libéré du passé...ou pas
Déjà petite je rêvais beaucoup tout le temps, mes parents, ils me reprochaient que j’étais trop rêveuse, que sa ne m’apporterait rien de bon dans la vie et pourtant …
Fais de ta vie un rêve, et d’un rêve une réalité.
Citation de Antoine de Saint-Exupéry ; Cahiers de Saint-Exupéry (1900-1944) ]
Une villa toute en pierre apparente de couleur ocre, virant sur le blanc aux tuiles en ardoises, 4 grandes baies vitrées cacher par des voûtes en arques de cercle profond, protégeant de la vu d’éventuel curieux ,assurant l’intimité des propriétaires ou d’un assassins, violeur au choix et tout sa accompagné d’un magnifique jardin fleurie et d’arbustes fruitiers pour certains, sa ressemble presque au jardin extraordinaire au mille et une fleur avec un grand chemin de dalle s’arrêtant au quart du gazon accompagné tout du long de lampadaire anciennes en fer forgé de couleur blanc.
Cette villa est magnifique et Roderick a bon goût et y a pas a dire cette villa lui ressemble beaucoup, beaucoup trop . malgré la sérénité qu’elle dégage, rien quand la regardant, entouré d’une grille haute de 2 mètre au couleur sombre, finissant par des pointe en forme de flèche au bout acéré de couleur or, en regardant bien cette espace verdoyant est truffé de caméra et de détecteur de mouvement enclenché la nuit ou en absence du propriétaire. Sa ne m’étonne même pas de sa part il a toujours était minutieux en matière de sécurité
Même avec les frères Cramers, il doit sûrement y en avoir aussi de l’autre côté la partie qu’on ne voit pas encore, une immense piscine olympique et un jacuzzi de taille phénoménal doit y être aussi le connaissant, il aime me luxe discret.
Nous savons qu’à l’heure qu’il est, Roderick se taire chez lui à l’abri des regards sans doute en bonne compagnie. Il n’a jamais été attiré par les gosses et encore moins les putes,mais d’une groupie oui . Nous le savons car des hommes de main parcours de long en large le jardin devant la porte d’entrée ,quelques hommes sont à l’intérieur passant et repassant devant la baie vitrée . Ils sont tous bien évidemment lourdement armées, malgré un soleil intense et éclatant, leurs ombres s’étalent sur les dalles du jardin se trouvant entre la piscine et la maison. Nous sommes certains aussi que certains traîne de l’autre côté de la maison sans doute assis à une grande table protéger d’un immense parasol en forme rectangulaire de couleur verte.
Comment je sais ça c’est très simple, nous avons patienter que la nuit tombe en faisant un petite pose discrètement cacher dans les combles . C’est vers midi pendant le repas que nous avons pénétré en grimpant la grille en évitant de nous faire repérer et surtout nous faire embrocher comme de vulgaire brochette, puis ensuite nous sommes passés par le toit du garage, qui heureusement pour nous avait un vasistas très vieux dont nous avons eu aucun mal à ouvrir à l’aide d’une pince mon seigneur et un découpeur de verre. Sur le toit nous avions une vue imprenable sur tout le jardin qui se trouvait derrière la villa.
La nuit était tombée depuis un petit moment déjà, pour tout dire 2h que l’on attend en se rongeant les ongles, comme deux gamines qui attend que le père Noël passe pour ouvrir avec avidité en trépignant d’impatience. Une fois dans le garage, nous repérons immédiatement une porte communicante entre les deux bâtiments . À pas de loup nous avançons rapidement en vérifiant que la pièce soit bien vide en voyant tout les modèles de voiture que se con c’est offert avec l’argent du crime remplie de sang de ses victimes. La porte étant verrouille, je me met tout de suite à l’œuvre en faisant le moins de bruit possible, un enclenchement la poignée sur une porte comme celle-là peu faire énormément de bruit et grincer de surcroît.
__ vas ’y je couvre tes arrières me chuchote Reeza .
Je me tourne toujours accroupi fait un signe de tête positive en mettant mon index sur ma bouche et me relève, quand elle se recule pour me laisser passé.
J’ouvris la porte délicatement à présent déverrouiller par mes soins, par bonheur elle ne grinça pas, mais en même temps quelque chose me fait tiquer tout étais trop facile. Je morigène intérieurement de ne pas avoir ouvert les yeux plutôt , car jusqu’à présent nous n’avons eu aucune difficulté à nous introduire ni à forcer les portes, quelque chose n’allait pas. Même se qui intrigua aussi Reeza était d’accord avec moi, sa ce voyait à son regard et son tendue. Même pour les grilles nous n’avons eu aucune difficulté, aucun chien avec son maître n’est venu à notre rencontre, j’ai trouvé ça plutôt bizarre surtout pour une villa surveiller comme elle était et plus on avance et plus l’angoisse monter au créneau dans mon corps et dans ma tête une alarme s’enclencha qui me mis en garde sur une éventuelle tentative d’agression qui pouvait arriver à tout moment et connaissance Roderick surtout son côté vicieux, je marchais à pas de loup avec Reeza à mes côtés sur ses gardes ,notre corps tendue et en alerte .
Dans la villa nous longeons un couloir assez large et bien éclairé par les lumières naturelles que renvoyer de grandes fenêtres aux vitres blindées. Arrivé au bout nous débouchâmes sur un salon immense avec cheminée d’époque, les murs de pierre étaient magnifiques, subjugué je ne vis pas tout de suite sa présence assis à nous regardé fixement, dans les moindres détails quand un homme essaya de maîtriser Reeza, se qui me ramène au moment présent face a cette enculé fière de nous avoir piégé.
__ Bonjour Maya ça fait longtemps on te croyait morte dit-il sur un ton doucereux
Je relève vivement mes yeux vers lui tant dis que Reeza se battait avec son homme de main et moi j’étais figée de peur face à Roderick ouvre la bouche pour m’exprimer mais aucun son ne sortit de ma bouche, juste un souffle tentait en sortie.
Ce connard se leva de son fauteuil on s’approche en s’approchant lentement de nous pendant que Reeza se fit immobiliser une arme pointée sur son front pendant que Roderick penchait la tête sur le côté avec un sourire en coin de celui qui avait gagné mais ce n’était pas encore fait à mon humble avis car je n’avais pas l’intention de me laisser faire et lui cracha au visage d’une voix dure et Reeza de son côté insulte à l’homme qui la maîtrisait
__ toi aussi et tu n’as pas changé toujours le même sale rat à la botte de tes patrons
__ tu es plus belle qu’avant je dois dire que les années et en réussi mais tu as toujours ta langue bien pendue et je compte bien la couper pour te faire voir qui est le chef ici
__hum pas toi en tout cas tu n’as pas les épaules tu n’es qu’une merde sous ma botte
Les traits de Roderick se transforma en un masque de haine et la fureur brillant dans ses yeux, sa bouche déformée, il se rapprocha rapidement de moi en quelques enjambées en voulant me frapper mais heureusement Jeff m’avait appris à me défendre et à parer les coups, ce que je fis rapidement en esquivant son attaque qu’il réitéra immédiatement mais cette fois-ci je frappe à la première en donnant un coup dans son abdomen suivi d’un crochet dans la mâchoire éclatant sa lèvre au passage faisant couler un filet de sang dégoulinant sur son menton jusqu’au col de sa chemise blanche, il recule de quelques pas sonné et fier de moi je souris jusqu’aux oreilles le narguant, enragé il se rapprocha encore fonçant t-elle un taureau, les lèvres retroussé dans un rictus malsain censé m’effrayer, ne m’atteint pas et lui dit
__ oui effectivement j’ai bien changé lui répondis-je du tac au tac
__ tu vas me le payer petite salope dit-il en essayant encore de me frapper, ce qu’on ta fait il y a 5 ans n’ait rien de se qui t’attends si je te choppe
__ je ris se fit plus fort que moi,
Même si je sais que j’active encore plus sa colère .
Mais cette fois il réussit a me déstabiliser en parant mon coup et en un énième coup de poing porté à mon visage qui me manque de peu, ce sale enfoiré en profite pour me balancer un autre qui atteint mon plexus, qui me coupe la respiration quelques minutes juste assez pour lui pour agir, plié en deux, Roderick en profite pour m’attraper par les cheveux et tirait ma tête vers lui d’un geste brusque m’obligeant a pencher ma tête en arrière, puis sort une lame au rebord acéré de nulle part et la colle sous la gorge pile poile sur ma jugulaire, par réflexe de survie j’arrive frapper à son entrejambe le manque de peu et frappe le haut de sa cuisse lui faisant quand même assez mal, pour le faire chanceler ,il lâche son arme blanche qui tombe au sol bruyamment.
Sans attendre Roderick se reprend et me saute dessus sans tergiversé et sans suit une lutte pour ma survie, a celui qui aura le couteau le premier.
Le garde du corps de Roderick qui sans attendre lui balance un poignard le temps que moi de mon côté, je récupère le sien et me retourne sous les cris d’avertissement de Reeza ,mais trop tard quand il récupère la lame, il me la plante dans l’épaule tandis que moi je lui plante profondément dans le cœur jusqu’à la garde, déconcerté la bouche déformée par la douleur il s’affale en me tombant dessus mort, le visage livide les yeux sans vie .
Épuisé ma tête rencontra violemment le parquet cognant dans bruit sourd ,avec le corps lourd de Roderick pesant sur moi, c’est a ce moment que j’entends une déflagration du à un tire et l’homme de main pousse un cris avant de s’écrouler a mes côtés décédé lui aussi .
J’essaye de rester éveiller malgré la douleur qui s’intensifie sur le côté de mon corps, me brulant de l’intérieur enfermé dans une bulle de souffrance, je n’entendit pas la voix inquiète et chevrotante de Reeza me supplier de rester avec elle en sentant qu’on m’allège d’un poids, sans doute grâce à mon amie, se qui m’aida à mieux respirer enfin, quand une pression se fit sur ma blessure qui fut assez forte, qui me tira une grimace de douleur et sans les commander mes yeux se clos remplis de larme ,emporté par le poids de la fatigue, quand avant de sombré, elle entendit les derniers mots que prononce Reeza .
__ allo j’ai besoin de toi, alba trouve quelque chose supplie t-elle
Reste avec Maya t’inquiète je vais te sortir de la dit-elle en me secouant.
Et puis plus rien
Killing
Porte de l’angoisse je suis avec Jeff chez Maya tout aussi inquiet.
Cela fait 1heure que l’on attend depuis que l’on a découvert que c’est la cousine de Reeza qui garde Jim, elle a rien voulue nous dire.
Je savais qu’il allait se passer quelque chose depuis ce matin j’avais un mauvais pressentiment que quelque chose allait arriver et finalement je n’ai pas eu tort de l’écouter comme toujours d’ailleurs à chaque fois qu’une alarme s’allume dans ma tête dès le réveil je savais que la journée allait mal se terminer et là à mon avis c’est un vrai cauchemar, Reeza et Maya ce sont carapater derrière notre dos sans nous prévenir de quoi que ce soit et ce qui m’énerve le plus c’est qu’elles risquent leur vie Maya est vraiment têtu à vouloir absolument se venger toute seule avec l’aide de son amie et je sais qu’à l’heure actuelle tout peu leur arriver je suis à la fois fâché et inquiet , Jeff et n’est pas de meilleure humeur que moi son visage s’est assombri quand il s’est aperçu, qu’elles lui avaient caché le réellement bute de leurs voyagent ,prétextant un décès.
__ Putin mais elles sont ou cri Jeff le téléphone à la main en raccrochant .
Je voyais Alba mal à l’aise se dandiner sur place le regard fuyant
__ et toi tu ne sais rien bien sûr dis-je sèchement
Sans un mots elle secoue la tête, quand soudain elle quitte la pièce en vitesse ,je la suit du regard suspicieux, elle est partie tellement vite ,ont aurait dit quelle avait le diable aux fesses.
Je la vit rentrer dans la salle de bain téléphone portable à l’oreille et le seul mot que j’entendis était en espagnol. Jeff alors à mes côtés avait un regard inquiet en voyant Alba se réfugié dans la pièce ,il me dit
__ je suis sûr que c’est sa cousine qui est au téléphone avec elle je me demande bien ce qu’elle lui dit.
Juste après sa phrase nous vîmes Alba débarquer toute affolée en se dirigeant vers nous les larmes aux yeux et nous dit en bégayant
__ vite vite il faut les rejoindre ça va pas ça va pas fait quelque chose je vous en supplie implora Alba,
Les filles sont dans la merde, je crois qu’elles sont blessés
__ PUTAIN criais-je se qui la fit frémir
__ en route dit Jeff en se dirigeant vers la porte de son garage sans m’attendre.
Je sortie la maison en courant pour rejoindre la moto et Jeff me rejoignit 2 secondes plus tard et nous filons sans attendre rejoindre les filles jusqu’à boston heureusement j’avais pensé à demandé l’adresse de l’hôtel à Alba qu’elles avaient eu par sa cousine.
Complètement en panique des scénarios plus sanglant les uns que les autres traversé mon esprit déjà bien surchauffer, Jeff conduisait sa moto devant moi à une allure folle, mais il fallait bien le comprendre il s’inquiétait pour ces deux idiotes qui risquaient leur vie à l’heure actuelle et qui était sans
doute dans un sale état vu l’état de panique de Alba et par chance Jim ne nous avait pas entendu il dormait à poings fermés.
Reeza avez réussi à sortir Maya de la villa et de la traîner jusqu’à sa voiture pour la ramener à leur hôtel mais à quel prix j’espère que rien de grave ne leur ai arrivé.
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Corriger par lola parisod
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