! s'écrie notre coach.
S'entraîner un dimanche était vraiment une plaie. Une punition horrible. C'est vrai, on avait nos habitudes avec les gars de l'équipe. On venait déjà toutes les fins de week-end pour jouer entre nous. Mais devoir supporter le coach...
- On est là depuis 8h, ça ne suffit pas ? grogne Aiden dans un coin.
Jamais content celui-là.
- Un problème Miller ? Des tours de terrain en plus peut-être ?
- Je crois que je vais faire ça. Au moins ça me servira à quelque chose.
Ce débile se lève et commence à courir avec ses écouteurs et sa musique. C'est incroyable comme les avis et les sentiments qu'on éprouve à l'égard d'une personne peuvent évoluer. C'est vrai, il est mon meilleur pote depuis toujours. Et voilà qu'aujourd'hui on s'ignorait royalement,
Iliana Midden, tu es un fléau pour les garçons de ce monde...
- Midden ! Qu'est-ce que je viens de dire !
Et merde...
- Qu'il fallait qu'on passe à l'offensive ? tenté-je avec un grand sourire.
Et les tours supplémentaires de terrain tu vas les faire avec le sourire aussi ?
Je hais cette conscience.
Je rejoins Aiden sur le bord, et cours comme un con. Je déteste courir. Vraiment. Je ne comprends pas comment ma sœur peut aimer ça...
Je le suis à une distance raisonnable, mais tente tout de même de me rapprocher. On ne va pas se faire la gueule infiniment, si ? D'ailleurs, je ne sais même plus pourquoi on se fait la tête. Tout ce que je sais, c'est qu'il est sur son téléphone et que je suis certain qu'il parle à Iliana.
- Dis-moi que ce n'est pas ma sœur que tu sextotes, l'abordé-je.
Ok, ok. C'était vraiment nul comme approche.
- Dans ce cas, je ne te le dis pas, lâche-t-il en rangeant son écran dans sa poche et en accélérant de plus belle.
Attendez... Il était vraiment en train de...
Je. Vais. Le. Tuer.
Je lui cours après, mais il accélère encore. Il le fait exprès ?! Il se croit drôle ?!
Nous voilà partis dans une course poursuite. Il a toujours couru plus vite que moi, mais peu importe. Je cours comme si ma vie en dépendait.
Les garçons font des choses vraiment idiotes parfois... soupire de nouveau ma conscience. De plus en plus chiante celle-là je vous jure.
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- Je suis rentré ! annoncé-je après avoir franchi la porte d'entrée.
- Austinnnn !
Ma petite sœur arrive en courant vers moi. Ma mère lui a fait deux petites tresses qui lui créent un visage encore plus angélique que d'habitude. Sa petite bouille apparaît, et sa main agrippe le bas de mon tee-shirt pour que je me mette à sa hauteur.
- Qu'est-ce qu'il y a ?
- Tu reviens du basket ?
- Exact.
Elle me regarde bizarrement, une petite grimace prenant le contrôle de ses traits. C'est son nouveau truc... Elle a toujours détesté les sports avec des balles, donc pas étonnant... Derrière elle, retentit son traditionnel CD celui avec le bruit des vagues. Ça ne m'étonnerait pas qu'elle soit en train de dessiner les rues de New York en noir et blanc...
- Qu'est-ce que tu voulais me dire ma puce ?
- Regarde ce que maman m'a autorisée à faire ce matin.
Elle me tend sa main, le dessus juste sous mes yeux. Un tatouage doré se révèle sur sa délicate peau pâle.
- Wow... souris-je en voyant surtout son sourire à elle.
- C'est un éphémère. C'est une dame qui me l'a fait sur la promenade, juste devant le café du papa d'Iliana. Mais tu sais c'est un éphémère parce que les vrais tatouages font plus mal et là, c'est une dame qui me l'a fait sur la promenade, et ça ne m'a pas fait mal.
Je me mets à rire. Je suis totalement sous le charme de ma petite sœur. Je pourrais la manger tellement elle est mignonne.
- Pourquoi tu ris ?
Ses fines lèvres rosées dessinent un sourire franc. Sans parler de ses yeux qui pétillent de joie. Y'a pas à dire, j'ai une chance inestimable de l'avoir auprès de moi.
- Parce que je suis content de te voir. Il est magnifique ce tatouage.
Elle retourne au salon en sautillant un pas sur deux. Elle grandit vraiment trop vite.
- Maman ? lancé-je doucement en passant la tête dans son bureau.
J'ai toujours peur qu'Iliana m'entende. Depuis qu'elle est arrivée chez nous, j'essaie un maximum de ne pas prononcer ce mot devant elle. J'ai bien trop peur des effets qu'il pourrait avoir sur son moral.
- Mon chéri ?
Elle lèvre les yeux de son dossier, et me sourit elle aussi.
- Vous ne m'attendez pas pour manger ce midi... Je mange avec Mahé.
- C'est ta petite amie, c'est ça ?
Je serre les lèvres, en souriant d'un air gêné. En me grattant la nuque, je confirme d'un signe de tête.
- Mais c'est aussi la meilleure amie d'Iliana alors... n'en parle trop. On lui a dit seulement hier et elle le prend un peu mal...
- C'est pour ça qu'elle n'est pas rentrée avec toi ?
- Entre autre, ouais.
Elle hoche la tête, avant de reprendre :
- Je ne suis pas sûre qu'elle soit à la maison. Je ne l'ai pas vue descendre ce matin. Peut-être qu'elle est partie courir...
Ça, elle le fait souvent. Rien de bien étonnant.
- Bon, je vais prendre une douche. À tout à l'heure.
Je monte les escaliers comme un canard, incapable de marcher normalement à cause de toutes les courbatures infligées par ce fichu entraînement. La porte de ma sœur est entrouverte, et aucune mélodie ne s'en échappe. Une preuve assez évidente de son absence.
Je me douche rapidement, histoire de ne pas être en retard. Mahé n'est pas le genre de fille à apprécier cela.
Les cheveux encore humides, un jean et un tee-shirt enfilé, je m'apprêtais à redescendre, quand un détail attira mon attention.
Les rideaux de ma sœur sont encore tirés.
Bien que très fins, se rapprochant plus d'un simple voilage, ils sont encore devant la fenêtre. Hors, ma Iliana a ses habitudes. Regarder la mer en fait parti.
Je pousse doucement la porte, faisant abstraction de mes souvenirs qui me hurlent que la dernière fois que c'est arrivé, elle se vidait de son sang sur le sol.
La vision que j'ai d'elle n'est pas rassurante pour autant. Même si elle ne semble rien avoir au premier regard, Iliana est bel et bien couchée sur son lit, roulée sur elle-même dans l'édredon gris et la tête contre l'oreiller. Son regard semble se poser sur la vitre, un air absent dominant le reste.
- Iliana ? l'appelé-je doucement, au cas-ou elle dormirait.
Elle ne me répond pas, se contentant de tourner rapidement la tête vers moi. J'ai tout juste le temps d'apercevoir son regard, rougi.
- Laisse-moi s'il te plaît. m'ordonne-t-elle froidement.
C'est précisément ce genre de phrases qui me donne envie de faire le contraire.
- Qu'est-ce que tu as ?
Je m'assois sur le bord de son lit, elle continue de me faire dos. J'avance ma main vers elle, mais me ravise.
Elle t'en veut à mort. Tu ne peux pas revenir avec des caresses...
Je lève le regard vers le bord de sa fenêtre, où une bougie blanche est allumée. Qu'est-ce qu'elle fait avec ça ?
- Laisse-moi, répète-t-elle.
Je secoue la tête, même si elle ne peut pas me voir. Je lui ai fait une promesse il y a un petit bout de temps déjà. Jamais plus je ne la laisserai dans ses secrets. Elle pourra me détester parce que j'insiste, me haïr car je la force à parler mais... ça m'est égal. Je refuse de faire la même erreur qu'en décembre dernier.
- Non, répondis-je avec autorité.
Elle lève les yeux vers moi, se tordant pour que son regard puisse m'atteindre. Elle me fixe de la sorte pendant une bonne minute, avant de river de nouveau son regard bleu océan sur la vitre.
Elle fixe la bougie. Pas la fenêtre...
- Tu pleures ? murmuré-je tout bas.
Je sais que c'est exactement ce qu'elle est en train de faire. Mais je ne sais comment l'aborder autrement.
- Pourquoi ? Qu'est-ce que ça peut te faire ?
Sa voix est cassante, et tellement froide... Elle illustre à la perfection toute la colère que ma petite sœur éprouve à cet instant à mon égard.
- Iliana je...
- Mais quoi putain ?! Je n'ai pas le droit ?! Je suis obligée de sourire, c'est ça ?! Mais je n'en ai plus envie bordel, parce que je n'ai AUCUNE raison de vous offrir un putain de sourire !!
Elle éclate en sanglots, sans que je n'y comprenne quoi que ce soit. Des pleurs bruyants et terrifiants qui emplissent la pièce, remplaçant le silence qu'elle avait soigneusement instauré pour se cacher.
- Va rejoindre Mahé, et laisse-moi, conclut-elle après une éternité.
Elle se laisse glisser jusqu'à sa tête de lit, les genoux contre la poitrine. J'ai horreur de la voir comme cela.
- Je sais que tu m'en veux, et je...
- Je sais très bien que les entraînements de basket terminent beaucoup plus tôt que ce que tu m'as toujours dit. En fait tu voyais simplement ta copine pendant ce temps là.
Je baisse les yeux. Parce qu'elle vient de nouveau de prononcer l'exacte vérité. Et elle a toutes les raisons de m'en vouloir.
- Je suis sincèrement désolé, continué-je.
- Ah mais je m'en contre fiche de tes excuses, crache-t-elle en essayant ses larmes. Tout comme je m'en fous éperdument de savoir que tu couches avec ma meilleure amie. Le truc que j'ai du mal à digérer, c'est que vous vous foutez de ma gueule depuis tellement longtemps...
Une partie de moi me hurle de lui répondre sur le même ton. D'utiliser des mots cinglants et blessants pour lui rappeler qui ment le plus souvent ici. Mais une autre partie de mon âme me chuchote doucement que ma sœur est en pleurs. Et que ce n'est pas pour moi qu'elle l'est.
- Pourquoi pleures-tu ? l'interrogé-je directement.
- Certainement pas pour toi. Vous ne méritez ni l'un, ni l'autre mes larmes.
- Dans ce cas je peux connaître la vraie raison ?
- Ne t'en fais pas, dans un peu moins d'une heure, j'aurais retrouvé mon sourire et tout ira mieux. Tu auras ta petite Iliana parfaitement heureuse.
Elle n'imagine pas à quel point ses mots me font mal. Ils résonnent dans mon esprit, et me blessent au plus haut point.
- Ne soit pas comme ça, je t'en prie.
- Mais Austin, ça fait six mois que je suis comme ça ! Six mois que je vous manipule à coup de sourires et de « je vais bien » !
J'enfouie ma tête dans mes mains. Putain, où cette discussion va nous mener...
- Tu sais que tu peux tout me dire, continué-je après un temps.
- Tu veux savoir ? Très bien. Je suis morte de peur Austin. Effrayée parce que ma mère va mourir. J'ai peur parce qu'elle ne répond plus à rien, et que ses médecins sont formels. ELLE NE SE RÉVEILLERA PAS. C'est tout.
On s'en doutait tous depuis longtemps. Et ma plus grande peur, ainsi que celle de son crétin de copain était de voir comme Iliana espérer beaucoup trop. Encore une fois, on s'était trompés. Car il n'y a plus aucune lueur d'espoir dans son regard.
- Je... je ne sais pas quoi dire, paniqué-je en confondant et mélangeant mes mots.
- Ça ne fait rien. Je commence à avoir l'habitude.
Elle se lève sans m'accorder un mot de plus, pas même un regard. Rien. Elle traverse la pièce et part s'enfermer dans la salle de bain. Où elle revêtira certainement son masque de menteuse, et de petite fille à la vie parfaite.
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J'entre doucement dans le studio, pour ne déranger personne. Ma danseuse ne se rend, comme chaque dimanche, absolument pas compte de ma présente. Elle fait dos à la porte, réalisant sa chorégraphie face à la fenêtre et aux rayons du soleil qui filtrent dans la pièce. A contre jour, je ne vois que sa silhouette semblable à une ombre. Seul le bruit de ses pointes meuble la pièce, alors qu'elle seule profite et se perd dans le son de sa musique. Elle danse avec des écouteurs sans fils, parce qu'elle a besoin d'être seule avec la mélodie, c'est ce qu'elle me dit souvent. C'est sa musique, sa chorégraphie, sa passion. Alors elle seule en profite.
Ses pas délicats s'enchaînent l'un derrière l'autre, accélèrent, l'accompagnent, avant de la faire tourner sur elle-même noblement. Je sais qu'elle révise son audition, comme de nombreuses semaines maintenant. Intégrer Juilliard était son rêve depuis toujours. Une folie qu'elle touche du bout des doigts depuis quelques mois.
Ses courbes incroyables se projetent sur les lattes du parquet, reproduisant à la perfection chacun des ses mouvements avec fidélité. Ses cheveux réunis en une queue de cheval haute sont sans doute la chose que je préfère regarder. Voir chacune de ses mèches la suivre les unes après les autres lorsqu'elle exécute des tours parfaits me fascine.
Elle se redresse sur sa pointe, levant la jambe opposée petit à petit jusqu'à atteindre une hauteur incroyable. Au lieu de poursuivre, elle laisse retomber son talon, brisant son coup de pied magnifique sur le sol.
- Fait. Chier, jura-t-elle en avançant d'un pas décidé vers un bloc-notes posé au sol.
Elle y griffonne quelques mots avant de lever les yeux vers moi.
- Bah t'es là toi ? dit-elle en haussant les épaules.
- On dirait bien. Il est 11h 30 tu sais, sourié-je en déposant mon sac Starbucks sur le banc.
- Déjà ? Oh mon dieu, je n'ai pas vu le temps passer, soupire-t-elle en retirant ses pointes tintées de noir.
- Comme toujours on dirait bien.
Je me penche vers elle pour atteindre ses lèvres, mademoiselle toujours assise sur le sol, le pied entre les mains. Elle sourit contre les miennes, avant de rompre notre baiser.
- Tu es en retard mon amour, remarque-t-elle d'une voix de petite garce qui lui va si bien.
Je roule des yeux. Elle est grave quand elle s'y met.
- J'ai eu un petit truc à régler avant de venir.
- Comme quoi ? insiste-t-elle en retirant son sweat (très court d'ailleurs) et son débardeur d'une traite.
- Comme ma tornade de sœur.
Elle arrête tout mouvement, ses vêtements d'une main et son haut de sous-vêtement en dentelle juste sous mes yeux.
- Rien de grave ?
Je hausse doucement les épaules.
- Je pense qu'elle commence à comprendre ce qui va se passer concernant sa mère.
- Merde, jure-t-elle de nouveau en retirant son legging.
Super, elle porte la culotte assortie à son haut... Elle veut me tuer c'est sûr.
- Tu ne voudrais pas lui envoyer un petit message ? tenté-je.
- Certainement pas, tranche-t-elle en remettant ses collants, sa jupe et son pull.
- Mahé, je pense que ce n'est vraiment pas le moment de faire ta têtue.
- Ma têtue ? C'est elle la têtue. Je suis allée la voir pour parler, elle n'a pas voulu. Elle m'a envoyée chier en beauté, alors hors de question que je recommence le moindre effort pour elle.
Bon sang, elle a un ego surdimensionné pour une fille.
- Elle a besoin de toi, murmuré-je en posant mes mains sur ses épaules et en la massant doucement pendant qu'elle lace ses Converse.
- Et quand elle s'en rendra enfin compte, elle m'enverra un message. Je ne ferai pas le premier pas Austin, c'est mort. C'est à elle de venir vers moi. Pas l'inverse.
- Tu es trop dure avec elle, pesté-je.
- Absolument pas. Je sors avec son frère, ok. Mais tu sors avec sa meilleure amie, et elle fait la même chose avec le tien. Vous êtes quittes. Alors qu'elle boude si ça lui fait du bien, je ne suis pas prête de lever le petit doigt pour ça.
Elle range ses affaires rapidement, lâche ses cheveux et réajuste ses boucles d'oreilles.
- On y va ? Ou tu veux parler de sa sœur toute la journée ?
Je confirme d'un signe de tête. Elle est incroyable. Iliana ne fera jamais le premier pas, et elle le sait très bien. Ma copine devrait comprendre que dans ce genre de cas, c'est à elle de s'avancer. Ma sœur va avoir besoin de sa meilleure amie, et ça, peu importe leurs actuels différents.
Aucun doute, j'avais choisi les deux filles les plus insupportables de la planète. L'une comme sœur, et l'autre comme petite amie.
Je lui tends sa boisson, un frappuccino licorne de notre café favori. Avec un supplément chantilly et coulis de cerise, s'il vous plaît.
Elle me sourit franchement, sortant son téléphone pour prendre une photo. Avant de se raviser.
- Quoi ? soupire-t-elle en me devançant.
Je sais parfaitement ce qu'elle voulait faire. Elle allait envoyer une photo à Iliana, parce que les licornes étaient leur délire. Tout comme une histoire à peine croyable de « coco lapin » que personne ne comprenait à par les deux concernées.
Elles avaient besoin l'une de l'autre, c'était une putain d'évidence que ni l'une, ni l'autre ne semblait voir.
Ma belle marche devant moi jusqu'à ce qu'on soit sortis de son école de danse. Elle lie rapidement ses doigts aux miens, avant de prendre notre habituelle petite route vers le restau qu'on partageait tous les dimanches. C'était notre routine, notre moment à tous les deux.
Mon repos et ma joie de la voir, son occasion de manger autre chose que des légumes et des plats équilibrés. Depuis Noël, elle comptait absolument tout ce qu'elle mangeait. Au départ, j'ai cru qu'elle faisait comme toutes ces jeunes filles effrayées par leurs corps. J'ai eu vraiment peur.
Mais en réalité, elle faisait seulement du Mahé...
Elle avait besoin de tout contrôler. De garder le pouvoir sur tout ce qu'elle faisait. Elle m'avait montré une image d'une élève de l'école, et j'ai compris. Elle ne se privait pas, elle surveillait simplement. Le bon poids de viande, la quantité requise de légumes... Une obsession qui n'en était pas une, un complément à sa passion qui lui permettrait d'accomplir ses rêves.
Elle réussit toujours tout ce qu'elle entreprend. Elle a le parfait contrôle.
Sauf sur son lien avec ma sœur. Qui se dénouait un peu plus d'heure en heure.
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Hey ! Bonjour à tous !
Comment vous allez ? Depuis TOUT ce temps !
(Si vous saviez comme ça m'a manquée de ne pas poster mercredi !!)
Je veux déjà vous remercier tous, car ce roman approche à grands pas des 10K, et que ce n'est pas grâce à moi, mais plutôt à vous... Alors merci beaucoup !
Merci aussi à toutes les personnes qui ont participé à la FAQ Intagram hier, c'était adorable et un chouette moment !
Je veux aussi remercier -Sakura175- et @SilentJune pour vos corrections et remarques, qui offrent un petit coup de neuf au début de cette histoire, corrigent les coquilles et modifient les incohérences, merci à vous deux les filles, j,'espère que la suite de votre lecture ne vous decevra pas !
Bon, on revient sur ce chapitre... Du point de vue d'Austin !
Est-ce que ca vous a plu ?
J'ai eu beaucoup de mal, je ne vous le cache pas ! Les narrations autres que celles d'Iliana sont compliquées pour moi à écrire, alors quand il s'agit du chouchou de la bande, c'est pire !
On a tout d'abord un petit rapprochement Aiden/Austin. Il était temps !
Suivit d'un moment un peu particulier avec Iliana...
Notre petite surfeuse est en effet totalement perdue, tout comme Austin qui ne trouve pas les mots ! Qu'en pensez-vous ?
Pour finir on a Mahé. Notre petite Mahé têtue comme tout !
Avez-vous aimé le moment où elle dansait ?
Pensez-vous qu'Austin a raison ? Que les filles devraient mettre la dispute "en pause" pendant cette période compliquée ?
On se retrouve samedi prochain pour voir comme tout ça évolue, avec le retour de notre bande au lycée... Et croyez-moi, ça risque d'être plus compliqué que prévu pour certains...
De gros bisous, prenez soin de vous et passez une bon week-end, Lina 😘
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