UNE SEULE NUIT DANS TES BRAS

Cette histoire n'est pas de moi elle appartient a
O-Hermy-Love-Dray-O

Il neigeait sur le château de Poudlard. Le décor était enrobé d'un blanc superbe, où quelques arbres verts perçaient. Tout était silencieux. Mais dans le château, c'était une tout autre histoire. Malgré certains élèves qui étaient partit en vacances pour noël, ceux qui étaient restés animaient le château d'une joie certaine. La plus part se regroupaient en petit groupe pour réfléchir à leur prochaine sortie à Prés au Lard, d'autre s'étaient rassemblé dans la grande salle du château pour entonner une chanson de noël.
Le château vivait.
C'était une année particulière à Poudlard, l'année où se déroulait le prestigieux Tournois des Trois Sorciers. Et cette année particulièrement, mon ami, Harry, avait été choisit pour y participer, ce qui engendra beaucoup de jalousie de la part de certains, et beaucoup de peur de la part des professeurs. La première épreuve s'est déjà déroulée, et Harry a déjà combattu son dragon et trouvé son oeuf d'or. En attendant de trouver le secret qu'il renferme, nous nous préparons pour le bal de noël, où nous allons devoir danser avec les élèves des deux autres écoles.
Malgré le bal qui se rapproche, Ron ne s'est toujours pas décidé à me demander d'y aller avec lui. Alors quand Victor m'a invité, je lui ai simplement dit oui. Et c'est ainsi que je me retrouve à me préparer, dans cette robe rose que j'ai prise pour l'occasion, et je me sens ridicule. Mais je reprends vite mes esprits, ce soir je dois être parfaite. Victor est l'un des participants du Tournois, alors on devra faire notre entré en premier. J'ai tellement le traque. Je respire un grand cou, et passe la porte du dortoir.

J'entends du bruit en bas, il dois y avoir énormément de monde. Timidement, j'ose regarder. Je m'élance. Tout semble s'arrêter à cet instant, sauf mon coeur qui bat rapidement, sans que je puisse l'en empêcher. Victor est là, le sourire aux lèvres, Harry aussi, et bien d'autre monde qui me regardent.
Les portes de la grande salle s'ouvrent, et c'est sous un tonnerre d'applaudissement que nous rentrons. J'ai pu apercevoir le regard jaloux de Ron, se qui m'arracha un sourire. La danse commença, et quelques instants après, d'autre couple se joignaient à nous. La première danse passa, et la soirée pu enfin commencer.
Tout le monde s'amusait, et moi aussi pour une fois. J'aperçus aussi Ginny et Neville plus loin, s'amuser comme des fous. Et plus loin encore, Drago, que je n'avait pas l'habitude de voir sourire. Tout était parfait.
Lorsqu'on s'arrêta de danser, Victor alla chercher à boire, et je rejoignit Ron et Harry, visiblement pas décider à bouger de leurs chaises respectives. Ma tentative pour leur parler est un échec total. Ron est énervé, très énervé contre Victor. A mon tour en colère, je m'emporte contre lui, et sort en courant de la grande salle, les yeux rouges de colère et de tristesse. Mon premier réflexe fut de m'abandonner sur les marches, devant la salle, là où déjà certaines filles en pleurs avaient prit refuge. Mais je voulais être seule, juste seule. Aussi, je pris mes chaussure à la main, et m'éclipsa.

Je marchais maintenant dans les couloirs silencieux et vides. Où allais-je ? Je n'en avais aucune idée, mais j'étais déterminée à m'éloigner. Je me retrouvais maintenant dans la tour de Serdaigle, là où personne n'allait à cause du fantôme qui hantait ces lieux. Je m'assoie sur un banc, le regard dans le vide se perdant dans le ciel où la lune éclairait toute la tour. Tout était silencieux, loin du bal de noël. Le parfait endroit pour rester seule, et écouter le silence sans que personne ne vienne vous déranger.
Des bruits de pas attirèrent mon attention. Je ne bouge pas, attendant. Les pas ralentir, comme si la personne aussi avait sentit ma présence. Je ne bouge toujours pas, espérant que cette personne s'en aille. Mais les pas devinrent de plus en plus distinct, et de plus en plus proche. Une personne apparut au bout du couloir, mais je ne le regardait pas, continuant de fixer la lune, et espérant que cet inconnu décide de partir. Je sentit son regard sur moi, alors je détournais les yeux. Je soupire à sa vue, lui que je n'avais absolument pas envie de voir. Mais pourtant il était là, à me regarder fixement, Drago Malefoy. Il avait l'air fatigué. Son costume noir le rendait plus grand qu'il ne l'était déjà. Et ses cheveux mi-long que j'avais aperçut lors du bal n'étaient plus coiffés. De ses yeux bleu acier qui luisait avec la lueur de la lune, il continuait de me fixer. Indifférente, je tourne la tête et lui lance :
- Tu n'as rien d'autre à faire ?
- Et toi ? Tu n'es pas avec le balafré et Weasmoche ?
Je le regarde alors, surprise que notre dispute ne soit pas arrivé jusqu'à lui, mais contente qu'il n'en était pas au courant.
- Je voulais être seule, et là tu me dérange !
Il s'avança doucement, et se plaça devant la fenêtre de la tour, où la lumière de la tour éclaira son visage.
- Tu ne devrais pas rester seule.
- Qu'est-ce que ça peu te faire ?
Il se tourna alors et m'observa. Il plongea sa main dans sa veste, et en tira un bout de tissu, qu'il me tendit.
- Sèche tes larmes.
Il ne rajouta rien de plus, et attendit que j'attrape le tissu. C'est ce que je fis, et sécha mes larmes.
J'avais honte. Honte qu'il me voit ainsi.
- Pourquoi tu ne dis rien ? Lui demandais-je.
- Tu veux que je te dise quoi ?
- Tu ne perds jamais une occasion de t'en prendre à moi.
- Je crois que tu en a assez enduré ce soir, non ?
Le sourire qu'il fit à cet instant me désarma, et une larme de plus roula sur ma joue.
- Je vais te laisser, fit-il.
- Tu peux rester si tu veux.
Ma voix s'enroula. Je le sentit me regarder, mais je n'osais pas lever les yeux vers lui. Ce n'est pas que je voulais qu'il reste, c'est juste que ça présence ne me dérangeait pas pour une fois. Finalement, j'étais contente de ne plus être seule. Au moins, il ignorait pourquoi j'étais dans cet état, et j'en été heureuse.
D'autres bruits attirèrent mon attention dans le couloir, et Malefoy les entendit aussi. Aussitôt, il s'avança vers moi, attrapa ma main, et courut dans le couloir, m'entraînant avec lui dans sa course.

Il courait vite, et j'avais du mal à le suivre avec ma robe. Sa main dans la mienne, il me mena tout en haut de la tour. Mais la seule porte qui s'y trouvait était fermée. Sans attendre, il sortit sa baguette de la poche intérieure de sa veste, et l'ouvrit grâce à un sortilège. Il pousse la porte et m'entraîne avec lui, avant de refermer à nouveau la porte derrière lui.
Les bruits de pas nous avaient suivit, aussi, aucun de nous de disait mot, attendant. Cette fois, on distinguait deux pas différents, l'un plus lourd, et l'autre sans doute une fille vu le bruit marquant des talons. Ils s'arrêtèrent devant la porte, et l'ouvrir. Mais rien ne se passa.
- C'est fermé ? Demanda la jeune fille inconnue derrière la porte.
- Attends, je connais un sort, fit le garçon près d'elle.
Je stoppe ma respiration, attendant, espérant que la porte ne s'ouvre pas. J'ose un regard vers Malefoy. Il me sourit, et porte un doigt à sa bouche pour me dire de ne pas faire de bruit. Le garçon derrière la porte lança son sortilège, et la poignée bougea. Il enclencha la poignée, mais rien ne se passa. La porte était toujours fermée. Un sourire aux lèvres, je me tourne vers Malefoy, qui rit lui aussi. Je n'avais jamais pensé qu'il pouvait être doué en sortilège.
- Il ont du la fermer pour la soirée, fit le garçon. On a qu'à trouver un autre endroit.
Les deux personnes s'éloignèrent, et le silence reprit sa place. Je me retourne pour voir dans quelle pièce nous avions atterris. C'était une petite bibliothèque, ou du moins, les murs étaient emplit d'étagèrent où de nombreux livres trônaient. La pièce n'était pas très grande, et étant ronde vers le fond, elle n'offrait pas la possibilité de beaucoup la meubler. Ainsi, les seuls mobilier qui s'y trouvaient été deux fauteuils gris foncés, et un grand canapé de même coloris. Rien de bien élaboré, mais idéal pour un peu de repos.
- Pourquoi la porte était fermée ? Demandais-je.
- C'est en quelque sorte le repaire des couples des Serdaigles, me répondit Malefoy.
Des couples ? Quelle ironie ! Dire que j'étais coincée là avec Malefoy. Celui-ci prit place dans le canapé, et me lança :
- Tu devrais t'assoire, je pense qu'on va passer un petit moment ici.
- J'ai pas envie de rester une seconde de plus avec toi !
- Mais si on sort maintenant, et que le couple nous voit sortir, il vont penser qu'on est ensemble.
Ces mots m'arrachèrent une grimace, qui ne lui échappa pas.
- Moi non plus j'en ai pas envie, mais c'est toi qui voit.
Je lance un regard vers la porte. Il avait raison, et ça m'énervais ! A mon tour je m'assoie dans un fauteuil, les jambes croisées. Aucun de nous n'a envie de parler, aussi, la pièce était d'un calme absolu.
- Au faite, risquais-je. Pourquoi tu n'es pas au bal ?
- Pourquoi toi tu n'y es pas ? Me répondit-il avec un sourire moqueur.
Après tout, on n'avait pas du tout envie d'en parler, ni l'un, ni l'autre. Mais on était coincé la pour un petit moment, et je commençais à m'ennuyer. Mon regard se perdit dans les étagères, où je repéra un livre intéressant : "L'histoire de la plume magique". Je connaissais beaucoup de chose sur la magie grâce aux livres, mais les contes de sorcier m'étaient encore inconnu. Je me lève pour l'attraper, mais mon pied se prend dans ma robe. Je ferme les yeux, attendant la chute. Mais il n'y eu aucun choc. J'ouvrit les yeux.

Malefoy m'avait rattrapé juste avant que je tombe, mais mon poids l'a fait basculer sur le canapé. J'étais maintenant sur lui.
- Pardon, dis-je.
- Essais de faire attention !
Je me redresse, et me place face à lui pour me relever. Il me regarde, intensément.
- Quoi ? demandais-je.
Mais il ne me répond pas, il continu de me fixer. D'un seul coup, il entoure ses bras autour de moi, et me fais basculer sur le canapé pour inverser nos places. Il est maintenant sur moi. Son regard est toujours fixé sur moi. Il avance doucement son visage du mien. Ce n'est qu'à quelque centimètres de mes lèvres qu'il s'arrête et me demande :
- Tu ne me repousse pas ?
C'est vrai. Je ne faisait rien pour l'en empêcher, mais pourquoi ? Est-ce que j'en avait envie ? Mais il se redressa, visiblement déçu par mon manque de réponse.
- Je suis désolé, fit-il en s'asseyant à côté de moi. Je suis un peu énervé, je n'aurais pas du faire ça.
Je garde le silence. Attendant. Écoutant.
- Je me suis disputé avec ma copine, continua-t-il. On vient de se quitter, et je voulais juste penser à autre chose, excuses-moi.
Alors c'était ça. Il voulait être seul pour oublier une dispute amoureuse, comme moi. Et si je ne l'ai pas empêché quelques minutes plus tôt, c'est peu être parce que moi aussi je voulais oublier. Je pose une main sur son épaule, et lui murmure à l'oreille :
- Moi aussi je veux oublier...
Son regard se tourne vers moi, il me questionne du regard. Je m'apprête à faire une chose irréparable, mais peu importe. Je voulais oublier, je voulais qu'il me fasse oublier. Je m'approche de son visage, et j'ose poser mes lèvres sur les siennes. Je recule ensuite, attendant sa réaction. Il me regarde toujours, mais un sourire a éclairé son doux visage. A son tour, il m'embrasse doucement. Ses lèvres sont douces et chaudes. Je ferme les yeux pour ne perdre aucunes sensations. Il attrape mon visage entre ses mains, et continue de m'embrasser. Doucement, il entrouvre la bouche pour y laisser passer sa langue. A mon tour, j'écarte mes lèvres pour le laisser entrer, et goûter à lui.
Mes mains se perdent dans ses cheveux soyeux, tandis que notre baiser devient de plus en plus intense. J'aime ça. Je ne peu pas le nier. A cet instant, je ne voulais que lui. Il arrêta notre baiser, et me regarda droit dans les yeux, ses mains tenant encore mon visage.
- Tu en es sûre ? Demanda-t-il avec une voix délicieuse.
- Oui, répondis-je sans la moindre hésitation.

/!\ LEMON - âmes sensibles s'abstenir /!\
Il m'embrassa de nouveau, plus intensément. Je m'accroche à lui pour prolonger notre baiser. J'ai chaud. Sa chaleur m'enveloppe entièrement. D'un geste délicat, il me fait basculer sur le canapé, et s'allonge de toute sa longueur sur moi. Il est si près, si près de moi. Lui qui était pourtant si loin, si insaisissable. Il met fin encore une fois à notre baiser, mais ses lèvres ne me quittent pas pour autant, et descendent le long de mon cou. Je lève la tête pour le laisser passer doucement ses lèvres dans mon cou, ce qui me fit frissonner.
Il se redresse, et tout en me regardant, il enlève la veste de son costume. Je tant alors mes mains vers lui, et délicatement, je défais un bouton, puis deux,... sa chemise glisse le long de son dos, et sa musculature s'offre à moi. Je glisse mes mains le long de son torse, et me mords la lèvre d'envie. Il me redresse pour me coller à lui, et d'une main habile, il ouvre ma fermeture éclaire dans mon dos. Je l'aide à faire glisser ma robe le longue de mes jambes. A cet instant, je regrette de ne pas avoir choisit plus soigneusement mes dessous. Il sont simples, roses pales. Mais visiblement, ça ne semble pas le déranger, puisqu'il me déshabille du regard. Je me sens rougir. Il me rallonge sur le canapé tendrement.

J'ai envie de lui. J'en veux tellement plus. Je sens déjà mon entrejambe mouiller, et ma poitrine gonfler de plaisir. Il trace du doigt une ligne sur mon ventre, qui part de mon nombril jusqu'à mon cou. Il laisse maintenant sa langue suivre le même chemin, et j'en gémis de plaisir, ce qui le fit sourire. Il reposa ses lèvres sur ma bouche, pour un baiser plus sensuel qu'au début. De sa main, il fait glisser la bretelle de mon soutient gorges, avant de le défaire entièrement d'un geste habile et de le laisser tomber sur le sol. Il continue ses caresses en contournant un de mes seins, me faisant languir de plaisir. Sa main caresse ensuite mon sein, évitant mon téton dur de plaisir. Il quitte de nouveau mes lèvres pour poser les siennes sur mon sein, jouant avec lui. Le léchant. Le suçant. Mon plaisir ne fait que monter.
Je soulève ma jambe pour changer de position, mais ma cuisse caresse son entrejambe. Il est déjà dur et gonflé. Ce simple contact lui arrache un soupire de contentement. Il s'arrête pour me regarder. Ses yeux me supplient de continuer. Alors je le prend par les épaules, et le fait rouler sur le côté. Je me trouve maintenant sur lui, ma poitrine nue face à lui. Je l'embrasse tendrement, et fait glisser timidement ma main le long de son torse déjà chaud. Lorsque ma main atteint son pantalon, son bassin remonte, comme s'il n'en pouvait plus de désir. Je défais le bouton, et fait rouler la fermeture. Délicatement, je sors son sexe de son boxer. Il est tout chaud et gonflé de plaisir et d'envie. Rien qu'à sa vu, je l'imagine déjà me parcourir tout entière, et je sens mon plaisir monter de plus en plus. D'une main habille, je le caresse tout en le regardant. Il n'arrive pas à garder les yeux ouvert, son plaisir l'assaillit. Je continue de faire des vas et viens avec ma main, augmentant la cadence par moment, et lui arrache des gémissement de plaisir. Ses bruits m'enivrent, et je sens mon bas ventre bouillonner d'envie. Je caresse maintenant ses testicules qui sont très gonflées. Son visage rougit de bonheur.
Je descend alors, mettant ma bouche au niveau de son sexe en érection. Je le sens redresser la tête, et d'une voix essoufflée il me dit :
- Tu n'es pas obligé de le faire...
- J'en ai envie...
Je dépose un baiser sur son bas ventre, puis une autre un peu plus bas. Je laisse ensuite ma langue parcourir tout le long de son sexe, et sens qu'il se retient de gémir. Mais je veux l'entendre. Sa voix brisée par le désir, je veux l'entendre. Elle m'excite. Je lèche son pénis, comme une glace succulente. Je remonte doucement jusqu'à son gland, que je met délicatement dans ma bouche. Je m'étonne moi même de faire ça. Moi, la jeune fille qui ne lisait que des livres, la jeune fille pure de Gryffondor. J'étais en train de donner du plaisir à un Serpentard. Et pas n'importe lequel, Malefoy, celui que je haïssait depuis tant d'année. Et je prenais plaisir à le faire.
Il glisse sa main sur ma joue, m'obligeant à arrêter et à le regarder dans les yeux. Je me redresse, et vint poser un baiser au coin de ses lèvres. Il me serre contre lui, et me murmure à l'oreille :

- Maintenant c'est à moi...
Il se redresse et me fais basculer presque violemment pour se mettre sur moi. Il glisse sa main vers mon bas ventre, et aventure un doigt vers mon vagin humide. Mon plaisir augmente, et mon partenaire le ressent. Il commence une série de vas et viens, tandis que je le sert contre moi. Mon bassin bouge en même temps que sa main. Délicatement, il introduit un deuxième doigt, et continue ses mouvements. Mon plaisir ne fait que grandir, toujours plus. Doucement, il ralentit la cadence, et me couvre de baisers dans le cou. Il descend doucement sa langue vers la partie la plus chaude de mon corps. Il m'écarte les jambes, et vint déposer une série de baiser sur mes cuisses, avant de s'approcher doucement de mes lèvres inférieures. Il me lèche délicatement, et le contacte de sa langue est un pur délice. Quelle sensation formidable ! Il joue avec mon clitoris, tout en faisant des vas et viens avec ses doigts. J'ose le regarder, et croise son regard d'un bleu acier pur. Je lui sourit. Il remonte alors et vint poser un tendre baiser sur mes lèvres. Nos langues jouent et s'entremêlent, si bien que notre baiser devint de plus en plus torride.
Il se redresse, et fini de retirer ses vêtements qu'il jette en désordre sur le sol. Il revient se blottir contre moi. Il glisse sa tête au creux de mon cou, et dans un murmure il me dit :
- J'ai envie de toi...
Ces simples mots me ravisse, et je le sert contre moi. Il se redresse, et me regarde tendrement. Toute la haine que contenaient ses yeux habituellement avait disparue, il ne restait plus qu'une tendresse infinie, et un désir ardent. Il redressa son bassin, et plaça son pénis en érection à l'entrée de mon vagin. Je me mords la lèvres doucement, et il s'arrête.
- C'est ta première fois ?
Je me sens rougir. C'était vrai. C'était ma première fois, et ça allait être avec lui. Sans attendre ma réponse, il me murmura :
- Je vais faire doucement, promis.
J'écarte alors mes jambes, pour le laisser se placer correctement. Son regard plongé dans le mien, il me regard tandis que sa main place son pénis. Il se colle contre moi, et je le sens rentrer en moi. Il me fait mal, mon vagin n'est pas assez large. Il voit mon visage se crisper, et s'arrête immédiatement, avant de me demander si j'allais bien. Je lui répond avec un sourire, et lui demande de continuer. Doucement, il entre un peu plus loin, et la douleur augmente. Je m'accroche à lui et enfuit ma tête dans son cou pour qu'il ne voit pas mon visage. Je lui demande d'aller jusqu'au bout, de ne pas s'arrêter, ce qu'il fit malgré lui. Il est dedans. Il ne bouge plus pour me laisser le temps de reprendre mon souffle. Il passe sa main dans mes cheveux, et me sourit. Tout en me regardant, il fait un premier mouvement. J'ai déjà moins mal, et le sentir contre moi me fait oublier les premières douleurs. Il continue alors doucement, regardant mon visage tendrement. La douleur passe assez rapidement, et laisse place à une sensation de plaisir.
Avec un peu plus d'assurance, je l'enlace et couvre son cou de baisers. Comprenant que la douleur était passé, il accéléra, et entra un peu plus profondément à chaque coup de rein. Je ne contrôle plus ma respiration, mon corps bouge au rythme du sien. Plus rien de compte à cette instant, plus rien n'existe autour de nous. Il n'y a que lui et moi, enlacés. Sa respiration s'accélère aussi, mais il ne s'arrête pas. Il continue ses vas et viens à l'intérieur de moi. Je sens mon plaisir augmenter, je sens qu'à chaque coup de rein, le plaisir est de plus en plus intense.

Mes soupirs se changent en gémissement. Aussi tôt, je me mords les lèvres pour ne pas faire de bruit.
- Ne te retiens pas, je veux entendre ta voix...
Il a dit ses mots avec un sourire chaleureux. Les joues rosées, je libère mes lèvres, et chaque coup de rein me fait gémir de plaisir. Je sens que mon plaisir croit fortement, ma respiration change de rythme.
- Continue... ne t'arrêtes pas...
Il accélère alors la cadence, et je sens mon bas ventre vibrer de plaisir. Je m'accroche à lui et le sert contre moi, tandis qu'il accélère. Je gémis de plaisir, c'est une sensation tellement agréable et incontrôlable. Sous l'augmentation du plaisir, je m'abandonne à lui, et dans un dernière coup de rein, nous jouissons ensemble, serré l'un contre l'autre.
/!\ fin du LEMON /!\

Le temps de reprendre notre souffle, nous restons là, sans bouger. Appréciant seulement cet unique moment qui ne s'était arrêté rien que pour nous. Ma main caresse tendrement son dos, tandis que la sienne joue avec mes cheveux. J'aimerais que cet instant dur éternellement, que plus jamais je ne me sépare de ses bras si tendre. J'aurais tout donner pour arrêter le temps à cet instant, tout. Mais cela m'était impossible, alors le sourire aux lèvres, je l'embrasse tendrement.
Il se glisse à mes côtés, et je me colle contre lui, cherchant la chaleur de son corps. Ses yeux bleus acier me regardent d'un air rieur, et je lui répond avec un sourire. Aucuns de nous ne dit mot, personne n'ose parler de peur de briser la magie de cet instant. Nous l'avions fait. Je me suis donné à lui. Lui, que je haïssais depuis tant d'année, lui, qui depuis si longtemps m'était étranger, lui, pour qui mon coeur battait en secret. Est-ce que je regrettais ? Bien sûr que non. Qui regretterait cet instant ? Ce fut un moment si doux, mais si intense à la fois. Un instant que je n'oublierai pas. Mais il fallait pourtant bien oublier... Comment faire maintenant ? Je devrais continuer à l'éviter, continuer à l'aimer en silence. Comment continuer à rester si loin de lui, alors que nous avons étés si proches. J'imagine déjà mon coeur se serrer à chaque fois que nos regards se croiserons.
Mais pourquoi penser à cela maintenant ? Alors que tout ce que j'ai à faire, c'est de le serrer contre moi, d'apprécier ce dernier moment, d'apprécier cette seule nuit dans ses bras...

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