la chambre des horreurs
Tremblante de la tête au pieds j'eu bien du mal à le montrer mais heureusement pour moi cet abruti le pris pour de l'excitation, la bonne blague . Je prétexte une envie pressante qu'il m'accorde mais à l'étage au dessus la ou se trouvait sa chambre ici quand il avait trouvé sa proie pour la soirée.
《 merde 》
Apparemment les chambres été réservés aux hommes qui y mettent le prix et pas qu'un peu .
__ va s'y me dit Jéppé une fois arrivé en haut, tu as 5 minutes monsieur Cramers est pas du genre patient dit-il alors qu'il est si prêt de moi.
J'avais mal au ventre mais tiens bon, encore il faut si je veux effacé mes démons de cette planète
__ t'inquiète poulette ok, no stresse je te rejoins bientôt dès que musclor devant la porte me laisse entrer et tu me connais hein rien me résiste dit-elle avec humour. Fait traîner les choses quand tu seras avec lui, d'accord surtout surtout le laisse pas faire troop...enfin tu vois me dit-elle hésitant sur les mots, alors que je suis assise sur la cuvette dont j'avais rabaissé le couvercle après avoir vomi mes tripes noué, m'excusant envers Reeza dans un murmure désolé qu'elle est put entendre sa.
Heureusement que l'autre n'ait pas avec moi aux toilettes, car si il avait assisté a la scène je sais pas ce que j'aurais trouvé comme excuse .
__ j'y suis presque ,n'attend pas il te reste pas beaucoup de temps et à force il va se douter de quelque chose, va te rafraîchir refait toi une petite beauté et va le charmer.
__ merci Reeza dis-je reconnaissante.
__ ahh pas de sa avec moi et oublie surtout pas ta bague à une petite pointe dans l'anneau ta juste à appuyer sur le dessus pour qu'elle sorte ,ta compris insiste t-elle.
__ ok je mis colle à tout de suite et assure avec Brutus ma belle .
__ toujours dit-elle motivée quand je sors des toilettes une fois la chasse d'eau tiré.
Je laisse le battant de la porte des toilettes se refermer tout seul et me dirige vers les lavabos face a moi j'ai un miroir immense et propre, me passe une coup d'eau froide sur le visage en soupirant d'aise quand l'eau apaise un peu mon visage surchauffé d'une main arrache du papier essuie main pour mon visage dans le distributeur qui se trouve a porté . Ces toilettes son vraiment grande et malgré sa simplicité est pas mal du tout pour un club de ce genre et au moment de sortir mon maquillage je sursaute quand une main frappe deux coup a la porte, mon cœur fait un bon et tente de le calmer en fermant les yeux une main sur ma poitrine et en inspire un bon coup. Quand je les rouvre je voie Jéppé pointant sa tête de travers en ouvrant doucement la porte glissant son énorme visage dans l'entre bâillement oscule les alentours pour voir si je suis seule et lève la tête vers moi et d'un air interrogateur me demande sur un ton posé
__ alors ma belle tout vas bien la questionne t-il avec un sourire qui se veut détendu
Je stoppe tout mouvement la main bloqué dans ma pochette l'observe une seconde en ravalant ma bile qui monte lentement dans ma gorge prenant sur moi pour garder un air relaxe en sortant le rouge à lèvre de couleur rouge pétasse comme dit Reeza
Cette pensée me fit sourire, se que lui prend pour je sais quoi vu le regard qu'il me fait, mais je laisse tombé trop compliqué.
__ oui oui j'arrive dit-je en sortant d'une main tremblante
De mon autre main je l'ouvre fait sortir l'embout rouge d'un geste lent en le faisant coulisser et l'applique sur mes lèvres geste nerveux.
__ eh beauté tu viens ou il faut que j'aille en chercher une autre raille Franco de loin
__ Kitty dis Jéppé pressant tournant déjà les talons pour rejoindre son patron.
J'expire et acquiesce range le tube après m'en être appliqué sur les lèvres ,j'amorce un pas vers la sortie seul Jéppé étant parti rejoindre son chef pour lui dire que j'arrivais, de loin je l'entends
__ patron elle arrive elle se faisait juste une beauté pour vous.
Maya traversa un petit couloir où se trouvait plusieurs portes et j'étais dos à la porte des toilettes quand Jéppé se cale à l'une d'elles en calant son dos contre le cadre de la porte qui était entrebâillée me faisant signe du menton pour que je vienne jusqu'à lui. Une fois proche de lui il me dit d'une voix basse
__ il vous attend avec impatience venez dit-il en tendant sa main
Je ne désirais pas toucher sa main je la regardais comme hypnotisé par ces grandes paluche dont les doigts était énorme et j'imaginais sans mal la douleur qu'il pouvait produire en s'abattant sur un visage ou fermé en poings pour frapper rudement son d'adversaire.
Quand je passe le pas de la porte la première chose qui me stupéfia et me laissa figé, c'est l'atmosphère quelle en dégage. Tout dans cette pièce sent l'érotisme a plein nez et la sensualité dans ces lieux il a dû en passer des choses surtout avec le spécimen qui se tenait devant moi assis sur un grand fauteuil en velours pourpre comme les murs d'ailleurs avec son lit à baldaquin d'époque posé au centre de la pièce qui est assez grande pour accueillir aussi une belle et grande méridienne de la même couleur et texture que le fauteuil style empire au haut dossier posé juste devant la grande fenêtre.
Tout mon corps s'est parcouru de spasmes en imaginant les scènes érotique qui a dû se passer ici pour moi c'est beaucoup car depuis ce jour horrible aucun homme ne s'était approché de moi hormis un, car mon fils ne comptait pas dans le lot.
__ approche me dit Franco en faisant un signe de la main de ses doigts repliés me faisant comprendre son impatience pour que je m'avance vers lui.
Malgré que mon cœur bat à 100km dans ma poitrine parcourue de frissons désagréable, mes jambes flageolantes. Je réprime mes sentiments au fin fond de ma tête, grâce au gloussement de Reeza qui sans le savoir me requinque dans courage que j'ignorais avoir, dans mon oreillette dont j'avais baissé le volume je l'entends charmer sa proie , je pince mes lèvres pour ne pas rire et un soulagement qui me prit, et me rebooste par la même occasion si vite , ma Reeza n'allait pas tarder j'en suis sur . Pris de courage salvateur je m'avance vers lui d'un pas nonchalant et conquérant puis lui demande d'une voix chaleureuse à souhait
__ peu t-on rester seul un instant et pour accentuer mes dirent je penche à la tête sur le côté gauche face a lui a présent et fit une moue coquine en plissant exagérément mes lèvres faisant ressortir la couleur peinte dessus.
Restant dans la même position le cœur battant très fort à l'idée qu'il refuse, j'attends le cœur au aboie ,de voir si mes mots avait au moins atteint son but, il fallait absolument que je reste seule avec lui, car face a Jéppé je ne ferai pas le poids .
Il me scrute de bas en haut le front plissé pendant un temps insoutenable, quand apparaît sur ses lèvres un sourire sadique qui ne me dit rien de bon quand enfin il ouvre la bouche pour parler.
__ en tant normal j'adore partager avec l'un de mes gars jubile t-il [ enculé]. Mais... il se frotte le menton l'air de peser
le pour et le contre, pas cette fois non dit-il en acquiesçant lentement de la tête . Franco reporte son attention ailleurs derrière mon dos et ordonne Jéppé tu peux nous laisser s'il te plait et reviens dans disons mh 1 heure le temps que j'explore cette jeune demoiselle sur tout les coutures dit Franco sourire satisfait aux lèvres.
__ monsieur dit l'autre sur un ton neutre cachant son inquiétude
__ suffit crache t-il se redressant sur lui-même buste bombé, faisant un geste sec de l'index vers la sortie à l'encontre de Jéppé qui se dirige sans plus rien rétorqué les épaules basse et avant de quitter les yeux me jette un regard d'avertissement silencieux que Franco intercepte en le rabroue vertement sans égard et respect .
Une fois jéppé disparue Franco se reconcentre sur moi dans un rire grinçant de prétention ridicule au possible et me balance comme une évidence
__ non mais sérieux pour qui il se prend, puis Franco me regarde d'un œil circonspecte et goguenard, franchement qu'est ce que je risque avec toi hormis mal me sucer franchement je voie, quoique de mal me sucer sa m'étonnerait car c'est moi qui te la mettrai ma beauté dit-il gouailleur.
Il me sourit comme si tout était normal dans ses paroles alors que moi un feu de la haine gonfler mes veines d'un courage supplémentaire que lui ne voit pas mais que moi je sens et d'un pas assuré que je ne calcule pas pour le moment je m'avance vers lui collant mes jambes au sienne et le regard ancré dans le sien je lui dis avec une voix que je veux suave et plein de promesses
__ non c'est vrai tu ne risques rien avec moi mais est-ce que moi je risque quelque chose avec toi je demande en haussant un sourcil interrogateur en espérant qui ne prennent pas mal ma demande
Mais il n'en n'est rien heureusement car il dit dans ton charmeur
__ oh non apte à prendre ton pied à part si Jéppé a raison qu'il faut se méfier de toi mais je ne pense pas comme je te l'ai dit je ne vois rien en toi de dangereux à part ton joli petit cul .
__ je suis presque la ,va s'y fait ce qu'on a dit dit Reeza quand je le vois se lécher les lèvres dans un mouvement circulaire me comprendre son excitation.
Dans un geste discret j'appuie sur ma bague et j'appuie légèrement pour pas m'en foncer la pointe imbibé de somnifère contre ma paume pour m'assurer que la pointe est bien sorti. Je me penche légèrement en avant et en mes bras que lui accueille en se penchant aussi et j'entoure sa nuque de mes bras inspire bien fort et repoussement le dégoûts tout au fond de ma gorge et dépose délicatement mes lèvres sur le coin des siennes que lui accueil en fermant les yeux de plaisir,
《 mais pas du mien》 je pense écurie
Je glisse une de mes mains dans un geste doux et plein de sensualité, le long de son torse toute en jouant avec les boutons de sa chemise tout en décrochant quelques-uns, le regardant avec un regard que j'essaie d'être langoureux mais c'est très difficile parce que je n'ai jamais fait ça de ma vie, pour un homme bien au contraire je les ai toujours regarder de loin et avec méfiance, sauf mes frères de club en qui j'ai toute confiance et qui me connaissent bien maintenant et me respecte en tant que femme.
《 pour eux je suis hors limite, comme une sœur ou une pote mais jamais en tant que brebis où une proie facile pourtant je les aime ces cons》 je souris discrètement à cette pensée .
Ma main remonte délicatement vers son cou dans un geste léger qui se veut amoureux comme me l'a montré Reeza et au moment où je plante le dard dans son cou, la porte claque violemment contre le mur et un homme s'écroule au sol la gorge tranchée et la poitrine perforée que déjà du sang immacule le sol, dans un dernier râle l'homme meurt sur le plancher et je perçois ma meilleure amie enjamber d'un pas volontaire comme si elle voulait en découdre avec le monde le corps inanimé du garde du corps de Franco ce dernier grogne de mécontentement . Dans mon inattention ce dernier m'attrape violemment les poignets en me faisant mal je rouspète pour la forme car je ne dois pas lui montrer aucune faiblesse, ce qu'il n'a pas prévu c'est que j'ai de bonne dents et mort généreusement sa main en m'enfonçant jusqu'au sang et par la douleur il me relâche dans un gémissement de douleur secoue sa main pour faire passer les élancements qu'il ressent, pendant ce temps dans un geste rapide j'attrape mon poignard cacher dans ma porte-jarretelles le tiens fermement dans ma main, que je plante avec force dans son torse l'enfonce jusqu'à la garde en s'appuyant de mon autre main et lui fait faire plus tour dans la plait sans attendre qui s'élargie de plus en plus, profitant de sa stupeur et du produit que je lui ait injecter dans les veines. Je le vois dans son regard qui regarde partout à présent cherchant un soutien quelconque, son visage qui blêmit de douleurs la bouche grande ouverte et de minute en minute l'air effaré la vie semble le fuir dans le sang qui commence à couler de sa bouche incandescent d'une couleur pourpre qui commence à tacher sa chemise immaculé de blanc . alors dans un geste rageur je tourne le poignard dans un sens particulier et le tourner dans un autre sens pour être sûre d'atteindre ma cible son cœur. Sa chemise prends la couleur de son sang et son corps ça fait petit à petit ces mains agrippées aux miennes dans un geste de survie totalement illusoire car il est en train de mourir entre mes mains je le vois à son regard qui s'éteint petit à petit dans une leur sombre envahissant saisie ris qu'il a réussi à enfoncer dans les miens espérant de moi que je le sauve de cette mort certaine que je refuse de le sauver et que je lui laisse avec plaisir je le vois froncés des sourcils me dévisageant et soudain une exclamation de stupeur apparaître sur son visage me reconnaissant enfin et sa bouche forme un cercle rond de stupéfaction et dans une rage folle lui dis tandis que Reeza se tient derrière moi attendant la fin de Franco
__ tu me reconnais maintenant dis-je moqueuse
__ c'est c'est toi on croyait que tu étais morte dit-il bafouillant en serrant les mâchoires ayant une difficulté supplémentaire pour articuler ces mots
__ et non je ne suis pas morte tu le vois bien je suis devant toi
__ Reeza souffle-t-il en la découvrant derrière moi.
__ oui connard crève
__ bande de connasses vous allez crever quand un garde du corps va vous découvrir ici dit-il sur un ton colérique qu'il essaie de maîtriser malgré l'engourdissement qui commence à l'envahir
__ oh non dit Reeza allez Maya on se casse
J'acquiesce et lui dis en sortant la lame du corps de Franco
__ attends j'ai un truc à faire avant de partir
J'attrape sa nuque entre mes doigts serre très fort et glisse ma lame sur sa gorge en l'enfoncent jusqu'au bout dans sa carotide et quand je fais ressortir la lame de son cou, du sang gicle et m'éclabousse le visage, je n'y prête pas garde et essuie lame contre sa chemise d'un revers de la main et me tourne vers mon ami qui m'attrape déjà par la main et me tire d'un geste affolé pour sortie pas la porte de secours qui se trouve en dehors de la chambre des enfers, que nous venons de quitter au pas de course. Essoufflé devant une porte coupe-feu que déjà nous entendons des pas monter rapidement les marches qui donnes à cette étages nous ne perdons pas de temps et fuyons par cette portes.
Arrivé dehors je repère rapidement notre voiture que nous avons garer non loin heureusement nous connaissions bien les lieux pour y avoir déjà été il y a quelques années heureusement le club n'avait pas tellement changé. Reeza y avait bosser en tant que barmaid et a toujours refusé de se prostituée au les danseuses elle m'a avoué que ça a été très compliqué à cause de son physique qui plaisait beaucoup mais elle s'est toujours refusé et en a bavé pour leur montrer qu'elle valait mieux que ça ça a été très compliqué car ici c'est un monde de macho et au final elle a atterri comme croupière dans leurs tripo mal famé avant que je débarque et qu'elle me prenne sous son aile.
Nous ne prenons pas le temps de respirer que déjà elle sort les clés de sa poche et à court vers la porte qui mène à la place conducteur.
__ grouille bordel tu veux te faire attraper ou quoi cri-elle.
Je cours vers la porte passager agrippe ma poignée dans un ultime effort, tire dessus d'un geste presque irréel comme si mon âme avait quitté mon corps alourdie par la fatigue et monte à bord m'engouffre maladroitement échoue sur le fauteuil regardant autour de moi perdue claquant la portière qui me paraît lourde pour le peu de force qu'il me reste, Reeza n'attend pas et appuie férocement sur la pédale, le moteur ronflant déjà à mes oreilles dans un ronronnement agressif qui nous éloigne, dans le club un vacarme de hurlements il est sens dessus dessous en alerte maximale que nous sommes déjà à la sortie du parkings.
__ mi querida mi querida hurle Reeza affolée de me voir sombrer en me secouant de sa main droite .
Me voyant faire un malaise, elle hurle de plus belle après moi ,tout en conduisant, zigzaguant à travers la ville pour semer nos possible poursuivant .
__ reviens Maya reviens je t'en pris me laisse pas .
J'essaye de lui obéir de toute mes forces je tente de garder les yeux ouvert mais ce soir j'ai eu trop d'émotions qui mon assaillis et me dévore l'âme mais en même temps je me sens plus légère d'un soulagement que j'ai longtemps attendu
__ je suis la Reeza arrête de t'inquiéter
__ alors reste éveiller ma puce me supplia tel
Mes yeux tienne plus et se ferme tout seul malgré tous mes efforts pour les maintenir ouvert mais la lutte est difficile mon corps est rompu de fatigue de toutes ces émotions déversées aujourd'hui et de cette haine qui m'envahissait il y a quelques jours de ça maintenant plus allégé de 2 poids en moins mon corps est envahi de fatigue, qui pesait à présent sur mes paupières la lutte fut très difficile et je fut vaincu
__ excuse moi Reeza dis-je d'un murmure
Avant de m'écrouler quand je l'entends une dernière fois m'appeler.
¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤
Corriger par lola parisod
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top