dangereuse révélation k/m
Killing
Pendant que je pilote ma moto comme un dératé en grillant tout les rouge, j'ai même eu le temps de réfléchir a se que je vient d'apprendre et je leur en veux à tous de ne pas m'avoir prévenu qu'elle s'était fait agresser et quelle était dans une chambre d'hôpital sans doute gravement blessé. et je m'en veux aussi d'avoir coupé le son de mon portable mais pourquoi, mais pourquoi ne m'ont t-il pas appeler j'étais disponible pourtant putain.
《 bah peut-être parce que tu n'es pas encore avec elle et que pour eux ça ne te regarde pas》
__ mais on est une famille bon sang je ronchonne dans ma barbe
J'ai les nerfs en pelote quand je rejoint le comptoir des urgences , ou se tiens une vieil infirmière rabougrit qui me regarde d'un œil interrogateur .
__ bonjour maya harding est arrivé chez vous pour agression, je voulais savoir dans qu'elle chambre elle est s'il vous plait dis-je poliment en essayant de garder mon calme .
Au moment où l'infirmière va me répondre une voix que je reconnais parmi mes frères lui coupe l'air sous le pied.
__ laisse tomber killing viens on s'est dans qu'elle chambre est maya, au 2e étage à la Chambre 315 dit turbo qui arrive vers moi à grands pas.
L'infirmière le regarde avec des yeux énamouré non sans rougir et oui turbo est l'un des plus vieux de notre famille et à ce que je vois il fait encore son effet auprès des femmes me dis-je, se qui me fait pouffer de rire, mais me rattrape bien vite quand le visage de Maya apparaît dans ma tête, rien ne compte plus en cet instant que la santé de Maya et ne lui laisseront pas le temps de me dire quoi que ce soit je cours vers le premier ascenseur que je trouve, mais du coin de l'oeil je vois turbo faire un clin d'œil et un baisé volant à l'infirmière qui le regarde toujours muette comme une carpe,je me pince le nez de le voir agir comme un homme de mon âge alors que lui en a largement le double . heureusement les portes de l'ascenseur ne met pas longtemps à s'ouvrir, mis en gouffre l'intérieur avec lui sur mes talons et appuie frénétiquement sur le bouton du 2e étage pour vite rejoindre sa chambre . dans l'ascenseur je ne tiens plus en place, c'est qui fait rire turbo qui me regarde d'un œil reflétant la moquerie.
__ eh bah dit-il hilare ne t'ai jamais vu pressé de rejoindre une nana je sais qu'elle est spéciale mais quand même rit-il.
Étant de mauvais poil je bougeonne dans ma barbe,le tuant du regard, en entendant sa vane et lui dit sur un ton sec
__ ta gueule tu ne sais rien grognais-je
__ oh mais si je sais t'inquiète je suis peut-être vieux mais j'entends tout et je vois tout n'oublie pas je suis l'âme de ce club ça fait tellement d'années que je suis parmi vous que je suis sûr que tu l'auras sur ta bécane sur avec le cute dit-il songeur
Malgré ma nervosité et mon stress à ces mots je me radoucie, car c'est vrai que c'est comme je le disais tout à l'heure, c'est le plus ancien de nous tous et je lui dois le respect malgré qu'il n'est pas de grade particulier c'est quand même l'un de mes frères.
malgré tout je ne peux m'empêcher de lui demander, car une question me trotte dans la tête après avoir vu Jeff à la chapelle avec nous.
__ est-ce que Jefferson est au courant qu'elle s'est fait agresser
__ non mais à mon avis il ne va pas tarder à arriver lui aussi dit-il avec une grimace d'appréhension.
Pendant que l'ascenseur monte au deuxième étage , J'observe en silence mon frère turbo en détaillant son visage je m'aperçois que malgré les années, il n'est presque pas ridé, ce qui m'étonne énormément, j'espère être comme lui plus tard et pas fripé comme un sharpei. Je détourne mon attention quand j'entends le digne de l'ascenseur nous annonçant être arrivé au deuxième étage ,dès que les portes commencent à s'ouvrir je ne perds pas de temps et sort de la cabine atterrissant dans un couloir ou aucune âme traîne, ni un personnel soignant. regardant de droite à gauche complètement perdu, quand turbo la tête levée vers le haut regardant la plaque au-dessus de la porte, indiquant les chiffres des chambres m'interpelle en me disant.
__ viens c'est par là qu'elle se trouve me dit-il en me tirant par la manche de mon blouson
Nous nous arrêtons devant la porte de sa chambre,je vois les chiffres 315 sur la porte en bois peint de blanc ,je reste bloqué incapable de bouger tétaniser parce que je vais découvrir. A-t-elle souffert atrocement est-elle dans le coma. puis je m'aperçois que le mur qui constitue un rempart entre elle et moi a une partie transparente comme une fenêtre en plexiglas, sur le côté gauche de la porte, je me penche légèrement hésitant, puis m'avance en me campent devant en essayant de rester discret, ne voulant pas me faire griller tout de suite. je la voie assis le dos raide reposant sur un oreiller, les deux bras tendue mains sur ses cuisses et la tête tournée vers la fenêtre. Cette image me retourne le cœur et je l'observe quelques secondes ne vous ne pouvant m'empêcher aimanté par sa seule présence dans cette pièce, j'observe tous les détails qui constitue son corps regarde les moindres détails me sentant soulagée de la savoir éveillé et pas au plus mal , je vois en observant de plus près derrière cette vitre que ses bras sont remplis de griffure, ses cheveux en bataille relevez légèrement à cause de la Minerve qui entoure son cou mais je n'ai pas encore vu l'état de son visage et je dois dire que cela me chagrine beaucoup car j'ai envie de lire dans ses yeux de savoir ce qui s'est passé rien quand plongeant me regarde dans le sien.
Je me décide enfin a bouger, ne voulant pas passer pour un psychopathe, et je la rejoint
Maya...
Épuisé par la soirée d'hier je regarde par la fenêtre en me remémorant ma fin de soirée ou tout à déraper.
C'est le prospect qui était avec moi se soir ,qui avait tout géré, pendant qu'on me transporte a l'hôpital.
__ des membres du clubs ennemi, me dit-il affolé "les the red death " sont la, les gars qui sont a l'intérieur vont géré, vont se charger de les faire partir .
Et c 'est qu'ils ont fait, ils les ont chassé du bar, se n'était pas bien difficile ils étaient que 3 membres alors que dans le bar ils s'était au moins une vingtaine.
Alors que la soirée s'annonçait bien, que pour une fois les gars se comporter respectablement en s'amusant sans en faire trop, j'avais décidé de profiter de cet instant de calme, pour faire une pause et prendre l'air. dans la salle tout était réglé comme du papier à musique, grâce au serveuse qui se sont révélé très efficace , que Jeff avait réclamé pour m'aider et ne voulant pas me laisser seul, avait décidé sans mon consentement qu'un prospect resterait avec moi, me suivant comme mon ombre, enfin presque quand il a croisé julia et son sourire mutin, il ma oublié comme par enchantement et c'est mit a la draguer de façon intensive et franchementpas discrète. Tant et si bien qu'ils son passés leur soirée a se tourner au tour, c'etait hilarant et quelques part je la remercie car j'ai filé dehors fumé tranquillement ma clope. même si au début je ne voulais pas de lui ,au final heureusement qu'il était là.
Pendant que j'étais dehors en train de fumer tranquillement, ce qui arrive très rarement d'ailleurs, sauf quand je suis stressé. pendant que le prospect qui ma complètement zapper , il s'appelle jude je crois est occupé a draguer une de mes serveuse, qui soit dit en passant est très belle, j'ai la paix ,cette idiot est tombé dans ses filet. Je rit en y repensant a leurs manèges pour se faire discret,c'était pathétique . ah la la il ne changeront jamais c'est mecs me dis-je en secouant ma tête de droite à gauche . Dans mes pensée je n'ai pas vu tout de suite deux ombres s'approcher de moi en s'appliquant a faire le moindre bruit possible. Je m'en aperçoit quand l'un des deux fait claquer trop fort ses bottes de moto sur le bitume, les deux gars me sont tombés dessus avec un air menaçant un couteau de chasse a la main d'un rouquin coiffer d'une crête a l'allure frele et d'une bate de base-ball a la main pour un monstre blond d'au moins 2 mètre qui a la gueule toute rayer . me prenant sans doute pour une brebis, leur yeux me détaille avec envie non feinte .mais il se goure malgré mes fringues je ne suis pas une brebis et je ne serais jamais une brebis . C'est deux abrutis se tenant à un mètre de moi, me saute dessus sans préavis et je me defend comme je peut , car il faut dire que le molosse pèse son poids et deux hommes contre moi c'est une partie perdue d'avance mais je baisse pas les bras . avec le bruit que l'on a causé en se battant l'arrière du bar, le prospect a déboulé comme une bombe arme au poings pret a tiré, les menaçant ce qui quelque part m'a sauvé la vie, surtout quand il a trouer la cuisse du géant, égorgé le rouquin a la crête d'une balle dans la gorge.
Finalement heureusement que jeff ma appris à me défendre et a désarmé mon adversaire quelques soit l'arme qu'il a en sa possession, si non j'aurais été poignardé et sûrement battu a mort a coup de batte avant de perdre la vie a l'arrière du bar de jeff, mais sa ma pas empêcher de me retrouver dans une mauvaise posture, de corps entremêlés, un vrai foutoir.
La seul chose dont je me souviens c'est jude devant l'ambulance, faisant les cent pas devant une main dans sa tignace affolé, hurlant dans son téléphone avec la moitié des bikers qui était dans le bar nous entourant ,c'est a se moment là que mes paupières se ferme pour un long long sommeil ou j'entends le claquement des portes qui se referme sur moi allongé dans un brancard.
Je sursaute mais ne bouge pas, je sais qui vient de rentrer comme un bourrin dans cette chambre,les bruit des botte qui se rapproche du lit, mais pour une raison bizarre j'ai décidé de les ignorer.
《 c'est lui 》claironne ma conscience
je sais Putain, me dis-je désespérer
J'ai peur voilà c'est dit, depuis se qui met arrivé aucun homme ne sais approcher de moi ,sans se casser les dents et sa dure depuis 5 ans et lui arrive et décide comme ça a détruire toute mes barrières s'inflitrant dans ma bulle de protection sans me demander ma permission, il fait chier.
Je dégluti malgré moi quand je le sens proche de mon lit d'un pas déterminé ,je sens le matelas de mon lit s'affaisser sous son poids, l'odeur de sa presence flotte jusqu'à mon nez et sans me demander mon avis m'oblige à tourner la tête vers lui en passant sa paume chaude sous mon menton, refermant ses doigts sur ma peau en le tirant vers lui, alors que je fait tout pour garder obstinément la tête tournée vers la fenêtre, pour ne pas croiser son regard. je lutte en crispant mes mâchoires comme je peux, baissant les yeux sur le sol devant ma fenêtre, voulant éviter à tout prit ses yeux , de peur de me perdre dans la couleur de ses iris , mais lui il ne lâche pas le morceau cette tête de mule de viking et insiste encore plus.
Une grognements sort de sa cage thoracique.
__ arrête de me fuire bon sang maya regarde moi dit killing sur un ton autoritaire.
Je secoue la tête le bas du visage encore bloqué par sa main
__ pourquoi faire je m'oppose
__ se que tu peux être borner regarde moi dit-il agacé ou je m'en charge,turbo garde la porte mon frère.
__ ok pas de soucis dit-il sourire goguenard au lèvre se moquant de lui fermant la porte derrière lui après un dernier regard comprenant que killing voulait rester seul avec moi.
Je savais pas qu'il n'était pas seul, faut dire que l'autre était pas discret ,la honte serieux . aussitôt la porte refermer qu'il
Lache mon visage pour mieux m'attraper par le haut des bras pour me retourner face lui, cette fois je n'ai plus le choix que de le regarder bien en face et quand je voie l'expression de la colère mêler a de la tristesse ,je reste un moment silencieuse a réfléchir 1 minute et lui dit
__ tu n'a pas a être fâché, c'est plutôt a moi de l'être, non mais sans blague dis-je revêche maintenant mes yeux bien ancré dans les siens.
Un sourire malicieux finit par effleuré ses lèvres avec ses doigts ancré dans ma peau, il penche la tête sur le côtés songeur , ses yeux se baladant sur tout mon visage et sans prévenir me soulève un peu, faisant allongé son buste vers moi, me laissant pas le temps de répliquer quoi que se soit et colle ses lèvres sur les miennes m'embrassant a pleine bouche, me coupant les sifflet.
Essoufflé de se baisé qui me parut une éternité et bien évidemment mon corps ne ma pas écouté du tout car mes lèvres ont répondus a se putain de baisé .
Contrarié je grogne les lèvres humide en le fusillant du regard, killing sa lui fait ni chaud ni froid sourit fière de lui, puis soudain son visage change du tout au tout, très sérieux me dit prêt de mes lèvres .
__ maintenant je te laisse plus le choix, soit tu accepte, soit je ferai en sorte que tu le face et crois moi je n'attend que sa dit-il déterminé
《 oups》
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top