Perso je trouve cette pasta plutôt bof mais je trouve que mettre toutes les proxies en même temps est une bonne idée x)
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Laissez-moi vous raconter comment la vie d'un fou fut détruite.

Il vivait de l'autre côté de ma rue, près d'une route délabrée. Les enfants l'appelaient « Hoodie », à cause de sa capuche et de son masque. Il luisait d'un rouge brillant qui vous hante. Je vivais à côté, dans une maison à 2 étages.

Habituellement il rôde et stalke les passants dans la rue. Il dissimulait un couteau ainsi qu'un revolver, tout le monde connaissait sa méthode d'assassinat depuis ce fameux accident. Sa mère, son père, et sa famille étaient dans le camping-car qui rentrait chez eux quand un homme en scooter arriva sur le côté gauche et perça le réservoir à essence, avant que le camping-car explosa dans les flammes. Personne ne s'en sorti en vie. La famille n'a jamais été retrouvée dans les décombres de la caravane. Tout ce qui restait était un vulgaire bout de tôle. Depuis ce jour, John « Hoodie » Kigali resta à l'écart de tous.

La seule façon de savoir s'il vous suit est d'entendre un rire démoniaque, ou un cri. C'est quand je rentrais du travail à pied que j'ai entendu ledit cri, il était environ 2h55 quand je l'entendis. J'ai regardé derrière moi et il était là, scrutant mon âme. Il dégaina son revolver et me tira dans l'épaule. Malgré la douleur j'ai essayé de le choper, mais il était déjà parti quand j'ai levé les yeux. Il y avait deux douilles par terre, mais je suis certain qu'il n'a tiré qu'une seule fois. J'avais un peu de temps avant qu'il ne revienne, mais je perdais beaucoup de sang. Je commençais à courir quand j'entendis une sirène, l'ambulance arrivait alors que je m'évanouissais.

Je me suis réveillé avec un bandage au bras.

« Pourquoi lui avez-vous tiré dessus ? » je me suis relevé, c'était la police.

« Quoi ? »

« Madame Hamberknack dormait quand vous lui avez tiré dans le cou »

« Je ne vois pas de quoi vous voulez parler. », j'étais confus.

Je leur ai expliqué ce qui m'était arrivé.

« John est mort il y a 3 ans dans l'accident de voiture ».

Je ne comprenais rien à ce qui m'arrivait, quand les lumières se sont éteintes soudainement.

« C'est quoi ce bordel ? »
J'entendis les rires, suivi d'un cri accompagné de gargouillement. J'ai cru recevoir de l'eau sur le visage avant de comprendre. Je me suis mis à courir de toutes mes forces.

J'ai glissé sur le sang de l'officier et ai percuté le mur.
« Tu es fait », je me levai et courus à toute allure alors que je voyais les cadavres aux clair de lune.
Je couvris ma bouche, je vus une fenêtre et une silhouette noire à 10 mètres .
« Je suis foutu », pensais-je. Je n'avais plus le choix.

J'ai sauté. La vitre se brisa en mille morceaux. Je ne sais pas je pouvais encore tenir debout, mais avec cette épaule en sang et ces bouts de verres plantés dans mon bras, je savais que j'étais fichu.
J'étais au sol, je me levai tant bien que mal, ma jambe gauche était détruite.
Puis j'ai entendu cette voix.

« Merci d'avoir libéré le chemin . »

Il y avait un maison inhabitée pas loin, c'était ma seule chance de lui échapper.

Il sorti son couteau encore ensanglanté et me couru après. J'entrai dans la maison et tentai de barricader la porte, mais en vain. J'entendis un coup de feu, il m'avait touché la cuisse gauche.
La seule chose dont je me souvienne, c'est que j'étais étendu par terre pendant qu'il enfonça la porte, j'agonisais. Ma vie défilait devant mes yeux, il appuya sur la détente, puis j'entendis un cliquetis.

Vide, il était à sec. J'étais rassuré mais effrayé. J'ai profité de ce moment pour lui frappé le genou et il s'écroula. J'ai saisi son couteau quand il me trancha l'avant-bras. Je souffrais encore plus. Je le frappai au visage et lui poignardai le poignet. J'avais appris chez les scouts que c'était un important point d'acupression. Il s'arrêta de bouger, il était finalement mort. Je m'approchai de son corps, je saisi son masque, puis l'enleva.

C'était mon père.