Pour vous mettre dans le contexte, l'équipe de Ten France et moi-même (admin de Hendery France) avons décidé d'organiser un petit projet à l'occasion d'Halloween.
Nous avons donc eu l'idée de raconter des légendes asiatiques en incrustant les membres de WayV afin de les partager sur nos deux fanbases. Je me suis donc chargé du texte tandis que #Kimi s'est occupé des design (que vous verrez en média).
Je préviens d'avance que je n'avais eu que deux jours pour les écrire et qu'elles ne sont donc clairement pas autant travaillées que mes autres oeuvres mais ça me fait tout de même plaisir de vous les partager, alors sur ce, bonne lecture ! ♡♡♡

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Winwin se laissa retomber sur le sol et but une gorgée dans sa bouteille d'eau pour se rafraîchir. Il porta son attention sur Ten et exténué, annonça : « Je pense que je vais rentrer ; je n'en peux plus. » Le thaïlandais s'arrêta dans ses mouvements et répondit :

« - Pas de problèmes, tu ferais mieux de te reposer.

- Et toi ? lui demanda Sicheng en se levant pour commencer à rassembler ses affaires.

- Je vais rester encore un peu. J'aimerais perfectionner encore certains mouvements.

- Très bien. Passe une bonne soirée.

- Merci. Toi aussi. Et fais attention sur la route ! lui lança Ten avant qu'il n'ouvre la porte de la salle d'entraînement.

- Ne t'en fais pas pour moi. »

Le chinois fit un dernier signe à son camarade et quitta la pièce. Il traversa les différents couloirs de l'établissement et se retrouva rapidement sur le parking. Il frissonna lorsque le vent vint caresser sa nuque et il plissa les yeux, essayant d'apercevoir sa voiture malgré le brouillard.

En arrivant au véhicule, il se mit à fouiller activement dans son sac à la recherche des clés de sa voiture. Mais quand il releva la tête, il sursauta en voyant le reflet d'une femme dans la vitre, portant un masque chirurgical sur la bouche. Il se retourna en posant une main sur son cœur, riant nerveusement et dit : « Vous m'avez fait peur. Je ne vous avais pas entendu arriver. » Il s'attendait à ce que la femme rit à son tour ou s'excuse pour cette petite frayeur mais ce ne fut pas le cas.

Elle se rapprocha un peu plus de lui et baissa le regard, intimidée, avant de dire d'une voix emplit de tristesse : « Suis-je belle ? » Étonné, le chinois écarquilla les yeux, ne sachant pas vraiment quoi répondre. Mais quand la jeune femme posa sur lui un regard implorant, il ne put s'empêcher de dire gentiment : « Bien sûr. »

L'inconnue posa alors ses mains sur son masque et l'abaissa lentement, découvrant une bouche fendue jusqu'aux oreilles et ajouta : « Même comme cela ? » Sicheng eut un mouvement de recul et incapable de détacher ses yeux du visage défiguré de la femme, bafouilla avant de dire, pour ne pas la vexer : « O-oui. »

Les yeux de l'inconnue se plissèrent joyeusement et le chanteur se sentit soulagé, ayant l'impression d'avoir agit comme il le fallait. Mais alors qu'il allait la saluer pour prendre le chemin du retour, les yeux de l'inconnue semblèrent s'assombrir et elle sortit un ciseau de derrière son dos, qu'elle pointa en direction du chinois. Ce dernier recula encore, se retrouvant bloqué contre la voiture, terrifié, dans l'incapacité de pousser le moindre cri. Seul le bruit des ciseaux résonnait dans le parking complètement vide. Et tout en avançant, l'arme en main, la femme conclut, d'une voix neutre : « Dans ce cas, tu ne verras aucun mal à ce qu'on se ressemble... »