Give me love please ! - Partie 1

Alors, cette fiction est spéciale pour une raison toute particulière :
C'est une histoire basée sur moi et deux de mes meilleures amies.
Les trois personnages principales sont donc une retranscription foirée d'elles et moi, et évidemment, pour une question d'anonymat j'ai changé les prénoms.

Ah, et je met une alerte fille GIGA chiante. Et cette alerte concerne chaque personnage de cette foutue histoire, visiblement.
Bref, bonne lecture, j'aurais des commentaires à faire.

« Tu me prêtes tes manga, dis, dis, dis ? Me supplia mon amie aux cheveux rouges.
- Sarah, tu les as déjà lue douze fois... Ai-je soupirer en rangeant mon sac dans mon armoire.
- Mais j'arrive pas à retenir TOUTES les répliques de Licht !!! »

Je ressortais la tête de l'armoire, regardant Sarah d'un air désespéré.

« S'il te plaît, ô grande Emma (Emma = Grand manitou of course), déesse de toutes créatures terrestre... » Supplia la jeune fille en s'agenouillant devant moi.

La troisième habitante de la chambre entra à ce moment là, et se stoppa net en voyant Sarah à genoux devant moi.

« Emilie ! T'étais passée où ? Lançais-je à la nouvelle arrivante.
- Euh... Tu fous quoi exactement ? Demanda cette dernière en fixant Sarah.
- Je supplie Emma pour qu'elle me prête ses manga.
- Et ça marche ?
- Ouais. » Pouffais-je en ouvrant mon armoire pour en ressortir un tas de manga que la jeune fille attrapa immédiatement.

Sarah se jeta sur son lit et entama le premier tome, tandis que Emilie éclatait de rire en allumant son ordi. Quant à moi, je vaquais à ma lecture, Percy Jackson et la mer des monstres.

J'étais en internat, et depuis deux ans, je devais supporter les deux mêmes cinglées qui me servaient de « colocataires ». Sarah, bientôt dix-huit ans, était une fille très sociale, elle n'avait pas de mal à s'entendre avec les autres personnes. Elle adorait déconner et faire des blagues, et était toujours de bonne humeur. Emilie, bientôt dix-sept ans, était beaucoup plus discrète et réservée que Sarah. Enfin, ça, c'est ce qu'on peut penser en la voyant pour la première fois. Quand on apprends à la connaître, on se rends compte que, à l'instar de Sarah, elle est toujours prête à rire, sur tout et n'importe quoi.

J'étais concentrée dans ma lecture, quand mon téléphone vibra contre ma poitrine.

« Qui a laissé son vibro allumé ?! Lança immédiatement Sarah.
- Rooh, Emma ! T'exagère quand même ! On est là, merde ! (*rire gras et malin*)
- Vos gueules les mouettes ! Lançais-je en répondant à l'appel émit par mon meilleur ami. Tu veux quoi ? Lui lançais-je alors. Quoi ? Oh, Kentin, tu fais chier ! Je suis dans mon lit, là !! Comment ça t'en a rien à foutre ?! Mais je m'en fous de ta « grande décision », je vais te l'enfoncer dans le...Quoi ?! Pour qui ?! Nah nah nah ! Tu fais pas ça pour cette conne ! Attends moi, je descends ! »

Je me jetais hors de mon lit et enfilais mes chaussure savant de quitter la chambre sans demander mon reste. Je me précipitais jusqu'à l'endroit où Kentin m'attendait et lui donna un coup de poing sur le pec. (Parce qu'il faut préciser que le meilleur pote est musclé et super bg hein.)

« En quel honneur ? Demanda-t-il en fronçant les sourcils.
- En l'honneur du crétin qui veux faire un poème pour l'autre conne de Camille !
- C'est bon, je fais ce que je veux, si je l'a-...
- Ah non ! Me ressort pas l'excuse du « mais je l'aiiime » ! Tu lui fais pas cette compo, parce qu'elle en a rien à foutre de toi. T'façon, tu l'aime pas. »

J'ai la fâcheuse manie de contrôler absolument TOUTE la vie sentimentale de mon meilleur ami. (Heureusement que je suis pas comme ça dans la vraie vie...) Il était tout simplement hors de question qu'il sorte avec une de ces nanas qui se mettent quarante couches de fond de teint pour cacher un grain de beauté. (Wouah. On est loin de la féministe que je suis aujourd'hui, ça c'est sûr.) Certain disaient que j'étais une dictatrice, mais ça allait dans les deux sens. Kentin aussi prenait un malin plaisir à surveiller chacune de mes fréquentations. C'est principalement à cause de lui, que la moitié des garçons de l'école me fuient... (Yeay on part sur une relation toxique dans les deux sens.)

« Bon, maintenant que je suis descendue, on va au magasin. J'ai la dalle.
- T'as des sous maintenant ? Hier t'en avais pas.
- Moi non, mais toi, si. » Dis-je en le devançant avec un large sourire. (...Bon ça j'avoue c'est assez réaliste. Dommage que mes vrais amis soient pas aussi généreux que Kentin.)

Et y a encore pleeeeeeiiiiins de chapitres et moi je prend plaisir à redécouvrir tout ça, go prévenir les copines que le chapitre est sorti.

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