Chapitre 48 (bis) 🃏
« Elle obsédait mes pensées, les obnubilait, les possédait entièrement. Mon corps la maîtrisait, mais mon esprit lui appartenait. Si seulement j'avais levé les yeux... »
🃏 Austin 🃏
⏳ 12 heures avant ⏳
A : ma belle à 3 h 01
Je viens seulement de rentrer de chez mon pote. Désolé de ne pas t'avoir répondu avant...
De : ma belle à 3 h 01
T'abuses quand même.
A : ma belle à 3 h 01
Je suis vraiment désolé.
De : ma belle à 3 h 01
C'est ça, comme toujours.
A : ma belle à 3 h 01
Tu me fais la tête ?
De : ma belle à 3 h 01
Oh que oui.
A : ma belle à 3 h 01
Tu peux encore venir, je pourrais...
Me faire pardonner ?
De : ma belle à 3 h 01
Dans tes rêves !
Je suis en colère contre toi.
A : ma belle à 3 h 01
Ma belle t'as tenu jusqu'à 3h du mat
Et t'habite pas très loin.
De : ma belle à 3 h 01
C'est toi qui devrais venir.
Où est passé le romantisme.
A : ma belle à 3 h 03
Tu veux que je vienne ?
De : ma belle à 3 h 06
...
A : ma belle à 3 h 06
Heu... ça veut dire oui ?
De : ma belle à 3 h 07
Vu
Je peux vous dire que celui-là, il pique.
Je m'attendais à ce qu'on s'envoie des sextos, ou au mieux, des petits messages tout mignons. Mais non, madame me lâche un "vu" . C'est vrai, j'étais en retard. On est allé dans un bar avec tout le monde, et j'ai dû raccompagner ma sœur et tous les boulets qui vont avec chez Lindsay. Mais de là à faire la gueule ?
Mouais, après tout, je l'avais fait attendre un sacré bout de temps. Et même si elle possède mille et une qualités, la patience n'en fait pas partie.
Et voilà comment moi, je me retrouve tout seul, dans cette maison, trop grande. Sans parents, sans petite sœur à emmerder, sans Iliana avec qui dormir.
Super Austin, t'a vraiment été bon sur ce coup-là !
Je décide d'aller jusqu'à chez ma copine. Comme d'habitude, je passerais par la fenêtre, et grimperais jusqu'à son lit pour la trouver endormie. Ou pas.
Cette petite touche de discrétion, de secret d'Etat qu'elle imposait. C'était drôle au début, mais je commence à en avoir marre. À en vouloir plus.
Lui tenir la main devant les autres, devant ses parents, c'est trop demandé ?
Pour elle, oui.
Je savais qu'en me mettant en couple avec elle, ça serait compliqué. Elle a tellement de règles à respecter, tellement de gens à ne pas décevoir.
Elle est trop parfaite, et elle veut le rester.
Mais j'étais fou d'elle. Je suis tombé amoureux d'elle et jamais je ne la laisserais partir maintenant.
Elle me dit souvent qu'elle a peur. Peur d'avancer dans l'inconnu, peur de la réaction des gens. Peur des critiques, des remarques. Peur de la réputation qu'elle obtiendrait.
Elle veut être pure et parfaite, et elle le restera.
Pourtant ça, ce ne sont que les codes moraux qu'on lui impose, qu'elle s'impose. Quand on la connaît vraiment, on comprend qu'elle subit, tout simplement.
Je monte directement dans ma chambre, chercher un sweat à enfiler. Un filet de lumière se glisse sous la porte de celle-ci. J'ai laissé la lampe allumée ?
Je l'ouvre prudemment, et mon souffle se coupe. Comment ?
Allongée sur mon lit, sur une hanche et de profil, elle ne m'adresse pas un regard. Pourtant, je sais que tout le reste, m'est directement destiné.
Elle a revêtu une robe longue, offrant une vue parfaite sur ses seins majestueux. Ses courbes prononcées étaient offertes à mes yeux grâce à la splendeur du tissu et aux détails impressionnants du corset.
- Tu en as mis du temps, souffle-t-elle d'une voix angélique.
J'ai tout simplement souri, elle n'avait besoin de rien de plus.
- Est-ce que c'est une manière subtile de me demander de t'inviter au bal ?
- Tu ne fais rien, alors il faut bien prendre des initiatives. J'ai déjà la robe, si elle te plaît, ça pourrait être jouable, non ?
- Pourquoi pas...
Je n'aurais jamais pensé qu'elle accepterait de venir au bal avec moi. Alors qu'elle me le propose elle-même...
- Et même, si tu veux, tu peux t'entraîner pour la nuit, qui suivra, la soirée.
Elle s'assoit avec élégance, dos à moi, et ramène ses mèches sur son épaule. Elle m'offre un rêve éveillé. Son visage se tourne légèrement, ses yeux appelant les miens à s'approcher.
Oh que oui, j'allais le faire sans attendre.
Elle m'invitait très clairement à dégrafer cette robe en soie.
Je l'arracherais si ça ne tenait qu'à moi.
- Je ne t'ai pas vraiment simplifié la tâche, avoue-t-elle.
Je ris, en voyant les nombreux lacets qui façonnent son dos. Je pose mes doigts sur sa peau nue, et fais glisser le tissu entre les boucles. Je la déshabille avec attention, adoucissant mes gestes et appelant ses sens.
Mes lèvres remontent le long de sa colonne, jusqu'à rencontrer sa nuque. Elle bascule la tête en arrière lorsque je m'attaque à son cou, tel un vampire assoiffé de son sang. Ses yeux sont clos, sa respiration remplie de plaisir.
Je suis au dessus d'elle en un mouvement, semblable à un prédateur fasciné par sa proie. Elle est allongée sur le dos, sa robe légèrement décollée de son corps. Je maintiens ses poignets, mais ses yeux brillants ne me quittent pas.
Elle se laisse dominer, recouverte de baisers fougueux. Jusqu'au moment où elle reprend le contrôle. Ses mains se verrouillent autour de ma nuque, ses doigts s'enroulant dans mes mèches.
En un mouvement, je me retrouve en sous vêtement, aussi vulnérable qu'elle. Je dépose sa robe avec délicatesse sur un fauteuil avant de retourner rapidement contre sa peau chaleureuse.
- Tu ne portes pas de... commencé-je en voyant sa poitrine, dénudée.
- Ce genre de robe ne se porte pas avec un soutien-gorge.
- Wow. Je ne sais pas qui a instauré cette règle, mais j'aime bien l'idée.
Je l'embrasse comme un fou, sa jambe basculant de l'autre côté de la mienne. Elle s'assoit sur mes cuisses, gâtant ma peau. Je me fige.
- Attends.
- Quoi... Halète-t-elle.
- Heu... je crois que... je n'ai pas... enfin, je crois que je n'ai pas de...
Je lui fais comprendre assez rapidement, et le vois à son air qu'elle hallucine.
- T'es sérieux là ?
- Ouais, me maudis-je.
- Putain, Austin... Se lamenta-t-elle en m'échappant.
- Je... je ne crois que ma sœur en a.
- Tu vas aller voler des préservatifs à ta sœur ?
- Oui, souris-je emballé par l'idée.
- Dis-moi que c'est une blague.
Je secoue la tête, alors qu'elle plonge la sienne dans ses mains. C'est vrai que niveau non-application et secret vis-à-vis de ma famille et mes amis, voler des capotes à ma sœur devait la réjouir. Mais peu-importe.
Elle obsédait mes pensées, les obnubilait, les possédait entièrement. Mon corps la maîtrisait, mais mon esprit lui appartenait. Et maintenant, je ne pouvais pas en rester là.
Bon, si j'étais Iliana. Où est-ce que je cacherais ça ?
Je fixe sa chambre un instant, avant de tenter le tiroir du haut, de sa commode. Je le referme dans la seconde. Ses sous-vêtements...
Elle doit forcément en avoir dans son sac. Les filles en ont toujours.
Je ne vais pas fouiller dans son sac quand même ? Imaginez un instant que ça soit son dernier ? Elle serait bien plus dans la merde que moi.
Vous l'imaginez avec un bébé, en elle ? Ah non, jamais de la vie !
Je réfléchis à toute vitesse, sachant pertinemment que chaque seconde écoulée fait refroidir notre bulle rien qu'à nous.
La table de nuit. Ça ne peut-être que là.
Je remercie intérieurement Dieu, et lointainement Iliana, si prévoyante.
- On en était où ?
- Je soupirais à propos du fait que tu sois vraiment, un tue l'amour.
- C'est faux, souris-je en passant mon bras dans son dos.
- T'es tout sauf romantique.
- Cette fois. Mais bon, ce n'est pas si grave, si ?
Elle me sourit à son tour. Ses gestes sont mécaniques au début, puis, elle retrouve sa fluidité. Elle se pose sur mes jambes, alors que je continue de la faire gémir. Rapidement, nos corps se dévêtirent entièrement, et ne firent plus qu'un.
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Elle bouge contre mon torse, se tournant vers moi.
- Tu ne dors pas ? Murmuré-je.
- Plus. Nuance-t-elle d'une voix douce.
Mon drap s'est transformé en robe éphémère, soigneusement plaquée contre elle. Je passe mes doigts dans ses cheveux, et les parcourt entièrement.
- Je vais y aller, chuchote-t-elle.
- Déjà ?
- Oui, c'est déjà tard.
- D'accord.
Pourtant je restais accroché à elle. Je ne voulais pas qu'elle parte, encore.
- On se voit demain ?
- Quand tu veux ma belle.
Je mourrais d'envie de la garder près de moi. De l'avoir pour moi tout seul une nuit entière. De m'endormir contre elle et de me réveiller en la voyant en premier. Mais pour l'instant, je n'avais jamais réussi à la garder prisonnière de mes bras.
- Rentre bien, dis-je en lui caressant la pommette.
- Et toi, dors bien.
Elle embrasse tendrement mes lèvres, et quitte le lit sans un bruit de plus. Je la regarde disparaître, sa robe dans la main et mes vêtements sur elle. Si belle.
Comment me convaincre que tout ça m'appartenait enfin ?
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- T'en es où ? Râlé-je au téléphone.
- Je viens juste d'arriver.
- T'es tarée, tu le sais ça ?
- Je fais simplement du sport Austin...
- A 10h du matin, lendemain de soirée grosse folle !
- Je fais ce que je veux.
- Je dois venir te chercher ou pas ?
- Non, je ne pense pas je prendrai le bus. Je rentrerai vers 15h.
- Comme tu veux. Tu me dis si jamais.
- Je t'appellerai simplement pour te faire chier.
- Bien sûr. Tu seras trop occupée à faire des galipettes.
- C'est faux, je mets tout de suite une alarme pour me rappeler de te faire chier.
- Ah mais je t'attends avec impatience !
Je l'entends soupirer au bout du fil, avant de raccrocher. Je rejoins Aiden au terrain de basket, où on s'entraîne comme tous les samedis matin. Enfin, les matins c'est à partir de 11h chez nous, je ne suis pas aussi fou que ma sœur.
Sérieusement, aller faire de la gym aussi tôt, en ayant fait la fête avec ses tarées de copines la veille ! Elle a plus toute sa tête cette enfant, je vous le jure. L'eau de mer trop froide, certainement.
Un message me fait sourire, et j'essaie un maximum de chasser, le plus gentiment possible, Aiden pour pouvoir rentrer chez moi.
Et retrouver la magnifique jeune fille qui m'y attend.
- Bon, celui qui marque, le plus loin en reculant de ligne en ligne, gagne le match.
- T'es sérieux là ? S'indigne mon ami.
- Je t'offre une chance là. T'as je ne sais pas combien de point de retard.
- C'est faux.
- Ce n'est pas comme ça que tu vas draguer ma sœur. Répliqué-je rapidement.
Je souris en voyant son air ahuri et sa bouche entrouverte.
- N'importe quoi.
- Tu me prends vraiment pour un con.
- Le roi des cons, c'est certain.
- Arrête, je rigole pas du tout là.
Je lève les yeux vers lui, m'appuyant sur la rambarde.
- Iliana ne m'intéresse pas.
J'éclate de rire. Il a l'air sérieux en plus.
- Plus, du moins.
- Mais bien sûr.
- Austin je...
- ... suis un gros mytho qui tente d'attirer l'attention de ma sœur. Je confirme.
- C'est plus compliqué.
- Pas du tout. Vu la manière dont tu la regardes, c'est extrêmement clair.
- C'était par rapport à Evan. Par pure jalousie ça n'avait rien à voir avec Iliana.
- Et bien on dirait que les choses ont évoluées. Le seul souci, c'est qu'elle, ne semble pas très réceptive à tes appels désespérés.
Il soupire. Et ouais, je vois absolument tout Aiden.
- Bon, regarde comment on fait.
Il se place sur une ligne éloignée, et arrive à marquer. Panier que je manque.
- T'as toujours été nul en tire au panier, ironise-t-il en me tapant la main.
- Petit con va.
- Tu vas rejoindre quelqu'un ? Tu me sembles, vraiment pressé.
- C'est faux.
- Quel menteur ! C'est ta copine ? Tu vas retrouver ta copine ?! Putain, ça veut dire que si je vais chez toi, maintenant, je vais enfin savoir qui est ta Casanova ?
- Ce n'est pas ma Casanova, tu dis n'importe quoi Aiden !
- C'est tellement tentant, minaude-t-il.
- Arrête, t'es trop con ! Bientôt, je te la présenterais. Mais pas maintenant, ok ?
- Comme tu veux.
On se dit rapidement au revoir, et je rentre le plus vite possible à la maison.
- Je suis rentré !
Personne ne me répond. Pourtant, je la vois assise sur ma terrasse, ses longs cheveux dans le vent. Elle regarde certainement la mer, comme à chaque fois qu'elle vient.
- Bonjour.
Elle se retourne en souriant immédiatement. L'heure tourne alors qu'on mange en discutant. Elle me parle du bal, de sa tenue... Je lui parle des cours, et surtout du sport. Elle n'est pas vraiment intéressée, sauf pour les pom-pom girls.
- Tu veux regarder un film ?
Elle hoche la tête, me suivant jusqu'au canapé. Proposer un film quand je ne sais pas quoi faire d'autre, c'est ma spécialité. J'avais fait exactement ça avec Iliana.
On s'allonge sur les coussins, collés l'un contre l'autre. Une fine pluie s'abat sur les carreaux, et le film ne semble plus m'intéresser autant. Son dos contre mon torse, et le reste de son corps emboîté dans le mien, mes doigts la parcourent avec douceur. Je caresse doucement ses épaules, puis descends mes lèvres à con cou...
- Austin, je suis en train de m'endormir.
- T'es sûre ? On pourrait peut-être...
Elle se tourne vers moi, le visage à quelques centimètres du mien.
- Peut-être quoi ?
- On pourrait... continuer ce qu'on a commencé hier.
- Je pensais qu'on en avait terminé ?
- Je n'ai jamais terminé avec toi, murmuré-je.
Elle se met à califourchon sur moi, et en un éclair, l'ensemble des coussins sur le sol. On s'embrasse plus fougueusement encore, et mes mains s'attardent sur l'agrafe de sa chemise, puis sur le cordon de son sous-vêtement.
Mon téléphone nous arrête. Je m'écarte d'elle à contre-cœur, et fixe l'écran d'une manière distraite.
- C'est ma sœur, soupiré-je.
Je le laisse sonner, et reporte mon attention sur cette si belle jeune fille dans mes bras.
- Tu ne réponds pas ? Souffle-t-elle en manquant d'air.
- Non, elle veut me faire chier, elle m'a même prévenu.
- Si ce n'est que ça.
Je la bloque, et me colle un peu plus à elle. Elle déboutonne mon jean et le fait glisser le long de mes jambes. Je la maintiens contre moi, assise et ses jambes dénudées m'entourant.
Mais mon téléphone sonne à nouveau.
- Elle est du genre tenace, elle va finir par se lasser.
- Alors mets-le en silencieux, susurre-t-elle. Je te veux tout à moi.
J'obéis, avec un sourire malicieux, et jette mon téléphone à l'autre bout de la pièce. Désolé Iliana, mais cette fois, tu ne gâcheras pas mon moment d'intimité avec tes bêtises. Cette fois, tout se passe entre moi, et ma copine. Personne d'autre ne viendra nous interrompre. Car je ne peux résister à son sourire.
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⏳ Deux heures plus tard ⏳
- Je vais te détruire.
- T'es nul à ce jeu Austin !
Je m'acharne sur les boutons de la mannette, mais je sais pertinemment qu'à ce jeu-là, Aiden est bien meilleur que moi.
- Putain, mais ce n'est pas vrai ! M'écrié-je.
- Pfff. Même les yeux fermés je te bats !
- Connard.
Aiden attrape sa bière en riant. Avant de me regarder, son air de gros con fixé sur le visage.
- Alors, avec la belle inconnue ? Est-ce que vous avez...
- Oui.
- Sérieux ?!
- Ouais.
- Sur ce canapé ?
- Oh que oui.
- Putain de merde !
Il se lève à toute vitesse.
- Ne joue pas à ça Aiden, parce que sinon, c'est toute la maison qui est en mode « the floor is lava ».
- T'es vraiment, dégoûtant.
- Et toi alors ? Tu veux te faire ma sœur. Tu imagines si par malheur elle acceptait ? A chaque fois que je te regarderais, je me rappellerais que tu sautes, ma. Petite. Sœur.
- C'est vrai, ça craint ça. Réplique-t-il.
Avant de se figer.
- Il est quelle heure ? Me demande-t-il.
- Heu... 17h30, pourquoi ?
- Elle... elle est rentrée Iliana ?
Je fronce les sourcils. Et l'appelle à voix haute.
- Iliana ?
Seul l'écho de ma voix
- Elle n'est pas là ? Questionné-je inutilement. Elle n'est pas là. Putain, mais elle est où ?
- Elle avait entraînement de volley à 12h. Et elle voulait s'entraîner après en gym. Elle est peut-être encore au lycée ?
- Non. Elle m'a dit qu'elle rentrerait à 15h.
Putain, non. Pas ça.
Il aurait suffi d'un instant. Un seul putain d'instant. Un seul regard en plus sur l'écran. Je n'aurais eu qu'à le déverrouiller. A lui répondre. Mais je ne l'ai pas fait. J'ai préféré rester auprès de celle que j'aime. Et j'ai ignoré, ma sœur.
Faites qu'elle aille bien, et qu'elle ne m'ait pas appelé pour ça.
- Je suis rentrée. Annonce une petite voix dans l'entrée.
- Tu vas bien ? Lancé-je en m'avançant.
- Oui. Désolée, j'ai pas vu l'heure passer. Me répond-elle.
Elle monte tout de suite à l'étage, une démarche un peu... fragile.
Je me tourne vers Aiden, qui fronce également les sourcils.
Je m'apprête à lui dire quelque chose, quand un énorme bruit nous interrompt. Un bruit de chute, d'objets en verre qui se brisent au sol.
Je monte les marches quatre par quatre, et entre précipitamment dans sa chambre.
- Oh putain... Lâché-je en la voyant. AIDEN APPELLE LES POMPIERS TOUT DE SUITE ! Lui hurlé-je.
Je m'agenouille à côté de ma sœur, suffocant sur le sol.
Sa tête reposait entre mes mains alors que je la voyais manquer d'air. Un filet de sang glissait le long de ses lèvres, les rougissant fortement. Ses yeux étaient perdus dans les miens, éteints.
Les miens, ne quittaient pas ses vêtements, devenus rouge écarlate.
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Hey ! Il est minuit passé donc... Chapitre suivant !
Je crois que vous avez envie de me tuer, c'est bon...
Mais avant l'arrivée de la troisième guerre mondiale...
Comment trouvez-vous la copine d'austin ?
Et combien d'entre vous lui ont hurlé de répondre à son put*** de téléphone ?!
Même moi, je l'ai presque supplié en écrivant 😂
Bon, revenons sur Iliana.
Ma pauvre petite surfeuse...
J'ai jeté tout mon sadisme sur ce petit personnage 😣
Vous voulez me tuer ?
Des hypothèses sur ce qu'il s'est passé ? Sur la suite ?
On reprend un rythme normal un chapitre le mercredi, et deux le week-end...
De gris bisous, Lina 😘
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