Mini histoire (torture)
L'homme était attaché depuis maintenant une heure? Une journée? Il ne serait dire, il avait depuis longtemps perdu la notion du temps.
Ses poignets, ses chevilles ainsi que sa taille étaient retenus solidement par des lanières en cuirs qui lacéraient sa peau.
L'être retenu prisonnier tremblait de peur puisqu'il savait ce qui l'attendait, il savait ce qui arrivait aux gens comme lui qui commettaient de tel crime.
Dans son groupe la trahison était punie par la torture et de la torture arrivait la mort qui punissait à son tour l'âme qui avait jadis habité le corps du traitre.
Des bruits de pas se fit entendre, après une minute d'attente interminable, la lourde porte en fer s'ouvrit, laissant apparaître un grand homme au sourire sadique. Celui-ci regarda d'un mauvais oeil le traître trembler sur la table de métal froid.
Tout à coup, l'homme ou plutôt la victime, fut privé de toute visibilité, son bourreau venait de lui bander les yeux.
Celui-ci se munit d'un ciseau bien aiguisé, pris bien temps d'admirer le reflet métallique puis découpa le t-shirt de la victime qui le gênait dans sa tâche. Il se munit ensuite d'un couteau également bien aiguisé puis découpa le bras gauche de l'être qui se tordait déjà de douleur, laissant apparaître ses muscles qu'il découpa soigneusement. Il fit de même avec l'autre bras pour éviter toute résistance de la part du traitre. Il fit glisser sa lame jusqu'au ventre de sa victime puis l'enfonça d'un coup sec dans celui-ci, arrachant un puissant cris de douleur au traitre. Il tordit son arme toujours plantée dans le ventre du traitre, laissant une grande quantité de sang se répandre. Il fit faire six tours complet à la lame avant de la glisser de haut en bas, découpant peau et muscles créant une ligne parfaite dans le ventre de sa chère victime et laissant apparaître ses organes. Le bourreau pris une pause pour admirer son œuvre ensanglantée avant de reprendre son art. Il se munit à nouveau de son cher couteau et découpa les membranes qui gardaient en place l'intestin grêle avant de le retirer complètement et de le poser sur une table non loin de la tête de l'homme toujours privé de la vu ce qui, entre nous, était plutôt un acte bienfaiteur.
Le tortionnaire était bien conscient de cela.
Il ne fit pourtant pas abstraction de cela et continua la douce torture sur son invité. Il se munit donc d'une pince et s'attaqua aux pieds nus de l'homme. Il arracha les ongles un par un, en tirant d'un coup sec l'ongle à l'aide de l'outil, provoquant à nouveau des cris de douleur à son invité qui ne s'attendait pas à cette manœuvre.
La vraie torture lorsque la vue nous est privée est de ne pas savoir qu'est-ce qui va suivre.
L'homme se muni ensuite d'un marteau et de clous longs de six centimètres. Il pris l'un des clous et le positionna sur le tibia de l'homme au ventre ouvert puis enfonça le clou d'un coup. Il plaça ensuite deux autres clous de chaque côté du précédent, suite au troisième, un craquement morbide se mélangea aux cris désespéré de la victime, l'os n'était pas si résistant finalement. La deuxième jambe subit le même sort que l'autre puis le tortionnaire se releva. Il admira encore une fois sa victime avant de prendre une pince. Grâce à l'outil il pris la langue du futur cadavre et l'étira le plus qu'il pouvait puis, à l'aide d'une hachette, il trancha le muscle. La bouche de la victime se rempli vite de sang suite à cela. Le sadique pris donc un tuyau en plastique et l'enfonça dans la gorge du malheureux pour qu'il puisse profiter encore un peu du spectacle, bien que les grandes pertes de sang qu'il subissait ne pouvait le tenir en vie bien longtemps. Pour le dernier geste du tueur, celui-ci pris un morceau de métal épais dont le bout avait été travaillé pour devenir pointu et perfora à maintes reprises les poumons de la victime, celle-ci manqua d'air et commença doucement et douloureusement à sombrer. Le tueur enleva rapidement le bandeau qui cachait les yeux de sa victime pour que celle-ci puisse voir son tortionnaire au moins une fois avant sa mort. Faute de pouvoir parler, ses lèvres remuèrent les derniers mots qu'il aurait prononcés avant que ses yeux ne deviennent livides et sans vie.
L'homme souri cruellement en traduisant les mots que le cadavre avait mimés avant de mourir, ses mots tellement innocents et inutiles maintenant.
~ Je suis désoler petit frère...
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Voici un petit texte de torture pour m'excuser de mon absence sur Wattpad!
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