Tu étais ma réussite, mon échec - Partie 5
Depuis que j'écris, j'ai pris l'habitude de coucher sur mon téléphone (le faites pas, c'est pas confortable) les idées qui me viennent. Bah là c'est pareil, mais en un peu plus nul quoi. Donc c'est juste des parties d'histoires, il y aura un bout de la fin mais pas beaucoup plus quoi.
GIGA SPOILER DE LA MORT QUI TUE :
Pour les anciens, je vous avais promis un de mes lemon et bah.............. (putain de merde.)
Alerte au Lemon de ouf guedin, t'es prévenu mais en même temps ça devrait pas trop te choquer.
Extrait 1 :
Je fuyais ce gros lourd de dragueur en courant à travers les rayons du magasin, quand je remarquais que Castiel avait disparut.
« Roh, c'est pas vrai ! Il est où, encore, ce crétin ?! » M'exclamais-je en rebroussant chemin.
J'arrivais au rayons des livres quand je vis Nina, devant deux garçons, qui semblaient vouloir lui faire du rentre-dedans.
« Allez, tu dois bien vouloir quelque chose à manger ou à boire ? C'est nous qui payons !
- Désolé mais j'attends quel....
- Mon dieu t'es trop mignonne quand tu rougis, j'ai envie de te croquer ! »
Mes poings se serrèrent en les entendant dire de tels choses à ma meilleure amie. Déjà que quand c'est Nathaniel qui lui dit ce genre de chose, j'ai du mal à digéré, eux, c'est même pas la peine d'y penser, ils ressortiront pas vivant d'ici !
Sans réfléchir, je me mis à courir vers Nina en criant son prénom pour finir par me jeter dans ses bras.
« June ?
- Tu m'as fais peur, mon amour ! Pourquoi es-tu partie ? M'exclamais-je d'une voix niaise. Et c'est qui eux ? Ai-je rajouté en considérant les deux garçons d'un regard noir.
- Tu joue à quoi, là ? Marmonna-t-elle.
- Joue le jeu ! Murmurais-je.
- Attends, c'est ta copine ?! S'exclama un des garçons.
- Quoi, t'es jaloux ?! Demandais-je en le fusillant du regard.
- Je vous crois pas. Elle était seule quand on l'a trouvé.
- Forcément, elle s'est sauvée. Oh, ma chérie, c'est pas possible, je peux pas te lâcher du regard cinq minutes sans que des mecs lourds viennent t'aborder !
- Je vous crois pas. Je veux une preuve.
- on a pas de preuves à vous fournir, on vous connais pas, on va pas s'embrasser non plus !
- Alors vous êtes pas ensemble !
- Oh ! June ! T'es là ! » S'exclama Victor.
Oh non, pas lui !
Sans réfléchir, j'ai collé mes lèvres à celles de Nina, sous les hoquets de surprise de cette dernière et des trois dragueurs. Je posais ma main sur la joue de ma meilleure amie et approfondis ce baiser. Une grosse part de moi me hurlait d'arrêter tout de suite, que j'étais en couple avec Castiel, mais une toute petite part de moi me hurlait « Putaiiiin !!! Continuuuue !!! J'en rêve depuis des années !!! » Tout en saignant du nez. (Donc là elle vient d'agresser sa pote.) J'allais plutôt écouter cette partie là, quand derrière nous, deux voix que nous ne connaissions que trop bien retentirent.
« June ?! S'exclama mon petit ami.
- Nina ?! S'exclama celui de Nina.
- Qu'est-ce que vous faites ?! » S'exclamèrent-ils en même temps.
Immédiatement, je m'éloignais de Nina et me tourna vers mon copain pour lui offrir un sourire innocent tandis que Nina, elle, paniquait de son côté.
« Castieeel ! Mon chéri ! T'es là !
- Nathaniel ! Je peux absolument tout t'expliquer !! »
Nos petits amis nous regardaient, les yeux exorbités tandis que les trois dragueur ne comprenaient plus rien.
« Attends attends attends, June ! S'exclama Victor. C'est quoi ça ?! T'es en couple avec la blonde ou avec le gars bizarre aux cheveux rouges ?!
- Avec le gars bizarre aux cheveux rouges. Affirmais-je d'un hochement de tête.
- Alors pourquoi tu l'as embrassé ?!
- Ouais ! Pourquoi ?! Renchérit Castiel.
- Vous êtes un trio de trois gros lourd qui nous faisaient du rentre-dedans, et il y avait pas moyen que nos « super-prince-charmant-méga-trop-canon-et-parfait-pour-exister-en-vrai » n'arrivent... Alors j'avais le choix, sois vous taper dessus, sois réaliser mon rêve. Vous devez me remercier, j'ai choisis la manière pacifique. C'est un cas rare. »
Castiel me fusilla du regard, et Nathaniel en fit de même, en prenant Nina dans ses bras.
« T'as forcé Nina à t'embrasser ! S'exclama le blond.
- C'était un cas d'extrême urgence qui ne serait pas arrivé si t'étais arrivé plus tôt. Affirmais-je.
- T'as embrasser quelqu'un d'autre que moi !! S'énerva Castiel.
- Ça va, je lui ai pas roulé de pelle ni fais l'amour, à ce que je sache ! Et ca ne serais pas arrivé si t'étais pas parti je ne sais où !
- Mais toi, tu vas t'en prendre une !!!
- Essaie tiens ! Tu veux un bisou ?
- Non je veux pas !!! T'as osé embrasser Nina !!!
- T'es gonflé de prendre ça à la légère !
- Pour une fois que je suis d'accord avec lui ! (Donc il n'y a vraiment PERSONNE pour se rendre compte de la gravité de la situation ?! Je suis choquée de ce que j'ai écrit.)
Extrait 2 :
(Là c'est la fin d'année, après la soirée de fin d'année, où ils ont passé le bac et tout et tout. Bref ils se cassent quoi.)
(Update : Nathaniel et Nina sont séparés à cause d'une connerie et Castiel et June aussi parce qu'ils font que ça de toute façons.)
Nous étions tous assis sur l'herbe, dans le parc, en cercle. Nous parlions de tout et de rien, sans penser au moment où nous devrons nous séparer.
-Je suppose que je me suis bien amusée avec vous... Soufflais-je en retenant un rire nerveux.
Je n'aimais pas l'idée de me séparer de mes amis, ils ont tant fait pour moi... Que deviendront nous, après ça ? Arrêterons-nous de sevoir ? Est-ce que lorsque l'un d'entre nous se mariera, il nous invitera ? Moi, si je me maris un jour, je les invites tous. (T'es ambitieuse copine.)
Il devait être deux heures du matin, lorsqu'Alexy reçut un appel.
-Allo ? Ah... Oui... On arrive. À tout de suite...
Alors les jumeaux et Kentin se levèrent et nous prit un à un dans leur bras avant de partir la tête baissée. Lysandre et Rosalya ne tardèrent pas à suivre. Avant de partir, la blanche me serra dans ses bras et me glissa quelques mots dans l'oreille.
-On se revoit vite, hein ?
J'acquiesçais d'un geste de tête et elle partit en sanglotant. C'était dur, c'était la première fois que Rosalya pleurait, et j'avais moi aussi envie de pleurer. C'était la fin de nos années de lycée. Nous n'étions plus que trois, Castiel, Nina et moi. Cette dernière éclata en sanglot lorsque son téléphone afficha un appel de sa mère. Elle serra Castiel dans ses bras et m'étouffa presque. Je la serrais très fort contre moi, ne voulant pas la laisser partir triste.
-Eh.. On se revoit bientôt, hein ?
-Oui... Mais les autres ?
-Ils donneront des nouvelles. Ne t'en fais pas. Sourit, ma belle.
Je lui étira les joues en lui souriant tendrement.
-Aller, va. Ta mère va t'attendre.
Elle se dirigea alors vers la sortie du parc mais un garçon se mit sur son chemin. Une fille fonça sur moi en larme et me serra fort dans ses bras. Ambre. (Ah oué elles deviennent copines aussi.)
- June !! Tu vas me manquer !! On garde contacte, hein ?! S'écria-t-elle.
-Promis ! Riais-je. C'est ton frère ?
-Il devait parler à Nina... Dit-elle entre deux sanglots.
Alors nous regardions la scène. Nina acquiesça de la tête et Nathaniel se pencha sur elle.
-Une histoire qui finit bien, je suppose. Dis-je, attendrit et heureuse pour ma meilleure amie.
-Je dois y aller, on se voit plus tard ! Merci pour tout, June ! Castiel, encore pardon...
Alors elle rejoignit son frère qui nous salua d'un signe de main avant de saisir celle de Nina. Puis, ils quittèrent notre champ de vision. Castiel et moi étions seuls. Je baissais la tête et me leva, essayant de contenir mon chagrin. Jamais je n'aurai imaginer pleurer un jour parce que je quitte le lycée. Je m'approchais du pont quand la voix de Castiel retentit dans mon dos.
-Qu'est-ce que tu fais ?
-Je te fuis... Dis-je la voix tremblante.
-Tu sais que plus tu fuira, plus j'essaierais de te parler ?
Je me figeai sur place, me remémorant la première fois qu'il m'avait dit ces mots. (Spoiler : après une engueulade.)
Mes épaules se mirent à trembler et j'éclatai ensanglot. Castiel vint me serrer contre lui en me chuchotant quelques mots pour me calmer. Je laissais mes larmes couler sans retenue, et tant pis si mon maquillage coulait. Toutes ces fois où je les avais retenues, cette fois elles tombaient. Tout ces sentiments, cette envie de rester au lycée, de garder mes amis près de moi, et surtout de rester auprès de Castiel, je n'avais trouver d'autre moyen de les exprimer qu'en pleurant. Au bout de quelques minutes, je parvint à me calmer.
-Ça va aller ?
-Mmh... Merci...
-C'est normal.
-Non ce n'est pas normal... Que suis-je censé penser, moi ? Depuis que tu m'as quitté, je t'ai toujours vu comme une connaissance avec qui je m'entends bien ! Et là, je pleure devant toi et tu me console...
-Tu ne me voyais pas comme ton meilleur ami ?
-Non.
-Vraiment ?
-Oui...
-Sois sincère avec toi même, cinq minutes. Dis moi la vérité.
-Qu'est-ce qu'il y a à dire ?! Tu n'es pas mon ami, mais tu n'es pas non plus mon ennemi. Je ne t'aime pas, mais je ne te déteste pas... Je ne veux pas te garder pour moi, mais... Par pitié... Ne me laisse pas... Ai-je finis par avouer. J'ai besoin de toi. Terminais-je enbaissant la tête. (Je suis toute émouvue.)
J'eu le temps de le voir sourire avant de baisser la tête. Il me serra dans ses bras et me murmura quelques mots dans l'oreille.
-Je ne te laisserais pas. (Spoiler : il ment.)
J'esquissais un mince sourire, sans qu'il ne le voit. Sa main glissa dans la mienne et il s'écarta de moi.
-N'oublie que tu as perdu ton pari. Tu dors chez moi. Dit-il en me tirant par le bras. (Spoileur : j'ai aucune idée de quel pari ils parlent.)
-Je sais, je sais. Ai-je ris. Laisse moi juste aller chercher mon sac! dans les vestiaires de la salle.
Castiel m'accompagna chercher mes affaire et me passa un casque avant de chevaucher son scooter. Nous roulâmes jusque chez lui où Démon nous accueillis chaleureusement.
-.Tes parents sont pas là ?
-Nop. On a la maison pour nous tout seul. On aurait peut-être dû inviter les autres.
-Ouais, peut-être. Du coup, t'as prévu quoi ?
-T'es fatiguée ?
-Pas tant que ça.
-J'te fais l'amour alors ? Demanda-t-il avec un large sourire.
En l'entendant dire ça, je me suis sentie rougire jusqu'aux oreilles. Je lui donnai un coup de poing en criant.
-Vas te faire !!
-Je rigoole... On se regarde un film ?
-Quoi ?
-Je sais pas. Fais ton choix.
-Seigneur des anneaux ! (Ils sont motivés ce soir.)
-Ce que madame veut. A-t-il rit en voyant mon enthousiasme.
Il indiqua sa chambre d'un geste de main, m'invitant à y entrer. Il s'absenta dans la salle de bain pour se changer et je sortis mon pyjama. Je pâlis en voyant ce qui avait prit la place de mon pyjama. Un mot était tomber de mon sac. J'attrapai le bout de papier et le lus immédiatement.
"Un petit cadeau de fin d'année de la part de ma très généreuse personne ! Amuse toi bien chez Castiel ! R"
-Rosaaa ! T'es pas sérieuse ?! M'exclamais-je en regardant la nuisette violette à dentelle noir. (Ma pote me fait ça, je l'étouffe avec.)
-Un problème ? Demanda Castiel qui venait d'entrer dans la chambre en short de sport.
-O-oui ! Dis-je, surprise, en cachant la nuisette derrière mon dos. J'ai pas de pyjama.
-C'est quoi ce qui est derrière toi ?
-Certainement pas un pyjama.
-Ah ouais ? Fait voir.
-C'est juste une mauvaise blague.
Sans me laisser le temps de réagir, il m'attira contre lui et saisit la nuisette.
-Mais c'est très mignon tout ça !
-C'est pas à moi !
-Mais oui. C'est ce qu'on dit tous. Laisse moi deviner. "C'est Rosa qui à remplacé mon pyjama vaaache !" S'exclama-t-il en prenant une voix aiguë.
-Rends la moiii !
Je me jetai sur lui pour essayer de rattraper le pyjama mais il était bien trop grand pour moi. Résignée je m'assis sur mon lit et croisa les bras contre la poitrine.
-Passe moi un pyjama s'il te plaît.
-Tiens. Dit-il en me lançant la nuisette.
-Pas ce pyjama ! Un des tiens !
-Tout ça pour pouvoir sentir mon odeur.
-.N'importe quoi !!
-.Tiens, prends ça. Dit-il en me lançant un t-shirt.
-T'as pas un short ?
-À part celui que je porte, non. Mais je peux te le passer, hein... Le soucis, c'est que j'ai rien en dessous.
J'attrapai le t-shirt et m'enferma dans la salle de bain sans rien rajouter.Quand je fut revenue, le film était prêt à être lancer. Je me jetai sur le lit, à côté de Castiel qui me surprit en passant son bras autour de mes épaules avant de m'attirer contre lui.
Le film était lancé depuis une heure et demi quand je sentis sa main bouger sur mon épaule. (Spoiler : ils vont pas le voir en entier.) Je relevais doucement tête vers lui, espérant pouvoir l'observer sans qu'il ne me remarque mais lui même me regardait d'avance. En croisant mon regard, il sourit et lâcha un petit rire sans pour autant quitter mon regard des yeux.
Comme si nous savions ce qui allait se passer ensuite, nous approchâmes nos têtes l'une de l'autre tandis que je fermais les yeux. Nos lèvres se joignirent alors, comme deux aimants attirées l'un vers l'autre. Notre baiser s'approfondit et je sentis une chaleur dans le bas du ventre. D'une main il éteignit la télévision et de l'autre, il m'attira contre lui. Je posais mes mains contre ses joues pour approfondir encore plus notre baiser. Je me mis à califourchon sur lui et il passa ses mains par dessous mon t-shirt.
LEMON
Il finit par le retirer avant de venir déposer de doux baisers au creux de mon cou. Nous continuâmes à nous embrasser et il passa ses mains dans mon dos avant de les glisser sur mes fesses. Je n'étais plus maître de moi, mais j'adorais ça. Je n'avais pas envie de m'arrêter.
Avant de me décrocher mon soutiens-gorge, il éloigna sa tête de la mienne et me regarda dans les yeux.
-Tu es sûre ? Demanda-t-il d'une voix rauque trahissant son excitation.
Pourtoute réponse, je me contentai de l'embrasser à nouveau. (Toi t'as pas lu mon chapitre sur le consentement.) Alors il me retira mon soutiens-gorge. Il passa alors ses mains sur ma poitrine et les massa quelques minutes, sans cesser de m'embrasser. Il fit glisser ses mains vers mes fesses et retira ma culotte. Me voilà entièrement nue. Il m'allongea à côté de lui et passa sa main contre mon vagin. (C'est ta vulve grognasse.) C'était une sensation étrange, mais je n'avais pas envie qu'il s'arrête maintenant. Je voulais qu'il continue. Malheureusement, il s'arrêta m'allongea à côté de lui et sortit un préservatif de sa table de chevet. (Protégez vous les enfants.) Je lui retirai son short et son caleçon et il mit le préservatif. Une dernière fois avant l'acte, il me regarda dans les yeux.
- C'est ta première fois... T'es sûr de toi ? (Lui il a lu mon chapitre sur le consentement.)
-J'ai envie de toi. Dis-je sans quitter son regard des yeux.
Un mince sourire naquit sur ses lèvres tandis qu'il passait au dessus de moi en écartant un peu mes jambes. En vérité, je ne savais pas trop ce que je faisais. Je ne voulais que lui, je voulais vraiment qu'il me prenne. J'avais perdu tout sens de la réalité, j'étais dans un autre univers. Nous n'étions pas ensemble, mais nous le faisions quand même. Moi qui ai tellement tenue à ma virginité pendant dix-neuf ans, voilà que je la donne à mon meilleur ami et ex petit-ami. Mais j'avais envie de lui. Terriblement envie de lui. Il m'embrassa alors et entra en moi. Je serrai la mâchoire et serra les draps dans mon poing, si fort que les jointures en devinrent blanches. J'avais mal. Cette douleur me fit un peu redescendre sur terre, et je réalisais ce que nous étions en train de faire. Des larmes vinrent se glisser au coins de mes yeux pour mourir sur l'oreiller.
-Ça va ? Souffla-t-il. Tu veux qu'on continue ou tu as trop mal pour?
-C-continue... Dis-je, hésitante. (ET LES PRELIMINAIRES C'EST POUR LES CHIENS ?!)
C'était dur. Ça me faisait mal. Pourtant, il n'avait entré que le gland. Mais j'avais envie de partager quelque chose d'unique avec lui. Alors, il essaya d'y rentrer un peu plus, mais se stoppait à chaque fois qu'il voyait mon visage se crisper. On m'a toujours dit que ça faisait mal, mais je n'aurai jamais imaginé une tel douleur. Ça me brûlait, comme si quelque chose s'arrachait en moi. (Comment mettre à l'aise.) Il entra un peu plus, et petit à petit, la douleur s'apaisa. Il toucha le fond, et commença alors les va-et-vient après s'être assuré que je ne voulais pas arrêter. D'abord doucement, et à mesure qu'il voyait que je me détendais, il accélérait. Bientôt, la douleur se transforma en plaisir. (Mytho va.) Notre respiration s'accéléra, bientôt, nous ne pouvions même plus nous embrasser à cause de notre respiration saccadée. Soudain, je sentis mes muscles se contracter et mes membres trembler. Une chaleur m'envahit et je me cambrai. Un immense plaisir naquit en moi. Je jouissais. (Sans dec.) Castiel déposa un baiser sur ma bouche, sur ma joue, puis sur l'oreille, où il profita pour y glisser un petit "Je t'aime". Il continua de m'embrasser en posant ses lèvres sur la délimitation de ma mâchoire avant de s'attaquer à mon cou puis à mes seins. C'était si bon... Il continuait ses va et vient à un rythme plus ou moins régulier, et je vins une seconde fois. Cette fois, je ne jouissais pas seule. Castiel vint en même temps que moi. Il m'embrassa une dernière fois et m'offrit un grand sourire apaisé. Il se retira et me serra dans ses bras avant de déposer un baiser dans mes cheveux.
Fin lemon (putain.)
Il ne fit aucun commentaire, il se contentait de m'embrasser. Avais-je été une bonne partenaire ? L'avais-je satisfait ? (On s'en cogne, pense à toi poulette.)
Nous finîmes par nous endormir dans les bras l'un de l'autre, un mince sourire fendant mon visage.
Lorsque je me réveillai le lendemain matin, Castiel n'était pas là. Je me levai doucement, me rappelant ce qu'il s'était passé hier soir, et un mince sourire naquit sur mes lèvres que je pinçais. Puis, je remarquai que j'étais encore nue. Je replongeai dans les draps, au cas où il rentrerait à ce moment là et cherchai le pyjama qu'il m'avait passé la veille. Je le trouvai au fond de la pièce et soupirai.
-Au pire, il m'a déjà vu hier. Une fois de plus ou de moins, ça change rien.. Dis-je en me levant pour aller chercher le pyjama.
Je m'habillai et sorti de la chambre pour retrouver Castiel en train de cuisiner. Je m'approchai de lui pour voir ce qu'il faisait et il se tourna vers moi.
-Hey. Dit-il avec un mince sourire.
-Hey.
-T'as vus, j't'ai quand même fais l'amour, hier. Et pour quelqu'un qui voulait pas... T'as rapidement pris ton pieds...
Sa remarque me fit rougir jusqu'aux oreilles et je lui donnais un coup de poing, lui criant d'arrêter. Il lâcha un rire avant de venir déposer un baiser sur mes lèvres pour ensuite se retourner vers le fourneaux. Je passai mes bras autour de ses hanches et posai ma tête sur son dos.
-Tu cuisine quoi ?
-Rien de spécial. J'ai juste fais réchauffer un cordon bleu et fais des pâtes.
-D'accord. (#comblelevide)
Nous passâmes la journée tels deux flemmards, à regarder des films, emmitouflés dans un plaide, des tas de bonbons et biscuits sur latable, sans oublier le chocolat chaud. Pouvions nous rêver d'une meilleure journée ? À dix-huit heure trente, je reçus un appelle de ma mère.
-Allô ? June ? Tu es chez Castiel ?
-Ouais, j'y suis.
-D'accord, je viens te chercher.
-OK, papa t'as donné l'adresse ?
-Oui. Je suis là dans une demi-heure.
-À toute suite.
Je raccrochai et rangeai mon téléphone.
-Désolé. Ma mère. Elle arrive d'ici une demi-heure.
-D'accord. Vous vous êtes réconciliés ?
-On va dire ça.
-Tant mieux alors.
Je ne répondit pas, préférant me réfugier dans ses bras. La chaleur de son corps m'avait tant manquée.. Il déposa un baiser sur mes cheveux et se re concentra sur le film. Comme elle l'avait dit, ma mère vint sonner chez mon nouveau petit ami une demi-heure plus tard. Lorsqu'il alla ouvrir, elle entra tel une bombe de bonne humeur. Elle était habillée d'une jupe crayon crème et d'une chemise blanche ainsi qu'une veste de la même couleur que sa jupe, qui me laissa deviner qu'elle était à la recherche d'un travail.
-Bonne nouvelle !! J'ai retrouver du travail !! S'exclama-t-elle en se jetant dans les bras de Castiel avant de venir me serrer contre elle. Grâce à toi, Castiel !! Merci !!! (Déjà bonjour ?)
-C'est super ! Pourquoi grâce à Castiel ?
-Je lui ai donné l'adresse du restaurant de mon oncle. Il cherchait une serveuse. Je suis content pour vous, madame.
-Je t'ai déjà dis de m'appeler Caroline !
-Pardon. Vous voulez boire quelque chose ?
-Volontiers ! Je n'ai rien bu ni manger depuis ce matin de peur d'avoir une mauvaise haleine !
Je soupirais d'exaspération tandis que Castiel pouffa. Il l'invita à s'asseoir dans le salon et lui proposa un verre de soda et des biscuits.
-Alors ? Ce bal, il s'est bien passé ?
-C'était super. Dis-je, un large sourire collé aux lèvres.
-Et... Cette nuit ? Demanda ma mère avec une voix pleine de sous-entendus.
-On a regardé le seigneur des anneaux avant de nous endormir.
-Menteuse~ ! S'exclama-t-elle d'une voix enjouée. J'espère qu'il ne t'as pas forcé lorsque vous l'avez fait !
Castiel était en train de boire au moment où elle dit ça. Je cru qu'il allait mourir étouffé tandis que je ne parvint à retenir un rire nerveux.
-Qôwâââ ?? Maman, qu'est-ce qu'il te prends de dire ce genre de bêtises ?
-Oh ma fille, je te connais. J'ai bien vu qu'il y avait un truc qui a changé dans ton regard, par rapport à hier. C'était comment ? (Bah oui. C'est bien connu que la virginité se voit au regard.)
Deuxième mort par étouffement pour ma mère, et la victime est, encore une fois, Castiel. Elle est en forme, ma génitrice.
-J-je... Maman !!
-Quoii ?! Je veux savoir, moi !! T'as de la chance, moi, j'ai jamais pu parler de ma première fois avec ma mère. Il est bon au lit ? Demanda-t-elle en s'approchant de moi.
Et de trois. Il va vraiment finir par mourir, le pauvre. (Moi aussi.)
-Castiel, puisqu'elle ne semble pas vouloir répondre, toi, dis moi, c'était bien ?!
Cette fois c'est moi qui suis morte d'étouffement. Castiel me donna quelques petites tapes dans le dos avant de rire. Ma mère explosa derire tandis que j'arrivais à peine à retrouver mon souffle.
-Vous auriez vu vos têtes !! Je vous charrie. Ce sont des informations personnelles, je ne vais pas vous demander de me les confier. Bon, ma chérie, on y va ?
-Je veux mourir... Lâchais-je en la fusillant du regard.
-Et bien meurs mais dans la voiture, nous allons voir grand-mère. Dake est chez elle aussi, ça fait longtemps que tu ne l'as pas vu, hein ?
-Oui, depuis les dernières vacances. Castiel, on se voit demain ?
-Oui. Je viendrai te chercher, et je t'emmènerais dans un endroit que j'aime bien. Dit-il en nous raccompagnant à la porte. Caroline, à dans très longtemps, j'espère... Soupira-t-il tandis que ma mère explosa de rire. June, à demain. Dit-il en déposant un baiser sur mon front.
(Après ce dialogue, je suis convaincue de mon talent pour gêner les gens.)
Dans la voiture, ma mère ne posa plus de question gênantes. Elle se contentait de regardait la route en silence. Du moins, au début.
-J'ignorais que vous étiez ensemble. Dit-elle en brisant ce silence.
-Ben... Ai-je lâchée, ne sachant pas quoi répondre.
-Ne te prends pas la tête a chercher une réponse. Dit-elle comme si elle avait lu dans mes pensées. Je sais que vous n'étiez pas ensemble.
-C'est... C'est pas bien, pour sa première fois... Hein ?Demandais-je, hésitante.
-Tant que tu ne regrettes pas, c'est tout ce qui compte. Et puis, tu l'aimes, ce garçon, pas vrai ? Si c'est ce que tu voulais, et qu'il ne t'a pas forcé, alors les règles du "il faut attendre plusieurs mois avant de le faire avec son copain", elles ne comptent plus.
-Tu le pense vraiment ?
-Bien sûre. Pour tout te dire, avec ton père, on l'a fait le week-end précédent l'officialisation de notre couple.
Je. Veux. Mourir.
Vraiment ?! Finir sur ÇA ?!
je vais fermer mon livre, et écrire une lettre à tou.tes les auteurices d'histoire clichée pour m'excuser de ma prétention.
Putain la honte.
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