La Douceur

Hallo,

    Me voilà de retour avec un nouveau chapitre, j'espère de ne pas vous fait trop attendre, j'ai l'impression d'être Antoine Daniels de What the cut, lol. Enfin bref, trêve de bavardage voici le nouveau chapitre je vous dis Tchuss jusqu'au prochain chapitre.

   Voyant que Akashi-kun se levait de la table avec ça grâce habituelle, moi étant déjà debout, je me dépêcha de me diriger vers les escaliers, tout en lançant un ''excuser moi''. Le chemin vers les escaliers et ma chambre fut long et dur. Mes jambes s'entremêlèrent beaucoup trop souvent à mon goût sur cette courte distance. Pourquoi j'ai envie de lâcher prise ? Lâcher prise quoi ?

  J'ouvris la porte précipitamment en entendant les bruits de pas de Akashi dans mon dos. Je la ferma tout aussi rapidement, sans oublier de mettre le locket. Le noir que les rideaux et les voles de ma chambre créa un malaise en moi et je dus tous rouvrir pour faire disparaître ce sentiment.

  Je n'entendit pas toquer à la porte, bizarre. Il doit sûrement attendre devant la porte, il sait qu'il n'as pas besoin de me punir maintenant car il aura toute la journée, la semaine, et peut être même le mois entier pour me faire regretter mon geste.

  Un soupire las sorti de ma bouche.

  Je posa les bouts de mes doigts sur mes lèvres en pensant à la tension sexuelle de tout à l'heure et même des baisers fiévreux qu'on sait échangé. Cela ne me ressemble pas. C'est à cause de lui que je suis comme ça, surtout quand je suis en sa présence. Si je viens à avoir ce genre de relation, je veux pas que se soit sauvage, mais doux. Comme un bon milk-shake à la vanille.

  Je regarda ma chambre à la vas vite puis comment ça à faire mes affaires dans un soupir. Pourquoi ma mère a-t-elle accepter ? Je ne veux pas y aller. Elle n'as même pas demander mon avis. Et puis, c'est bizarre, d'habitude elle n'accepte pas aussi vite. Est ce encore Akashi qui a manipuler ma mère dans une conversation pour qu'elle accepte ? Ça, j'en doute pas.

  Mon sac fut finis dans un soupir. Je me mis assit à côté de mon sac poser sur le lit. Je fis glisser ma main droite sur ma couette, enfin plutôt housse de couette. Je savoura se contacte, aimant les choses douces au toucher.

  J'aimerais tellement me recouvrir de cette dernière pour y dormir un peu, au chaud...

  ...Mais je peux pas car Monsieur attend dans le couloir, et à mon avis, il doit compter les minutes d'attente, qu'il transformera en minutes de punition. Prenant un dernier plaisir, je fis glisser mes deux mains dans la couette en savourant la douceur qui en ressortes, un soupir de plaisir sortit de mes lèvres.

   Mais en faisant ça, j'avais de moins en moins envie de sortir de cette chambre qui m'appartient et dont j'y ai laissé les traces depuis que je suis tout petit. Tant de souvenir dans cette petite pièce qui mon accueillit chaleureusement du berceau jusqu'à maintenant et jusqu'à ma mort. Elle qui m'a vu dans mes pires comme bons états d'âme. Elle voit tellement de choses que jamais elle dévoilera....

  Enfin bon, peut-être que je la reverrai un jour. Je n'avais pas remarqué mais j'avais enfoui ma tête dans la couette. Je soupirai de devoir me retirer de mon lit douillé.

  Je pris mon sac, tout en me levant. Je commença a m'approcher de la porte qui nous sépare. Je pris donc mon courage à deux mains, et pris le locket entre mon pouce et mon index et ouvrit ce dernier. J'entendis après le cliquetis dû locket un soupire grave, qui me donna des frissons d'horreurs. Ai-je mis notre souverain dans une colère noire ?

   J'ouvris doucement la porte de ma chambre qui nous séparait sans plus attendre. Je mis ma tête vers le bas en signe de soumission d'ailleurs faire ça m'énerve. Mon sac devant moi pendant au bout de mes bras. Je tapai un peu dedans en marchant pour me trouver devant la porte en ayant bien fermé ce dernier derrière moi, toujours tête baisser.

   Une fois dehors, je ne bougeais plus, tête baissait j'attendais. Mon sac pendait au bout de mes bras, dont la poigne se resserra d'un seul coup. Mon destin était maintenant dans les mains d'Akashi. Je savais qu'il était en face de moi, appuyé contre le mur en face. Son aura me criait de rien dire et faire car seul Akashi savait ce qui allait se passer, si je faisais quelque chose qui aggravait les choses.

  Cela faisait une bonne dizaine de minutes, je pense que l'on ait dans cette position sans bouger. Il y avait toujours des éclats de rire en bas, qui détruisait le silence entre nous. D'habitude, je suis en bas à sourire même si personne ne me remarque, m'imprégnant de la bonne humeur familiale. Je suis triste et en colère, qu'il puisse toujours rigoler alors que je ne suis plus et serais plus là.

  Je suis enerver et ecoeurer de se constat, des larmes sont presque pret a couler sur mes joues, mon nez coule un peu. Je ne veux pas quitter ma maison, j'ai peur de ce qui m'attend...

  Je sentis quelque chose cogner contre ma tete toujours vers le bas, je vis malgres le brouillard que mes larmes formait la chemaise d'Akashi. Je pris pas longtemps aant de l'enlacer en logant ma tete dans le cou de la cause de tous de tous ca. Dans mon geste, le sac tomba au sol derriere lui. Je ne plus retenir le cris qui avait la forme d'une boule dans ma gorge qui me faisait tant soufrir. Je sentis des bras puissant et determiner m'enlacer. Son corps me poussa dans ma chambre, une fois fait, il ferma la porte en la claquant, toujours en me poussant et me dirigeant, mes pleurs toujours aussi bruyant. On finit par atteror sur mon lit, toujours enlaces. J'essayait de respierer mes pleurs et cete boules dans la gorge m'en empeche. Des murmures me chatouya l'oreille comme pour m'interpeller me concentrer sur ses  paroles et non sur mes pleurs et c'est ce que je fis. Je remarqua au fil du temps que c'etais pas des murmures mais une voix qui parlait normalement qui disait des choses douces comme "Chut, je suis là", " Calme toi, Tetsuya, je t'en prie" et ses levres survola mon visage pour y deposer des baisers ou y enlever les larmes qui coulait toujours. Je le laissa faire en lui donnant le voie libre, mes mains delaissa sa chemise pour aller se fourrer dans ses cheveux doux et soyeux. Je me sentis dans un cocon doux et chaleureux dont je pus refuser morphee quand il se presenta. 

 Ce que le couple ne savait pas, c'est que la famille du bleu avait tout entendue. La mère vit tous les regards se tourner vers elle, elle les regarda interrogativement en buvant dans son verre. Tous la regarder de maniérer triste de ceux qui sont entendus, les pleurs de leurs Tetsuya les avaient bouleversés au plus au point. Elle reposa son verre et soupira mais un sourire sûr et chaleureux pris place sur son visage. Ses lèvres s'ouvrèrent pour dire :

<< Je te laisse prendre soin de mon fils, Akashi Seijūro, j'espère ne pas avoir fait le mauvais choix.>> Dit-elle avec son sourire

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