Chapitre 2
...La voix robotiser du métro me sorti de ma réflexion pour me trouvé nez à nez avec la réalité. Cette réalité je l'a prenais en pleine face, je me rendais vite compte que mon rêve ne pouvait jamais arriver.
J'avais toujours mes vraies amies. Celle dont tu es sûr qu'elles ne poignarderont pas derrière le dos. Celle dont tu peux toujours compté. Mais il manquait dans ma vie quelque chose, la chose qui faisait tant sourire les autres, la chose que je n'avais pas, l'amour.
Certes j'étais aimer de mes amis et de ma famille, mais je n'avais jamais reçus de l'amour d'un garçon. C'est ce qui à mon sens manquait à ma vie pour quelle soit heureuse. Pourtant je ne suis pas la fille du genre sans sentiment, je suis tombée de nombreuses fois amoureuse mais c'est l'amour qui ne m'aime pas. Je suis une grande romantique mais je n'ai jamais eu d'histoire d'amour.
D'année en année ce manque se creusait dans mon cœur, creusant un faussé gigantesque. Je voyais mes amies enchaîner les relations alors que moi, pas même l'ombre d'un regard venait se pointer à mon égard. Je me persuadais sans cesse que c'était une perte de temps mais au fur et à mesure, je me suis rendue compte que pour être heureuse dans la vie, c'est de l'amour qu'il me fallais. Dans les contes de fée type cendrillon c'est l'amour qui fini par libérer cendrillon de ses horribles sœurs et de sa belle-mère. Je n'ai jamais eu d'histoire d'amour pour 2 raisons :
-Je me trouve moche même si on me dit que je ne le suis pas
-Je suis trop timide avec les mecs.
En tout cas de ma vision, c'est les 2 raisons pour lequel je n'ai pas eu de petit-ami.
J'essaye de faire des effort mais en vain. Ma timidité reprend toujours le dessus.
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J'étais arrivé dans la cour, je marchais vers mon amie que je voyais sourire. Devant elle j'étais naturelle, je pouvais dire ce que je pense sans être trop jugée car on avait la même mentalité.
Nelly. C'était une amie que je m'étais faite en entrant au lycée, elle était devenue une de mes meilleur amie. On trainait toujours ensemble et je lui racontais tous. Elle me fait penser a une princesse car je trouve qu'elle en a les manières (bien sur pas la princesse arrogante mais plutôt comme la princesse un peu rebelle qui veut essayer de faire avancer les choses).
Holden. C'était une amie avec lequel je traînait au collège. On s'est perdue de vue quand on est rentrée au lycée.
J'avais d'autre amies mais elles sont toutes partit dans des lycées différents.
Je savais que je pouvais conter sur elle. On rigole ensemble, je souri et je perds ma tristesse habituel. Je suis moi même avec elle et je lui dis presque tout. Je garde certaine chose enfermé à l'intérieur, sans pouvoir transmettre mes sentiments a qui ce soit.
Les amies sont des sources de réconfort et de chaleur mais je ne sais pas si ce n'est que mon ressentie mais sont aussi des sources de tristesse qu'elles ne peuvent pas voir. Cette tristesse tu essaye le moins de le faire sortir, en leurs présence. Moi, mes amies me voient comme une fille courageuse (du faite qu'elles ne m'ont jamais vue pleurer) et qui n'a peur de rien (du fait de ma froideur avec tout autre personne que ma famille et mes amies), mais moi je ne vois pas comme telle. Je me vois comme la fille qui sans personne autour d'elle perd tout le peu de confiance qui lui reste en elle, la confiance qui s'était installer grâce a elles.
Je ne pleure jamais devant les gens c'est juste une question de mentalité, je trouve que c'est une façon de faire pitié au gens et par expérience je sais que cela ne résout en rien ton problème et des fois même cela l'aggrave. Mes amies me racontent tour a tour leur belle (ou pas) histoire d'amour, sans qu'en retour je puisse leur en raconter une.
Je me sens heureuse pour elle et triste pour moi. J'espère qu'un jour je puisse goûter a ce bonheur qu'est l'amour.
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Avant de rentrer chez moi, chaque jour, je passais par le parc. Ça me faisait un petit détour mais j'aimais admirer les plantes qui ornaient le passage. J'étais certes déprimer du manque d'amour dans ma vie mais je n'étais pas désespérer au point de ne pas regarder la vie qui m'entourait. J'eus soudain un mal de ventre intense, je m'asseyais sur le premier banc venu pour me reposer quelque instant et admirait les fleurs. Je n'avais pas vue que le banc était occupé par un charmant garçon qui avait sans doute du voir que je n'étais pas bien.
Je lui dis un petit "désoler" qu'il n'avais sans doute pas entendue. A ma grande surprise, il se retourna après ce que je venais de murmurer.
Il était beau, Il était même très beau. De magnifiques yeux gris qui à la lumière du soleil devenaient verts. Les trais de son visage me faisait penser à quelqu'un que j'avais déjà vue mais je n'arrivais pas à mettre un nom dessus. Un peu gêné d'avoir détourné son attention sur moi, je tournai la tête. Puis j'entendis une voix douce me dire : " Tu va bien ? ".
Pendant un instant, j'eus un frisson.
Je connaissais cette voix. C'était celle de Holden Steven, le mec pour qui j'avais craqué en 4ème et apparemment il m'avait reconnue. Il était encore plus mignon qu'a l'époque.
Cette situation devenait de plus en plus gênante. Je me retournai et dit d'une voix tremblante:
- Oui... ça va merci ! Dis-je, gémissant de douleur.
- Tu es sur, tu a le teint tous pale ? Dit-il inquiet.
J'avais halluciné ou Holden venait de s'intéresser à moi. Il se souvenait de moi. A l'époque nous étions amies on traînait beaucoup ensemble, j'étais tombé secrètement amoureuse sans jamais avoir eu le courage de lui dire. J'étais triste de l'avoir perdu de vue quand nous sommes rentrés au lycée l'année dernière.
Je ne sais pas pourquoi, mais avec lui, j'étais autant naturelle qu'avec mes amies. Je lui disais des choses que même mes amies ne savaient pas. Ce qui m'a le plus empêcher de lui dire mes sentiment était que :
1) je ne voulais pas gâcher notre amitié (pour un refus sur et certain).
2) Je savais qu'un mec aussi populaire que lui ne pouvait jamais s'intéresser a une fille comme moi.
3) que presque tout le temps il finissait par sortir avec quelqu'un mais leur relation ne durait quelques semaines (on était que au collège ) et a mon humble avis, il tombait que sur des filles arrogantes et égoïstes, le pauvre il se pliait toujours en quatre pour leur faire plaisir.
Il voyait que j'étais étonner de sa présence et il me dit ;
- Je sais qui tu es, Tu es Grace Hamilton, celle avec qui je traînait tout le temps et qui du jour au lendemain à disparue de ma vie.
- Je n'ai pas disparue de ta vie, m'empressais-je de dire, on est juste allée dans différent lycée.
- Tu a littéralement arrêter de me parler à la fin du collège . Dit il d'une voix toujours apaiser.
- Tu étais toujours trop occuper par tes petites-amies. J'ai estimé que comme on allait de toute façon bientôt se séparer autant couper les ponts maintenant. M'exclamais-je
Il était je pense un peu choquer par la froideur de mes mots. J'avais changé depuis cette époque je n'étais plus la même. J'étais plus froide et plus aussi naïve qu'avant.
Soudain ma vue se troubla puis quelques instants plus tard, plus rien, j'étais dans les bras de Morphée.
Quand je me réveillai, j'étais dans un lit d'hôpital, avec pour visiteur mes parents et Nelly. Après que mes parents aient demandé tout les test et examens possible et qu'il soit rassurer, je leur demanda d'être seul avec Nelly. Elle me dit toute exciter:
- Tu t'es évanouie dans le parc sur les genoux de ton chéri de 4ème Holden. C'est lui qui ta porter jusqu'à l'hôpital et après m'avoir appelé et avoir appelé tes parents de ton portable, Il est partit. Tu a fait une crise d'appendicite. C'est super romantique non ?
- Nelly, il a juste fait ça part humanité, il allait pas me laisser crever sur un banc. Rétorquais-je
- Oui mais avoue que c'est mignon. Me dit-elle excitée.
- Si il avait envie que ça le soit pourquoi est-il partit ? Me demanda t-elle
- J'en sais trop rien...
Derrière mon air froid je trouvais ça terriblement mignon. Je pris mon téléphone pour voir s'il n'avait pas laissé un numéro, un petit bout de papier en glissa.
Je le ramassai et y lut: ''on se reverra ! Holden''. Je cherchais un numéro quelconque dans mes contactes pour le rappeler mais rien. J'aurais au moins aimé le remercier d'avoir traversé la moitié de la ville en me portant, même si je n'étais pas bien lourde pour mon âge ! Tant pis.
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Les jours qui suivirent mon accident, j'étais toujours en quête de le retrouver pour le remercier. Chaque jour, j'allais au parc pour voir s'il y était.
Avant, on aimait bien venir tout les deux dans se parc. Au printemps on regardait les nuages et en hiver on comptait les étoiles.
Je ne le voyais nulle part. Au bout d'une semaine, je finit par perdre espoir de le revoir. Voila j'avais trop espérer alors qu'il s'était juste envoler.
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Quelques jours plus tard, j'étais à la limite du retard. Je rentrais dans la classe essoufflée attendant mon professeur qui d'habitude était à l'heure. Elle entra suivit d'un garçon et nous dit:
- Voici votre nouveau camarade de classe.
Je me penchai sur le coté de façon que je puisse voir son visage et l'a, je faillis tomber de ma chaise, c'était...
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J'essayerais de poster plus régulièrement.
J'espère que la suite ne vous a pas déçu.
The Purple Plume 💜
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