Jefferson Harding

Il est 3 heure du matin et elles ne sont pas rentrées

J’étais furieux contre elles, faisant les cents dans le salon de Maya, en train de me demander ce qu’elle était en train de manigancer derrière mon dos ,si elles n’étaient pas en danger face à ces pourritures de frères de merde de la mafia «  les frères Cramers « , j’avais tellement peur pour elles que mon estomac se nouer en faisant des saltos dans mon abdomen en compressant mon cœur au passage , ma gorge me faisait un mal de chien, plus lourde qu’une enclume de bateau.

Ruminant ma peur de les perdre toute les deux , concentré uniquement la dessus, je ne faisais plus attention à Killing qui était tout aussi stresser que moi, ni a Alba qui se tenait en retrait intimidé en se triturant ses doigts dans tout les sens .

Ce qui me chiffonne c’est de voir Killing aussi inquiet que je pouvais l’être, alors qu'il les connaissaient à peine. Surtout Maya ,bon d’accord il l’avait vu plus d’une fois sur la scène et au bar, mais il ne la connaissais pas intimement .Killing ne la voyait que comme une simple employé et une danseuses sans savoir que c’était la même femme qui se cachait sous tout ses déguisement, je sais qu’il a était surpris, de savoir que cette fille timide et coincé engoncer dans une tonne de vêtements, agissant comme une nonne le jour et la nuit dansait dans club de streep comme la séductrice qu’elle incarne.

《 Reeza que dire d’elle》

Depuis le premier jour cette femme ma illuminé tout d’abord par sa présence, son charisme ensuite, son caractère bien trempé, elle a tout d’une régulière . cette déesse espagnole à la langue acéré mais tellement envoûtante ma retourné le cerveau, ouais sauf que la maintenant, je veux la tuer pour l’inquiétude qui bouillonne en moi.

Je voie bien Alba aussi inquiète que nous, mais ne bronche pas. A mon avis mon emmerdeuse et Maya lui ont interdit de parler, fait chier .

Mais bizarrement même sans que Alba le dise ,elle n’a pas besoin ,je sais où les filles se planque, la première fois elles m’ont mentis avec une histoire d’enterrement, maintenant elle vont m’inventer quoi cette fois.

Agacé je hurle ma colère sans prévenir en serrant les poings que j’envoie dans le mur histoire de me soulager, c’est plus fort que moi mais ça ne m’apaise pas pour autant, faisant frémir Alba et grogner Killing comprenant tout a fait mon état.

Alba songeuse finit par sursauter quand son téléphone se manifeste et nous la voyons fuir vers les wc en parlant espagnol, Killing à mes côtés la regarde partir en courant suspicieux les sourcils se rejoignant au dessus de ses yeux

__ tu crois que c’est Reeza

__ oh oui il y a pas de doute la dessus dis-je énervé

__ Putin elles font chier ces deux-là et ou peuvent-elles bien être ,tu en as une idée toi me demande t-il curieux

__ oui

__ et dit-il m’invitant a en révélé plus

__ Boston

__ bordel mais elles sont folles ou quoi elle cherche à mourir qu’est-ce qu’elles font là-bas

__ Maya veut se venger de ce qu’ils lui ont fait subir y a 5 ans mais ce que je n’apprécie pas c’est qu’elle ne m’a pas parlé, qu’elle me le cache.

__ je pense que si elle n’a rien dit c’est que ça va très bien, que tu l’aurais empêché d’y aller et moi avec jamais elle serai aller si je l’avais su

__ tu t’intéresses à Maya maintenant toi

__ disons qu’elle m’intrigue pour être franc avec toi elle me plaît beaucoup

Fatigué et énervé je me tourne vers lui et plante mon regard dans le sien en lui faisant comprendre que je n’apprécie pas trop ce qu’il venait de m’avouer

__ attention Killing un faux pas, tu lui fais du mal de quelle que manière que ce soit et frère ou pas frère je te coupe en deux as-tu compris

Killing me regarde les yeux grands ouverts absolument pas effrayé par mes paroles et il se mit à rire les yeux bordé de larmes et me dit le souffle saccadé

__ merde tu es trop drôle Jeff, non tu n’as aucune inquiétude à avoir je ne lui ferais jamais de mal je sais trop par quoi elle est passée grâce à toi donc non, se n'ai pas dans mon intérêts et puis si j’avais juste envie d’une vie de couilles j’aurais pris une brebis donc tu n’as pas à t’en faire

Fouillant son regard à l’affût du moindre mensonge je m’aperçois qu’il n’en ai rien.

__ j’espère je lui dit sans le quitter des yeux

Alba finit par sortir de sa cachette l’air affolé et crie les bras tendue devant, téléphone a la main

__ vite vite il faut aller les chercher a Boston, sa c’est mal passé elles sont blessés s’il vous plaît supplie t-elle en larmes et toute tremblante.

Et il est presque 5 heure, bordel qu’est-ce qu’elles ont foutus pendant tout ce temps

__ putain je grogne en passant une main nerveuse dans mes cheveux en croisant le regard Killing, les yeux devenue sombre par la colère. Avant d’aller à mon garage je dis à Alba ou sont-t-elles

__ dès que je l’adresse je vous la donne Senior Jeff dit-elle.

La peur noir nouant mes tripes et le cœur frôlant les 1000 à l’heure ,je ne perds pas de temps ,je file en courant comme un dératé vers ma moto, monte dessus et au moment de franchir la porte j'appuie sur la télécommande de la porte du garage pour qu’elle s’ouvre et au moment d’allumer le contact et de passer , j’entends le bruit étouffer d’une petite sonnerie de portable au loin , c’est sûrement un message de Reeza, la grosse voix de Killing s’exprime, il va sûrement s’empresser récupérer l’adresse .

__ donne moi l’adresse dit Killing au moment ou je mets le contact faisant vrombir le moteur de ma Harley

Qu’est-ce que j’avais dit j’en étais sûr, en sortant de chez moi je le découvre déjà installé sur sa moto et les deux mains sur le guidon jouant avec les commandes de sa moto qui fait vrombir le moteur d’impatience, je vois qu’il n’attend que moi pour partir rejoindre les filles , je passe devant lui et nous roulons à pleine balle grillant toutes les priorités .de toute manière j’en ai rien à secouer, une seule chose m’intéresse c’est deux folle qui sont en danger là-bas à Boston.

À la vitesse où nous avons roulez, nous mettons trois quart d’heure en arrivant à Boston, je suis obligé arrêter aux portes de la ville de laisser passer Killing devant moi car c’est lui qui a l’adresse de l’hôtel où réside les filles et comme j’ai hâte de les voir je le suis de près, j’en ai des palpitations depuis que l’on est là, cette ville me rappelle trop de mauvais souvenirs rattaché a maya. Pas que ma mission ce jour là c’est mal passé, non, c’est plutôt ma découverte qu’on peu  appelé de macabre, oui, elle était dans un telle état et enceinte en plus de sa. Ca aussi sa a été l’horreur pour elle ,l’hôpital puis Jim et sa vie avant sa, franchement ma pauvre 

Maya n’a pas vraiment eu de chance dans la vie ,sa non. Alors quand je vois Killing qui s’était foutu de sa gueule au départ, se rapprocher d’elle de plus en plus ,je me fout de sa sincérité, pourtant je l’ai avertis que si il lui venait l’idée de jouer á ses dépends, frère ou pas je le démonte sans passé par la case pardon, je le tue clair et nette.

Quand je vois Killing ralentir, car l’arrière de sa triomph est plus proche de moi et s’arrêter devant un hôtel à allure louche je tiques et me dit

《 putain me dit pas qu’elles ont réservé la quand même, sa doit pourrie la dedans 》

Killing lui ne perd pas de temps en stoppant sa moto, coupe le moteur et descend de sa bécane en enlevant son casque finissant par m’attendre à côté de la porte. Il n’a même pas prit le temps de regarder l’état délabré de ce boui-boui.

J’ai un moment de flottement les yeux égaré au quatre coin sur ce bout de trottoir, toujours chevauchant ma moto, avant que les yeux de Killing me pressent de venir, son regard est sombre remplie, grave et surtout très sérieux frôlant l’inquiétude qui doit le bouffer aussi. Alors dans des gestes au ralentie les yeux détaillant le bâtiment qui nous fait face je descends de ma moto, pose mon casque et comme si on avait tiré un coup en l’air pour signaler un départ je cours vers la porte tambour sans attendre Killing qui est finalement sur mes talons et s’arrête aussi sec quand moi dégoûté je me stoppe dégoûté par la vu du halle défraichie et suranné ,< beurk> me dis-je

《 mais putain pourquoi elles ont choisis cette hôtel pourri bordel, il y en a d’autre à Boston merde et des mieux que celui-là 》, je me pince les lèvres pour m’empêcher d’hurlé ma rage, devant le vieil homme frêle, au teint glabre ,les yeux fatiguée, qui ce tient devant moi dans un costard trois fois trop grand pour lui et user jusqu’à la corde, sentant sûrement là naphtaline, qui n’attend qu’une chose que l’on choisissent une ou deux chambres.

Sans perdre de temps je me dirigea rapidement vers lui les nerfs à fleur de peau suivi par Killing gueule son corps raidi derrière moi ces gens comprendre que lui aussi n’en pouvais plus et qu’il avait hâte de les rejoindre et c’est sur cette constatation que je demande d’une voix fébrile au maître d’hôtel qui se tient légèrement courbé devant moi

__ mes deux sœur sont arrivés c’est hier puis-je avoir un l’art numéro de chambre.

__ mais bien sûr monsieur me dit le maître d’hôtel d’une voix fluette

Je le vois parcourir son livre des entrées et des sorties pendant quelques minutes recherche de leur nom et du numéro de chambre, ce qui me paraissent des heures trépignant sur place je jette un coup d’œil derrière mon épaule pour voir l’état de Killing et bien évidemment lui aussi n’en mène pas large, grognant presque d’impatience.

__ ah oui dit-il en se frappant le front comme c’était normal. J’ai trouvé la chambre 314 c’est au 2e étage est-ce que vous voulez la deuxième clé ?, me pose t-il la question

Sans poser plus de question je lui arrache la clé des mains, sous son regard ahuri et lui dit

__ merci c’est très gentil l’assurais-je ,de me le proposer effectivement ça serait pratique et sans attendre je quitte le comptoir et rejoint l’ascenseur avec toujours le même derrière moi.

Dans l’ascenseur quand les portes se referment sur nous, nous trépignons tous les deux sur les nerfs, cet ascenseur monte lentement et je serre les poings convulsivement tant la peur de bouffe les tripes, en appréhendant ce que je vais découvrir dans cette chambre. Je sens que ça va pas du tout me plaire et que je pourrai pas retenir ma colère qui gronde en moi et qui commence à déborder par tous les pores de ma peau. Quand l’ascenseur s’arrête nous attendons qu’une fraction de seconde le temps que les deux porte s’écarte pour franchir le pas et nous retrouver dans le couloir qui mènent la chambre des filles, je trouve rapidement la chambre 314 et fonce droit devant je ne prends pas la peine de frapper à la porte et me sers de la clé pour rentrer sous les petits cris de surprise de Reeza en nous entendant débouler dans la pièce .et là sur le palier je reste figée dans l’horreur, là devant moi je vois Maya allongé les yeux fermé le visage froissé par la douleur, ni une ni deux je fonce vers elle les deux les deux mains dans mes cheveux tirant fort dessus, le cœur battant à tout rompre, à s’en extraire de ma poitrine et m’arrête pile-poil au pied du lit la détaillant de la tête aux pieds d’un regard fiévreux consumé d’une douleur sans pareille, le cœur enflammé tordu dans tous les sens et l’estomac retourné à la limite de la nausée , dans un souffle je dis en ne la lâchant pas du regard.

__ mon dieu Maya mais qu’est-ce que tu as fait bon Dieu soufflai-je au bord de l’asphyxie.

Je perçois un mouvement sur le côté droit et du coin de l’ œil je vois Reeza d’être attiré sa prochaine moi une main levée devant elle pour toucher mon bras et me dire avec douceur.

__ une de mes connaissances est venue et les médecins et il lui a fait une occultation et une échographie avec un appareil portatif qu’il avait ramené avec lui à ma demande

Je soupire soulagée dans tout l’air de mes poumons un poids énorme s’enlève de mes épaules quand je vois le visage de la miss se radoucir et j’entends Killing qui avait retenu sa respiration, faire de même, je l’avais complètement oublié.

__ tout va bien maintenant la lame n’était pas passé très loin du foie mais heureusement il l’a juste frôler de quelques millimètres elle va s’en sortir il a déjà faite nécessaire et sa plaie a été recousu et il m’a donné quelques médicaments pour la douleur et pour l’infection elle va s’en sortir rassure-toi me dit-elle en me caressant la joue d’un geste tendre.

Derrière moi Killing lâche un juron en grognant des mots incompréhensibles, je m’en fiche pour le moment je verrai ça plus tard et moi dans un geste de soulagement je ferme les yeux et penche ma tête sur le côté pour sentir la paume de main de ma belle espagnole, qui me caresse la joue à l’aide de son pousse.

Soulager je tends mes bras et l’attira moi et délicatement je pense ma tête pour déposer un léger baiser sur ses lèvres qu’elle me redonne sans attendre puis dans un souffle sur mes lèvres elle marmonne

__ c’est fini enfin

__ heureusement grogne Killing qui a entendu ces mots

Reeza détourne juste son regard vers lui, gare dans sa tête face à moi et lui dit en s’écartant légèrement de ma tête

__ oui c’est fini mais tout ce que toute manière Qu’est-ce que ça peut te faire dit-elle sur un ton sec

__ oui ça me fait dit-il énervé

__ Ah bon première nouvelle dit-elle sarcastique

Je les stop d’une main autoritaire et mon froncement de sourcils fini de le convaincre , Killing et Reeza acquiesce tous les deux, en ne pipant plus un mot. Je trouve que ce n’est pas vraiment l’endroit et le moment pour s’expliquer nous aurons tout le temps une fois rentré pour parler à cœur ouvert et d’ailleurs c’est ce que je leur dis

__ je trouve que ce n’est juste pas le moment de se prendre la tête on a largement le temps de discuter à cœur ouvert et tu sais mettre les points sur les i une fois rentré pour le moment il faut juste la ramener.

__ je sais me dit-elle j’ai tout prévu pour qu’elle rentre confortablement sans souffrir

__ très bien lui dis-je et dans quoi tu comptes l’emmener

Elle me sourit et me dis pour me rassurer

__ t’inquiète j’ai tout prévu un break nous attend en bas et j’ai installé un petit matelas pour qu’elle soit bien à l’aise, pour vous je suppose que vous êtes venu en moto

__ oui

__ très bien allons-y dit-elle ne perdons pas de temps

Killing monté sur ressort nous contourne rapidement sans nous laisser le temps de souffler et prend avec douceur et précaution Maya dans ses bras et se tourne vers nous une balance d’un ton ferme, qui ne nécessite pas à la négociation.

__ je suis prêt on peut y aller

Reeza sourit en voyant Maya dans ses bras, récupère rapidement leurs sacs et nous suit jusqu’à dehors dans le couloir nous l’attendons impatient, elle ferme la porte à clé ,nous prenons l’ascenseur et une fois arrivé à l’accueil règle les dernières modalités en payant le prix d’une chambre le regard scrutateur du maître d’hôtel qui se demande pourquoi Maya est dans les bras de Killing endormie .

Reeza le remarque et balance l’air de rien

__ ne vous en faites pas ma sœur est malade on l’emmène à l’hôpital dit-elle d’un ton impassible

Le majordome ne puis pas un mot et acquiesce en se passant les lèvres mais n’en rajoute pas sous le regard noir de ma furie et je me réjouis d’être l’homme qu’elle a choisi mais je mets tout ça de côté car il y a plus important pour le moment je verrai ça avec elle en tête-à-tête quand je serai sûre que Maya sera en sécurité pour le moment nous devons partir le cœur léger cette fois-ci de savoir qu’elles sont saines et sauves

《 enfin presque》

Nous quittons rapidement cet hôtel tout pourri d’ailleurs en y repensant ça aussi il faudra qu’on en parle, il va falloir que je leur pose la question pourquoi elles ont choisi cet hôtel pourri. Mais pour l’heure la n’est pas la question nous devons vite rentrer pour que Maya se repose et guérisse de sa blessure

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Corriger par lola parisod