Photoshoot :

Une journée commence et le Soleil est déjà bien élevé dans le ciel. Hermione se réveille doucement d'un sommeil bien lourd, la troupe de Scroutts à Pétard qui fait la fête dans son crâne lui rappelle qu'elle a trop bu la nuit dernière. Mais peu importe, les regrets sont pour les faibles. Elle doit bien se féliciter de la réussite de sa première année à l'Académie d'Aurors.

Elle sourit, regardant la belle journée qui commence. Le cadran lui donne l'heure et elle décide qu'il est bien temps de se lever pour en profiter. Les couvertures volent sur le côté et elle saute dans ses pantoufles en pattes de chat. Ouf! Elle va y aller plus doucement à l'avenir; étourdie, le mal de tête qu'elle a, lui donne la nausée.

Hermione se dirige vers la salle de bain de son appartement et dès qu'elle voit son salut, elle se précipite sur la pharmacie pour quelques aspirines. Tant pis pour la potion anti-gueule de bois ce matin, elle n'a surtout pas le temps de la préparer ni la force d'attendre qu'elle mijote dans son chaudron.

Une douche s'impose et c'est avec plaisir qu'elle laisse l'eau ruisseler sur sa peau laiteuse, sur ses courbes de femme et dans sa crinière broussailleuse qui malgré les années, n'a pas encore pris une meilleure forme. Mais elle n'en a cure! Ça la différencie de Jessy Marysue Johnson, la garce qui fait tourner la tête de plusieurs apprentis Aurors, Ron et Harry en tête – bien que ce dernier n'a que d'yeux que pour la sœur de l'autre quand elle se trouve près de lui, mais reste qu'un gars a le cerveau bien souvent en dessous de la ceinture.

Dès qu'elle termine, elle ferme les jets d'eau et se prépare lentement à la journée qui lui sourit. Elle se brosse les dents et les cheveux, puis retourne dans sa chambre pour s'habiller, mettant un jeans et un gilet qui lui donne ce confort moldu bien connu.

Le téléphone sonne.

Elle va dans la cuisine et répond, « Allo? »

« SALUT, HERMIONE! »

Elle retire vivement le combiné de son oreille dont les tympans ne tiennent plus qu'à un fil et dont quelques poils auditifs ne sont plus. « GINNY! Parle normalement! »

« Oups, désolée, » s'excuse la jeune femme à l'autre bout du téléphone. « Je ne suis pas encore très, très habituée. »

« Pas grave, alors tu m'appelles en quel honneur? »

« OH! OuiiiiiIIIiii! » s'excite la rouquine et Hermione l'imagine très bien faire une danse, s'emmêlant dans le fils de son téléphone. « Tu as vu la dernière édition du Playwitch?! »

Hermione sans pouvoir le prévenir, rougit légèrement et est tentée de répondre, « Ginny, je ne reçois pas cette revue! » Par contre, elle répond, « Je n'ai pas encore reçu ma copie. »

« Oh mon doux Merlin! J'arrive! Retire la protection de ta cheminée! »

Elle repose l'appareil et va chercher sa baguette magique dans la poche du blouson qu'elle portait la soirée d'avant et qui maintenant, gît au sol à l'entrée de sa demeure. Un contre sort plus tard et voilà que la belle Ginny apparaît et la saisit par le bras pour l'entraîner vers le divan le plus proche dans son salon.

Elle fait peur à Hermione. Le regard aussi brillant que la première fois qu'Harry lui a demandé de retenter l'expérience du couple qu'ils formaient à Poudlard. Le souffle plus court que cette fois où elle lui a dit qu'avec Harry, elle avait franchi Zhe third base.

Ginny lui met dans ses mains la revue mentionnée plus tôt. Un 'gasp' s'échappe de sa bouche alors qu'elle salive en excès sur le corps de la page couverture, mais pire encore lorsqu'elle voit que ce corps dénudé appartient à un certain blond arrogant et prétentieux qui lui pourrit la vie même après Poudlard.

Draco SexGod Malfoy.

« Bordel de merde, » souffle-t-elle en se remémorant qu'elle a besoin de respirer pour vivre.

Elle tourne frénétiquement jusqu'aux pages où pas une, pas deux, mais bien 10 photos de l'apprenti Auror sont exposées, avec une telle hâte qu'elle fait glousser Ginny. Il se trouve dans des positions artistiques merveilleuses qui sont le nid d'une grande lignée de fantasmes pour la centaine d'années à venir. Il sourit, fait des clins d'œil, rit à gorge déployée -oh Merlin, le salaud!-, pose, s'exhibe avec plaisir. La ligne de ce chemin de luxure qui se perd dans la -satanée- ceinture de ses pantalons de cuir moulant -bordel, qu'est-ce qu'il fout là, ce pantalon! Non mais!-, est la vision la plus troublante qui lui ait donné de voir.

Hermione sait que le problème dans ce phénomène bio-chimico-hormonal, c'est le fait qu'elle n'a jamais pensé que Draco puisse avoir ce corps, pas d'athlète mais très -oh God, oui, très délicieusement- respectable. C'est une découverte et ce regard gris avec des mèches qui volent autour de son visage comme sous l'effet d'une bourrasque de vent sur un des clichés, lui donne une aura de puissance désirable. Une puissance qu'elle veut contenir, contrôler, dompter ou paradoxalement, s'y soumettre, se mettre à genoux, supplier, gémir.

« Je suis tout à fait d'accord, » lui souffle Ginny à l'oreille. « J'étais tout aussi subjuguée quand je l'ai vu! »

Sans s'y attendre, son amie ferme le magasine et le met sur la table basse en face d'elles, la couverture en dessous. « OH. MON. DIEU. Est-ce que je viens de baver sur Draco l'enfoiré Malfoy? »

Ginny tapote son menton de son index, faisant mine de réfléchir, « Humm, oui, je crois qu'on peut le voir comme ça. »

Les deux jeunes femmes se regardent avant de se mettre à rire. À moitié essoufflée, Hermione trouve le moyen de dire, « Tu veux bien me dire ce qu'il fout à poser pour Playwitch? »

« Harry m'a dit que le magasine l'avait approché aussi, mais qu'il avait catégoriquement refusé. Et c'est bien dommage parce qu'il a un corps à da...! »

« STOP! Erk! Ne parle plus jamais d'Harry avec moi. Je trouve déjà assez difficile de devoir endurer vos aventures sexuelles. »

« T'exagères! T'adore que je te raconte, » lui réplique la rouquine avec un haussement de sourcils répétitifs et un regard pervers.

« Bon, okay, c'est vrai, » avoue finalement Hermione, les joues rosies. « Mais seulement parce que c'est toujours un plaisir d'agacer Harry avec ses aventures dans les placards à balais au Terrier ou sur un balai ou dans le Magicobus ou encore, et ça j'ai jamais compris pourquoi il avait accepté, sur le bureau de Rogue. »

Ginny rigole à en pleurer, puis s'arrête brusquement, « OH NON! C'est la bonne heure ça? » demande-t-elle en pointant l'horloge sur le mur.

« Ouais, pourquoi? Tu es en retard? »

« Je suis toujours en retard! Maman va me tuer, » continue Ginny en se dirigeant vers le foyer. « N'oublie pas qu'on rencontre la bête de sexe tout à l'heure! »

« Oh non! » gémit Hermione. « Il ne sera pas là? »

« Mione! C'est le coéquipier d'Harry, c'est sûr qu'il sera là. »

« Je regrette le temps de Poudlard. Je ne pourrais pas lui faire face sans avoir toutes ses images en tête, » termine-t-elle en tendant la revue à son amie.

« Moi non plus! Mais on s'en fout... SALON HARRY POTTER! »

---

Comme elle l'a prévu, un seul regard sur la personne qu'est Draco Malfoy, suffit pour enflammer ses joues. Pourquoi réagit-elle ainsi? Elle ne le sait pas et ça l'agace. Elle passe dans sa tête tous les contrepoisons qu'elle a put apprendre dans ses cours de Potions à l'Académie. Un air concentré s'installe sur son visage alors qu'elle prend le verre de boisson coloré qu'elle vient de commander. Elle se retourne et ce n'est que grâce aux réflexes du démon en personne qu'elle ne se le renverse pas dessus.

« Granger, Granger... Fais donc plus attention, » dit-il avec une voix séductrice. « Tu ne voudrais surtout pas qu'on voit à travers ce fin tissu blanc... » Il se rapproche, toujours tenant son poignet de sa main, sa bouche frôle son oreille, « Surtout qu'il laisse peu de place à l'imagination. »

Elle vire au cramoisie en moins de deux et pense que ses jambes ne vont pas tenir longtemps. Elle s'arrache à sa prise et part en direction des tables pour le dîner qui va commencer bientôt. Ginny lui fait un signe de main pour qu'elle se joigne à leur table. Hermione hésite sachant très bien que Draco va se retrouver là aussi.

« Hermione! » lui crie Harry et elle se décide à aller vers eux.

« Salut. »

« Ça va? » lui demande Harry voyant qu'elle a l'air troublée.

« Hmm, hmm. Juste... Qui est à cette place? » lui demande-t-elle.

« C'est Draco, » lui répond son meilleur ami.

« OK, » elle se déplace du côté à Ginny et se glisse sur la chaise libre.

La rouquine ne fait aucun commentaire et silencieusement, Hermione l'en remercie. Cependant, elle a un sourire qui agace Hermione, car elle sait très bien que Ginny les a vus. Cette interaction n'a pas la cote dans sa liste des Conversations les Plus Intéressantes de sa Vie. Elle vide son verre de cocktail bleu turquoise d'une traite et se maudit d'avoir été si gnagna. Mais où était son cerveau à ce moment là?

« Il venait de disjoncter, » lui dit une petite voix intérieure.

La salle de réception se remplit assez rapidement, le vin est servi aux tables et les discussions commencent ici et là. Pendant qu'elle discute avec Dean à sa droite, Hermione remarque du coin de l'œil que Draco vient s'asseoir. Les lumières diminuent en intensité peu après et l'hôte de la soirée monte sur l'estrade pour faire son discours de bienvenu à cette soirée de commémoration de la victoire du Survivant contre le Seigneur des Ténèbres.

Hermione porte un regard sur la salle, tous les grands noms s'y trouvent. Des ministres, des Aurors, les chefs de la résistance. Mais au travers, elle voit tous ceux qui ont combattus auprès d'elle. Elle fait un petit signe de la main à Johnny, un jeune américain avec qui elle a fraternisé sur le champ de bataille, puis se retourne alors qu'on lui sert son entrée.

Le dîner se déroule dans une humeur agréable bien qu'Hermione ressente une tension presque surréaliste. Elle mange son dessert en silence ce qui ne passe pas inaperçu. Elle se questionne à savoir si c'est dans sa tête ou si vraiment, cette tension qui persiste est réelle et justifiée.

« Hermione! » dit Ginny en lui prenant le bras au niveau du coude pour la secouer un peu.

« Quoi? »

« À qui on pense, Granger? Il doit en valoir la peine s'il te laisse dans la lune à ce point, » ricane la voix grave de Draco.

Elle vient pour lui répliquer, mais sa voix reste bloquée au fond de sa gorge et tout ce qu'elle fait, c'est de le fixer avec un regard perçant. Draco la regarde en retour avec un sourire en coin. Agacée au plus haut point, contre elle-même plus que contre le blond, Hermione se lève et même si Harry et Ron l'interpellent, elle ne se retourne pas et se dirige à la salle de bain.

Une minute plus tard, Ginny vient la voir pour lui parler. « Je n'ai même pas envie de t'écouter, alors laisse-moi tranquille. »

La rouquine est blessée, « Hermione, je venais juste voir si tu étais correcte et que tout allait bien... »

« Bien sûr que non! Je ne suis plus capable de m'engueuler avec cette tête de fouine! Et tout ça par ta faute! »

« Comment ça ma faute? Tu l'aurais vu d'une manière ou d'une autre! »

« Oui, mais j'aurais toute ma tête ce soir! »

Ginny laisse échapper un soupir et se retourne pour partir, mais Hermione la retient. « GINNY! Ne me laisse pas! Qu'est-ce que je vais faire?! Mon cerveau est foutu! Et à cause de ses fichues photos, je ne peux même plus avoir une bonne dispute avec la fouine comme au bon vieux temps! »

La rouquine lui fait un sourire qu'elle n'aime pas, mais là pas du tout, « Il serait peut-être temps d'oublier le bon vieux temps, Hermione. »

Et quitte la salle d'eau, laissant la brunette seule dans sa misère.

C'est d'un pas décidé qu'Hermione quitte la salle de réception du ministère de la magie en grognant. Elle se sermonne mentalement tout le long du chemin vers le lieu de transplanage d'avoir été aussi stupide. Ce ne sont que des photos après tout. Quoi de plus banal? Des photos... d'un mec... point à la ligne.

Un frisson la prit par surprise au souvenir des photos de Draco. « Ressaisis-toi! Bordel! » murmura-t-elle pour elle-même.

---

La sorcière de service pour la soirée lui fait signe d'attendre que l'homme qui la précède, transplane. Et elle s'avance à son tour pour retourner à son appartement. Au moment où la sensation habituelle de picotement avant de transplaner se fait sentir, deux bras encerclent sa taille et elle ne peut empêcher le passager opportuniste de venir avec elle.

Une pointe de panique la prend alors qu'elle sent de nouveau le plancher sous ses pieds. Elle ne sait point qui se tient derrière elle. Qui la maintient étroitement pour ne pas la laisser filer. Elle sent une douce caresse sur son avant-bras, un doux effleurement, et le souffle tiède de son oppresseur venir lui donner un frisson dans le cou, des mèches de ses cheveux chatouillant l'épiderme de sa joue. Tout ce passe dans un quart de seconde; Hermione dans un mouvement rapide d'autodéfense, agrippe le pouce de la main sur son ventre et tire aussi fort qu'elle peut vers elle.

« AAAAAAHHH! » hurle l'homme qui, sous son contrôle, se retrouve à terre et tente de se défaire de la prise. « Granger! Mais t'es folle?! »

Hermione lâche immédiatement le pouce meurtri et met ses mains devant sa bouche, « Oh mon dieu! »

Draco se relève, regardant s’il peut toujours bouger son pouce, mais grimace à chaque mouvement. Et Hermione ne peut se retenir de pouffer. Le blond ne la trouve pas drôle et se permet de le lui dire et de la réprimander pour ce qu'elle vient de faire. Que ce n'est pas une façon d'accueillir un invité.

« Un invité? Je te demande pardon? Je n'ai invité personne, » réplique-t-elle en allant au frigo. Elle prépare une poche de glace et retourne auprès de lui.

« Pauvre homme battu... » fait-elle sarcastiquement.

« Je ne suis pas un homme battu! »

« Aller, mets ça dessus. Ça va empêcher d'enfler, » dit-elle en lui balançant la poche qu'il attrape au vol de sa main valide.

« Granger, on est des sorciers, » fait-il en secouant la tête.

Hermione croise ses bras et le fusille du regard. « Alors vas-y, soigne-toi avec ta main gauche. Parce que ce n'est pas moi qui vais le faire. Pourquoi tu es là de toute façon? Ça aurait pu être dangereux ce que tu as fait. »

Draco prend place sur un banc devant le comptoir qui les sépare et met la glace sur son pouce, « Il n'y avait rien de dangereux, je savais où aller et toi aussi. »

« Et si à cause de ta stupidité, j'avais changé de direction? »

« Relaxe, Granger. Tout était sous contrôle. »

« Oh, tiens! Ne serait-ce pas le grand Draco Malfoy qui parle! »

« Je n'irai pas jusque là, mais on voit ce que tu penses de moi, » continua-t-il avec un sourire en coin et les yeux brillants. « Attends de voir ce qui est vraiment grand chez moi. »

Ça met Hermione mal à l'aise et elle cherche un moyen de se débarrasser de l'intrus qui insinue des choses, dont elle aimerait bien en tirer ses propres conclusions. Draco sait qu'il a touché un point sensible. Elle a agi étrangement à la soirée et pourtant, elle est habituée à se faire agacer de la sorte par lui ou Kelian, un gars de leur promotion. Sa réaction est tout à fait différente ce soir. Elle ne le remet pas à sa place, mais rougit sans cesse alors qu'il est accoutumé à la voir monter sur ses grands hippogriffes. Il sourit avec son sourire typiquement Malfoyen.

Hermione détourne le regard, « Il est tard et ce n'est pas pour rien que je suis partie... »

« Sans même dire un au revoir à tes copains, » la coupe Draco, un ton de reproche dans la voix, mais non convainquant.

Hermione le fixe, « Que fais-tu ici, Malfoy? »

« Mais je croyais que c'était évident! » dit-il, faussement offusqué.

Il se lève et jette sa glace sur le comptoir avant de le contourner et de se diriger vers Hermione qui malheureusement a pris la mauvaise direction et se retrouve à un cul-de-sac dans sa cuisine. Les bras tendus devant elle alors qu'il arrive à sa hauteur et qu'il pose ses mains sur le rebord derrière elle, elle le supplie.

« Ne fais pas ça, » murmure-t-elle alors que son corps se presse contre le sien; alors qu'elle sent son érection s'appuyer sur son bas ventre; alors qu'elle hume son odeur d'après-rasage mêlé à son eau de toilette à même son cou; alors qu'elle sait qu'elle ne peut lutter contre le désir grandissant en elle; alors que le monde n'a plus d'importance; alors que tout ce qu'elle veut, c'est qu'il la prenne ici, contre sa cuisinière.

« Je fais ce que je veux, Granger. »

« Hermione. »

« Hermione... »

« Hmmm... »

Elle est de la bouillie quand il prononce son prénom pour la première fois – de toute sa putain de vie. Ça lui fait étrange de l'entendre avec cette voix rauque et emplie de luxure. Hermione gémit quand il mordille la peau douce et sensible à la base de son cou. Ses mains se promènent sur la chemise noire qu'il porte, cherchant frénétiquement les boutons pour les défaire et le débarrasser de cet accessoire qui bloque le contact entre eux.

Draco en profite pour faire glisser ses mains contre son dos et les descends suivant la chute de ses reins jusqu'à prendre en main ses fesses, exerçant une douce pression qu'adore sa compagne de soirée. Il la désire tellement et ce depuis qu'il l'a remarquée dans cette robe moulante de couleur blanche qu'il remonte doucement pour toucher un peu plus de peau. Pour lui faire subir ce qu'elle est en train de lui faire.

La peau laiteuse et la chaleur qui émane de son corps, donne à Hermione une envie de se brûler contre lui, avec lui. Draco ne voit là qu'une occasion de faire cours pratique sur son sujet d'observation préféré des dernières semaines. Il passe un doigt sous le rebord de sa culotte et remonte sa bouche le long de sa mâchoire pour venir étouffer un gémissement alors qu'il va toucher de son pouce le bouton sensible.

Hermione coupe le contact alors que quelques va et vient commence à l'emporter. Elle a besoin d'air, sa respiration est laborieuse et Draco prend pitié de la jeune femme dans ses bras. Il retire son pouce et le porte à sa bouche pour la goûter. Hermione rouvre les yeux doucement et le regarde les yeux noirs de convoitise. Elle prend le col de sa chemise et l'attire à elle pour l'embrasser. Pris par surprise, Draco retire rapidement son pouce de sa bouche et met ses mains sur le rebord du comptoir pour ne pas écraser la brunette, leur bouche entrant en collision.

Prise d'un fou rire, Hermione relâche le col. Draco se recule en rigolant autant, mais se calme lorsque Hermione le fixe, un sourire silencieux sur le visage.

« Quoi? Mes cheveux sont mal placés? » demande-t-il sérieusement en se passant la main dedans.

Hermione le repousse doucement et sort de sa cuisine, Draco sur les talons, « Tu dois rentrer. »

« Quoi?! Non, attends, tu n'es pas sérieuse! On était là... On flirtait... Tu ne peux simplement pas me laisser filer comme ça! Qu'est-ce que tu disais déjà? 'Le grand Draco Malfoy' » dit-il en la suivant jusqu'à la porte d'entrée qu'elle ouvre en grand.

« Aller, fout le camp, » dit-elle en riant. « Et ce qui s'est passé reste entre nous, ok? »

Un éclair traverse le crâne de Draco, pire que celui d'Harry, « Tu crois ça? Tu sais, je pourrais même en rajouter... » Et il se met à siffler et commence à marcher vers la sortie.

Hermione le stoppe en levant son bras au niveau de son thorax, « Tu ne vas rien dire. »

« Crois-moi, Granger, je vais absolument et totalement TOUT dire. C'est une promesse, chérie. »

Il pousse le bras pour avoir champ libre. Mais à la dernière minute, il se retourne, « À moins de... N'avoir aucune envie de partager cette expérience pour ne rendre personne jaloux de ce que tu pourrais m'offrir... Tu sais, Hermione, tu pourrais aimer ça... »

Après quelques secondes de 'yeux dans les yeux', Hermione se retourne et va dans sa chambre, laissant la porte ouverte. De là, Draco l'entend dire, « Qu'est-ce que t'attends, Malfoy! Amène ton derrière ici! Je vais te montrer ce qu'une Gryffondor aime! »

« Oh fuck! J'ai jamais pensé que ça marcherait aussi facilement! » se dit-il en refermant la porte, puis courant à la chambre.

À peine n'a-t-il posé un pied dans la chambre qu'Hermione l'agrippe et le fait tourner pour le jeter sur le lit. Elle grimpe sur lui telle une lionne affamée sur sa proie de la journée. Draco lève sa main au niveau de sa poitrine, mais elle lui frappe les mains et le réprimande.

« On ne touche pas, Malfoy. On ressent, savoure, se délecte, mais pas de contact de ta part, » donne-t-elle ses règles, en sortant sa baguette magique. D'un sort bien simple de ligotage, Draco se retrouve attaché aux montants du lit par des cordes invisibles. Un vague mouvement de plus et il se retrouve nu, exposé complètement à sa tortionnaire.

« Granger, tu me détaches! »

Elle se colle sur lui et va lui murmurer à l'oreille, « Crois-moi, Malfoy, je vais absolument et totalement TOUT te faire. C'est une promesse, chéri. »

Elle se relève et d'un mouvement bien exaucé du bassin, elle lui soutire un son de gorge. Il se tend, se arque, il en veut plus. Elle recommence et passe sa main sur son torse dénudé presque imberbe; c'est un soupire qu'elle obtient cette fois, une plainte de demande. Elle adore sa réactivité à ses gestes, à ses attouchements. Il est très réceptif malgré son premier geste de recul à première vue de ce qu'elle lui propose.

Hermione descend du lit après qu'il soit bien dur et prêt pour le coït, « Mais qu'est-ce que tu fous, Granger? Reviens ici! »

« Tssss... Je ne suis pas là pour entendre des ordres de milord Malfoy. Je suis là pour le soumettre, le rendre aussi docile qu'un chien de cirque... » Tout en parlant, elle retire sa robe et reste en sous-vêtements. Elle sort d'un tiroir ce qui semble à Draco, un fouet, mais sa position le fait se casser le cou pour pouvoir voir qu'il a tort. Le seul problème, c'est que dès qu'Hermione s'approche de lui, elle le fait tourner de côté d'un coup de baguette.

« Granger... Que crois-tu fair... »

Shhhlack!

« AAH! GRANGER! BORDEL! »

Le son du fouet claque de nouveau sur la peau de son popotin. Draco hurle encore et maudit Hermione qui est écroulée au pied du lit. « Tu n'as toujours pas compris qu'il faut que tu te taises? » dit-elle entre deux rires.

« Putain, je te jure, Granger que dès que... »

Shhhhlack!

« AAAAAH! NON, MAIS...! »

Shhhalck!

« J... » commence Draco, mais se taie dès que la brunette lève le bras.

Surprise, Hermione hausse un sourcil, « Oh, alors on finit par comprendre... Je suppose que ça mérite une récompense. N'est-ce pas, toutou? »

Draco n'ose piper mot, mais la regarde de ses yeux gris lançant des Avada. Elle ne s'en formalise aucunement et appuie ses genoux sur le lit, passant une main sur les fesses rougies. La sensation contrastante entre la piqûre brûlante du fouet et celle de la main froide de l'hôtesse de la maison est exaltante et soulage Draco. Il se relaxe après quelques frôlements presque aériens, mais se tend aussitôt qu'il sent une langue parcourir son fessier et encore plus lorsqu'il la sent dans la craque de ses monts charnus. Il n'est pas habitué à ce genre de plaisir oral et est plutôt répugné par le tabou de la chose.

Hermione se relève et se permet d'enfoncer un doigt en Draco qui se tend au maximum, mais qui à l'étonnement de la Gryffondor, reste silencieux. « Détends-toi, » lui dit-elle doucement, en embrassant son dos.

Voyant qu'il ne prend pas en considération ses conseils, elle vient prendre sa virilité tendue en main et en une parfaite imitation de l'acte de copulation, la masse de haut en bas. Un difficile dilemme fait face à Draco. Il veut céder, ce n'est même pas une question à se poser, mais d'un autre côté, s'il cède, il va laisser champ libre à cette folle d'exécuter le plan machiavélique qu'elle a prévu pour son pauvre derrière vierge - jusqu'à maintenant.

Il gémit et est heureux de voir que ce son n'a pas assez de décibel pour déclancher de nouveaux coups de fouet bien placés. Draco se laisse peu à peu aller entre les mains d'Hermione. Elle relâche la verge pour accentuer et approfondir son touché anal, pour atteindre sa prostate, pour le faire venir en un instant.

« La vache, » se trouve-t-il la force de dire, sa peur du fouet envolé avec la semence qu'il a évacué sur le lit.

« Tu as aimé? Ron adore... »

Une grimace déforme le beau visage du blond, « Arrête, tu vas me faire vomir à me parler de la belette. Surtout alors que je suis nu. »

Hermione rit et d'un coup de baguette le libère. Il tombe sans aucune grâce sur le sperme éjaculé dans les draps. « Arrg! Là tu ne pouvais faire mieux! »

« Ce sont tes fluides, ce n'est pas répugnant, » dit-elle d'un ton amusé.

Il essuie son ventre de sa main et frotte l'épaule d'Hermione qui saute du lit en hurlant alors que le liquide refroidi et gluant entre en contact avec sa peau. Elle le traite de toutes les créatures laides, visqueuses, vilaines du monde sorcier, mais rien ne semble vraiment ôter le sourire narquois que Draco arbore sur le visage. Il se lève et avance à grand pas vers sa maîtresse qui saute encore sur la pointe des pieds, écoeurée par ce qu'il vient de faire. Il la prend dans ses bras et la ramène vers le lit dont il retire la couette d'un simple mouvement de main, utilisant ses bases de magies sans baguettes qu'il apprend durant sa formation.

Draco la dépose sur le lit et écrase son corps sur le sien, Hermione chiale toujours sur ce qu'il a fait. Pour la faire taire, il l'embrasse et elle y répond furieusement, avec appétit. Il descend une de ses mains le long de ses courbes en une caresse. Il le fait lentement, mémorisant la forme de son corps, érotisant la scène, voulant contraster avec la première partie où sa compagne dominait. Hermione commence à onduler sous lui, mais il ne fait rien pour augmenter la friction de sa petite culotte contre son sexe qui reprend vie.

Hermione ne comprend pas son attitude ou ses gestes. Elle a entendu dire qu'il est créatif au lit, qu'il aime les jeux pervers, qu'il le fait plus que de mesure, qu'il... n'est pas comme le Draco qui se trouve en ce moment dans son lit.

Le blond la ramène à la réalité de ce qui se joue dans la chambre en lui suçotant la base de son cou, là où sa jugulaire pulse. Une marque prend doucement place sur sa peau crémeuse et Hermione se retient de gémir, ralentissant le rythme de ses hanches contre celles de Draco. Elle n'a plus le contrôle de son corps, son amant la mettant doucement, mais sûrement à sa merci, à sa volonté. Il n'a pourtant presque rien fait, seulement il connaît ses points faibles – à croire qu'il a eu des tuyaux de quelqu'un qui la connaît par coeur. Ses pensées les plus cohérentes la quittent quand le bruit de succion cesse et qu'il descend sa bouche en direction de la vallée entre ses seins encore emprisonnés dans leur prison de dentelle.

Une de ses mains remonte pour venir abaisser la bretelle et ainsi, libérer un sein dressé par l'excitation, descendant et remontant au rythme irrégulier de sa respiration. Draco fait glisser ses dents sur le mamelon, prenant garde de ne lui faire aucun mal, et la regarde de ses yeux métalliques. Elle a ses yeux clos et passe sa langue sur ses lèvres rosées et entrouvertes. Un sourire fier se montre aux coins de sa bouche occupée, mais rapidement il retourne à la tâche avec ferveur, Draco veut la faire gémir – chose qu'elle s'abstient de faire avec adresse depuis que son tour de domination a commencé.

L'ancien Serpentard n'est pas dupe, il sait qu'elle a eu vent de ses aventures avec les nombreuses sorcières qu'il a eu dans son lit. Il veut lui montrer son autre côté, celui que ces mêmes sorcières ne veulent absolument pas partager, croyant être les seules à avoir ce genre de traitement par le vil héritier Malfoy. Habituellement, il attend avant de se montrer sous cet angle, mais il ne sait pas pourquoi ce soir une partie de lui veut qu'Hermione sache ce qu'il peut lui offrir, qu'elle sache ce qu'être Malfoy veut vraiment dire. Il n'y a pas en lui que ruse, animosité, orgueil, arrogance. Il est aussi ce qu'élégance, gentilhomme, noble, classe impliquent.

Sa bouche se retire et son souffle sur l'aréole rougi fait qu'Hermione rouvre les yeux pour le regarder faire. Un sourire déstabilisant de part sa contre-nature sur ce visage connu, laisse Hermione silencieuse. Il remonte pour venir mordiller la mâchoire de sa belle, « Je t'en prie ne garde pas ce silence étouffant. Un seul gémissement me satisfera. »

« Je... »

« Shhh... » la coupe Draco, un doigt sur sa bouche. « Un gémissement, j'ai dit. »

Sa main restée sur sa hanche se glisse entre leurs corps, puis sous sa culotte et Hermione se arque avec force, ses yeux se refermant de leur propre volonté. Un gémissement, j'ai dit. Et un gémissement, il réussit à avoir. Contre ses attentes, Hermione n'a pas honte de lui donner ce qu'il a demandé.

« Dracoooh... »

« Hermione... Dis-moi ce que tu veux de moi. »

« Je... hmmm... Je te veux en moi... »

Il retire sa main et se relève pour se mettre sur ses genoux afin de lui enlever son sous-vêtement, pendant qu'elle ôte son soutien-gorge. Draco prend le temps de la détailler complètement nue, de faire errer son regard brûlant sur ce corps qu'il trouve parfait. Alors qu'il revient sur elle, le bout de ses doigts donne des frissons à son amante. Le plaisir que cette touche aérienne provoque, est tellement visible sur le visage d'Hermione que Draco préfère attendre qu'elle repose ses yeux sur lui pour faire ce qu'elle lui a demandé.

Ses yeux chocolat embrumés par le désir lui demande de venir en elle, de lui faire l'amour, de venir s'enfuir, se perdre dans son antre moite. Il patiente un moment pour graver cette image d'elle, ses grands yeux d'ange. Draco replace une mèche de ses cheveux derrière son oreille et l'embrasse tendrement. Et c'est seulement quand elle lui répond avec la même tendresse qu'il la pénètre doucement, goûtant la sensation d'insertion dans sa chaleur, son étroitesse.

Hermione halète et rompt le contact pour prendre une grande bouffée d'air. Draco tente de reprendre possession de sa bouche, mais elle ne peut pas. Le rythme qu'il adopte, est étourdissant et elle se sent mourir à chaque poussée. Elle a l'impression que ses sens prennent leur envol et juste au moment où Draco n'en peut plus non plus, ses muscles se contractent violement autour de sa verge. Il se retient encore pour un ou deux va et vient avant d'exploser, s'écroulant de tout son poids sur Hermione qui s'agrippe à ses épaules.

---

Tap, tap, tap.

« Hmmm... » grogne une brunette qui rêvasse encore.

Tap, tap, tap.

Draco se réveille difficilement, il tourne sa tête vers les rayons de soleil qui passent à travers la grande baie vitrée du balcon de la chambre d'Hermione. Les yeux plissés, sa vue s'habitue doucement à la vive lumière et il remarque qu'un hibou postal tape sur les carreaux. Il fait de son mieux pour retirer son bras de sous la tête d'Hermione sans la réveiller et promet de tuer l'animal s'il se laisse attraper.

Il enroule négligemment autour de sa taille un drap qui traîne sur le sol et se dirige vers le balcon pour ouvrir la grande fenêtre. D'un rapide mouvement, il attrape l'oiseau qui pousse un hululement offusqué de se faire serrer à la gorge.

« Draco, laisse ce pauvre hibou! » ordonne Hermione qui se frotte les yeux.

« Il nous a réveillé! »

« Laisse. Ce. Hibou. »

À contre cœur, il lâche le volatile qui bat des ailes avec beaucoup de peine vers la brune, un regard glacial vers son tortionnaire. Hermione étire un bras pour détacher son colis et quand c'est fait, l'hibou ressort vers la fenêtre ouverte, faisant bien attention de prendre une touffe de cheveux blonds au passage. Draco jure et est sur le point de suivre l'oiseau de malheur quand Hermione hurle, « DRACO MALFOY!! »

Le dénommé se retourne. Il ne comprend pas ce qui met son amante dans un état de colère comme jamais il ne l'a vu. Une revue vole à travers la pièce et atterrit sur son visage. Il la prend et regarde la couverture avant que ses yeux ne s'ouvrent en grand. La Gryffondor se lève, retenant d'une main sa couverture et prend sa baguette sur sa table de chevet.

« Attends, Hermione... » dit-il en reculant parce que la sorcière devant lui brandit une baguette qui lance des flammèches incontrôlables. « Ce n'est pas ce que tu crois. »

« Ah non?! Alors comment peux-tu m'expliquer que ma meilleure amie s'est alliée contre moi! »

« J'ai simplement fait une remarque à Potter. Ce n'est pas ma faute si ta cinglée d'amie n'a fait qu'à sa tête. Je lui ai dit de ne pas le faire! Crois-moi, amour, » réplique-t-il en utilisant un mot doux pour l'amadouer.

Alors qu'elle s'approche assez près, il repoussa sa baguette qui tombe au sol, et la prend dans ses bras puissant pour la retourner et la plaquer au mur. Hermione gigote pour se libérer, mais Draco la tient fermement. « Lâche-moi, salaud! Je ne peux même pas croire que tu m'as fait croire à ce photo shoot! »

« Pourtant, il a vraiment eu lieu, » explique-t-il et Hermione le regarde, sceptique. « Tu vas m'écouter, maintenant? Je l'ai vraiment fait quand Potter a refusé, mais ils n'ont jamais publié les clichés. C'était au mois de février pour la publication de mars, mais j'ai changé d'idée entre temps... Lors d'un poker party chez ton meilleur pote, j'ai commenté à Potter que j'étais curieux de savoir ce que les photos te feraient. » Hermione se calme. « Weasley s'est seulement organisée pour retrouver les photos et a fait ce montage... Je l'aurais empêchée si ton traître de meilleur ami ne m'avait pas retenu. »

Il se recule pour lui laisser sa liberté et se penche pour ramasser sa baguette, « Maintenant que tu sais toute l'histoire, lance-moi un sort si tu en vois l'utilité. »

« © Libidinus Totalus! »

---

© Libidinus Totalus est la propriété du groupe HRFRHO. Effets du sort: augmentation de la température corporel, poussée d'hormones sexuelles, envie folle de sauter tout ce qui bouge suivant ses préférences sexuelles.

-o§o-

---

Pour aller sur l'index complet de mes fictions
MOTS CLÉS : fiction
ENVOYEZ UN NOUVEAU COMMENTAIRE
13 commentaires
RÉDUIRE  DÉVELOPPER
  alexia_drake
le 4 avril 2007, 06:06:06 UTC
RÉDUIRE
Tu devrais peut-être ajouter un lien pour qu'elle aille se créer un LJ, parce que sans ça, elles ne peuvent pas rejoindre la Communauté :) Ou dit-leur de regarder les liens et/ou les autres post utile comme le Tutoriel ! lol

Trop bien ce OS ! J'ai bavé, ris, bavé et ris... lol

Pauvre Draco pour les coup de fouet. Vilaine Hermione Wendy. lol

Pauvre hibou ! MDRRRRR

Je n'avais vraiment pas deviné que le photoshoot de Draco n'avait pas vraiment été publié, que tout ça était "un coup monté" pour voir la réaction de Hermione! LOL Très bonne idée !
RÉPONDRE
  wendymalfoy
le 4 avril 2007, 06:11:12 UTC
RÉDUIRE
je fais ça right after my reply

lol ouais c'est des montagnes russes...

niark niark! lol ça m'a trop fait plaisir *bave*

MDR je sais! je suis trop pas gentille! au début j'allais laisser le hibou lui filer entre les doigts mais je pouvais pas avec un Draco attrapeur lol ^^

mici ^^ je trouvais que c'était un bon punch pour la fin :)

RÉPONDRE
  alexia_drake
le 4 avril 2007, 06:16:01 UTC
RÉDUIRE
lol Ouais, c'est logique qu'il ait attrapé l'hibou et de toute façon c'était marrant !

Tu avais bien vu pour le punch. *fangirl*
RÉPONDRE
  tatacia
le 4 avril 2007, 11:18:33 UTC
RÉDUIRE
Est-ce vraiment étonnant si je te dis que j'ai ADORE ??? Quand t'a écrit ça, t'étais en mode "ultra'perv", non? Comme d'hab, bon style, bonnes idées, bon trip quoi!

Et c'est donc ça le nom complet de Malfoy??? Draco S.G. Malfoy???
RÉPONDRE
  wendymalfoy
le 4 avril 2007, 17:47:02 UTC
RÉDUIRE
oooh! mici! ^^ je suis toujours en mode ultra'perv! lol je voulais faire un truc que j'ai jamais fait (avec la passe de Draco soumis) et déranger aussi lol contente que t'aies aimé je me suis souvent demandé si je ne dépassais pas les bornes XD

mouahahahah! oui! ses parents le savais déjà quand il était bébé MDR
RÉPONDRE
Anonyme
le 4 avril 2007, 21:05:05 UTC
RÉDUIRE
OMG! Trop Bon! J'en ai encore des frissons XD
Bravo pour ce super OS wendy!!!
bisouxxx
RÉPONDRE
  wendymalfoy
le 4 avril 2007, 23:19:36 UTC
RÉDUIRE
mici christelle :)
RÉPONDRE
Anonyme
le 6 avril 2007, 16:37:01 UTC
RÉDUIRE
Une amie m'a conseille cette fic, me disant que je trouverais peut-etre le lemon ose au debut ... mais ... hihihi non moi j'ai trouve ca simplement franchement bien...sympa, bien decris, pas degoutant, ni ennuyeux, franchement bien au fond ^^

Je me demandais, au sujet du sortilege qu elle lance a la fin a Draco, quel etait son but, ses arrieres pensees ? Elle voulait qu'il lui refasse l'amour toridement ou quoi XD Elle voulait qu'il se frotte sur tout ce qu'il verrait durant la journee pour qu'il paie en un sens? Je veux plus de detailssss sur cette fin XD
RÉPONDRE
  wendymalfoy
le 7 avril 2007, 00:19:25 UTC
RÉDUIRE
qui que tu sois :P merci de me lire :) et aussi pour le commentaire sur mon lemon lol je me trouvais hard et j'ai dû demander l'avis à ma béta avant de l'avoir fini pour savoir si je ne m'égarais pas trop ^^;

ce que je voyais avec cette fin, c'est une Hermione qui trouve excitant le fait que Draco s'intéresse à son opinion sur lui... Comme j'ai mis un peu en scène, ça fait un an qu'ils se côtoient dans une Académie d'Aurors, le lien entre Draco et Harry n'est plus ce qu'il était et de même pour celui d'Hermione et Draco :
[...] et pourtant, elle est habituée à se faire agacer de la sorte par lui [...]

Je crois qu'à force de se faire taquiner la brunette a fini par se faire séduire plus qu'autre chose... Ginny le savait et c'est pourquoi elle a manigancé toute l'histoire du PlayWitch :
La rouquine lui fait un sourire qu'elle n'aime pas, mais là pas du tout, « Il serait peut-être temps d'oublier le bon vieux temps, Hermione. »
[...] seulement il connaît ses points faibles – à croire qu'il a eu des tuyaux de quelqu'un qui la connaît par coeur.