Chapitre 11: Percy

Yo les Ombres, comment allez vous ? Comme vous l'aurez deviné le chapitre d'aujourd'hui seras consacré au point de vue de Percy. Et donc le derniere serat pour notre fils d'Hadès préféré. Se chapitre oscille beaucoup entre tristesse et humour, à vous de me dire se que vous avez préféré. Allez je vous laisse lire, on se retrouve en bas.

La première chose qui me sauta aux yeux quand nous sommes sortis du couloir d’ombre fut la désolation des lieux. Pendant une seconde j’ai cru que Hadès nous avait balancé au Tartare. Mais en y prêtant plus attention, l’atmosphère était moins étouffante, on ne se sentait pas constamment observé et il n’y avait pas de fleuves de feu à l’horizon.

Respire Percy, tu n’es pas en danger, tu es avec Will et Nico aux Enfers, tu n’es plus au Tartare.

Je respirai profondément pour me calmer et me tournai vers mes amis. Will s’était rapproché de Nico et semblait lui parler. Ne voulant pas les déranger je me tournai vers l’entrée de la grotte.

Au palais des Enfers, Hadès avait dit que ce qui se passerait dans la grotte dépendrait de notre cœur. Je ne l’aurais jamais avoué à voie haute mais je n'étais absolument pas confiant. 

Depuis mon passage au Tartare et ma rencontre avec une certaine déesse des poisons, je me sentais au bord du gouffre, près à chuter à tout moment. Je le cachais sous ma bonne humeur habituelle mais ce moment me hantait de plus en plus.

-On devrait y allez ! Dit Nico, interrompant le fil de ma pensée.

-Oui tu as raison. Lui répondit Will.

J’acquiesçai en silence et d’un même pas, nous franchîmes l’entrée de la grotte.

~

Je ne fus pas surpris de me retrouver seul, une fois le seuil franchit. C’était un effet assez récurant des endroit prévus pour tester les héros. Mais ce n’est pas pour autant que je ne restais pas sur mes gardes.

J’avancais d’un pas rapide depuis environ 15 minutes quand l’atmosphère changea. La fraicheur de la grotte fut remplacée par une douce brise marine, l’air sentant auparavant le renfermé était désormais envahie d’iode. Une lumière aveuglante me força à fermer les yeux.

Quand je pus les rouvrir, j’étais debout sur une plage face à la mer, un magnifique couché de soleil me faisant face. Un lieux très romantique. Lieu que je connaissais puisqu'il s’agissait de la plage de la colonie.

-C’est un magnifique couché de soleil n’est ce pas ? Intervint une voix derrière moi. 

Je sursautai, perdu dans mes contemplations je ne l'avais pas entendu approcher. Malgré tout j’avais reconnu la voix. D’un seul mouvement je me retournai et enlaçai la dite personne, me perdant dans ses magnifique yeux gris orage.

-Annie, j’ai eu tellement peur, j’ai cru que je ne te reverai plus jamais. Hadès semblait peut optimiste pour la colonie, comment avez vous fait pour vous libérer ? Et comment j’ai fait pour atterrir ici ? J’étais dans…..dans….. Oh et puis on s’en moque, l’important c’est que tu ailles bien.

J’avais prononcé ces mots tellement vite, qu’Annabeth n’avait probablement rien compris.

-Moins vite cervelle d’algues, je ne comprend rien à….

Je ne lui laissai pas le temps de répondre et l’embrassai tendrement. C’était un baiser amoureux et passionné, nous participions autant l’un que l’autre. J’avais fermé les yeux pour savourer pleinement ce moment.

Au bout de quelques secondes, Annabeth posa ses mains sur mon torse pour me repousser. Surpris, je me reculai de quelques pas.

-Quelque chose ne vas pas Annie ? Demandais-je, inquiet. 

Annabeth me regardait froidement et ne semblait pas être dans son état normal.

-Percy, il faut qu’on parle !

-J’ai fait quelque chose de mal ? Demandais-je paniqué.

Annabeth semblait décontenancée.

-Tu te poses sérieusement la question ? Percy, rappelle toi au tartare, tu as perdu le contrôle face à Achlys, tu m'as fait extrêmement peur. Tu es un danger pour le monde, un danger pour moi. Je ne veux plus rien avoir à faire avec toi, c’est fini entre nous. Conclut-elle avant de faire demi-tour et de disparaître de mon champ de vision.

Que venait il de se passer ? Ça ne pouvais pas être réel. Annabeth et étions faits l’un pour l’autre. Elle ne pouvait pas me quitter. Elle ne pouvait pas me regarder avec autant de haine. Je m’écroulai sur le sable, les larmes coulant à flot.

-Ce n’est pas possible. Ce n’est pas possible. Répétais-je, pour me convaincre que j’avais rêvé. 

Je ne sais pas combien de temps je suis resté comme ça, à pleurer sur la plage, mais je finis par sentir une présence. Quelqu'un était assis à côté de moi. Je ne pouvais pas voir de qui il s’agissait, à cause de ma vision trouble. Mais je n’avait absolument pas besoin de le voir pour savoir qui il était. Il s’était assit et ne disait rien, il semblait attendre que je me calme.

À la colonie tout le monde avait peur de lui sous prétexte qu’il était un enfant d’Hadès et qu’il ne dégageait pas de chaleur. Pourtant, à mes yeux, il était différent. Je ne vais pas mentir, au début il me faisait un peux peur, mais avec le temps j’ai appris à l’apprécier et nous avons fini par être amis. Seulement amis ?

Je savais que Nico avait été attiré par moi, il me l’avait révélé quand nous avons vaincu Gaïa. Je dois avouer que sur le moment je n’ai pas tellement compris ce qu’il me trouvait. Je n’ai rien d’exceptionnel, je suis même plutôt gauche et j’en ai pleinement conscience. Tout le monde me le répète, surtout Annabeth.

Repenser à elle n’arrangea pas mon état, je me recroquevillai encore plus sur moi-même, et sanglotai de plus belle. Soudain je sentis une main sur mon épaule, je n’avais, encore une fois, pas entendu Nico s’approcher. 

J’aimerais bien dire que tout ce qui s’est passé ensuite était un accident, mais pourtant j’étais pleinement conscient de mes actes, et ça ne m'a pas laissé de marbre. 

Nico passa un bras en travers de mes épaules, pour me consoler. et semblait cherché ces mots. Je ne lui laissa pas le temps d’ouvrir la bouche, instinctivement je me suis jeté dans ses bras et tenta de lui expliquer ma situation entre deux sanglots. 

-Nico…..snif….Annabeth……elle est partie……elle…….smurf….je lui fais peur...

Il passa une main dans mon dos et commença de douces caresses.

-Calme toi Percy. Je suis au courant, Will me l'a dit.

Ma tête était collé contre le torse de Nico, et je mouillais sont t-shirt noir de mes larmes. J’émis un petit son que seul Nico put entendre.

-Will ?

Nico parut gêné.

-Oui, il me l'a dit quand…..il regarda l’horizon pour se donner une contenance…quand il m'a dit qu’Annabeth et lui s’était officiellement mis ensemble.

Je manquai de m’étrangler suite à cette révélation. Je me redressai et regardai Nico dans les yeux.

-Que…..Quoi ? Demandais-je, choqué.

Nico baissa les yeux vers moi.

-Je suis allé le voir pour ma visite médicale quotidienne tout à l’heure et il ne m'a pas semblé très concentré. Je lui ai donc demandé ce qu’il avait à s’agiter autant. C’est la qu’il me la dit. Je suis vraiment désolé Percy, je ne pensais pas que Will pourrait faire une chose pareil, TE faire une chose pareil.

Et dire que je pensais que je ne pouvais pas être encore plus au fond du trou. Le fait d’avoir perdu Annie me faisait déjà beaucoup souffrir, mais en plus d'apprendre qu’elle me trompait.

Je m’effondrai contre Nico. Je ne pleurais plus. J’étais brisé. Brisé de l’intérieur. Quand Annabeth était entrée dans ma vie, elle avait tout chamboulé, dans le bon sens du terme. Elle avait rajouté le piment qu’il manquait a ma vie fade et terne. Elle était la symphonie dont j’étais le musicien. Je ne suis rien sans elle. Elle est mon guide, ma boussole, ma raison d’être. Et jusqu’à aujourd'hui je pensais que c'était réciproque. 

Je me retournai, le regard se perdant sur la surface de la mer, la tête posée sur la cuisse de Nico. Il passa une main dans mes cheveux et entama une douce chanson en italiens:

Lui se n'è andato e non ritorna più

(Il s'en est allé et il ne reviendra plus)

E il treno delle 7 : 30 senza lui

(Et le train de 7 : 30 sans lui)

È un cuore di metallo senza l'anima

(Est un cœur de métal sans âme)

Nel freddo del matino grigio di città

(Dans le froid d'un matin gris citadin)

A scuola il banco è vuoto, Lui è dentro me

(A l'école le banc est vide, Il est en moi)

È dolce il suo respiro fra i pensieri miei

(Son souffle est doux dans mes pensées)

Distanze enormi sembrano dividerci

(De grandes distances semblent nous séparer)

Ma il cuore batte forte dentro me

(Mais mon cœur bat fort en moi)

Chissà se tu mi penserai

(Qui sait si tu penseras à moi)

Se con i tuoi non parli mai

(Si avec tes proches tu ne parles jamais)

Se ti nascondi come me

(Si tu te caches comme moi)

Sfuggi gli sguardi e te ne stai

(Fuis les regards et tu restes)

Rinchiuso in camera e non vuoi mangiare

(Enfermé dans ta chambre et refuses de manger)

Stringi forte al te il cuscino

(Serre fort contre toi le coussin)

Piangi

(Et tu pleures)

Non lo sai quantro altro male ti farà la solitudine

(Tu ne sais pas quelle autre souffrance t'apportera la solitude)

La solitudine fra noi

(La solitude entre nous)

Questo silenzio dentro me

(Ce silence en moi)

È l'inquietudine di vivere

(C'est l'inquiétude de faire)

La vita senza te

(Ma vie sans toi)

Ti prego aspettami perché

(Je t'en prie attends-moi parce que)

Non posso stare senza te

(Je ne peux pas rester sans toi)

Non è possibile dividere

(Il n'est pas possible de séparer)

La storia di noi due.

(Notre histoire à tous les deux)

Mon regard était perdu sur le royaume de mon père. Cette Chanson était magnifique, mélancolique, je pouvais le sentir même en me comprenant pas l’italien.

Je sentis une larme tomber sur mon front. Je relevai les yeux et vis que Nico pleurait. Mais pourquoi ? Si quelqu'un avait une raison de pleurer c’était bien moi. Qu’est-ce qui rendait Nico si mélancolique ? 

Soudain ça me revint, il y a quelque semaine j’avais surpris une conversation entre Nico et Jason dans le bungalow 13.

\\ Flash back //

Percy partit en direction du bungalow d’Hadès avec l’intention de réquisitionner le Roi fantôme, afin de s’entraîner avec lui. Après tout Nico était l’un des meilleurs épéistes de la colonie alors autant en profiter pour s’améliorer. En arrivant devant la porte, il entendit des voix. Bien que ce ne soit pas à son habitude, il décida d’écouter  ce qu’elles disaient, et entrouvit la porte. Nico était assit sur son lit, Jason était en face de lui, un sac caché dans son dos.

-Bon qu’est-ce qui t’amène Jason ? Demanda Nico.

-J’ai une surprise pour toi Nicks. Dit il en lui tendant le sac.

Nico émis un grognement désapprobateur et saisi le paquet.

-Je t’ai déjà dit de pas m’appeler comme ça, j’aime pas. Et je peux savoir pourquoi tu m’offres un cadeau ? Ce n’est pourtant pas mon anniversaire. Dit il en déballant son présent, avec une impatience à peine camouflée.

-Moi je trouve ça plutôt cool comme surnom. Je n’est pas le droit de faire un cadeau à un ami ?

Percy entendit Nico se débattre avec le cadeau en lâchant quelque insultes en italien sur le fait que Jason ne savait pas emballer un paquet.

Puis il y eu un silence, signe que l’emballage démoniaque avait enfin été vaincu.

-C’est une blague j’espère ?  Demanda Nico après quelques secondes de silence.

Jason ne put retenir un rire.

-Je trouve que tu ne portes pas assez souvent de couleur, le noir c’est cool mais j’ai beaucoup aimé le t-shirt hawaïen que tu portais pour te battre contre Gaïa.

Jason finit par s’écrouler de rire sur le lit de Nico et Percy pu apercevoir le sujet de la discussion des deux sang-mêlés : Nico tenait un caleçon multicolore avec une licorne dessinée dessus.

Nico regardait Jason avec désespoir :

-Tu es un gamin Jason.

Jason se tu et regarda Nico avec un air sérieux.

-Redevenons sérieux ! Ça avance avec Will ?

Nico rougit violemment et détourna le regard gêné .

-Je vois pas de quoi tu parles…

Jason se redressa et rigola.

-On me la fait pas à moi, je vois très bien que tu craques pour lui. Tu ne peux rien me cacher.

Nico se tourna peu à peu vers Jason et devant son expression bienveillante il céda.

-Honnêtement, je ne sais pas vraiment ce que je ressens pour lui. Mes sentiments pour Percy ne sont pas encore totalement disparus. Et puis, il n’est même pas gay.

Jason regarda tristement Nico et leva les yeux au ciel.

-Tu ne le sauras jamais si tu ne lui demande pas, c’est comme pour Percy

-Je n’oserais jamais, il va me rejeter. Et en quoi c’est comme pour Percy ? Il ne ressent rien pour moi.

Hélas Percy n’entendit jamais la réponse de Jason à la grande question de Nico. Il avait fini par s’endormir contre la porte du bungalow 13, et ne se réveilla que quand Jason ouvrit la porte pour s’en aller ; donnant lieu à une situation des plus gênante pour Percy.

\\ Fin du flash back //

Une autre larme de Nico me tira de mes souvenirs. Il était amoureux de Will. C’est donc pour ça qu’il pleurait. 

Le pauvre, il n’avait déjà pas eu une vie facile, mais en plus il était tombé amoureux de deux personnes qui ne lui avaient pas retourné ses sentiments. Je n’avait jamais autant compris sa souffrance.

Du révère de la main il essuya ses larmes et baissa la tête vers moi.

Mon regard accrocha le sien. Ses yeux était d’un noir intense ; profond. Mais on y percevait aussi un profond mal être, un manque. 

J’avais envie de combler ce manque, mais en avais-je le droit, était-ce vraiment ma place ?

Laissant de côté mes interrogations, je suivis mon impulsion et combla les derniers centimètres qui nous séparaient en scellant nos lèvres ensembles.

Nico sursauta, surpris de mon geste. Je dois avoué que je ne m’attendais pas non plus à réagir comme ça. J'ai toujours considéré Nico comme un petit frère, pas comme un petit ami potentiel. Bien que ces derniers temps mes sentiment soient brouillés, je n’étais plus sur de rien, je ne savais plus exactement ce que je ressentais.

Nico finit par réagir et commença à bouger ses lèvres contre les miennes. Voyant qu’il ne me repoussait pas, je me plaça à sa hauteur et glissa ma main dans son dos pour le rapprocher de moi. Le baiser s’intensifia, j’essayais de garder le contrôle de mes mouvement, mais c'était peine perdue. 

Je détachai brièvement nos lèvres et poussai Nico pour qu’il se couche sur le sable.

-Percy, tu es sur de ce que tu fais ? Tu es sur d’en avoir vraiment envie ? Demanda t’il essoufflé.

Je dirigeai ma main vers son visage, effleurant sa joue. Puis je l’embrassai de nouveau, avec toute l’affection que je pouvais lui donner. Je le sentis sourire contre mes lèvres et le vit retirer sa veste d’aviateur pour se coucher en t-shirt sur le sable fin de la plage.

Tout en faisant attention à ne pas lui faire mal, je me positionnai au dessus de lui et déposai un doux baiser sur ses lèvres. Je finis par descendre au niveau de son cou, mordillant sensuellement sa peau,  provoquant des soubresaut de plaisir, se rependant dans tout le corps de mon petit italien. Il finit par pousser un petit cris de chat.

-Haaaaann Percy,….... gémissait il en se mordillant la lèvre inférieure.

Je glissai une main sous son t-shirt, réchauffant sa peaux frigorifiée, le faisant frissonner.

-Tu es très sensible, voilà qui est intéressant, Mort junior ! Dis je en souriant.

Il se mordait les lèvres pour ne pas faire trop de bruit. Je fondis à nouveau sur ses lèvres, lui retirant sont t-shirt au passage. Il avait la peau du torse encore plus pâle que celle de son visage. Elle semblait briller à la lumière de la lune. 

Sont torse était finement musclé malgré la maigreur extrême de son corps.  Je recouvris son torse de baisers papillons, pour finalement retrouver ses lèvres et l’embrasser fougueusement. 

Soudainement Nico, me fit basculer sur le côté, et je roulai sur le sable. Quand je rouvris les yeux, il s’était positionné sur moi et souriait d’une manière malsaine.

-Tu es une proie de choix jeune fils de Poséidon.

Une voie exagérément grave sortit de la bouche de Nico. Ce fut une douche froide. Un dur retour à la « réalité ». Qu’est-ce qu’il ce passait au juste ? Je me débattais pour tenter de m’échappef de l’étreinte du « faux Nico ». Mais son poids et sa force avaient énormément augmentées.

-Tu ne pourras pas t’échapper. Je suis le maître de ce domaine, rien ne peut me résister ici. Se moqua t’il.

Je baissai les yeux vers ses mains retenant mes poignets et réalisa soudait que ce Nico n’avait pas de marque en forme d’étoile. Soudain tout me revint. Ce n’était pas la réalité. J’étais dans une grotte maudite des Enfers.

Ça expliqué beaucoup de chose. Pourquoi Nico avait agit comme sa, mais aussi pourquoi Annabeth avait les yeux violets quand ont s’est séparés toute à l’heure. Tout cela devait être une illusion de la grotte.

- Ça y est tout te revient ? Tu as de la chance demi-dieux, je ne peux pas te tuer, quelqu'un de plus puissant que moi a jeté sont dévolu sur toi. Mais rien ne m’empêcher de m’amuser un peu avec toi.

-Tu vas me laisser partir ? Demandais-je à la fois surpris et méfiant.

-Je n’ai pas le choix, je ne veux pas être effacé. Mais c’est contraire à mes principes de laisser partir quelqu'un, si il n’a pas le cœur pur. Dit il en faisant la moue.

-Je…je n’ai pas le cœur pur ?

-C’est assez dur à dire. Ton cœur est influencé. Mais nous ne sommes pas là pour parler de ça, je vais te laisser partir, mais je ne vais pas utiliser la manière douce.

-Je croyais que vous ne deviez pas me tuer ? 

-Certes je n’ai pas le droit de te tuer. Cependant, il n’est stipulé nulle part dans le contrat que je n’ai pas l’autorisation de te blesser.

Son sourire s’agrandit d’un manière absolument pas naturelle, tordant le visage de Nico, faisant clairement comprendre que ce n’était qu’un déguisement.

Avec une vitesse incroyable, il frappa mon bras droit au niveau du coude. Une douleur vive me parcourra, me faisant pousser un cri de souffrance horrible. Mon bras était certainement cassé.

-Sale monstre. Sifflais-je entre mes dents.

-Merci du compliment. Ce n’est pas que tu sois de mauvaise compagnie, mais on va devoir se dire adieu. Ha oui ! Un dernier conseil, si tu venais à repasser par ici, je ne t’épargnerais pas une seconde fois. Il emis un rire sadique. Allez, au plaisir de ne pas te revoir.

La dernière chose que je vis avant de perdre connaissance, fut le sourire dément de ce que j’avais pris pour Nico, suivi par une violente décharge dans la nuque, me plongeant dans les abysses de l’inconscient. 

Alors sa vous à plus ? Dite moi en commentaire quel est le moment que vous avez préféré. Maintenant vous savez d'ou vien le magnifique caleçon multicolore de Nico. Un autres mystère persiste, pourquoi Annabeth avez les yeux violet ? Je suis gentil et je vous donne un indice, se n'est pas à cause de la grotte. Que voulez dire l'esprit camouflé dans se faux Nico ? Que d'interrogation et tellement peux de reponses, une seule personne à les clés de ces enigmes. Moi. Mais je vais pas vous les donnez tout de suite sinon sa casserais le suspens. Je suis bien bavard aujourd'hui je trouve. Je vais vous laissez les Ombres a plus tard pour le chapitre 12 et le point de vue de Nico.

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