Chapitre 22: Effraction


Quelque part sur une petite île de Grand Line.

Dans le Manoir du maire de la ville, une femme rousse d'une quarantaine d'année trie les affaires de l'ex femme de son mari :

- Hana ni nare sora ni nare yume ni nare kokoro henkeshite
Tori ni nare umi ni nare yume ni nare jizai henkeshite

Minaduki no tayori naki hizashi akitarazu
Kumoma wo miageteru himawari wa

Fui ni fuku minamikaze mashii de ukete
Nemutte ita saga wo yobi samasu

Furafura yureteru kaben wa
Harahara nugi sutete shimae
Bokura wa yume ichizu ni henge suru...

En soulevant une pile de paperasse, une feuille tombe. L'amante du maire là ramasse pour la lire et blanchi à vue d'œil au fil de sa lecture.

- Chériiiiii !! Hurla-t-elle

- Qui a-t-il mon amour ? Demanda l'intéresser arrivant lunettes sur le nez, plongé dans son journal

- Tiens lit ça !

Il prit la feuille et la lu à voix haute.

- Je soussigné Sophia Wisdom lègue toute ma fortune à ma fille unique Andrea et seulement à elle. De plus, je lui ai dors et déjà offert la clé qui lui permettra d'ouvrir la porte de la fortune familiale. Voici-ci-joint un dessin de la dite clé et de l'emplacement des biens, de façon à ce que ma fille sache où aller et comment ouvrir la porte...

Les deux amants se regardèrent médusé. Une immense fortune, ici, sur l'île et qui pourrait leur revenir.

- Je vais faire venir Cooper, il faut qu'il me retrouve cette garce et qu'il prenne la clef ! Et je vais demander à l'avocat de la ville comment faire pour que la fortune de mon ex-femme me revienne !

En quelques heures la nouvelle sur cette soit disant fortune s'est rependu comme une traîné de poudre chez les marines.

- Ouais tu te rends compte, une énorme fortune cachée sur l'île ! Et tout appartiendrait à la gamine...

- Bonsoir Messieurs, que puis-je faire pour vous ? Demanda Grand'ma

- Pour moi se sera deux baguettes et un gros gâteau à la fraise s'il vous plait, commanda le premier Marine

- Pour moi ce sera seulement deux baguettes, enchaîna le deuxième Marine

- Très bien messieurs.

La vieille femme prépara les commandes pendant que les deux Marines continuaient de parler.

- Oui et donc je disais que toute la Fortune des Wisdom reviens à la gamine, mais que le maire veut mettre la main dessus.

- Vraiment ? Et il va faire comment ?

- Le Colonel Cooper doit partir à sa recherche, je pense qu'ils vont la tuer. De cette façon son père pourra mettre la main sur tout ce qui lui appartient.

- Je ne suis pas sûr que ça marche comme ça .

- Hum Hum, fit Grand'ma, vos commandes sont prêtes ça fera 15 berrys s'il vous plaît.

- Tenez, garder la monnaie, dit le premier Marine en déposant un billet de 20 berrys sur le comptoir.

- Merci Messieurs, au revoir

- Au revoir madame, dirent en cœur les deux marines

- Au fait, pourquoi tu as pris un gâteau à la fraise ?

- Parce que j'ai perdu au poker contre Lawliet hier, précisa le premier Marine.

Peu après le passage de la Marine dans la petite boulangerie de Grand'ma, se fut au tour de Fawziade faire son apparition.

- Bonsoir Grand'ma !! Dit elle heureuse

- Ah ma petite, je t'attendais ! Viens par là !

La vieille femme fit le tour du comptoir et passa devant Fawzia incrédule pour fermer la porte de la boulangerie et fermer les stores.

- Que se passe-t-il ?

- Andrea est en danger ! Il faut qu'on la prévienne !

- Quoi ?! Comment ça, en danger ? s'inquiéta la jeune femme

La boulangère s'empressa de lui raconter en détail la conversation des deux Marines.

- J'ai reçu une missive de sa part il y a peu, me disant que tout aller bien pour elle. Je comptais lui envoyer une réponse demain. Mais d'abord je crois que je vais aller faire un tour chez son père...

- Pourquoi faire ma petite ? Il ne faut pas prendre de risque inutile

- Je ne vais pas prendre de risque inutile ne t'inquiète pas... Je te promets que je te raconterais tout quand j'aurais fini Grand'ma. Je dois y aller à présent !

- Va ma petite et fait bien attention a toi !

Un dernier sourire pour la vieille femme et Fawziaréouvrit la porte pour s'engouffrer dans la nuit froide.

Une fois chez elle, Fawzia établit un plan en secret.

Elle ne sortit de sa chambre qu'une fois les douze coups de minuit passer. Vêtue d'une tenu foncée, elle sortit de chez elle discrètement pour n'éveillez les soupçons de personnes et se dirigea vers le manoir du maire. Elle longea les bois qui passaient derrière la demeure tout en faisant attention à ne pas faire de bruit pour ne pas attirer le garde qui faisait un tour du domaine.

Elle se faufila dans le jardin, jouant le ninja pour finalement atteindre, comme Andrea avant elle, l'arbre qui menait directement à la fenêtre de la perle.

En deux coups de cuillère à pots, elle crocheta la serrure et se faufila à l'intérieur de la pièce.

Une fois à l'intérieur la jeune casse-cou ouvrit légèrement la porte pour voir s'il y avait du bruit près d'elle. Mais le Manoir semblait plonger dans un éternel silence. Ses résidents c'était endormi dans une chambre voisine. Discrètement, elle quitta sa cachette, et connaissant le manoir comme sa poche, parviens en quelques minutes au bureau du maire.

A la lueur d'un dial elle fouilla dans les papiers du père d'Andrea sans résultat. Elle ouvrit tous les tiroirs et les placards pour finalement trouver son bonheur dans le double fond d'un tiroir du bureau.

Elle sourit et sortit de son sac son matérielle de dessin. Fawziaredessina la clef qui menait au trésor et grâce à la technique du calque, reproduit à l'identique les mots écrits de la main de la mère d'Andrea. Une fois son travail terminé, elle remit tout en place et rangea ses affaires avant de sortir a pas de loup.

Elle allait entrer dans la chambre de sa meilleure amie quand elle entendit du bruit venant de la chambre en face. Le temps, qu'elle ouvre la porte, entre et referme la porte c'était trop tard ! La personne avait vu la porte se refermer. Celle-ci se rouvrit à la voler alors que Fawziaétait sur le rebord de la fenêtre. Les deux femmes s'observèrent un instant avant que la brune se mette à sourire et sauter par la fenêtre pour courir en direction de la forêt pendant que la rousse apeuré se mette à crier comme si quelqu'un était en train de l'étrangler.

***

Malgré les fouilles, la personne qui était entrée par effraction s'était évaporée dans la nuit. Fawzia savait qu'à présent elle ne pourrait plus passer par là à l'avenir, mais cela l'importait peu. Elle avait réussi.

D'après la Marine, rien n'avait été volé et c'était vrai. Mais le maire savait pertinemment qui avait fait le coup et qu'elle avait une très bonne raison. Il fit venir le Colonel Cooper rapidement pour s'entretenir avec lui.

***

Le lendemain de son effraction,la ville ne parler que de ça et c'est la peur au ventre que Fawzia donna sa lettre à un Martin Facteur.



Et voilà les amis, les emmerdes arrive à grand pas ! 

Les paroles c'est Kamen, j'en ai parlé dans un tag ^^ (désolé, j'ai pas pu vous mettre de lien youtube parce que la chanson est partout sauf sur youtube xD )

Je vous retrouve dans le prochain chapitre !

To be continued...

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